La population de la Terre au 21e siècle a dépassé les 7,5 milliards de personnes. Ceci est largement dû à la hausse de la fécondité dans les pays en développement. Mais en plus de la croissance naturelle, il y a aussi un déclin constant de la population sur Terre. L'un des facteurs qui réduisent régulièrement le nombre de personnes vivant sur Terre est la maladie.

Seul 9 maladies tuer presque 40 millions de personnes.

1. Maladie cardiovasculaire

Selon les estimations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), en 2008, environ 17,3 millions de personnes. ce 30% du nombre total de décès dans le monde. Sur ces 17,3 millions de décès, 7,3 un million de décès par maladie coronarienne et 6,2 millions - à mourir. De plus, plus 80% les décès surviennent dans les pays à revenu intermédiaire.

Les maladies cardiovasculaires sont des maladies du cœur et des vaisseaux sanguins et comprennent :
la cardiopathie ischémique
Défaut cardiaque congénital
maladie cérébrovasculaire
maladie artérielle périphérique
thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire
cardiopathie rhumatismale

Vous pouvez prévenir l'apparition de maladies cardiovasculaires en arrêtant de fumer, en adoptant une alimentation saine et en augmentant l'activité physique.

2. Oncologie

En raison de l'oncologie en 2008 (selon l'OMS) est décédé 7,6 millions de personnes. ce 13% de tous les morts du monde. Le plus souvent, des cancers tels que le foie, l'estomac, les glandes mammaires et le gros intestin entraînent la mort. Sur 70% les décès par cancer surviennent dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.

Sont des tumeurs malignes et des formations qui peuvent affecter n'importe quelle partie du corps. La principale cause de décès dans le cancer sont les métastases - des cellules anormales qui se développent en dehors de leurs frontières et peuvent pénétrer et se propager aux organes et parties du corps avoisinants.

L'obésité et l'indice de masse corporelle élevé, le manque de légumes et de fruits frais dans l'alimentation, le manque d'exercice, le tabagisme et la consommation d'alcool sont les principaux facteurs de risque de cancer.

3. Diabète

Actuellement, plus de 347 des millions de personnes ont été diagnostiquées. En 2004, selon l'OMS, est décédé d'une glycémie élevée 3,4 millions de personnes dans le monde. De plus, environ 80% les décès surviennent dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.

Le diabète est une maladie chronique qui se développe lorsque le pancréas ne produit pas la quantité d'insuline requise ou lorsque le corps lui-même ne peut pas gérer la production d'insuline. L'insuline est une hormone qui régule la glycémie.
Le diabète se prévient en mangeant sainement, en faisant de l'exercice régulièrement, en arrêtant de fumer et en luttant contre le surpoids.

4. Maladie pulmonaire obstructive chronique

Suite 64 des millions de personnes dans le monde souffraient de maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) en 2004. En 2005, selon l'OMS, plus de 3 millions de personnes sont mortes de BPCO. De plus, plus 90% cas surviennent dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.

La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est un trouble pulmonaire dans lequel le mouvement de l'air des poumons est altéré. La maladie est incurable, vous ne pouvez que ralentir son évolution.

La principale raison du développement de la MPOC est le tabagisme.

5. Diarrhée

Selon l'OMS, c'est l'une des principales causes de mortalité infantile. Suite 1,5 un million d'enfants dans le monde meurent chaque année de diarrhée. En règle générale, ce sont des enfants de moins de 2 ans. La diarrhée se traduit par des selles molles ou molles plus de 3 fois par jour et est un symptôme d'une infection intestinale. Dans ce cas, l'enfant meurt de déshydratation. L'infection est transmise par l'eau potable et les aliments contaminés, ou par une personne infectée si l'hygiène n'est pas respectée.

6. Tuberculose

Selon l'OMS, en 2011 infectés 8,7 millions de personnes. Mort de maladie 1,4 millions de personnes. En plus de 95% des décès sont survenus dans des pays à revenu faible ou intermédiaire.

La tuberculose est une maladie infectieuse causée par la microbactérie tuberculosis (bacille de Koch) et transmise par des gouttelettes en suspension dans l'air. La principale source d'infection est l'expectoration.

Sur 30% de la population mondiale est infectée par la bactérie de la tuberculose, mais ne tombe pas malade.

Les facteurs de risque de contracter la tuberculose sont le VIH, une immunité affaiblie, le diabète, la malnutrition et le tabagisme.

7. Hépatites B et C

L'hépatite B est une maladie infectieuse qui affecte le foie. Conduit au développement d'une maladie chronique du foie, augmente le risque de cancer et de cirrhose du foie. Le virus de l'hépatite le plus grave.

Selon l'OMS, plus de 2 milliards les gens dans le monde sont infectés par l'hépatite. De l'hépatite B, plus de 600 mille l'homme au monde.

L'hépatite C est l'un des virus les plus courants qui infectent le foie. Sur 3-4 millions chaque année, des personnes sont infectées par le virus de l'hépatotype C. Plus 350 mille une personne meurt de l'hépatite C.

L'hépatite se transmet par le sang et par contact sexuel.

8. Infection par le VIH

Selon l'OMS, au cours des 30 dernières années, plus de 25 millions personne ou plus 830 mille personne par an.
En 2011, il y avait plus de 34 millions personnes infectées. Le VIH est incurable, mais le traitement antirétroviral peut considérablement faciliter l'évolution de la maladie.

Le virus de l'immunodéficience humaine est une maladie qui affecte principalement le système immunitaire, rendant une personne vulnérable à diverses infections et à certains types de cancer. La dernière étape du VIH est le SIDA.
Le VIH se transmet par le sang, le lait maternel et les rapports sexuels.

9. Paludisme

Selon l'Organisation mondiale de la santé, en 2010 ont été infectés par le paludisme 216 millions Humain. Pour 655 mille la maladie s'est soldée par la mort.

Le taux de mortalité le plus élevé est observé en Afrique, où 1 enfant meurt du paludisme chaque minute.

Suite 80% les décès représentaient 14 pays africains, 80% malades du paludisme vivent dans 17 pays à travers le monde.

finalement

Si vous vous sauvez des maladies énumérées ci-dessus, vous avez de réelles chances de vivre longtemps.

S'il n'y a pas d'objection, la différence positive entre le montant suffisant pour soutenir cette annonce et le montant total des dons reçus sera utilisée pour aider d'autres personnes ayant besoin de la même catégorie de demandes.

"Vous ne pouvez pas être guéri, rentrez chez vous", entendent souvent les parents d'enfants en phase terminale. Les employés du service de soins palliatifs mobiles pour enfants aident à la garde des enfants

Lorsqu'un enfant reçoit un diagnostic incurable, l'enfer commence dans la famille. Dans les cliniques ordinaires, peu de pédiatres connaissent une maladie rare. Avec des symptômes sévères, souvent accompagnés de douleurs et d'arrêts respiratoires intermittents, l'enfant reste entre quatre murs avec des parents impuissants qui ne savent pas comment s'occuper de lui.

