Aux XIVe-XVe siècles. en Europe, un peuple nomade est apparu, connu sous le nom de gitans, dont l'origine, la vie et la langue sont restées longtemps un mystère. Leurs ancêtres n'ont pas laissé d'histoire écrite, de sorte qu'une variété de théories ont surgi sur l'origine du peuple. Il est comme voué à l'errance éternelle et possède sa propre civilisation particulière.
Les gitans sont dispersés dans le monde entier. Ils peuvent être trouvés sur n'importe quel continent, mais nulle part ils ne se mélangent avec d'autres peuples. Même le nombre de gitans n'a pas toujours pu être établi dans certains pays. Ils ont souvent essayé d'expliquer l'origine des gitans avec des théories absurdes, en regardant leur ascendance des juifs allemands , mentionnant même les habitants de la légendaire Atlantide.
L'apparition d'une foule d'autres théories a été générée à partir des questions complexes non développées de l'ethnographie et de l'histoire du plus grand groupe minoritaire national d'Europe, qui était les gitans. L'origine du peuple a été réduite à trois versions principales. La théorie des racines asiatiques a été soutenue par Henri de Spond, qui associait les gitans à la secte médiévale Attingan. De nombreux érudits ont associé ce peuple à la tribu quasi-asiatique des Siggins, mentionnée par les auteurs anciens Strabon, Hérodote et d'autres. La théorie de l'origine égyptienne était l'une des plus anciennes, remontant au XVe siècle. D'ailleurs, les premiers gitans arrivés en Europe ont eux-mêmes répandu ces légendes. Cette version a été soutenue par des scientifiques anglais qui ont affirmé que les gitans, en route vers l'Europe, ont visité le pays des pyramides, où ils ont acquis leurs connaissances et compétences illimitées dans le domaine du tour de passe-passe, de la divination et de l'astrologie.
La théorie de l'origine indienne est née au 18ème siècle. La base de cette version était la similitude de la langue de l'Inde avec la langue parlée par les gitans. Selon cette version, l'origine du peuple est maintenant pratiquement généralement acceptée. La question de la localisation des ancêtres des Gitans en Inde et de l'heure exacte de leur sortie du pays reste délicate.
L'ambiguïté de la source de l'émergence de ce peuple a toujours été liée à la définition du concept même de "tsiganes", l'origine de ce nom a souvent été considérée non comme un phénomène ethnique, mais comme un phénomène social. Dans diverses sources, le nom «tsiganes» est appliqué aux groupes sociaux menant une vie errante, qui se caractérisent par des caractéristiques similaires et des méthodes spécifiques pour gagner leur vie, telles que la divination, le petit artisanat, les chants et les danses, la mendicité et autres.
En effet, les gitans, installés en mosaïque à travers le monde, sont de composition hétérogène, et il n'est pas toujours facile de comprendre à quel point les différences sont grandes entre eux. Ils sont divisés en un certain nombre de groupes ethniques, qui se distinguent par des dialectes et d'autres caractéristiques ethnoculturelles locales. Leur errance traditionnelle ne peut être considérée comme une sorte d'envie de voyager romantique ou d'errances chaotiques sans but. Le mode de vie des gens était basé sur des raisons économiques. Il fallait sans cesse chercher des débouchés pour les produits des artisans tambourins, un nouveau public pour leurs spectacles.
Les contacts ethnoculturels d'un certain groupe de gitans avec la population environnante ont donné lieu à un certain nombre d'emprunts. Un fait intéressant est que les gitans n'étaient pas pressés de quitter les territoires habités, même lorsqu'ils se trouvaient dans des conditions plutôt défavorables. On sait que dans de nombreux pays, ils ont été soumis à de graves persécutions. Et pourtant, même à l'épicentre même de la violence organisée, des survivants entiers sont apparus. Ce sont les Calais en Espagne, les Sinti en Allemagne, les Travellers en Angleterre.
Alors que dans l'Occident catholique l'apparition des Tziganes a conduit à l'adoption de lois pour leur expulsion, à Byzance aucune loi de ce type n'a été votée. Les artisans, les métallurgistes, les responsables de dresseurs d'animaux étaient ici très appréciés.
En Russie, l'émergence de nouveaux groupes ethniques de gitans a été associée à l'expansion du territoire. En 1783, selon le décret de Catherine II, les gitans de Russie ont été inclus dans la classe paysanne, ils ont reçu l'ordre de percevoir les impôts et taxes appropriés. À volonté, ils étaient également autorisés à s'attribuer à d'autres classes, à l'exception de la noblesse. Ainsi, à la fin du XIXe siècle, il y avait beaucoup de gitans russes parmi les classes marchandes et petites-bourgeoises.
Au XIXe siècle en Russie, il y avait un processus constant d'intégration des gitans, leur installation dans des lieux permanents, qui s'expliquait par l'amélioration du bien-être financier de leurs familles. L'art naturel, qui a beaucoup absorbé les cultures de différents pays, a attiré une véritable attention sur ce peuple. Les romans russes interprétés par des gitans ont acquis une couleur différente. Un genre de romance tzigane est apparu, fondé par des compositeurs et poètes russes passionnés par cette culture. Une couche d'artistes professionnels a commencé à apparaître.
