Le degré de limitation de la capacité de travail des personnes handicapées. L'entreprise envisage d'embaucher une personne handicapée (OV Sventikhovskaya). Documents d'invalidité

Une personne handicapée est une personne qui présente des troubles fonctionnels persistants du corps. Les troubles de santé limitent d'une manière ou d'une autre la vie de leur propriétaire, de sorte qu'il est reconnu comme ayant besoin d'une protection sociale de la part de l'État.

Comme l'une des manifestations de la protection, les experts attribuent des quotas à l'employeur, ce qui signifie que l'employeur est obligé de créer ou d'attribuer un emploi existant à une personne ayant un troisième groupe de handicaps.

Base législative de la question

Les quotas d'emplois sont réglementés par la loi fédérale n° 181 et leur nombre minimum de personnes handicapées est fixé par la Cour suprême dans la définition n° 92-G11-1. Dans le même temps, afin de confirmer la catégorie d'incapacité de travail, selon l'arrêté du ministère de la Santé, une personne handicapée doit fournir un certificat du formulaire approuvé.

Vous devez également vous concentrer sur l'IPR (), dont le développement est basé sur l'ordonnance n ° 379n du ministère du Développement social de la Fédération de Russie. Cette norme contient des informations sur les critères de restriction du travail pour le groupe 3.

Étant donné que le concept même de handicap, ainsi que la division en groupes (dans ce cas, nous parlons du troisième) ne donne pas une idée concrète des capacités d'une personne handicapée, le rôle clé sera joué par le degré des limitations, c'est-à-dire leur gravité et leur impact sur les performances, l'exécution des tâches fonctionnelles.

Ce n'est qu'après avoir pris connaissance du DPI du demandeur que l'employeur pourra prendre une décision concernant la coopération avec une personne handicapée.

Indicateurs des limitations fonctionnelles d'une personne handicapée

Les limitations de la capacité d'une personne handicapée du groupe 3 à travailler peuvent être divisées en plusieurs types. La base de ceci est les différentes caractéristiques d'entrée. Selon la catégorie attribuée, le niveau de complexité des activités exercées par l'employé handicapé sera différent.

La réglementation existante dans un sujet donné est classée comme suit:

1er degré... Une personne handicapée du 3ème groupe est capable d'effectuer les tâches assignées avec les indicateurs habituels dans le contexte d'une réduction des exigences de tension, de sévérité et de qualification, ou une réduction du volume des tâches. Cela inclut également la possibilité de travailler dans la direction professionnelle principale, tout en conservant un emploi normal et des compétences pour effectuer le processus de qualifications inférieures.

2ème degré... Dans ce cas, cela signifie des activités dans des conditions spécialement créées, où une personne handicapée est capable d'effectuer des tâches, etc. L'aide de tiers ou l'utilisation d'équipements techniques n'est pas exclue.

3e année... Nous parlons ici de l'incapacité d'une personne handicapée à travailler ou de contre-indications à la réalisation d'activités dans n'importe quelle direction. Dans d'autres cas, avec le diplôme spécifié, il est possible d'effectuer certains types de travaux avec l'aide d'autres personnes.

Lesquels des handicapés du groupe 3 peuvent être recrutés ?

La description des diplômes présentée ci-dessus précise que telle ou telle activité est à la portée des personnes handicapées du groupe 3 de 1 ou 2 degrés. Encore une fois, l'employeur doit tenir compte de l'IPR, qui contient des mesures pour la réadaptation professionnelle d'une personne handicapée. Le site de production doit se conformer aux recommandations spécifiées.

Quant aux restrictions du 3e degré les plus difficiles, malgré le fait que le candidat souffre d'un état grave, l'employeur a le droit de l'emmener à un poste convenable. L'emploi de ces personnes handicapées n'est exclu que lorsqu'il existe une impossibilité totale de travailler.

Ce fait est nécessairement indiqué au paragraphe 6 de l'IPR, c'est-à-dire qu'une invalidité complète se traduit par des mots, car une simple indication du degré ne suffit pas. S'il n'y a pas une telle phrase, de plus, la personne handicapée a écrit un refus du programme de réadaptation et des mesures en volume partiel ou complet, le 3e degré n'est pas un obstacle à l'obtention d'un emploi.