Nous aimerions vous parler un peu d'une de ces familles. Misha Kazarinov a 1 an. La famille a postulé au Service depuis plusieurs mois
il y a peu, les parents étaient perdus et ne savaient pas quoi faire ensuite. Le bébé est né très prématurément, il a de nombreux diagnostics difficiles, c'est un enfant palliatif. A un an, le garçon ne sait ni s'asseoir ni tenir sa tête, il avale très mal. Misha est né en plein
famille prospère, les parents ont aussi un enfant plus âgé. Maman et Misha ont été renvoyées à la maison et personne n'a expliqué quoi faire ensuite. Les employés du service de soins palliatifs pour enfants enseignent maintenant aux parents les règles de base pour prendre soin de Misha, en aidant à une nutrition spécialisée, le bébé a récemment commencé à prendre un peu de poids. Récemment, Misha a subi une intervention chirurgicale et un tube de gastrostomie. Maintenant, l'alimentation ne sera pas
un processus douloureux ni pour Misha, ni pour ses parents.

En 2011, au couvent Martha-Mariinsky, le service palliatif mobile pour enfants a été organisé, l'un des projets du service de secours orthodoxe Mercy. Ici, pour une famille d'enfants malades, ils font tout pour que non seulement la vie continue, mais aussi qu'elle soit heureuse. Ils enseignent les bons soins, aident à l'achat des médicaments nécessaires, des médicaments coûteux, des moyens de rééducation. Des spécialistes de la thérapie par l'exercice, des médecins spécialisés, des infirmières et des travailleurs sociaux viennent à la maison.

Aujourd'hui, le service mobile de soins palliatifs pour enfants compte 90 salles. Ce sont tous des enfants gravement malades. Les bébés ont des diagnostics différents : maladies génétiques et rares, conséquences d'accidents graves et de blessures. Il y a beaucoup d'enfants avec une intelligence entièrement préservée, il y a des enfants qui marchent ou se déplacent en fauteuil roulant jusqu'à une école ordinaire. Il y a des enfants sous ventilateurs qui comprennent tout, mais ne peuvent pas parler, ils expriment leurs émotions avec leurs yeux. Il y a des enfants dans un état complètement végétatif après des blessures et des maladies graves.

Les infirmières du service rendent visite chaque jour aux familles d'enfants gravement malades. L'infirmière fait 2-3 visites par jour. Les sœurs surveillent l'état de l'enfant, transmettent des données sur les changements aux médecins, aident également à prendre soin de l'enfant, enseignent à la mère comment prendre soin de la gastrostomie, comment nourrir correctement l'enfant par un tube et
à beaucoup d'autres choses, ils apportent également des couches, des couches, de la nourriture médicale spéciale. Une infirmière est une personne qui est le plus souvent dans la famille, elle peut réagir rapidement aux changements de l'état de l'enfant ou des parents, proposer les services d'un psychologue, discuter avec un prêtre, appeler le spécialiste nécessaire à domicile.

Le service de soins palliatifs mobiles pour enfants existe grâce aux dons de personnes bienveillantes. Une infirmière reçoit 34 483 roubles par mois. Y compris les taxes et frais obligatoires - 44 897 roubles par mois. Nous devons collecter 269 382 roubles pour aider les enfants gravement malades
dans les 2 mois. Nous espérons vraiment, les amis, pour votre aide et votre soutien!

« Une fois à l'hôpital Matrosskaya Tishina, nous avons parlé avec un homme qui avait, relativement parlant, deux ou trois mois à vivre. Il voulait mourir à la maison, mais sa peine était en appel, - a dit "Mercy.ru" Vadim Gorshenin, président de la Commission de surveillance publique (POC) de la ville de Moscou. - Si le verdict était reconnu comme légal, il serait libéré. Et s'il faisait toujours l'objet d'une enquête, il serait également libéré.»

« Il existe deux décrets gouvernementaux sur la libération des citoyens gravement malades », a-t-il expliqué. - Un décret est dédié à ceux à l'égard desquels l'enquête est menée, le second - à ceux dont le verdict est déjà entré en vigueur. Mais dans la maison d'arrêt, il y a un nombre assez important de personnes qui sont « entre » ces deux documents. S'il n'y avait qu'un seul décret qui parlait de toutes les personnes qui sont dans le système pénitentiaire, il n'y aurait probablement pas de tels problèmes. »

Une signature pour tous

Comment se déroulent les événements si une personne tombe malade en prison ? Vous devez d'abord écrire une application. Dans les institutions du Service fédéral des pénitenciers (FSIN), il existe des livres spéciaux pour l'enregistrement des demandes d'assistance médicale, rédigés sous une forme approuvée par le ministère de la Justice. Cependant, il est assez difficile de vérifier si le patient a vraiment été aidé.

« Il y a eu des cas où nous avons vérifié ces livres, et il y avait la même signature sous tous les appels », explique Vadim Gorshenin. - Il y a une colonne où les détenus doivent signer qu'ils ont reçu des soins médicaux. Mais au lieu des prisonniers dans ces livres, le docteur a signé. »

Si une dent fait mal, elle sera simplement arrachée.

« La plupart des plaintes concernent la dentisterie », dit Igor Romanov, secrétaire du PSC de la région de Pskov. - Nous avons cinq colonies dans la région. Par exemple, à Kryuki (colonie correctionnelle n° 2) il y a six mois, ils ont soumis une demande à Saint-Pétersbourg pour du matériel d'obturation, et ils attendent toujours. Par conséquent, le médecin examine simplement les dents ou les extrait. Il n'y a pas d'autre remède.

Il n'y a pas assez d'outils non plus. Auparavant, il n'y avait qu'un seul ensemble pour toute la colonie pénitentiaire.

Les prisonniers étaient pris à tour de rôle, et le médecin n'avait pas le temps de désinfecter les instruments. Beaucoup ont refusé de se faire soigner les dents après les autres. Maintenant, les dentistes ont encore deux sets. »

S'il y a hypertension, il faut le prouver.

Toutes les maladies chroniques sont aggravées en prison. « Quand une personne se retrouve en prison, c’est beaucoup de stress. Une personne ne peut pas supporter tout cela - interrogatoires, enquête, procès. Sa vie change complètement quand il y arrive, et c'est une situation traumatisante qui a un effet néfaste sur sa santé », note le prêtre doyen de l'église de l'Intercession de la Très Sainte Théotokos à la prison de Butyrka, archiprêtre. Constantin Kobelev.