Chacun de vous, plus d'une fois dans sa vie, a dû rencontrer ces personnes. Dans mon enfance, les années d'après-guerre, il m'est arrivé de vivre quelque temps dans le même village que les Tziganes. Ceux qui vivaient avec nous ne m'ont causé ni rejet ni dégoût. Au contraire, j'ai beaucoup appris des anciens. Je me souviens comment je n'ai pas réussi à apprivoiser un jeune étalon dans le troupeau, et ce que je n'ai pas fait, et mon grand-père, Gypsy, l'a immédiatement pris, a mis une bride et m'a amené l'étalon. Et non seulement les gitans m'ont appris à manier les chevaux, mais je suppose que j'ai eu de la chance dans la vie. Il y a eu d'autres réunions, mais je ne veux même pas m'en souvenir.
Gyga;ne (Roma) - l'une des plus grandes minorités ethniques d'Europe, une couche de la population ethnique d'origine indienne commune. Un nom de soi commun est Roma, Roma, bien que d'autres ethnonymes soient également utilisés : Sinti, Manush ("peuple"), Kale. En tant que nom généralisé au niveau humain pour tous les gitans européens, la désignation Roma (Roms anglais, Romanies) est utilisée.
L'origine du nom "Tsiganes", en tant qu'exonyme (c'est-à-dire du côté de la population environnante), est conditionnellement élevée au 11ème siècle, environ en 1100 après JC, George Athos décrit les événements qui ont eu lieu en 1054. Il C'est à partir de cette description que l'opinion sur l'origine égyptienne des Gitans est apparue. C'est comme ça que ça se passe toujours, quelqu'un a mis en place une belle histoire, et tout le monde l'a aimée, mais en réalité, il s'est avéré que tout était complètement faux.
Les Britanniques appelaient traditionnellement les Gitans Gypsies (d'Egyptiens - "Egyptiens"), les Espagnols - Gitanos (également d'Egiptanos - "Egyptiens"), les Français - Bohmiens ("Bohémiens", "Tchèques"), Gitans (espagnol déformé Gitanos) ou Tsiganes (empruntant au grec - ;;;;;;;;;, scorbut; ni), Allemands - Zigeuner, Italiens - Zingari, Néerlandais - Zigeuners, Hongrois - Cig; ny ou F; ra; kn; pe ( "Tribu de Pharaon"), Finlandais - mustalaiset ("noir"), Kazakhs - sy; Andar, Lezgins - karachiyar ("hypocrites, prétendants"); Basques - Ijitoak ; Albanais - Jevgjit ("Égyptiens"); Les Juifs - ;;;;;; (tso'ani;m), du nom de la province biblique de Tsoan dans l'Égypte ancienne ; Perses - ;;;; (si;); Lituaniens - ;igonai; Bulgares - Tsigani; Estoniens - "mustlased" (de "Must" - noir). À l'heure actuelle, les ethnonymes du nom propre d'une partie des gitans, « Roma ; » sont de plus en plus répandus dans diverses langues.
Ainsi, dans les noms "externes" par origine de la population tsigane, trois prédominent :
reflétant l'idée primitive d'eux comme venant d'Égypte;
des versions déformées du surnom byzantin "atsinganos" (qui signifie "diseurs de bonne aventure, magiciens");
désignations de "noirceur" comme trait distinctif d'apparence, faites dans différentes langues (ce qui est typique, l'un des autonoms des gitans est également traduit par "noir")
Selon diverses estimations, le nombre de gitans européens varie de 8 millions à 10-12 millions de personnes.
Dans l'ex-URSS, il y avait officiellement 175,3 mille personnes (recensement de 1970).
En Russie, selon le recensement de 2010, il y a environ 220 000 Roms.
Le nom de soi le plus courant des gitans, qu'ils ont emporté de l'Inde, est «rhum» ou «roma» chez les gitans européens, «maison» chez les gitans du Moyen-Orient et d'Asie Mineure. Tous ces noms remontent au "d'om" indo-aryen avec le premier son cérébral. Le son cérébral, relativement parlant, est un croisement entre les sons "p", "d" et "l". Selon des études linguistiques, les Roms d'Europe et les Dom et Lom d'Asie et du Caucase étaient les trois principaux « flux » de migrants en provenance de l'Inde. Sous le nom de d'om, des groupes de basse caste apparaissent aujourd'hui dans diverses régions de l'Inde moderne. Malgré le fait que les maisons modernes de l'Inde sont difficiles à corréler directement avec les gitans, leur nom a une incidence directe sur eux. La difficulté est de comprendre quel était le lien dans le passé entre les ancêtres des Gitans et les maisons indiennes. Les résultats d'études linguistiques menées dans les années 20 du 20e siècle, et qui sont partagés par les scientifiques modernes, montrent que les ancêtres des gitans vivaient dans les régions centrales de l'Inde et plusieurs siècles avant l'exode (environ au 3e siècle av. ) a migré vers le nord du Pendjab.
