Qui est honnête dans sa pauvreté
Honte et tout le reste
Le plus misérable des gens
Esclave lâche et ainsi de suite.

Pour autant,
Pour autant,
Soyons pauvres
Richesse -
tampon sur l'or,
Et doré -
Nous nous mêmes!

Nous mangeons du pain et buvons de l'eau
On se couvre de haillons
Et tout ça
Pendant ce temps, le fou et le voyou
Habillé de soie et buvant du vin
Et tout ça.

Pour autant,
Pour autant,
Ne jugez pas par la robe.
Qui se nourrit honnêtement de travail,
C'est ce que j'appelle la noblesse,

Ce bouffon ici est un seigneur naturel.
Nous devons nous incliner devant lui.
Mais qu'il soit raide et fier,
Un journal restera un journal !

Pour autant,
Pour autant,
Bien qu'il soit tout en accolades, -
Un journal restera un journal
Et en commandes, et en rubans !

Le roi de son laquais
Nommer un général
Mais il ne peut personne
Désignez un homme honnête.

Pour autant,
Pour autant,
Récompenses, flatterie
Etc
Ne remplace pas
Esprit et honneur
Et tout ça !

Le jour viendra et l'heure sonnera,
Quand l'esprit et l'honneur
La terre entière aura un tour
Restez à la première place.

Pour autant,
Pour autant,
je peux te prédire
Quel sera le jour
Quand autour
Tous les gens deviendront frères !

Analyse du poème "Honest Poverty" de Burns

Le poète écossais Robert Burns a vécu au XVIIIe siècle, à une époque où l'aristocratie était au pouvoir et où les mérites et les démérites d'une personne étaient déterminés uniquement par son origine. Mais c'était une époque révolutionnaire et de nouvelles idées prenaient déjà de l'ampleur.

Le poète lui-même était issu d'une famille de paysans pauvres. Dès l'enfance, il a observé la vie des gens ordinaires, a travaillé dur et a su combien de fois la bêtise et la cupidité accompagnent la richesse et un titre élevé. Le thème principal de son poème "Honest Poverty" est l'opposition de la noblesse, guindée, pompeuse et vide, et des pauvres. L'auteur considère la pauvreté comme honnête et traite de pathétique celui qui en a honte.

Les poèmes décrivent la structure sociale de cette époque. Le roi peut accorder n'importe quel rang à un laquais, mais il ne peut le doter d'honnêteté et d'intelligence. Et la vraie noblesse, selon Burns, ce sont ceux qui ont la vraie richesse : une bonne conscience, la dignité d'un travailleur et la gentillesse. Mais ces gens sont obligés de manger du pain, de boire de l'eau et de se couvrir de haillons, tandis que les coquins titrés s'habillent de soieries, boivent du vin, jouissent de divers privilèges et gouvernent le pays. Cette situation extrêmement injuste a suscité l'indignation des progressistes, une révolution avait déjà eu lieu en France, toute l'Europe était sur le point de changer. Le poète est sûr que le temps viendra où l'intelligence et l'honnêteté prendront la place qui leur revient, la diligence sera appréciée et tous deviendront frères.

Le poème est écrit dans le style d'une chanson folklorique, qui est devenue plus tard. D'une forme et d'un style simples, il était du goût des gens ordinaires et imite les compositions folkloriques antérieures qui étaient chantées pendant ou après le travail dans une joyeuse compagnie. Malgré le poids des problèmes sociaux exposés dans les lignes, le ton de l'œuvre est optimiste, joyeux, il traduit l'humeur des pauvres qui, dans des conditions de dur labeur et de privation, chantent encore des chansons et profitent de la vie. Et l'auteur en vers n'est pas un étranger, il s'unit aux gens ordinaires, exprime leurs pensées.

« Honest Poverty » est une œuvre qui n'a pas perdu de sa pertinence aujourd'hui encore. Les problèmes d'inégalité sociale ne sont pas aussi aigus qu'ils l'étaient il y a deux cents ans, mais ils inquiètent toujours les gens qui réfléchissent. Et, bien que les poèmes n'aient plus la popularité d'une ballade folklorique, ils sont étudiés par les écoliers et les étudiants, utilisés dans des productions théâtrales et nous rappellent l'amour des gens et la foi en la justice.