Cependant, il est parfois impossible de poursuivre le traitement précédemment prescrit. « Une personne souffrant d'hypertension au troisième degré et de tout un tas d'autres maladies. Avant d'être placé en centre de détention provisoire, il a été soigné dans des cliniques privées, où il a été diagnostiqué. Mais les données de ses dossiers médicaux ne sont pas incluses dans le système général de circulation électronique des dossiers médicaux à Moscou.

Afin de confirmer sa maladie dans les cliniques publiques, il doit subir un examen complet. Ils font de telles choses dans un centre de détention provisoire, mais cela prendra beaucoup de temps et des coûts énormes.

Et une personne a besoin d'un traitement », a déclaré Vadim Gorshenin à un cas de sa pratique.

"Depuis six mois, nous soulevons la question de l'inclusion de l'unité médicale du Service fédéral pénitentiaire de Moscou dans le système électronique des dossiers médicaux", a-t-il poursuivi. Désormais, les médecins de l'unité médicale ne peuvent pas recevoir ces informations, même si le patient a été traité dans des polycliniques et des hôpitaux publics. Un extrait de l'histoire médicale n'est remis à personne sauf au patient lui-même, qui est en prison et ne peut venir le chercher.

"Ils aident leur fils, mais ils ne peuvent pas le guérir."

Toutes les maladies ne peuvent pas être traitées dans un centre de détention provisoire ou une colonie. Par exemple, en juin 2017 à Moscou à l'hôpital Botkin, l'ex-président du conseil d'administration de la banque Moscow Lights. Il avait la maladie de von Willebrand-Diane associée à la coagulation du sang, dans laquelle des préparations de plasma étaient constamment nécessaires. Il n'a jamais reçu de transfusion sanguine dans le centre de détention provisoire.

« Il n'y a pas de médecins spécialistes dans les services d'isolement, et même les médecins qui existent ne sont pas assez compétents, leur traitement ne fonctionne pas si de graves problèmes de santé surviennent. Et il n'y a toujours pas de possibilité pour eux de faire des diagnostics, il n'y a pas de matériel. Ils aident mon fils ... mais ils ne peuvent pas guérir, ce que les médecins eux-mêmes ne nient pas ", - écrit dans les commentaires sur Facebook Olga I.

"Les médecins ne vont pas dans les colonies pénitentiaires", a-t-elle déclaré dans une interview avec Miloserdiyu.ru Kira Ipatova, psychologue à l'Organisation publique caritative régionale Imena + et membre de la Commission de surveillance publique de la Chambre publique de la Fédération de Russie. - Apparemment, il n'y a pas de conditions attractives. Dans la colonie de femmes, par exemple, il y a plus de 890 filles et seulement un gynécologue à temps partiel.

L'autre colonie semble avoir tout - un cabinet dentaire, un psychiatre, un narcologue et un spécialiste des maladies infectieuses - mais il n'y a pas de thérapeute. De temps en temps, ils appellent d'autres colonies.

Supposons qu'un médecin arrive aujourd'hui, et que celui qui le puisse, il l'atteigne. Et qui n'a pas eu le temps, il attend la prochaine visite du médecin.

Bien sûr, le thérapeute en visite rédigera toutes les prescriptions et références nécessaires, mais ce n'est pas la même chose que de gérer régulièrement « ses » patients. Il ne lui faut que cinq minutes pour se familiariser avec la documentation. »

Cependant, a noté Kira Ipatova, au cours des vingt années de fonctionnement de l'Imena +, les conditions de détention des détenus se sont considérablement améliorées, et les mesures préventives sont devenues de meilleure qualité et plus régulières.

Un jour après l'opération - retour en prison

A Moscou, selon Vadim Gorshenin, les personnes arrêtées se plaignent principalement du manque de spécialistes restreints : urologues, mammologues, phlébologues. « Hier, j'ai été approché par un détenu qui attend l'aide d'un ophtalmologiste depuis le 12 mars. Je demande au chef de l'institution pourquoi l'aide n'a pas été fournie, et il répond : sur la base du premier arrivé, premier servi », a déclaré le président du POC de Moscou.

« Le personnel du Service fédéral des pénitenciers n'est pas assez important pour transporter des détenus en masse pour des examens médicaux », explique-t-il. « Une escorte est nécessaire pour escorter de tels patients. Si une personne est hospitalisée une journée ou plus, quatre escortes l'accompagnent. Cela signifie qu'ils sont retirés des étages où ils sont habituellement de service, en conséquence, l'assistance des autres détenus est retardée. »

Le manque d'accompagnateurs est l'une des raisons pour lesquelles les patients ne restent pas à la clinique après les opérations.

« Lors d'opérations complexes, les hôpitaux essaient de se débarrasser de leurs patients le plus rapidement possible, - écrit Vadim Gorshenin sur Facebook. - Et presque le lendemain, l'homme dans un chariot de riz, tout cousu et modifié, est emmené à la Matrosskaya Tishina. Et là, ils ont été renvoyés à la colonie le plus rapidement possible. Le repos au lit élémentaire n'est pas observé dans de tels cas. "

Selon lui, les femmes après l'accouchement ne passent pas plus d'une journée à l'hôpital.

Le manque de places dans les hôpitaux est une autre raison de la sortie précipitée des patients arrivés des colonies et des centres de détention provisoire.

Un appareil IRM pour toutes les colonies de la région

« Dans l'hôpital régional du nom FP Gaaza du Service pénitentiaire fédéral de Russie à Saint-Pétersbourg et dans la région de Léningrad peut traiter simultanément jusqu'à 350 personnes. Mais cela ne suffit pas pour 16 établissements pénitentiaires (colonies et centres de détention provisoire) de la région, explique Kira Ipatova. - Il se crée une file d'attente de personnes devant subir une intervention chirurgicale, un examen ou un examen médical afin d'obtenir un handicap, et recevoir une prescription de thérapie antirétrovirale.

Beaucoup d'entre eux sont dans un état grave, souffrent de plusieurs maladies chroniques, d'hépatites avancées, de tuberculose, de troubles mentaux et comportementaux dus à la drogue. Des formes sévères de VIH-SIDA sont encore rencontrées en raison du manque d'adhésion au traitement chez ces patients ».

«Bien sûr, dans les cas critiques, une personne doit être hospitalisée immédiatement. Mais, par exemple, il existe un appareil IRM pour toutes les colonies et centres de détention provisoire de la région », a déclaré Kira Ipatova.

Un homme gravement malade menotté est une réalité

Il y a encore moins de places dans les blocs spéciaux des hôpitaux de la ville destinés aux détenus. Et une visite dans une clinique "civile" sous escorte ne conduit pas toujours à un examen et à un traitement de haute qualité.

"Quand cela est fait gratuitement, la personne est amenée, mais le médecin ne la regarde même pas, écrit que son état est satisfaisant, et l'envoie", explique Olga Ai.

De plus, comme l'a montré l'incident avec Aleksey Malobrodsky, le convoi peut « se couvrir » et menotter un prisonnier gravement malade au lit.