Non responsable de la mise en œuvre des recommandations individuelles d'un employé handicapé ;

Prive une personne handicapée du droit de percevoir une indemnisation à hauteur du coût des mesures de réadaptation dispensées gratuitement.

Mais en cas de risque élevé de complications chez une personne du groupe 3, malgré le refus de l'IPR, des conditions particulières peuvent être créées pour lui et des mesures pour restreindre le travail.

Prestations sociales pour les travailleurs handicapés de 3 groupes

Le rapport médical obtenu lors de l'affectation du groupe à l'ITU indique des données concernant la fonctionnalité individuelle. Cette information doit être prise en compte dans l'organisation où travaille la personne handicapée.

Plus précisément, les experts ont identifié les avantages suivants:

Maintenir le même paiement qu'avec la pleine production, bien qu'en fait sa période soit plus courte;

Réduction de la journée ou de la semaine de travail, si elle est indiquée dans le certificat médical ;

Possibilité de ne pas faire d'heures supplémentaires ou le week-end, si une personne handicapée du 3ème groupe n'a pas donné son accord écrit et qu'il n'y a pas d'interdiction claire dans la conclusion ;

Embauche sans période d'essai;

La présence de types de travaux interdits au groupe 3 (c'est-à-dire que l'employeur ne peut impliquer une personne handicapée dans des activités non précisées dans la liste élaborée par le Code du travail) ;

30 jours de vacances (par rapport aux gens ordinaires, c'est plus pour quelques jours) et la possibilité de prendre à leurs frais des vacances de 60 jours au cours de l'année, et les liquidateurs handicapés de Tchernobyl ont chaque année le droit de se reposer 14 jours supplémentaires jours avec indemnité de vacances ;

Si nécessaire, vous pouvez vous occuper du rétablissement de la santé dans le cadre du quart de travail, si cela est prescrit dans le DPI.

Conditions de travail des personnes handicapées du 3ème groupe

Les quotas et les conditions dans lesquelles une personne handicapée travaillera dépendent directement du degré de restrictions.

1er degré signifie que l'emploi de la personne handicapée est faisable en termes d'indicateurs de performance standard. C'est-à-dire que l'employeur admet le subordonné à la production ordinaire et le lieu où travaillent des employés en bonne santé. Mais le niveau de compétence peut diminuer, ou le volume de productivité demandé peut diminuer (par exemple, une personne handicapée effectue la même tâche un peu plus lentement qu'un employé ordinaire). En d'autres termes, les activités sont souvent facilitées.

2ème degré implique la mise en œuvre du processus de travail dans des conditions spécialement créées, lors de l'embauche d'une personne handicapée est possible avec quelques réserves:

Un candidat handicapé n'est pas contre-indiqué dans les travaux pénibles ou dangereux (classe de risque 1 ou 2) dans un mode d'horaires réduits ;

Les fonctions professionnellement significatives ont été partiellement préservées, ou il y a une possibilité de les compenser grâce à l'implication des assistants, l'adaptation du processus technologique, l'utilisation de moyens techniques et de mécanismes ergonomiques.

Le cas échéant, l'employeur dans ce cas:

Réduit le nombre d'heures de travail ;

Garantit des taux de production préférentiels ;

équipe spécialement le site de production;

Vous permet de prendre plus de pauses pendant le travail;

Approuve l'exécution totale ou partielle des tâches à domicile ;

Crée des critères de production acceptables et optimaux pour une personne handicapée.

Bien entendu, il n'est pas toujours nécessaire de mettre en œuvre les activités énumérées en 2e année. L'employeur doit tenir compte des caractéristiques individuelles, des déficiences et de la gravité du problème.

Quoi qu'il en soit, des recommandations sur l'admissibilité des conditions de travail sont indiquées dans la section « Mesures de réadaptation professionnelle ». Les informations de la section "Recommandations sur les conditions et les types de travail contre-indiqués et accessibles" de l'article 224 du Code du travail de la Fédération de Russie seront utiles.

3e année parle du travail d'une personne handicapée, sous réserve de l'aide prédominante d'autres personnes, surtout si les handicaps ne l'empêchent pas de faire quelque chose d'utile et que l'emploi n'est pas contre-indiqué. L'employeur peut coopérer avec une telle personne, en s'appuyant sur les conditions prévues au contrat conclu entre elles.