L'une des œuvres les plus célèbres du grand poète écossais, dans laquelle il exprime son opinion sur la pauvreté de la richesse, devrait être lue le vers « Honest Poverty » de Robert Burns. L'auteur dit directement qu'il vaut mieux être un honnête pauvre que de baigner dans des richesses mal acquises. Ce poème a été écrit peu de temps avant la mort du poète et a été inspiré par les événements de la Révolution française, que Burns considérait comme une solution aux problèmes des travailleurs acharnés, mais non accablés par la richesse. L'enseigner dans un cours de littérature en classe, c'est comme le témoignage poétique d'un paysan devenu poète.

Dans le texte du poème de Burns " Honest Poverty ", il y a à la fois de la moquerie et une ironie très caustique et accusatrice contre les riches, et des lignes presque prophétiques selon lesquelles l'inégalité sociale doit encore prendre fin. Les lignes poétiques sont remplies d'un espoir sincère qu'un monde dans lequel ceux qui travaillent seront heureux puisse être construit. Après avoir lu l'intégralité de l'ouvrage en ligne, on peut également constater l'optimisme et la confiance en l'avenir du simple peuple écossais, dont son auteur faisait partie. Exprimant son opinion, le talentueux Écossais parle dans un langage simple mais vivant.

Qui est honnête dans sa pauvreté
Honte et tout le reste
Le plus misérable des gens
Esclave lâche et ainsi de suite.

Pour autant,
Pour autant,
Soyons pauvres
Richesse -
tampon sur l'or,
Et doré -
Nous nous mêmes!

Nous mangeons du pain et buvons de l'eau
On se couvre de haillons
Et tout ça
Pendant ce temps, le fou et le voyou
Habillé de soie et buvant du vin
Et tout ça.

Pour autant,
Pour autant,
Ne jugez pas par la robe.
Qui se nourrit honnêtement de travail, -
C'est ce que j'appelle la noblesse !

Ce bouffon est le seigneur de la cour,
Nous devons nous incliner devant lui
Mais qu'il soit raide et fier,
Un journal restera un journal !

Pour autant,
Pour autant,
Bien qu'il soit tout en nattes, -
Un journal restera un journal
Et en commandes, et en rubans !

Le roi de son laquais
Nommer un général
Mais il ne peut personne
Désignez un homme honnête.

Pour autant,
Pour autant,
Récompenses, flatterie
Etc
Ne remplace pas l'esprit et l'honneur
Et tout ça !

Le jour viendra et l'heure sonnera
Quand l'esprit et l'honneur
Le tour viendra sur toute la terre
Restez à la première place.

Pour autant,
Pour autant,
je peux te prédire
Quel sera le jour
Quand autour
Tous les gens deviendront frères !

Composition

Le poète écossais Robert Burns dans son poème « Honest Poverty » parle de questions éternelles : qu'est-ce que la pauvreté et la richesse, qu'est-ce que l'honneur et l'intelligence. Comment l'honneur et l'intelligence se conjuguent avec la richesse et la pauvreté.

Le poème met en contraste des gens pauvres mais honnêtes et des gens riches mais malhonnêtes. Il soutient que la richesse ne signifie pas que son propriétaire est une personne honnête et noble. Bien au contraire : souvent un riche se révèle stupide et scélérat. Je pense qu'à l'époque de Robert Burns (et il a vécu au 18ème siècle) c'était ainsi. Ensuite, tout en Angleterre était dirigé par des gens riches et nobles. Ils n'étaient pas forcément les plus intelligents, mais leur argent et leurs titres leur donnaient le droit de gouverner le pays. Dans le même temps, de nombreuses personnes intelligentes et dignes ne pouvaient pas trouver d'application pour leurs capacités. Après tout, ils étaient pauvres et ignobles. Ici, Robert Burns parle dans son poème critiquant de tels ordres :

* Nous mangeons du pain et buvons de l'eau,
*Nous nous couvrons de chiffons
* Et tout ça
* Pendant ce temps, un imbécile et un voyou
* Vêtu de soie et buvant du vin
* Et tout ça.

Pour Robert Burns lui-même, la vraie noblesse, ce sont ceux qui gagnent leur vie par leur travail. Il dit qu'une personne ne peut pas être jugée par une robe (et je suis entièrement d'accord avec lui sur ce point), et surtout, ce qu'il peut faire et quel genre d'âme il a. Si une personne est gentille, si elle est intelligente et honnête, peu importe qui elle est d'origine et combien d'argent elle a. Et vice versa, peu importe l'argent et les titres d'une personne, ils ne remplaceront pas son esprit ou sa conscience :

* Avec tout ça,
* Avec tout ça,
* Bien qu'il soit tout en nattes,
* Un journal restera un journal
* Et en commandes et en rubans !