« Ce n'est pas la première fois que j'entends dire qu'un détenu dans un hôpital est menotté à un lit.

Nous avions des rumeurs non vérifiées selon lesquelles des femmes condamnées accouchaient menottées.

J'ai honnêtement refusé d'y croire. Mais le cas de Malobrodsky a montré que c'est la réalité, "- Mikhail Fedotov.

« Le verdict équivaut à la peine de mort »

Pour une personne incarcérée dans un centre de détention provisoire, la solution pourrait être de modifier la mesure préventive pour des raisons de santé, c'est-à-dire l'assignation à résidence. Mais les tribunaux ne sont pas d'accord avec cela, se référant aux certificats reçus des unités médicales et sanitaires.

« Le service médical écrit dans tous les certificats que le patient est sous la surveillance d'un dispensaire et que l'état est satisfaisant. L'unité médicale n'écrit pas qu'il n'y a pas de médecins spécialistes, qu'ils ne peuvent pas les emmener à l'hôpital faute d'escorte, qu'ils ne peuvent pas être soignés car un hôpital spécialisé et d'autres médecins sont nécessaires », écrit Olga Ay.

En conséquence, "les gens sont amenés à un état difficile et incurable".

"Si une personne est condamnée pour une courte période, mais qu'elle souffre d'une maladie grave, elle peut mourir, la peine équivaut à la peine de mort", a-t-elle déclaré.

Le retard dans l'examen est particulièrement dangereux lorsqu'il s'agit de cancer. De l'apparition des premières plaintes d'un détenu jusqu'au diagnostic, cela peut prendre un temps tel qu'il ne sera plus possible de l'aider.

« Il n'y a pas de matériel, le détenu doit être conduit soit à l'hôpital régional, soit au centre d'oncologie, et c'est un surcoût pour l'escorte », a noté Igor Romanov.

"Si le cancer était dans le rein, mais qu'il a été retiré, alors il n'y a pas de cancer."

Si le condamné reçoit un diagnostic de cancer au dernier stade, il peut demander sa libération. Cependant, Ekaterina Nusalova, qui a reçu un diagnostic de cancer du sein de stade IV avec des métastases dans d'autres organes, s'est vu refuser ce droit en mars 2016 par le tribunal Smolninsky de Saint-Pétersbourg. Le tribunal a justifié son refus par le fait qu'il peut, mais n'est pas obligé d'appliquer l'article 81 du code pénal sur la libération des détenus gravement malades.

Pendant son séjour à l'hôpital. Gaaza, la femme n'a reçu qu'un soulagement de la douleur, car la clinique n'avait pas d'autorisation pour traiter le cancer.

Après l'appel et l'appel de l'avocat devant la Cour européenne des droits de l'homme, Yekaterina Nusalova a été libérée, mais les médecins « civils » disposant de la licence nécessaire ne pouvaient plus rien faire. Elle est décédée peu après.

Un autre sujet est l'approvisionnement en médicaments des détenus malades. « Il arrive qu'une personne diagnostiquée se retrouve dans un centre de détention provisoire, mais le médicament n'y a pas été acheté, car personne ne s'attendait à ce qu'il soit nécessaire. Jusqu'à ce que le médicament arrive, la personne peut déjà être condamnée et envoyée dans une colonie », explique Igor Romanov.

Par exemple, les personnes atteintes de diabète doivent attendre des semaines pour recevoir de l'insuline.

«De la région de Pskov, les candidatures sont envoyées à Saint-Pétersbourg, mais là-bas, elles sont examinées trop longtemps et sont satisfaites sur la base des restes. C'est-à-dire que l'insuline est nécessaire aujourd'hui et elle sera envoyée, disons, dans un mois », explique l'expert.

Le PMC de la République de Mordovie évalue différemment la situation des médicaments. « À mon avis, la fourniture de médicaments dans les établissements du Service fédéral des pénitenciers est meilleure que dans la plupart des hôpitaux civils », a déclaré à Miloserdiy.ru un membre de la commission, un médecin. Vadim Samyline... - Nous avons récemment visité LIU-21 à Barashevo, examiné tous les trous, examiné les entrepôts, étudié la documentation. Tout se déroule de manière bien plus disciplinée que « dans la vie civile ». Il y a un magnifique laboratoire, et je ne comprends pas pourquoi en dehors de LIU ils ne peuvent pas construire les mêmes. Ceux qui pensent que les LIU (établissements pénitentiaires médicaux) sont mal dotés en personnel et en équipement, devraient simplement se rendre dans un hôpital ordinaire. »

"Pendant trois semaines, il s'est assis sans poches de colostomie"

Les personnes handicapées qui se retrouvent derrière les barreaux bénéficient des moyens techniques de réadaptation prescrits par l'IPRA. « Nous avons accompagné 74 personnes handicapées, et aucune d'entre elles n'a reçu de refus de recevoir un TSW. Mais parfois, une personne doit attendre », explique Kira Ipatova.

Elle a raconté à propos de ce cas : « Un patient atteint de cancer, il a subi une opération des intestins, à cet égard, ses intestins ont été retirés et il a besoin de poches de colostomie. Il a demandé sa libération, mais le tribunal a refusé. Les sacs de colostomie sont très chers. On lui en a donné une certaine quantité, il s'en est servi, peut-être trop vite.

Pendant trois semaines, il s'est assis sans poches de colostomie. Pendant un temps, notre organisme public l'a aidé. »

"L'hépatite C progresse plus vite que le VIH"

Selon Kira Ipatova, le traitement du VIH pour les détenus est bien établi. « Il existe environ cinq schémas thérapeutiques antirétroviraux dans le système FSIN. Mais, en règle générale, en raison de la substitution des importations, ce sont des médicaments produits dans le pays et nos clients sont habitués à la variété », dit-elle. - Ils peuvent refuser les médicaments qui leur sont proposés, dire : vous voulez me ruiner. Bien qu'à Saint-Pétersbourg, un nouveau régime de traitement pour les détenus soit en cours d'élaboration par une commission médicale spéciale. Il se réunit tous les mercredis, donc les patients n'ont pas à attendre longtemps. »

Il existe également un problème tel que la dissidence liée au VIH. «Récemment, un jeune homme est venu vers nous, son bras était très douloureux. Il s'est avéré qu'il était infecté par le VIH et il a refusé le traitement. Il reçoit une injection d'antibiotique tous les jours, mais cela ne fonctionne pas, car la principale cause de la maladie est que le système immunitaire ne peut pas faire face », a déclaré Kira Ipatova.

Contrairement aux personnes vivant avec le VIH, les personnes atteintes d'hépatite C ne reçoivent pas les soins médicaux dont elles ont besoin.