Dans les sources indo-aryennes de l'Antiquité tardive et du haut Moyen Âge, qui jusqu'à présent n'ont pas été considérées comme pertinentes pour la genèse des soi-disant «protoromes» en Inde, il existe de nombreuses questions connexes. Un certain nombre de données indiquent l'installation dans les régions du centre et du nord-ouest de l'Inde d'une population portant le nom de soi d'om / d'omba à partir des Ve-IVe siècles av. e. Ces populations étaient à l'origine des groupes tribaux d'origine commune, peut-être apparentés aux Austroasiatiques. Plus tard, avec le développement progressif du système des castes, les d'om/d'omba ont occupé les niveaux inférieurs de la hiérarchie sociale et ont commencé à être reconnus comme des groupes de caste. Parallèlement, l'intégration des maisons dans le système des castes s'est opérée principalement dans les parties centrales de l'Inde, tandis que les régions du nord-ouest sont restées très longtemps une zone « tribale ». Ce caractère tribal des régions d'origine a été maintenu par un contact constant avec les tribus nomades iraniennes, dont la réinstallation dans la période précédant la migration des ancêtres des Tsiganes d'Inde a pris un caractère massif. Ces circonstances ont déterminé la nature de la culture des peuples de la zone de la vallée de l'Indus (y compris les ancêtres des Gitans), une culture qui a conservé pendant des siècles son type nomade et semi-nomade. De plus, l'écologie même du Punjab, du Rajasthan et du Gujarat, les sols arides et infertiles près du fleuve Indus ont contribué au développement d'un modèle d'entreprise mobile semi-pastoral, semi-commercial pour un certain nombre de groupes de la population locale. Certains auteurs pensent que pendant la période de l'exode, les ancêtres des Tziganes étaient une population ethnique socialement structurée d'origine commune (plutôt qu'une série de castes distinctes), engagée dans le commerce de transport et le commerce d'animaux de transport, et aussi, si nécessaire , en tant que professions auxiliaires - un certain nombre d'artisanat et d'autres services, qui faisaient partie des compétences quotidiennes. Les auteurs expliquent la différence culturelle et anthropologique entre les Gitans et les maisons modernes de l'Inde (ayant des traits non aryens plus prononcés que les Gitans) par la forte influence aryenne indiquée (en particulier, dans sa modification iranienne), caractéristique des régions du nord-ouest. de l'Inde, où vivaient les ancêtres des Gitans avant l'exode. . Cette interprétation de l'origine ethno-sociale des ancêtres indiens des Gitans est soutenue par un certain nombre de chercheurs étrangers et russes.
Gitans Krymsky ; pas, aussi Krys ; nous, Tatars ; gitans rsky ; non, Tatars, Ayuji (tsigane. Kyrymitika Roma, mer de Crimée) - un sous-groupe ethnique gitan qui fait partie du "grand" groupe rom. Formé dans le Khanat de Crimée. Aujourd'hui, il vit dans de nombreux pays de l'ex-URSS, dont la Russie. Ils parlent leur propre dialecte de la langue romani, avec des emprunts lexicaux aux langues tatares de Crimée et russe.
En 1944, les Tsiganes de Crimée, ainsi que les Tatars de Crimée, ont été déportés vers l'Asie centrale, ce qui était dû au fait que la plupart des Crimées dans les passeports soviétiques étaient enregistrées comme Tatars. Cependant, déjà en 1948-1949, ils ont recommencé à apparaître en Crimée. Actuellement, la plupart des Crimés vivent en dehors de la Crimée - dans le territoire de Krasnodar de la Fédération de Russie. L'occupation traditionnelle est le petit commerce, la musique, divers types d'artisanat, la joaillerie, la forge, la bonne aventure, la mendicité (toujours pratiquée. Les orchestres gitans servaient traditionnellement les mariages tatars. De nos jours, la musique et les danses des gitans russes ou modernes) sont également les la plupart une occupation courante des gitans de Crimée.
Parfois, les gitans de Crimée sont également confondus avec les Gurbets de Crimée (une sous-ethnie gitane turque distincte, ils sont enregistrés comme Tatars de Crimée dans le recensement).
Des généticiens européens ont analysé le génome gitan et ont découvert que ce peuple est originaire du nord-ouest de l'Inde il y a environ 1,5 mille ans et est entré en Europe il y a 900 ans, selon un article publié dans la revue Current Biology.
"D'un point de vue génétique, tous les gitans sont liés les uns aux autres par deux choses : ils viennent du nord-ouest de l'Inde et leurs ancêtres se sont mariés avec des représentants d'autres peuples lors de migrations à travers l'Europe.