A cette époque, la monarchie absolue était la base du système social dans de nombreux pays. Et le roi pouvait faire ce qu'il voulait. Personne ne pouvait discuter avec lui en quoi que ce soit. Personne ne pouvait critiquer ses actions, car il était la personne la plus noble du pays. Et il pourrait nommer une personne stupide ou malhonnête à n'importe quel poste simplement parce qu'elle lui est noble ou soumise : le Roi de son laquais

* Nommer un général
*Mais il ne peut pas n'importe qui
* Désigner un homme honnête.

Et tout le monde autour devrait obéir à de telles décisions. Les gens ordinaires devaient s'incliner lorsqu'ils rencontraient un noble simplement parce qu'il était un seigneur. Et personne ne s'intéressait à ce que ce seigneur puisse être "une bûche de bûche". A de telles personnes, Robert Berne oppose des travailleurs intelligents et honnêtes. Pour lui, il n'y a personne de mieux que ces gens. Et qu'ils aient peu d'argent, mais ils sont riches d'âme. Et il exhorte ces gens à ne pas avoir honte de leur pauvreté, à ne pas avoir une mauvaise opinion d'eux-mêmes simplement parce que vous avez un portefeuille vide : Qui est honnête dans sa pauvreté

* Honte et tout le reste,
* Le plus misérable des gens
* Esclave lâche et ainsi de suite.

Je le pense aussi. Il me semble que lorsque les pauvres commencent à s'incliner devant la richesse, c'est mal. L'homme est tellement auto-dégradant. Il devient un véritable esclave. Ne laissez pas réellement, mais à l'intérieur de vous-même, dans votre cœur. C'est un travailleur de l'argent. Robert Berne a absolument raison : aucun argent, aucune récompense, aucune flatterie et "autre" ne peuvent remplacer l'esprit ou l'honneur d'une personne. Moi, comme le merveilleux poète écossais Robert Burns, je veux vraiment que le jour et l'heure viennent, tous les gens seront égaux les uns devant les autres, quand il n'y aura plus de nobles et d'ignobles, il n'y aura plus de pauvres et de riches. Et en premier lieu tout le monde aura l'esprit et l'honneur !

À partir de l'invité >>

Aidez-moi, Robert Burns, Honest Poverty. Avez-vous aimé la chanson de Burns ? Pourquoi? Qu'est-ce qui fâche le poète ? Qu'espère-t-il et en quoi croit-il ?

Voici le verset :

Qui est honnête dans sa pauvreté

Honte et tout le reste

Le plus misérable des gens

Esclave lâche et ainsi de suite.

Pour autant,

Pour autant,

Soyons pauvres

Richesse -

tampon sur l'or,

Et doré -

Nous mangeons du pain et buvons de l'eau

On se couvre de haillons

Et tout ça

Pendant ce temps, le fou et le voyou

Habillé de soie et buvant du vin

Et tout ça.

Pour autant,

Pour autant,

Ne jugez pas par la robe.

Qui se nourrit honnêtement de travail,

C'est ce que j'appelle la noblesse,

Ce bouffon ici est un seigneur naturel.

Nous devons nous incliner devant lui.

Mais qu'il soit raide et fier,

Un journal restera un journal !

Pour autant,

Pour autant,

Bien qu'il soit tout en nattes, -

Un journal restera un journal

Et en commandes, et en rubans !

Le roi de son laquais

Nommer un général

Mais il ne peut personne

Désignez un homme honnête.

Pour autant,

Pour autant,

Récompenses, flatterie

Ne remplace pas

Esprit et honneur

Et tout ça !

Le jour viendra et l'heure sonnera,

Quand l'esprit et l'honneur

La terre entière aura un tour

Restez à la première place.

Pour autant,

Pour autant,

je peux te prédire

Quel sera le jour

Quand autour

Tous les gens deviendront frères !

Réponse à gauche l'invité

1. Bon verset. Le style d'écriture n'est pas à mon goût.

2. Parce que je partage sa vision de la société.

3. Le poète s'indigne de la "mauvaise élite", il suggère que l'élite n'est pas le sommet de la société, mais sa couche fertile. Dans l'élite, il met des définitions telles que: honnête, décent, intelligent, courageux. Mais beaucoup d'autres, je pense tout à fait différemment. Cela l'exaspère. Il est également scandalisé que tout le monde n'obtienne pas ce qu'il mérite. Il adhère aux règles du léninisme "depuis toutes les personnes au capacité, pour chaque au besoins », mais son point de vue n'est manifestement pas partagé par tout le monde.