« De nombreux condamnés ont l'hépatite C, elle progresse plus vite que l'infection par le VIH, entraîne une cirrhose du foie et une mort prématurée. Mais le système du Service pénitentiaire fédéral n'est pas encore en mesure d'organiser son diagnostic et son traitement, car cela coûte cher, et dans l'ensemble il n'est pas encore soigné gratuitement », a expliqué Kira Ipatova.

Panique dans un espace confiné

« Les gens qui sont dans des cellules et tombent soudainement malades ont peur. Imaginez, dans un espace confiné, ils ne savent pas ce qui leur arrive », explique Vadim Gorshenin.

Au SIZO n° 6 de Moscou, a-t-il dit, les détenus ont paniqué lorsqu'une épidémie de rougeole a commencé là-bas dans la première quinzaine de mai.

C'est une institution où les femmes sont majoritairement détenues. Certains d'entre eux sont accompagnés de jeunes enfants. En fait, l'enfant de l'un des arrêtés, qui avait été auparavant à l'hôpital pour enfants, est devenu le premier malade.

La quarantaine a été annoncée dans 16 cellules à plusieurs lits, chacune contenant généralement environ 40 détenus. Pour des raisons épidémiologiques, la ventilation était coupée dans ces cellules et la chaleur était très difficile à supporter.

Selon le POC, environ 50 personnes ont été infectées par la rougeole. La direction de la salle d'isolement n'était pas coupable de l'épidémie de la maladie, mais elle aurait dû mieux expliquer aux prisonniers et à leurs proches ce qui se passait, a déclaré Vadim Gorshenin.

Probablement, toute maladie, s'il est impossible d'obtenir de l'aide, peut provoquer la panique - du moins pour la personne malade elle-même.

référence
La Commission publique de contrôle (POC) est un organisme public régional qui contrôle le respect des droits de l'homme dans les lieux de détention.

Quand les gens pensent le plus maladies mortelles dans le monde Leurs esprits vont probablement se tourner vers les incurables à grande vitesse qui font les gros titres de temps en temps. Mais en réalité, bon nombre de ces types de maladies ne figurent pas dans le top 10. On estime que 56,4 millions de personnes sont décédées dans le monde en 2015, et 68 % d'entre elles ont été causées par des maladies à progression lente.

Il existe certaines maladies mortelles qui, à ce jour, malgré les progrès de la technologie et de la médecine, ne peuvent toujours pas être guéries et n'ont aucune chance de survie.

Au mieux de nos capacités, traiter les maladies les plus mortelles, c'est ne traiter que les symptômes du patient afin de réduire la souffrance. Beaucoup de ces maladies font partie des listes de maladies nationales et internationales car elles sont très contagieuses. Ci-dessous, nous en décrivons 25 :

Vous trouverez ci-dessous une liste des 10 maladies mortelles qui causent le plus de décès dans le monde, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

La maladie la plus mortelle au monde est la maladie coronarienne. Également appelée maladie coronarienne, la maladie coronarienne survient lorsque les vaisseaux sanguins qui irriguent le cœur se rétrécissent. Peut entraîner des douleurs thoraciques, une insuffisance cardiaque et des arythmies.

Bien que les maladies coronariennes restent la principale cause de décès, la mortalité a diminué dans de nombreux pays européens et aux États-Unis. Cela peut être lié à l'amélioration de l'éducation à la santé, à l'accès aux soins de santé et aux formes de prévention. Cependant, dans de nombreux pays en développement, le taux de mortalité par maladie coronarienne augmente. Dans cette augmentation, l'espérance de vie, les changements socio-économiques et les facteurs de risque liés au mode de vie augmentent. Inclus dans la liste des maladies les plus mortelles au monde.

Facteurs de risque et prévention des maladies coronariennes

Les facteurs de risque de coronaropathie comprennent :

• hypertension artérielle
• taux de cholestérol élevé
• fumeur
• antécédents familiaux de maladie coronarienne
• Diabète
• en surpoids

Parlez à votre médecin si vous présentez un ou plusieurs de ces facteurs de risque.

Vous pouvez prévenir les maladies coronariennes avec des médicaments et maintenir une bonne santé cardiaque. Quelques mesures que vous pouvez prendre pour réduire votre risque :

• maintenir un poids santé
• avoir une alimentation équilibrée pauvre en sodium et riche en fruits et légumes
• éviter de fumer
• consommation modérée d'alcool

Un accident vasculaire cérébral survient lorsqu'une artère de votre cerveau est obstruée ou fuit. Cela provoque la mort des cellules privées d'oxygène en quelques minutes. Pendant l'impact, vous ressentez un engourdissement et une confusion soudains, ou vous avez des difficultés à marcher et à voir. S'il n'est pas traité, un AVC peut entraîner une invalidité à long terme.

En fait, l'AVC est l'une des maladies les plus mortelles. Les personnes qui reçoivent un traitement dans les 3 heures suivant un AVC sont moins susceptibles d'avoir un handicap. Les Centers for Disease Control and Prevention rapportent que 93% des personnes savaient qu'un engourdissement soudain d'un côté était un symptôme d'un accident vasculaire cérébral. Mais seulement 38% connaissaient tous les symptômes qui les inciteraient à demander de l'aide d'urgence. Inclus dans la liste des maladies les plus mortelles au monde.

Facteurs de risque et prévention des accidents vasculaires cérébraux

Les facteurs de risque d'AVC comprennent :

• hypertension artérielle
• antécédents familiaux d'AVC
• surtout lorsqu'il est combiné avec des contraceptifs oraux
• être une femme

Plusieurs facteurs de risque d'AVC peuvent être réduits grâce à des soins préventifs, des médicaments et des changements de mode de vie. En général, de bonnes habitudes de santé peuvent réduire votre risque.

Les méthodes de prévention des accidents vasculaires cérébraux peuvent inclure le contrôle de l'hypertension artérielle avec des médicaments ou une intervention chirurgicale. Vous devez également maintenir un mode de vie sain, en plus d'une activité physique régulière et d'un régime alimentaire sain et pauvre en sodium. Évitez de fumer et de boire avec modération, car ces activités augmentent votre risque d'AVC.

Une infection des voies respiratoires inférieures est une infection des voies respiratoires et des poumons. Cela peut être dû à :

• grippe
• pneumonie
• bronchite
• tuberculose

Les virus provoquent généralement des infections des voies respiratoires inférieures. Ils peuvent également être causés par des bactéries. La toux est le principal symptôme d'une infection des voies respiratoires inférieures. Vous pouvez également ressentir un essoufflement, une respiration sifflante et une oppression thoracique. Les infections des voies respiratoires inférieures non traitées peuvent entraîner une insuffisance respiratoire et la mort. Inclus dans la liste des maladies les plus mortelles au monde. Elles font partie des maladies les plus mortelles au monde.