Plus de 10 millions de personnes qui s'identifient comme Roms vivent dans l'Union européenne. La plupart d'entre eux vivent dans les pays d'Europe centrale et orientale, dont la Roumanie et la Hongrie. Les ancêtres des Gitans n'ont laissé aucun monument d'histoire écrite derrière eux, c'est pourquoi leur patrie historique et l'histoire des migrations restent inconnues.
Les scientifiques ont formé un groupe de 206 volontaires gitans vivant dans différents pays d'Europe occidentale et orientale, ont collecté des échantillons d'ADN et déchiffré leurs génomes.
Ensuite, les généticiens ont comparé les génomes des volontaires entre eux et avec l'ADN virtuel de cinq mille gitans et d'autres peuples vivant hors d'Europe. Cela leur a permis d'identifier environ 800 000 polymorphismes mononucléotidiques - des différences dans une "lettre" -nucléotide, qui ont ensuite été utilisées comme une "roue de roulette" pour évaluer la distance génétique entre les peuples.
Selon les calculs des généticiens, la patrie la plus probable des gitans sont les territoires des États modernes du Gujarat, du Rajasthan et du Cachemire dans le nord-ouest de l'Inde. C'est ici que vivent plusieurs peuples isolés, comme les Meghawals au Gujarat et les Pandits au Cachemire, dont le génome est le plus proche de l'ADN gitan. la version sur l'origine égyptienne de ce peuple est clairement erronée.
Selon les scientifiques, peu de temps avant d'entrer en Europe et quelque temps après cet événement, les gitans ont connu deux fortes baisses de population. En témoigne un nombre assez restreint de différences entre les génomes des différents représentants de ce peuple.
En comparant les différences de structure des génomes des gitans européens et non européens, les scientifiques ont découvert que les premiers représentants de ce peuple avaient atteint les frontières de l'Europe il y a environ 900 ans. Comme le suggèrent les généticiens, les gitans ont d'abord pénétré dans les Balkans, puis se sont répandus dans toute l'Europe occidentale.
Au début des années 70, j'ai lu dans le journal "Priroda" qu'un grand article sur les gitans avait été publié. Et il y était écrit que les gitans étaient l'une des castes de l'Inde. Pour comportement inacceptable, ils ont été expulsés d'Inde, raison de leur migration vers l'Europe. Et au début, ils sont apparus en Espagne, où ils ont été rencontrés assez amicalement, mais ont rapidement gâché leur attitude envers eux-mêmes avec le vol et la tromperie. Les gitans n'ont pas laissé de sources écrites sur eux-mêmes, mais leurs aventures sont enregistrées dans des sources européennes. Peut-être que les messieurs de la génétique n'ont fait que confirmer ce que l'on sait depuis longtemps. L'article du magazine était assez volumineux.
La remarque ci-dessus ajoute à l'illusion du nazisme d'Hitler : * Hitler était 1/2 - 1/3 juif et détestait les juifs. * Un fan de la "race aryenne", mais les Aryens sont exclusivement des Indo-Iraniens et un peu des Slaves, qui n'ont génétiquement rien à voir avec les Allemands. En fait, l'haplogroupe Y-ADN des peuples germano-scandinaves I est le plus proche de l'haplogroupe sémitique J. * Il s'avère que Hitler - Il détestait les gitans et aimait les Indiens, et c'est un seul et même peuple.
Avant les généticiens, leur origine n'était pas claire. Par exemple, en Européen, on les appelle Gipsy, du mot "Égypte", car ils croyaient qu'ils étaient les descendants des anciens Égyptiens - des magiciens, apparentés aux Juifs venus de l'Égypte ancienne.
Une autre étude des 10 dernières années - linguistique, a également prouvé que la langue des gitans est apparue il y a environ 1,5 mille ans en Inde. On croyait qu'il s'agissait des Dravidiens - la population indigène pré-aryenne de l'Inde, dont les Aryens, après avoir capturé l'Inde, ont fait une caste inférieure. Mais s'ils viennent du nord-ouest de l'Inde, alors ce sont des Aryens, et non des Dravidiens ?...
Les ancêtres des gitans n'ont laissé aucun monument d'histoire écrite, c'est pourquoi leur patrie historique et l'histoire des migrations restent un mystère. "Et dans la mémoire des gens d'eux, il n'y a que le négatif des clochards, des voleurs, des meurtriers, des trompeurs .
E; niches (allemand Jenische, également nom propre), "nomades", "gitans blancs" - un groupe ethnographique et social d'origine hétérogène, vivant en Europe centrale et occidentale, principalement dans la région autour du Rhin (Allemagne, Suisse, Autriche, France, Belgique). Historiquement, les Yenishi sont apparus au début du XVIIIe siècle en tant que descendants de groupes de population marginalisés (principalement germanophones), bien qu'un certain nombre de chercheurs suggèrent que les Yenishi pourraient être issus d'une population de langue celtique germanique. Seule une petite partie des Yéniches est passée à un mode de vie nomade.