Notez que dans le cas de l'attribution à une personne handicapée du statut d'incapacité de travail avec localisation des possibilités réalisables d'une certaine catégorie, les documents indiquent la cause première de la perte de santé, Par example:

Accident du travail;

Handicap dès l'enfance;

Maladie générale ou professionnelle ;

Une maladie qui s'est développée pendant le service militaire;

Une maladie résultant de la catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl ;

Influence d'autres motifs prévus par la loi.

Il convient de considérer encore une chose : le groupe 3 peut être donné sans spécifier les indicateurs de la réglementation des caractéristiques du travail. Par la suite, l'UIT attribue des niveaux de performance - 0 ou I.

De nombreux experts voient la perspective du marché du travail chez les personnes handicapées, d'autant plus que leur nombre augmente chaque année. Et cela indique la nécessité de créer et de maintenir des normes conçues pour inciter les citoyens handicapés à travailler.

Souvent, après une longue maladie ou à la suite d'un accident, une personne souffre d'un trouble de santé permanent. Dans de tels cas, il est affecté et l'État verse à l'esprit un avantage social.

En fonction de l'ampleur de la perte de capacité de travail d'une personne, on peut lui attribuer trois groupes de handicap, chacun ayant plusieurs degrés. Dans cet article, nous examinerons le deuxième groupe de handicaps.

2 groupe de handicaps - travail

La législation ne prescrit pas clairement en présence de quelles maladies ou troubles de santé le deuxième groupe est établi. Au moment de décider de l'attribution d'un groupe de handicap, il sera guidé par les données suivantes :

si une personne peut se servir elle-même ou a besoin de l'aide de tiers ;
dans quelle mesure la personne prétendant recevoir le groupe est psychologiquement adéquate, que cela représente un certain danger pour la société ou pour elle-même ;
le degré d'invalidité, en tenant compte du travail que la personne a effectué antérieurement et de sa capacité à effectuer ce travail à l'heure actuelle;
le degré de blessure physique, si le groupe est établi en relation avec la perte d'un membre.

Actuellement, tous ces critères sont donnés dans l'arrêté du ministère du travail 1024n du 17/12/2015. Selon lui, une personne peut être affectée si elle présente des troubles modérés dans tous les signes ci-dessus.

Le deuxième groupe d'invalidité est établi, en règle générale, pour un an et pour le prolonger, il est nécessaire de subir un réexamen chaque année, qui détermine si les troubles de santé et d'invalidité pour lesquels elle a été affectée subsistent. Sur la base des résultats de l'évaluation de la commission, le groupe peut être enregistré ou annulé.

Sur la procédure de constitution d'un groupe handicap - dans la vidéo :

Degrés d'invalidité pour le deuxième degré d'invalidité

En plus de l'attribution du groupe de handicap le plus spécifique, le degré de handicap est également établi. Comme les groupes de personnes handicapées, il y en a trois :

Le premier degré d'invalidité est le plus facile. La personne à laquelle il a été affecté n'a pratiquement aucune restriction sur le choix du travail, à l'exception des conditions difficiles, nuisibles et dangereuses.
Le second degré impose déjà de grandes restrictions. Une telle personne a besoin soit d'un lieu de travail spécialement organisé, soit de conditions de travail spéciales. Le choix des emplois et leur durée sont également limités.
Le troisième degré d'invalidité est le plus sévère et implique qu'une personne ne peut pas travailler. C'est-à-dire que l'employeur n'a pas le droit d'embaucher un tel employé, même avec son consentement.

Parfois, dans le certificat d'invalidité, dans la colonne du degré d'invalidité, une note peut être inscrite: "n'a pas", cela signifie qu'une telle personne n'a pratiquement aucun handicap, mais il reste encore à établir que ne pas contredire la carte individuelle de réadaptation du patient. De plus, une telle personne handicapée conserve tous les avantages prévus par la législation du travail.

Carte de réadaptation pour personne handicapée

2 groupe de handicaps - ce sont les personnes handicapées

Lors de l'attribution d'un handicap, en plus d'un certificat le confirmant, une personne ayant reçu un handicap se voit délivrer une carte de réadaptation appelée : un programme de réadaptation individuel.