Facteurs de risque et prévention

Les facteurs de risque d'infection des voies respiratoires inférieures comprennent :

• grippe
• mauvaise qualité de l'air ou exposition fréquente à des irritants pulmonaires
• fumeur
• système immunitaire faible
• crèches surpeuplées qui touchent principalement les bébés
• asthme

L'une des meilleures mesures préventives que vous puissiez prendre pour réduire les infections respiratoires est de vous faire vacciner contre la grippe chaque année. Les personnes présentant un risque élevé de pneumonie peuvent également se faire vacciner. Lavez-vous régulièrement les mains à l'eau et au savon pour éviter les bactéries, surtout avant de vous toucher le visage et avant de manger. Restez à la maison et reposez-vous jusqu'à ce que vous vous sentiez mieux si vous avez une infection respiratoire et que le reste améliore la guérison.

La maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) est une maladie pulmonaire progressive à long terme qui rend la respiration difficile. La bronchite chronique et l'emphysème sont des types de MPOC. En 2004, environ 64 millions de personnes dans le monde vivaient avec la MPOC.

Facteurs de risque et prévention

Les facteurs de risque de la MPOC comprennent :

• tabagisme ou fumée secondaire
• irritants pulmonaires, tels que les vapeurs chimiques
• antécédents familiaux avec le gène AATD associé à la MPOC
• une histoire d'infections respiratoires dans l'enfance

Il n'y a pas de remède contre la MPOC, mais les médicaments peuvent ralentir sa progression. Les meilleurs moyens de prévenir la MPOC sont d'arrêter de fumer et d'éviter la fumée secondaire et les autres irritants pulmonaires. Si vous présentez des symptômes de MPOC, un traitement le plus tôt possible augmentera vos horizons.

Les cancers des voies respiratoires sont les cancers de la trachée, du larynx, des bronches et des poumons. Les principales causes sont le tabagisme, la fumée secondaire et les toxines environnementales. Mais la pollution domestique comme le carburant et les moisissures y contribue également. L'une des maladies les plus mortelles au monde.

L'impact du cancer des voies respiratoires dans le monde

Une étude de 2015 rapporte que le cancer respiratoire est responsable d'environ 4 millions de décès par an. Dans les pays en développement, 81 représente une augmentation de 100 pour cent des cancers respiratoires dus à la pollution et au tabagisme. De nombreux pays asiatiques, en particulier l'Inde, utilisent encore du charbon pour cuisiner. Comptabilisation des émissions de combustibles solides à 17 pour cent des décès par cancer du poumon chez les hommes et 22 pour cent chez les femmes.

Facteurs de risque et prévention

La trachée, les bronches et le cancer du poumon peuvent affecter n'importe qui, mais ils sont plus susceptibles d'affecter ceux qui ont des antécédents de tabagisme ou de consommation de tabac. Les autres facteurs de risque de ces cancers comprennent les antécédents familiaux et l'exposition à des facteurs environnementaux tels que les fumées de diesel.

À part éviter les fumées et les produits du tabac, on ne sait pas s'il y a autre chose qui peut être fait pour prévenir le cancer du poumon. Cependant, un diagnostic précoce peut améliorer votre apparence et réduire les symptômes du cancer des voies respiratoires.

Le diabète sucré est un groupe de maladies qui affectent la production d'insuline. Dans le diabète de type 1, le pancréas ne peut pas fabriquer d'insuline. La raison n'est pas connue. Dans le diabète de type 2, le pancréas ne produit pas suffisamment d'insuline ou l'insuline ne peut pas être utilisée efficacement. Le diabète de type 2 peut être causé par un certain nombre de facteurs, notamment une mauvaise alimentation, l'inactivité physique et le surpoids.

Les habitants des pays à revenu faible ou intermédiaire sont plus susceptibles de mourir des complications du diabète. Inclus dans la liste des maladies les plus mortelles au monde.

Facteurs de risque et prévention

Les facteurs de risque du diabète comprennent :

• en surpoids
• hypertension artérielle
• âge des personnes âgées
• pas de repas réguliers
• mauvaise habitudes alimentaires

Avec le diabète, les symptômes peuvent être contrôlés en faisant de l'exercice régulièrement et en maintenant une alimentation saine. L'ajout de fibres à votre alimentation vous aidera à contrôler votre glycémie.

Lorsque vous pensez à la maladie d'Alzheimer ou à la démence, vous pensez peut-être à une perte de mémoire, mais vous ne pensez peut-être pas à une maladie en phase terminale. La maladie d'Alzheimer est une maladie évolutive qui détruit la mémoire et interrompt les fonctions mentales normales. Ceux-ci incluent la pensée, le raisonnement et le comportement typique.

La maladie d'Alzheimer est le type de démence le plus courant - 60 à 80 pour cent des cas de démence sont essentiellement la maladie d'Alzheimer. La maladie commence par causer des problèmes de mémoire molle, ce qui rend difficile la mémorisation des informations. Avec le temps, cependant, la maladie progresse et il se peut que vous ne vous souveniez pas de longues périodes de temps. Une étude de 2014 a révélé que le nombre de décès dus à la maladie d'Alzheimer pourrait être plus élevé que celui rapporté.

Facteurs de risque et prévention

Les facteurs de risque de la maladie d'Alzheimer comprennent :

• avoir plus de 65 ans
• antécédents familiaux de la maladie
• héritage des gènes des parents en raison d'une maladie
• déficience cognitive légère existante
• Syndrome de Down
• Mode de vie malsain
• femmes
• précédents traumatismes crâniens
• être déconnecté de la communauté ou avoir une mauvaise interaction avec les autres pendant de longues périodes

Il n'existe actuellement aucun moyen de prévenir la maladie d'Alzheimer. La recherche n'est pas claire pourquoi certaines personnes le développent et d'autres non. Alors qu'ils s'efforcent de comprendre cela, ils s'efforcent également de trouver des méthodes préventives.

Une chose qui peut être utile pour réduire le risque de maladie est une alimentation saine pour le cœur. Une alimentation riche en fruits et légumes, pauvre en graisses saturées provenant de la viande et des produits laitiers, et riche en sources de graisses saines telles que les noix, l'huile d'olive et la viande de poisson peut vous aider à réduire votre risque de développer plus que des maladies cardiaques - ils peuvent protégez aussi votre cerveau de la maladie d'Alzheimer.

Déshydratation due à une maladie gastro-intestinale

La diarrhée se produit lorsque vous avez au moins trois selles molles par jour. Si la diarrhée dure plus de quelques jours, votre corps perd trop d'eau et de sel. Cela provoque une déshydratation, qui peut entraîner la mort. La diarrhée est généralement causée par un virus intestinal ou une bactérie transmise par de l'eau ou des aliments contaminés. Ceci est particulièrement fréquent dans les pays en développement où l'assainissement est médiocre.

La diarrhée est la deuxième maladie la plus mortelle chez les enfants de moins de 5 ans. Environ 760 000 enfants meurent chaque année de maladies gastro-intestinales.