Les Yéniches parlent un argot spécial yéniche, grammaticalement proche des dialectes suisses de l'allemand.
En dehors de la Suisse, les Yéniches ne sont reconnus dans aucun des pays d'Europe comme minorité nationale.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les nazis ont persécuté les Yéniches ainsi que les Tziganes qui leur étaient proches par leur mode de vie. Dans la Suisse moderne, les Yénishi sont considérés par les autorités comme l'un des groupes gitans. Les Yéniches suisses interagissent activement avec les Tsiganes Sinti, tandis que dans d'autres pays européens, les Yéniches se séparent activement des Tsiganes.
(principauté moldave). L'esclavage en Roumanie, alors vassal de l'Empire ottoman, n'a été légalement interdit qu'en février 1856, mais en fait il n'a disparu qu'au milieu des années 1860. En même temps, avec les esclaves dans les terres roumaines, il y avait des serfs roumains (connus sous le nom de tsarany, vechiny, serfs) ; et en Transylvanie - "Roumains", Yobags, etc.) La base de la classe de maître locale (boyards) était les Roumains de souche (en Valachie et en Moldavie), en Transylvanie - les Hongrois de souche.
Récit
Malgré toutes les difficultés de la comptabilité statistique, ainsi que les contradictions sociopolitiques du pays, la Roumanie est la plus grande et la plus célèbre région de la culture gitane au monde. Cette circonstance n'est pas fortuite. Les gitans se sont installés dans les terres roumaines médiévales en nombre inhabituellement élevé. Ils ont sans aucun doute été attirés ici par la grande tolérance de la population romane, préservée ici depuis l'Antiquité. En effet, comparés aux Valaques, eux aussi partiellement engagés dans le pastoralisme nomade, les derniers peuples qui se sont installés dans les Balkans étaient beaucoup moins tolérants envers le mode de vie nomade des gitans, leur langue et leur culture. Les gitans roumains comptent actuellement au moins deux millions de personnes. Les premiers gitans sont entrés dans les terres roumaines au 12ème siècle par le sud. À partir du XIIIe siècle, les gitans se sont retrouvés dans la position d'esclaves des boyards roumains et hongrois locaux. C'est alors que leur asservissement progressif par l'élite slave-romaine locale a commencé sous une forme très particulière, rappelant l'esclavage au Brésil. La première mention écrite des esclaves roms en Roumanie est apparue le 3 octobre 1385. A diverses époques, ont également été émises des hypothèses selon lesquelles les Mongols ou les Turcs, qui les auraient amenés d'Asie, auraient fourni les Tziganes à la Roumanie. Après avoir fait de la Roumanie un vassal de l'Empire ottoman, le pays est devenu une partie de la traite méditerranéenne des esclaves avec les pays du Maghreb.
Domaines gitans
En Roumanie, les classes professionnelles suivantes de gitans ont été formées:
kalderashi (littéralement "artisan du cuivre"),
lautars ("musiciens"),
boyashi ou lingurars ("cuilleriers")
ursars ("ours"),
fierars ("forgerons"), ainsi que "chevaux".
Dès le début de l'histoire de l'esclavage en Roumanie, de nombreux esclaves, comme dans la Dacie romaine, ont travaillé dans les mines de sel et de minerai. Les femmes tsiganes qui appartenaient aux boyards étaient des servantes, souvent des concubines. Les mariages officiels entre Roumains et Tsiganes n'étaient pas encouragés, cependant, les enfants illégitimes issus de telles unions envahissaient les rues des villes roumaines, aggravant le problème de l'itinérance des enfants, qui persiste à ce jour. Ce problème était aigu au Brésil et dans d'autres pays d'Amérique latine, qui ont longtemps cultivé l'institution du lieu.
Après l'abolition de l'esclavage dans les Principautés danubiennes, au moins 250 000 gitans, soit environ 10% de la population de Valachie, ont obtenu la liberté. En Bessarabie russe en 1858, le recensement comptait également 11 074 esclaves roms. La libération des Roms n'a pas amélioré leur situation économique. Comme au Brésil, les esclaves libérés ne recevaient pas de terres, ce qui les obligeait à rejoindre les rangs des pauvres des villes ou à modifier le champ de leurs activités. Par exemple, les fierars combinaient la ferrure avec le vol de chevaux.
Les Tsiganes sont l'un des plus grands groupes ethniques au monde qui n'ont pas leur propre État. Ils peuvent être trouvés dans n'importe quel pays d'Europe, de la CEI, dans les pays d'Amérique, et leur nombre est d'environ 8 à 10 millions de personnes. Comment se fait-il que les gitans aient commencé à mener une vie nomade et se soient installés dans de nombreux pays du monde, alors que leurs parents les plus proches continuent de vivre dans leur pays d'origine ?