Lorsqu'elle postule à un emploi, une personne handicapée est obligée de fournir un extrait de la carte ou une copie de celle-ci à l'employeur, afin que ce dernier puisse créer des conditions optimales pour le travail de la personne handicapée et ne viole pas la législation du travail.

Travail et avantages pour une personne handicapée du deuxième groupe

Sur la base de ce qui précède, nous pouvons conclure que la présence du deuxième groupe de handicaps n'est pas une contre-indication à travailler avec des restrictions mineures. Une personne salariée handicapée ne peut être embauchée que pour un poste dont le travail ne contredit pas les indications de la carte individuelle de réadaptation.

Des restrictions sont généralement imposées sur la durée du travail, l'intensité et la complexité du travail effectué, l'heure et le lieu du travail effectué. Quelles que soient les restrictions prévues ou non dans la carte de réadaptation, les personnes handicapées ont droit, ce qui est établi par la loi fédérale n° 181. Prestations prévues par la loi :

la semaine de travail d'une personne handicapée ne peut excéder 35 heures par semaine, tout en maintenant son plein salaire ;
les personnes handicapées ne devraient pas être impliquées dans des heures supplémentaires, même avec leur consentement écrit;
pour les travailleurs handicapés est prolongée de deux jours calendaires ;
en outre, l'employeur est tenu d'assurer aux personnes handicapées, à leur demande et à leurs frais, la préservation du lieu de travail jusqu'à 60 jours calendaires. La durée de ce congé doit être convenue indépendamment entre le salarié et l'employeur.

Ainsi, la législation protège les citoyens handicapés, mais crée des difficultés supplémentaires pour les employeurs. Et ces derniers essaient par tous les moyens d'échapper à l'embauche de tels travailleurs.

Quotas d'emploi pour les personnes handicapées

Refuser d'embaucher une personne à cause de son handicap n'a pas le droit !

Afin d'offrir des emplois aux personnes handicapées, une loi sur les quotas d'emploi a été adoptée.

Selon laquelle, les organisations dont le nombre est spécifié dans la législation doivent établir le nombre d'emplois pour les personnes handicapées. Ce nombre est défini en pourcentage de l'effectif moyen de tous les employés.

Actuellement, cette loi est contrôlée par les organismes d'emploi de la population. Afin de savoir combien de méthamphétamines doivent être allouées aux personnes handicapées, vous devez vous y rendre. Mais il vaut la peine d'étudier attentivement la loi elle-même.

En particulier, il dit que du nombre moyen d'employés, à partir duquel le nombre d'emplois est considéré, il est possible d'exclure ceux pour lesquels, à la suite d'une évaluation spéciale du travail, des conditions de travail difficiles, nuisibles et dangereuses ont été établies .

Responsabilité pour dissimulation de la présence d'un handicap

Étant donné que les employeurs sont réticents à conclure des contrats de travail avec des personnes handicapées, ainsi que dans le cadre d'une liste plutôt limitée de types de travail que les personnes handicapées sont autorisées à effectuer, très souvent une personne ne fournit pas à un employeur potentiel d'informations sur la présence d'un handicap.

Qui est responsable de cela?

Les personnes handicapées doivent se sentir soutenues par l'État !

Selon le Code du travail de la Fédération de Russie, un certificat d'invalidité n'est pas inclus dans la liste des certificats obligatoires fournis lors de la candidature à un emploi. Par conséquent, si l'employé ne présente pas de signes extérieurs indiquant qu'il est handicapé, il peut réussir à cacher cette information à l'employeur, mais en même temps, il perd donc tout le monde.

Si l'employeur n'est pas correctement informé, il ne supporte pas non plus un tel employé. Mais il peut y avoir des nuances ici.

Si le poste prévoit le passage d'une commission médicale, alors il est impératif d'envoyer le salarié la passer, sinon, si un accident survient et en l'absence de certificat médical il s'avère que le salarié, en plus, avait un handicap, cela peut avoir des conséquences graves pour l'employeur.