Facteurs de risque et prévention

Les facteurs de risque de maladie gastro-intestinale comprennent :

• vivre dans une zone avec un mauvais assainissement
• pas d'accès à l'eau potable
• âge, les enfants sont les plus susceptibles de présenter des symptômes gastro-intestinaux graves
• malnutrition
• un système immunitaire affaibli

Selon l'UNICEF, la meilleure méthode de prévention est de pratiquer une bonne hygiène. De bonnes techniques de lavage des mains peuvent réduire de 40 % l'incidence des maladies gastro-intestinales. L'amélioration de la purification et de la qualité de l'eau, ainsi qu'une intervention médicale précoce, peuvent également aider à prévenir les maladies gastro-intestinales.

La tuberculose est une maladie pulmonaire causée par Mycobacterium tuberculosis... Elle peut être traitée, même si certaines souches sont résistantes aux traitements conventionnels. La tuberculose est l'une des principales maladies mortelles au monde chez les personnes vivant avec le VIH. Environ 35 pour cent des décès dus au VIH sont dus à la tuberculose.

Les cas de tuberculose ont diminué de 1,5 % par an depuis 2000. L'objectif est de mettre fin à la maladie d'ici 2030.

Facteurs de risque et prévention

Les facteurs de risque de tuberculose comprennent :

• Diabète
• Infection au VIH
• poids corporel inférieur
• proximité avec d'autres personnes atteintes de tuberculose
• utilisation régulière de certains médicaments, tels que les corticostéroïdes ou les médicaments qui suppriment le système immunitaire

La meilleure prévention contre la tuberculose est de se faire vacciner contre le bacille de Calmette-Guérin (BCG). Ceci est généralement donné aux enfants. Si vous pensez avoir été exposé à la tuberculose, vous pouvez commencer à prendre des médicaments pour réduire vos risques de développer la maladie.

La cirrhose est le résultat de cicatrices chroniques ou à long terme et de lésions hépatiques. Les dommages peuvent être le résultat d'une maladie rénale, ou ils peuvent être causés par des maladies telles que l'hépatite et l'alcoolisme chronique. Un foie sain filtre les substances nocives de votre sang et envoie du sang sain à votre corps. Lorsque les substances endommagent le foie, une cicatrice se forme.

À mesure que davantage de tissu cicatriciel se forme, le foie doit travailler plus fort pour fonctionner correctement. En fin de compte, le foie peut cesser de fonctionner. Inclus dans la liste des maladies les plus mortelles au monde.

Facteurs de risque et prévention

Les facteurs de risque de cirrhose comprennent :

• consommation chronique d'alcool
• accumulation de graisse autour du foie (stéatose hépatique non alcoolique)
• hépatite virale chronique

Éloignez-vous des comportements qui peuvent endommager le foie pour prévenir la cirrhose. La consommation d'alcool à long terme et l'abus d'alcool sont l'une des principales causes de cirrhose, donc éviter l'alcool peut vous aider à prévenir les dommages.

De même, vous pouvez éviter la stéatose hépatique non alcoolique en adoptant une alimentation saine riche en fruits et légumes, ainsi qu'en sucre et en graisses. Enfin, vous pouvez réduire vos chances de contracter une hépatite virale en utilisant une protection pendant les rapports sexuels et en évitant de partager tout ce qui pourrait avoir des traces de sang. Cela comprend les aiguilles, les rasoirs, les brosses à dents et plus encore.

Maladies mortelles

Alors que les maladies mortelles ont augmenté, leurs affections les plus graves ont également diminué. Plusieurs facteurs, tels que l'augmentation de l'espérance de vie, augmentent naturellement l'incidence de maladies telles que les maladies coronariennes, les accidents vasculaires cérébraux et les maladies cardiaques. Mais bon nombre des maladies de cette liste sont évitables et traitables. À mesure que la médecine continue de progresser et que l'éducation à la prévention se développe, nous pourrions assister à une baisse de la mortalité due à ces maladies.

Une bonne approche pour réduire le risque de l'une de ces conditions est de mener une vie saine avec une bonne nutrition et de l'exercice. Arrêter de fumer et boire avec modération peut également aider. Pour les infections bactériennes ou virales, un bon lavage des mains peut aider à prévenir ou à réduire le risque.

Quelles sont les maladies incurables ? Existent-ils ou s'agit-il simplement d'un niveau de médecine sous-développé ? Ce sont des questions sérieuses.

Une maladie incurable... Ces mots sonnent comme une phrase. Mais, après avoir entendu un diagnostic décevant, les parents ne devraient pas paniquer. Vous devez agir - avec compétence, conformément aux prescriptions des médecins. À propos de ce que sont les maladies incurables et existe-t-il un tel concept, en principe, quelles mesures les parents devraient-ils prendre pour les éviter?

Selon les statistiques russes, il n'y a pas de maladies incurables. Il existe une longue liste de maladies de l'enfance, parmi lesquelles (et il y en a plusieurs milliers) celles nécessitant un traitement coûteux dans des établissements médicaux spécialisés. Les maladies héréditaires sont notées séparément. Cependant, aucune maladie n'est considérée comme incurable. Les médecins, à leur tour, sont convaincus que même les maladies les plus graves, avec un diagnostic rapide et la bonne approche, peuvent être traitées.

Tumeur maligne
Il existe des maladies caractérisées par des formations malignes, le terme "cancer" est populaire parmi la population. Il ne fait plus partie des incurables depuis longtemps. Avec un diagnostic rapide et la fourniture d'un protocole de traitement standard moderne, nous obtenons un succès sérieux, comparable à celui des cliniques étrangères bien connues. En même temps, on ne peut pas dire que l'on puisse guérir le cancer du sang, par exemple, dans 100 % des cas. Dans le cas de la maladie, tout est individuel : il est impossible de dire à l'avance comment le corps se comportera, comment il réagira aux médicaments les plus puissants utilisés dans le traitement. La survenue de situations pathologiques, que nous appelons complications, affecte également l'évolution de la maladie. Mais cela ne veut pas dire qu'il faille parler de ces maladies comme incurables.

Diabète
Il n'y a aucune preuve scientifique ou pratique que cette maladie soit curable pour le moment. Mais avec l'aide de médicaments modernes, de méthodes de maintien d'un état stable du corps, nous pouvons maximiser la vie d'un enfant. Avec la bonne thérapie, un patient diagnostiqué diabétique peut mener une vie normale : il peut faire des études, fonder une famille, faire du sport, travailler et se reposer.

Maladie du rein
Il s'agit d'une conséquence d'une maladie rénale congénitale ou d'une conséquence de maladies inflammatoires infectieuses des voies urinaires, qui entraînent de graves lésions du tissu rénal. Les reins sont incapables d'éliminer les déchets accumulés par l'organisme, et la question de la transplantation d'organes se pose. Dans ce cas, l'amélioration du fonctionnement des reins est associée à la procédure d'hémodialyse. Il existe également une procédure appelée dialyse péritonéale. Il est également disponible à la maison. Et la méthode décisive en cas d'insuffisance rénale aiguë est la transplantation d'organes.