Selon les généticiens, les ancêtres des gitans modernes ont quitté l'Inde vers les VIe-Xe siècles et se sont installés en Perse (le territoire de l'Iran moderne). Selon une version, 1000 personnes ont été transférées par le padishah de l'Inde en cadeau au Shah de Perse. Selon les informations historiques, ils étaient bijoutiers et musiciens, et le don de représentants de professions précieuses était une chose courante à cette époque. Après y avoir vécu environ 400 ans, les gitans se sont dirigés vers l'ouest et se sont rapidement retrouvés à Byzance.
Sur le territoire de Byzance, ils ont adopté le christianisme et ont vécu avec d'autres peuples, étant des membres à part entière de la société. Selon des sources écrites, les gitans étaient de célèbres forgerons. En outre, ils étaient engagés dans la fabrication de harnais pour chevaux, l'élevage de chevaux, et entraînaient également des animaux et donnaient des spectacles.
Mais après la chute de l'Empire byzantin au XVe siècle, les gitans, à la recherche de travail et de nourriture, ont quitté leurs lieux d'habitation et se sont déplacés vers le nord et l'ouest de l'Europe. En Europe même, il y a eu des temps assez difficiles et les colons n'étaient pas très contents. La situation était compliquée par le fait que les premiers gitans arrivés dans de nouveaux pays n'étaient, en règle générale, pas les meilleurs représentants de la société gitane. Débarrassés de leur famille et de leur ménage, à la recherche d'une vie facile, ils se livraient au vol, à l'escroquerie et à la mendicité. Cela a conduit à la réputation de vagabonds et d'escrocs pour les Roms, il leur était de plus en plus difficile de trouver du travail et de s'intégrer à la société européenne. À la recherche d'une vie meilleure, des gitans d'Espagne et du Portugal ont commencé à s'installer en Amérique latine.
Grâce à une histoire difficile et à des errances constantes, les gitans se sont retrouvés isolés génétiquement et linguistiquement des locuteurs natifs les plus proches de leur langue - les Indiens. La langue romani appartient à la branche indo-aryenne des langues indiennes. La langue elle-même a plusieurs dialectes, formés dans différentes régions de la résidence compacte des gitans. En plus de leur langue maternelle, les gitans parlent souvent la langue du pays dans lequel ils vivent.
Selon les statistiques, le plus grand nombre de gitans vivent aux États-Unis, où il y en a environ 1 million. Plus de 500 000 gitans vivent au Brésil, en Espagne et en Roumanie, et environ 200 000 représentants de ce peuple sont enregistrés en Russie. Aujourd'hui, le 8 avril, est considéré comme le jour des gitans et, malgré le fait que ce peuple n'a pas son propre État, il a son propre drapeau, au centre duquel se trouve une roue de chariot symbolique.
Plus de 12 millions de Roms vivent dans de nombreux pays à travers le monde. Il n'y a aucun moyen de calculer leur nombre exact, car beaucoup d'entre eux ne sont pas enregistrés dans les recensements civiques généraux. De nombreux Roms eux-mêmes ne reconnaissent pas leur véritable origine nationale pour des raisons économiques et sociales.
Les Tsiganes sont un peuple aux multiples facettes et diversifié, accueillant un certain nombre de sous-groupes ethniques. C'est une nation dispersée dans le monde entier, dont les représentants appartiennent à diverses confessions religieuses et parlent même différentes langues.
Les Tziganes sont une minorité ethnique distincte, qui se distingue des autres au moins par son sang tzigane et sa langue tsigane. Ce peuple est originaire de la péninsule indienne il y a plus de mille ans. Personne ne sait exactement pourquoi les premiers gitans ont commencé leur longue errance de l'Inde vers l'Europe et au-delà. Malgré des siècles de persécution et d'oppression, ils se sont répandus dans le monde entier.
La langue romani se compose de nombreux dialectes étonnamment différents, qui sont unis par le fait qu'ils sont tous dérivés du sanskrit, ont presque la même grammaire et de nombreux mots apparentés.
Comme toute nation, les gitans ont leur propre échelle de valeurs. Les principales valeurs gitanes, par ordre d'importance, sont : la famille, la réussite professionnelle, la religion.
Une attitude respectueuse envers une valeur telle que la famille s'exprime dans l'amour des enfants, le respect des membres âgés de la famille, la reconnaissance des intérêts de la famille au-dessus des intérêts personnels et de nombreuses autres manières qui diffèrent légèrement entre les différents peuples gitans.
La réussite professionnelle, quel que soit le métier choisi, est également une valeur très importante. Il y a deux façons de le démontrer : la richesse, la prospérité (après tout, le revenu dépend directement de la réussite professionnelle, mieux vous connaissez votre entreprise, plus elle est élevée) et la notoriété. La gloire est d'autant plus précieuse que l'approbation de la société est très importante pour un gitan, ce qui a toujours contribué à une intégration réussie dans la société non tsigane avec une attitude normale de la société envers les gitans.