Immatriculation N 6998

Conformément au paragraphe 2 du décret du gouvernement de la Fédération de Russie du 13 août 1996 N 965 "Sur la procédure de reconnaissance des citoyens comme handicapés" (Législation collective de la Fédération de Russie, 1996, N 34, Art. 4127; 2005 , N 7, article 560) Je commande:

Approuver, en accord avec le ministère de l'Éducation et des Sciences de la Fédération de Russie et le ministère des Finances de la Fédération de Russie, les classifications et les critères utilisés dans la mise en œuvre de l'expertise médicale et sociale des citoyens par les institutions fédérales d'expertise médicale et sociale , conformément à l'annexe.

Ministre M. Zurabov

appendice

Classifications et critères utilisés dans la mise en œuvre de l'examen médical et social des citoyens par les institutions de l'État fédéral d'examen médical et social

I. Dispositions générales

1. Les classifications utilisées dans la mise en œuvre de l'examen médical et social des citoyens par les institutions fédérales d'examen médical et social déterminent les principaux types de violations des fonctions du corps humain causées par des maladies, les conséquences de blessures ou de défauts, et la degré de leur gravité; les principales catégories de vie humaine et la gravité des limites de ces catégories.

2. Les critères utilisés dans la mise en œuvre de l'examen médico-social des citoyens par les institutions fédérales d'examen médico-social déterminent les conditions d'établissement du degré de restriction de la capacité de travail et des groupes de handicaps (catégorie « enfant handicapé »).

II. Classification des principaux types de troubles des fonctions du corps et de leur degré de gravité

3. Les principaux types de dysfonctionnements du corps humain comprennent :

troubles des fonctions mentales (perception, attention, mémoire, pensée, intellect, émotions, volonté, conscience, comportement, fonctions psychomotrices);

violations des fonctions du langage et de la parole (violations de la parole (rhinolalia, dysarthrie, bégaiement, alalia, aphasie) et de l'écriture (dysgraphie, dyslexie), parole verbale et non verbale, altération de la formation de la voix, etc.);

violations des fonctions sensorielles (vision, audition, odorat, toucher, toucher, douleur, température et autres types de sensibilité);

violations des fonctions statodynamiques (fonctions motrices de la tête, du tronc, des membres, statique, coordination des mouvements);

dysfonctionnements de la circulation sanguine, de la respiration, de la digestion, de l'excrétion, de l'hématopoïèse, du métabolisme et de l'énergie, de la sécrétion interne, de l'immunité ;

troubles causés par une déformation physique (déformations du visage, de la tête, du tronc, des membres, entraînant une déformation externe, ouvertures anormales des voies digestives, urinaires, respiratoires, taille anormale du corps).

4. Avec une évaluation complète de divers indicateurs caractérisant les troubles persistants des fonctions du corps humain, on distingue quatre degrés de gravité:

1 degré - violations mineures,

2 degré - violations modérées,

3 degré - violations graves,

4 degrés - violations significativement prononcées.

III. Classification des principales catégories de vie humaine et gravité des limites de ces catégories

capacité de libre-service ;

la capacité de se déplacer de façon autonome;

capacité d'orientation;

capacité à communiquer;

la capacité de contrôler votre comportement ;

capacité d'apprendre;

Capacité de travail.

6. Avec une évaluation complète de divers indicateurs caractérisant les limites des principales catégories de la vie humaine, on distingue 3 degrés de leur gravité :

a) la capacité de libre-service - la capacité d'une personne à répondre de manière autonome à ses besoins physiologiques de base, à effectuer les activités ménagères quotidiennes, y compris les compétences en matière d'hygiène personnelle :

1 degré - la capacité de libre-service avec un investissement de temps plus long, une fragmentation de sa mise en œuvre, une réduction de volume, avec l'utilisation, si nécessaire, de moyens techniques auxiliaires;

2 degré - la capacité de libre-service avec l'aide partielle régulière d'autres personnes utilisant, si nécessaire, des moyens techniques auxiliaires;

3 degré - incapacité au libre-service, besoin d'une aide extérieure constante et dépendance totale vis-à-vis des autres;

b) la capacité de se déplacer de manière indépendante - la capacité de se déplacer de manière indépendante dans l'espace, de maintenir l'équilibre du corps lors des déplacements, au repos et en changeant de position du corps, d'utiliser les transports en commun :