4. Il espère que les gens reconsidéreront enfin leurs priorités et mettront en premier les meilleures qualités en eux-mêmes. Il croit que le temps viendra où les gens cesseront de se battre pour "une place au soleil", qu'un jour les gens comprendront que la chose la plus importante n'est pas la richesse et le pouvoir, mais l'humanité.

Évaluez la réponse

Robert Burns, le célèbre poète écossais, a écrit le poème "Honest Poverty". Le lecteur domestique a probablement pris connaissance de cet ouvrage traduit par Samuil Marshak. Comme le montre le titre de l'ouvrage, l'auteur pose des questions éternelles. Il est important pour lui de comprendre : qu'est-ce que la pauvreté et qu'est-ce que la richesse, qu'est-ce que l'honneur et qu'est-ce que l'intelligence. Est-il possible qu'une personne conjugue honneur et intelligence en même temps que pauvreté ? Un homme riche peut-il être qualifié d'honnête et d'intelligent ?

Robert Burns a vécu au 18ème siècle. À cette époque, la Grande-Bretagne était gouvernée par la riche noblesse anglaise. Ils n'étaient pas toujours les plus intelligents et pouvaient prendre des décisions éclairées et rationnelles, mais la présence de titres et d'argent leur donnait de nombreux droits, dont la possibilité de participer au gouvernement du pays.

Dans le même temps, de nombreuses personnes qui ont fait preuve d'intelligence et de dignité honorée, mais en même temps n'étaient pas assez riches et n'avaient pas d'origine noble, ne pouvaient pas se retrouver dans cette vie, n'étaient pas incluses dans les processus de gouvernance du pays. Cette situation semblait injuste au poète, et la critique de l'ordre d'alors se fait entendre ouvertement et bruyamment dans son œuvre.

Qui Burns considère-t-il comme des personnes vraiment nobles et dignes de respect ? Tout d'abord, il désigne d'eux ceux qui gagnent indépendamment leur vie par leur travail. Selon Burns, il est impossible de juger une personne par les vêtements qu'elle porte, mais le vin qu'elle boit, par la nourriture qu'elle mange - de telles évaluations seront superficielles et ne refléteront pas pleinement la paix intérieure de l'interlocuteur. Beaucoup plus importantes sont les caractéristiques spirituelles d'une personne - gentillesse, intelligence, honnêteté. Et puis les questions d'origine, la présence d'argent dans le portefeuille passent au second plan.

Le poème est construit sur l'opposition du pauvre, mais honnête, avec le riche, mais malhonnête. L'auteur affirme que la richesse ne donne souvent pas à son propriétaire les caractéristiques d'une personne honnête et noble. Plus souvent, il y a des gens que la richesse a rendus stupides et malhonnêtes. Jamais, selon l'auteur, l'argent et les titres ne remplaceront l'esprit et la conscience, qui, malheureusement, se sont perdus sur le chemin de la gloire et de la fortune.

Selon les critiques littéraires, les événements politiques qui ont eu lieu en Europe pendant la vie de Robert Burns (par exemple, la Révolution française) ne pouvaient que l'affecter, dans sa manière d'écrire et de traiter les problèmes sociaux. L'auteur considérait sincèrement la révolution comme une issue à la situation qui s'était produite en Angleterre, ne voyant aucun autre moyen de sauver une personne de la pauvreté et de l'anarchie, dans laquelle les désirs des personnes au pouvoir les plongeaient.

Au cours de l'histoire, Burns attaque la monarchie absolue comme l'ordre social qui dominait l'Europe à cette époque. Selon l'auteur, un roi qui pouvait faire tout ce qu'il pensait. qui ne pouvait pas du tout être discutée et qui ne pouvait pas être critiquée, en fait, était la quintessence de tout le mal qui dominait la société de cette époque.

Les poèmes du poète écossais sont populaires parmi les amateurs de littérature depuis plus de 200 ans. Les lignes de ses œuvres les plus célèbres sont finalement devenues les slogans sous lesquels les révolutions ont été faites. En lisant Honest Poverty, on se demande comment un simple fermier (c'est-à-dire que l'auteur avait une telle origine) a pu créer des ballades aussi exquises, des messages variés et des épigrammes mordantes. En même temps, il travaillait physiquement, et son travail était dur et parfois même écrasant, mais même un besoin constant ne pouvait cacher en lui cette joie de vivre, ce plaisir et cet amour de l'humanité qui traversent toutes ses œuvres.