La religion est plus importante pour un Rom que ne le pensent et ne le disent habituellement les non-Roms. L'attitude des gitans envers la foi a été révélée pendant les années de persécution de la religion par le gouvernement soviétique. Les gitans qui ont rejeté Dieu pouvaient être comptés sur les doigts, tandis que le reste de la population du pays était activement athée. Désormais, cet écart de foi entre les Tziganes et les Gadje (nom traditionnel des non-Tsiganes, a aussi une origine professionnelle et vient du mot « paysan », « agriculteur ») se réduit.
La singularité des gitans réside aussi dans le fait que les gitans sont une nation consciemment non territoriale. Nous ne sommes pas unis par le pays de résidence, mais par notre romanipe - l'esprit gitan. Le Romanistan n'est pas un lieu, mais des gens.
Il y a eu plusieurs grandes vagues de migration dans l'histoire des Roms. Le premier exode de l'Inde a eu lieu il y a environ 1000 ans. Certains chercheurs suggèrent qu'il y a eu plusieurs groupes successifs qui ont quitté l'Inde. La deuxième grande vague, connue sous le nom d'ARESAJIPE, a eu lieu au 14ème siècle. dans le sens de l'Asie vers l'Europe, du sud-ouest. La troisième vague va de l'Europe vers l'Amérique au 19e et au début du 20e siècle après l'abolition de l'esclavage des gitans en Europe en 1856-1864. On parle maintenant que la prochaine grande vague de migration est en cours à la suite de la chute du rideau de fer en Europe de l'Est.
La langue romani est d'origine indo-aryenne. Il a de nombreux dialectes parlés. Ses ancêtres sont les anciennes langues punjabi ou hindi. Le romani parlé est varié, mais tous les dialectes contiennent quelques mots communs utilisés par tous les Roms. Sur la base de l'analyse linguistique des dialectes, les gitans sont divisés en trois groupes. Cette:
- DOMARI vivant au Moyen-Orient. Dans leur langue, le mot « gitan » sonne comme « maison ».
- LOMARI vivant en Europe centrale. Dans leur langue, "gypsy" - "scrap".
- ROMANE habitant l'Europe de l'Est et de l'Ouest. Dans leur patois, "gypsy" est "rhum". Il n'y a pas de langue écrite commune unique utilisée par tous parmi les gitans. Cependant, à l'heure actuelle, la Commission linguistique de l'Union internationale des gitans travaille à normaliser la langue, ses normes écrites et orales.
Les gitans sont l'un des peuples les plus, peut-être, incompréhensibles et mythifiés de notre planète, et cela depuis de nombreux siècles. Il y a des rumeurs dans le monde entier selon lesquelles lorsque les gitans viennent en ville, ils séduisent les hommes et les femmes et volent ensuite tout ce qu'ils voient, y compris les enfants. Il existe également de nombreux mythes sur les diseurs de bonne aventure et les camps de gitans rusés et mystérieux. En tout cas, même si l'on met de côté tous les mythes et idées reçues, les gitans restent l'une des ethnies les plus intéressantes de l'histoire.
1. D'où viennent-ils
L'origine des gitans est entourée de mystère. Parfois, il semblait qu'ils apparaissaient sur la planète d'une manière mystérieuse. Cela en soi peut avoir suscité un sentiment de peur parmi les Européens et contribué à une atmosphère de mystère autour des Roms. Les érudits modernes suggèrent que les Gitans ont à l'origine émigré en masse de l'Inde au Ve siècle.
Cette théorie suggère que leur fuite était due à la propagation de l'islam, que les Roms cherchaient désespérément à éviter afin de protéger leur liberté religieuse. Cette théorie prétend que les Gitans ont migré de l'Inde vers l'Anatolie et plus loin vers l'Europe, où ils se sont divisés en trois branches distinctes : Domari, Lomavren et les Gitans eux-mêmes. Une autre théorie suggère qu'il y a eu jusqu'à trois migrations distinctes sur plusieurs siècles.
2. Mode de vie nomade gitan
De nombreux stéréotypes se sont formés autour des gitans depuis longtemps. Qui ne connaît pas l'expression "âme gitane" (qui s'applique aux personnes épris de liberté). Selon ces stéréotypes, les gitans préfèrent vivre hors de ce qu'on appelle le "mainstream" et s'affranchir des normes sociales afin de pouvoir mener une vie nomade remplie de plaisir et de danse. La vérité est beaucoup plus sombre.
Pendant de nombreux siècles, les Roms ont souvent été expulsés de force des pays dans lesquels ils vivaient. Ces expulsions forcées se poursuivent à ce jour. De nombreux historiens ont suggéré que la vraie raison du mode de vie nomade des Gitans est très simple : la survie.
3. Les gitans n'ont pas de patrie
Les gitans sont des personnes sans nationalité spécifique. La plupart des pays refusent de leur accorder la citoyenneté, même s'ils sont nés dans ce pays. Des siècles de persécution et leur communauté fermée ont laissé les Tsiganes sans patrie. En 2000, les Roms ont été officiellement déclarés une nation sans territoire. Cette absence de citoyenneté rend les Roms juridiquement "invisibles".