1 degré - la capacité de se déplacer de manière autonome avec un investissement de temps plus long, une granularité d'exécution et une réduction de la distance, en utilisant, si nécessaire, des moyens techniques auxiliaires;

2 degré - la capacité de se déplacer de manière autonome avec l'aide partielle régulière d'autres personnes en utilisant, si nécessaire, des moyens techniques auxiliaires;

3 degré - incapacité à se déplacer de manière indépendante et besoin de l'aide constante des autres;

c) la capacité d'orientation - la capacité de percevoir correctement l'environnement, d'évaluer la situation, la capacité de déterminer l'heure et le lieu :

1 degré - la capacité de s'orienter uniquement dans une situation familière de manière indépendante et (ou) à l'aide de moyens techniques auxiliaires;

2 degré - la capacité de s'orienter avec l'aide partielle régulière d'autres personnes en utilisant, si nécessaire, des moyens techniques auxiliaires;

3 degré - incapacité à s'orienter (désorientation) et besoin constant d'aide et (ou) de supervision des autres;

d) la capacité de communiquer - la capacité d'établir des contacts entre les personnes par la perception, le traitement et la transmission d'informations :

1 degré - la capacité de communiquer avec une diminution du taux et du volume de réception et de transmission d'informations; en utilisant, si nécessaire, des moyens techniques auxiliaires d'assistance ;

2 degré - la capacité de communiquer avec l'aide partielle régulière d'autres personnes en utilisant, si nécessaire, des moyens techniques auxiliaires;

3 degré - incapacité à communiquer et besoin constant de l'aide des autres;

e) la capacité de contrôler son comportement - la capacité à la conscience de soi et à un comportement adéquat, en tenant compte des normes socio-juridiques et morales-éthiques :

1 degré - limitation périodique de la capacité de contrôler son comportement dans des situations de vie difficiles et (ou) difficulté constante à remplir des fonctions de rôle affectant certains domaines de la vie, avec possibilité d'autocorrection partielle;

2 degré - une diminution constante de la critique de son propre comportement et de l'environnement avec possibilité de correction partielle uniquement avec l'aide régulière des autres;

3 degré - incapacité à contrôler son propre comportement, impossibilité de le corriger, besoin constant d'aide (supervision) d'autres personnes;

f) la capacité d'apprendre - la capacité de percevoir, de mémoriser, d'assimiler et de reproduire des connaissances (enseignement général, professionnel, etc.), de maîtriser des compétences et des capacités (professionnelles, sociales, culturelles, quotidiennes) :

1 degré - la capacité d'apprendre, ainsi que d'obtenir une éducation d'un certain niveau dans le cadre des normes éducatives de l'État dans les établissements d'enseignement à usage général utilisant des méthodes d'enseignement spéciales, un régime de formation spécial, avec l'utilisation de moyens techniques auxiliaires et technologies, si nécessaire;

2e degré - la capacité d'apprendre uniquement dans des établissements d'enseignement (correctionnels) spéciaux pour étudiants, élèves ayant une déficience intellectuelle ou à domicile selon des programmes spéciaux en utilisant, si nécessaire, des moyens techniques et des technologies auxiliaires ;

3e année - trouble d'apprentissage ;

g) la capacité de travailler - la capacité d'effectuer des travaux conformément aux exigences relatives au contenu, au volume, à la qualité et aux conditions de travail :

1 degré - la capacité d'effectuer des activités de travail dans des conditions de travail normales avec une diminution des qualifications, de la gravité, de la tension et (ou) une diminution du volume de travail, l'incapacité de continuer à travailler dans la profession principale tout en maintenant la capacité d'effectuer des activités de travail de qualification inférieure dans des conditions de travail normales;

2 degré - la capacité d'effectuer des activités de travail dans des conditions de travail spécialement créées, en utilisant des moyens techniques auxiliaires et (ou) avec l'aide d'autres personnes;

3 degré - incapacité de travailler ou impossibilité (contre-indication) de travailler.

7. Le degré de limitation des principales catégories de la vie humaine est déterminé sur la base de l'évaluation de leur écart par rapport à la norme, correspondant à une certaine période (âge) du développement biologique humain.