Maladie du foie
Les maladies du foie peuvent également être à la fois congénitales et acquises. Le foie est un organe particulièrement important pour le corps de l'enfant. Et si les reins sont un organe apparié, alors il n'y a qu'un seul foie et aucun autre organe du corps ne peut remplir ses fonctions. En Russie, des opérations de transplantation hépatique sont menées avec succès au V.I. L'académicien V.I.Shumakov. Le plus souvent, une partie du foie est prélevée sur des proches et transplantée à l'enfant.

Poids de naissance extrêmement faible chez les nouveau-nés
Ceci est un sérieux problème. Maintenant, notre pays est passé à l'enregistrement définitif des enfants nés avec un poids corporel extrêmement faible. Avec une période de grossesse de 22 à 23 semaines, les enfants naissent avec un poids corporel de 500 à 550 g. Ce sont des cas très difficiles à la fois pour la prévention des complications et pour les soins - un équipement et des médicaments spéciaux sont nécessaires. Mais les médecins parviennent à sauver la vie de ces enfants.

sida
La maladie est considérée comme incurable. Mais il existe de nombreux exemples où un diagnostic et un traitement opportuns peuvent soutenir le corps du patient pendant longtemps. Souvenez-vous du célèbre basketteur américain Magic Johnson : il vit avec ce diagnostic, mène la vie d'une personne normale en bonne santé, ramasse parfois même un ballon de basket.

Infections
Les médias diffusent activement des données sur les terribles infections qui « attaquent » la société moderne (grippe porcine et aviaire, par exemple). Cependant, si une infection "dépasse" certaines personnes, cela ne signifie pas qu'elle est mortelle pour tout le monde. Dans de tels cas, tout est individuel : il est évident qu'il y avait des circonstances qui ont empêché l'obtention d'un résultat positif dans le traitement de ces patients. Vous ne pouvez pas vous soumettre à la panique et vivre dans la peur. Les réalisations de la médecine moderne permettent de faire face à de nombreuses maladies, l'essentiel est de les diagnostiquer à temps.

Maladies acquises courantes
Pour protéger l'enfant de la maladie, vous devez commencer par la couche. Par exemple, les conditions d'émergence et de développement de maladies du tractus gastro-intestinal sont créées dès les premiers mois de la vie d'un enfant. Et tout commence par une violation de l'alimentation. Les statistiques disent : pas plus de 30 % des enfants sont allaités. Et si vous demandez aux mères allaitantes, il s'avère que les aliments complémentaires, bien qu'en petites quantités, ont été introduits dans l'alimentation de l'enfant dès son plus jeune âge. La principale raison de l'obésité future, des maladies du tractus gastro-intestinal (ulcères, gastrite, etc.) est une mauvaise alimentation dès la petite enfance.

Que faire?
Pour éviter les maladies acquises, il est nécessaire de faire de la prévention.
Par ailleurs, il faut entendre par prévention non seulement les mesures médicales directes et le respect des précautions, mais aussi une bonne éducation et inculquer les habitudes nécessaires (se laver les mains avant de manger, par exemple). Examinons les points principaux plus en détail.

Durcissement
Il est possible et nécessaire de tempérer votre enfant dès la petite enfance. N'enveloppez pas votre enfant. Habillez-le pour la météo. Si vous agissez selon le principe "les paires d'os ne font pas mal", le bébé attrapera un rhume de n'importe quel courant d'air, même le plus inoffensif. Il existe des méthodes de durcissement éprouvées qui sont utilisées avec succès dans les pays européens. Notre système de durcissement fonctionne d'une manière particulière. On n'apprend pas à un enfant à avoir froid. Nous le protégeons du froid. Barboteuses, chaussettes en laine, manteaux de fourrure... Si vous regardez notre enfant dans un hiver ordinaire et pas rude, le nombre de couches de vêtements atteint cinq ou six. Regardez les enfants à l'étranger. Ils sont habillés complètement différemment. L'enfant doit être résistant aussi bien au froid qu'à la chaleur. Il ne devrait pas subir le stress des changements soudains de temps. L'essentiel est de préparer, pas de conserver.

Vaccinations préventives
L'efficacité des vaccinations prouve la nécessité d'élargir le calendrier vaccinal national. Dans notre société, il existe une opinion selon laquelle la vaccination de masse est nocive. Loin de là. Le monde entier a obtenu depuis longtemps des résultats remarquables dans la lutte contre les maladies évitables par la vaccination.
Aujourd'hui, en Russie, il existe de bonnes statistiques sur dix maladies. Par exemple, nous avons éliminé la variole (le monde entier l'a fait il y a trente ans). En 2002, nous avons reçu le certificat d'éradication de la poliomyélite dans le pays. Maintenant dans le pays, seuls quelques cas de rougeole sont enregistrés, et il s'agit d'une maladie grave et massive. Nous commençons à faire face à l'hépatite B - maintenant les nouveau-nés sont vaccinés. Les statistiques des maladies des oreillons sont en baisse, et cette maladie est très difficile, avec de nombreuses complications tant chez les enfants que chez les adultes. Nous luttons contre la tuberculose avec des vaccinations. Il convient de noter que la vaccination n'élimine pas complètement le risque de la maladie, mais seulement ses cas graves. L'Union des Pédiatres se donne pour mission d'étendre le calendrier national de vaccination.

L'éducation est la base des fondations
Le stress à l'école ne permet pas à l'enfant de consacrer beaucoup de temps à l'éducation physique. En plus de l'apprentissage, les ordinateurs et Internet attirent également l'attention des enfants d'aujourd'hui. Et le manque d'activité physique nécessaire n'affecte pas de la meilleure des manières la condition physique de l'enfant.
Les parents doivent créer les conditions dans lesquelles il pourrait combiner l'éducation à l'école, le sport et l'éducation complémentaire. La tâche des parents est d'attirer l'enfant vers l'activité ; pour qu'il ne passe pas de soirées devant l'ordinateur après une journée bien remplie à l'école. Ceci est important non seulement pour sa santé physique, mais aussi pour le maintien de la stabilité émotionnelle, le développement de sa personnalité.

Il n'est pas nécessaire de forcer l'enfant à faire des exercices. Pour qu'un enfant aime bouger, il faut lui donner le bon exemple, et pour cela il faudra aimer le sport vous-même. Faites du ski une tradition en hiver, allez à la piscine avec toute la famille le week-end, faites de la gymnastique le matin (que chacun montre à tour de rôle les mouvements aux autres), inventez vos propres jeux de sport - en un mot, faites de l'exercice avec plaisir , et le corps vous remerciera pleinement.