Bien qu'ils ne soient soumis aux lois d'aucun pays, ils n'ont pas accès à l'éducation, aux soins de santé et aux autres services sociaux. De plus, les Roms ne peuvent même pas obtenir de passeport, ce qui rend leurs déplacements très difficiles voire impossibles.
4. Persécution des gitans.
Cela vaut la peine de commencer par le fait que les gitans étaient en fait des esclaves en Europe, en particulier aux XIVe et XIXe siècles. Ils étaient échangés et vendus comme une marchandise, et ils étaient considérés comme "sous-humains". Dans les années 1700, Marie-Thérèse, l'impératrice de l'empire austro-hongrois, a adopté une loi interdisant les gitans. Cela a été fait pour forcer les Roms à s'intégrer dans la société.
Des lois similaires ont été adoptées en Espagne et de nombreux pays européens ont interdit aux Roms d'entrer sur leur territoire. Le régime nazi a également persécuté et exterminé les Roms par dizaines de milliers. Aujourd'hui encore, les gitans sont persécutés.
5. Personne ne sait combien de gitans il y a dans le monde
Personne ne sait combien de gitans vivent aujourd'hui dans le monde entier. En raison de la discrimination dont sont souvent victimes les Roms, nombre d'entre eux ne s'enregistrent pas publiquement ou ne s'identifient pas comme Roms. De plus, compte tenu de leur "invisibilité légale", de la naissance d'enfants sans papiers et des déplacements fréquents, de nombreux Roms sont portés disparus.
Il est également problématique que les Roms ne bénéficient pas de services sociaux, ce qui aiderait à brosser un tableau plus clair de leur nombre. Cependant, le New York Times estime le nombre de Roms dans le monde à 11 millions, un chiffre souvent contesté.
6. Gypsy est un mot offensant
Pour beaucoup de gens, le terme "tsigane" signifie nomade et n'est pas considéré comme une insulte raciale. Mais pour les "Roms" eux-mêmes (ou "Romaux" - le nom propre des gitans), ce mot a des connotations inquiétantes. Par exemple, selon l'Oxford Dictionary, le mot anglais "gypped" (dérivé de "gypsie" - gypsies) signifie un acte pénalement punissable.
Les Roms, souvent appelés gitans, étaient considérés comme des perdants et des voleurs, un mot gravé dans leur peau sous le régime nazi. Comme beaucoup d'autres insultes racistes, le mot « tzigane » est utilisé depuis des siècles pour opprimer les Roms.
7. Avenir, pas cher...
De nombreux mythes entourent les gitans. L'un de ces mythes dit que les gitans ont leur propre magie, qui se transmet depuis des siècles de génération en génération. Le mythe est associé aux cartes de tarot, aux boules de cristal et aux tentes de divination, ainsi qu'à d'autres stéréotypes. La littérature regorge de références à la langue gitane et aux arts magiques de ce peuple.
De plus, de nombreux films montrent les malédictions des gitans. Même dans l'art, il existe de nombreuses peintures décrivant les Roms comme un peuple mystique et magique. Cependant, de nombreux scientifiques pensent que toute cette magie est une fiction, dérivée du fait que les gens ne savaient tout simplement rien des gitans.
8. Absence de religion formelle
Le folklore européen prétend souvent que les Roms ont fait un temple avec du fromage à la crème. Vraisemblablement, ils l'ont mangé lorsqu'une période de famine sévère s'est installée, de sorte qu'ils se sont retrouvés sans religion officielle. En règle générale, les gitans rejoignent l'église la plus répandue dans le pays où ils vivent. Cependant, il existe de nombreuses croyances traditionnelles gitanes. Certains chercheurs pensent qu'il existe de nombreux liens entre les croyances roms et l'hindouisme.
9. Modestie
Bien que les mariages gitans soient souvent accompagnés de festivités de masse et de vêtements luxueux, l'un de leurs principaux principes de vie, la modestie, se reflète dans les vêtements de tous les jours des gitans. Les danses tsiganes sont le plus souvent associées à la danse du ventre féminine. Cependant, de nombreuses femmes gitanes n'ont jamais exécuté ce qui est communément considéré comme la danse du ventre aujourd'hui.
Au lieu de cela, ils exécutent des danses traditionnelles qui n'utilisent que leur ventre pour se déplacer, pas leurs hanches, car les mouvements de la hanche sont considérés comme impudiques. De plus, les jupes longues et fluides couramment portées par les gitans servent à couvrir leurs jambes, car exposer les jambes est également considéré comme impudique.
10. La contribution des Gitans à la culture mondiale est énorme
Dès le début de leur existence, les gitans ont été étroitement associés au chant, à la danse et au théâtre. Ils ont porté cette tradition à travers les siècles, influencé de manière significative l'art mondial. De nombreux gitans se sont assimilés à différentes cultures, les influençant. De nombreux chanteurs, acteurs, artistes, etc. avaient des racines gitanes.
Des peuples mystérieux sur notre planète vivaient dans le passé. Par exemple, comme .
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