IV. Critères d'établissement du degré de restriction de l'aptitude au travail

8. La capacité de travailler comprend :

la capacité d'une personne à reproduire des connaissances, des compétences et des capacités professionnelles particulières sous la forme d'un travail productif et efficace ;

la capacité d'une personne à effectuer des activités de travail sur un lieu de travail qui ne nécessite pas de modifications des conditions de travail sanitaires et hygiéniques, des mesures supplémentaires pour l'organisation du travail, des équipements et équipements spéciaux, des quarts de travail, du rythme, du volume et de la gravité du travail ;

la capacité d'une personne à interagir avec d'autres personnes dans les relations sociales et professionnelles ;

capacité à motiver le travail;

la capacité de se conformer à l'horaire de travail;

la capacité d'organiser la journée de travail (organisation du processus de travail dans une séquence temporelle).

9. L'évaluation des indicateurs de l'aptitude au travail est effectuée en tenant compte des connaissances, compétences et aptitudes professionnelles existantes.

10. Le critère pour établir le 1er degré de restriction de la capacité de travail est un trouble de santé avec un trouble persistant modérément sévère des fonctions corporelles causé par des maladies, des conséquences de blessures ou des défauts, entraînant une diminution des qualifications, du volume, de la gravité et l'intensité du travail effectué, l'incapacité de continuer à travailler dans la profession principale avec la possibilité d'effectuer d'autres types de travaux de qualification inférieure dans des conditions de travail normales dans les cas suivants :

lors de l'exécution d'un travail dans des conditions de travail normales dans la profession principale avec une diminution du volume d'activité de production d'au moins 2 fois, une diminution de la gravité du travail d'au moins deux classes;

lors du transfert vers un autre emploi de qualification inférieure dans des conditions de travail normales en raison de l'incapacité de continuer à travailler dans la profession principale.

11. Le critère pour établir le 2ème degré de restriction de la capacité de travail est un trouble de santé avec un trouble persistant prononcé des fonctions corporelles causé par des maladies, les conséquences de blessures ou de défauts, dans lequel il est possible d'effectuer des activités de travail dans conditions de travail spécialement créées, en utilisant des moyens techniques auxiliaires et (ou) avec l'aide d'autrui.

12. Le critère pour établir le 3e degré de restriction de la capacité de travail est un trouble de santé avec un trouble persistant et significativement prononcé des fonctions corporelles causé par des maladies, les conséquences de blessures ou de défauts, entraînant une incapacité totale de travail, y compris dans des conditions spécialement créées, ou contre-indications au travail...

V. Critères d'établissement des groupes de personnes handicapées

13. Le critère pour déterminer le premier groupe d'invalidité est une violation de la santé d'une personne présentant un trouble persistant et significativement prononcé des fonctions corporelles causé par des maladies, les conséquences d'un traumatisme ou des défauts, entraînant une restriction de l'une des catégories suivantes d'activité de la vie ou de leur combinaison et nécessitant sa protection sociale :

capacité de libre-service du troisième degré;

mobilité du troisième degré;

capacité d'orientation du troisième degré;

compétences en communication du troisième degré;

capacité de contrôler leur comportement du troisième degré.

14. Le critère pour établir le deuxième groupe d'invalidité est une violation de la santé d'une personne présentant un trouble persistant et prononcé des fonctions corporelles causé par des maladies, les conséquences d'un traumatisme ou des défauts, entraînant la restriction de l'une des catégories suivantes de activité de vie ou leur combinaison et nécessitant sa protection sociale :

capacité de libre-service du deuxième degré;

mobilité du second degré;

capacité d'orientation au deuxième degré;

compétences en communication du deuxième degré;

capacité de contrôler leur comportement du deuxième degré;

capacité d'apprentissage du troisième, deuxième degré;

capacité de travail du troisième, deuxième degré.

15. Le critère pour déterminer le troisième groupe d'invalidité est une violation de la santé d'une personne présentant un dysfonctionnement corporel modérément sévère persistant, causé par des maladies, les conséquences de blessures ou de défauts, entraînant une limitation de la capacité de travail 1 degré ou restriction des catégories de vie suivantes dans leurs diverses combinaisons et nécessitant une protection sociale :

capacité de libre-service du premier degré;

mobilité premier degré;

compétences d'orientation au premier degré;

compétences en communication du premier degré;

la capacité de contrôler leur comportement au premier degré;

capacité d'apprentissage au premier degré.

16. La catégorie "enfant handicapé" est définie en présence de handicaps de toute catégorie et de l'un des trois degrés de gravité (qui sont évalués conformément à la norme d'âge) qui nécessitent une protection sociale.

Une personne handicapée est une personne qui présente certains troubles de santé avec un trouble fonctionnel du corps de nature persistante. Cette caractéristique conduit à des restrictions dans la vie et à la nécessité d'une protection sociale fournie au niveau de l'État.

L'une des manifestations de cette protection est l'introduction d'un quota pour les employeurs dans l'emploi des citoyens. Ainsi, selon le Code du travail de la Fédération de Russie, l'employeur est responsable de la création d'emplois pour les personnes handicapées du groupe 3. Et il est également possible d'attribuer un lieu de travail, à partir d'un existant dans l'entreprise, spécifiquement pour.

Le cadre législatif

Dans la procédure d'emploi d'une personne handicapée du groupe 3, plusieurs normes législatives sont combinées, parmi lesquelles :

ФЗ №181, qui réglemente les quotas pour les lieux de travail.
Détermination de la Cour suprême n° 92-G11-1, garantissant le nombre minimum d'emplois pour les personnes insalubres.
Documents confirmant l'attribution de la catégorie d'incapacité de travail. Par arrêté du Ministère de la Santé, ce document est une attestation d'une forme approuvée.
L'élaboration de l'IPR a été réalisée sur la base de l'ordonnance n° 379n du ministère du Développement social de la Fédération de Russie. C'est cette norme qui contient des informations sur les critères de restriction de l'activité professionnelle d'une personne handicapée du groupe 3.

Étant donné que le terme « groupe de personnes handicapées » est basé sur une limitation générale de l'activité de la vie, qui est causée par une violation de la santé humaine, un aspect important pour l'employeur est le degré de limitation d'une personne à exercer des fonctions fonctionnelles. Il est important de comprendre la situation quant à la possibilité d'accepter un candidat handicapé dans l'entreprise. La mise en œuvre de cette action commence par la familiarisation avec l'IPR du demandeur d'emploi du lieu, où est fixé le niveau limite individuel d'aptitude au travail établi pour le candidat.

Il est important de créer un environnement de travail favorable pour la personne handicapée

La différence dans les indicateurs de limitation de la fonctionnalité de l'employé

La législation a défini les types de limitation de la capacité de travail d'une personne handicapée de 3 groupes, qui, sur la base de diverses caractéristiques d'entrée, ont été divisés en trois catégories. Les catégories désignées affectent les caractéristiques du travail qu'un employé peut effectuer, malgré ses limites dans la conduite de processus technologiques.

Le règlement peut être classé comme suit :

1er degré

2ème degré

3e année

Il y a la possibilité de mettre en œuvre dans les tâches assignées avec les n prestataires habituels, mais sous réserve d'une diminution des exigences de qualification, du degré de sévérité, de tension ou d'une réduction du volume des tâches. L'incapacité de poursuivre des activités dans la direction professionnelle principale, mais en même temps, il existe une possibilité, dans les caractéristiques habituelles de l'emploi, de mener à bien le processus de qualifications réduites.

Est doté de la capacité d'effectuer des tâches dans des conditions spécialement créées pour une personne en mauvaise santé. Avec l'utilisation d'aides techniques ou avec l'aide d'autrui.

Il est déterminé par l'incapacité d'effectuer une activité pendant le travail ou une contre-indication dans les processus de toute orientation.

Dans d'autres cas, une personne handicapée peut effectuer certains types de travaux avec l'aide d'autres personnes.

Lesquelles des personnes handicapées du groupe 3 sont autorisées à emmener dans l'entreprise

Sur la base des paramètres contenus dans le tableau, on peut comprendre qu'il est possible d'embaucher des personnes ayant une santé limitée dans le groupe III, qui sont attribuées aux 1er et 2e degrés de capacité à exercer l'activité principale. Dans l'IPRA développée, des mesures de réadaptation professionnelle sont obligatoirement indiquées, qui doivent correspondre aux lieux de travail offerts aux personnes en mauvaise santé.

La troisième catégorie établie montre qu'une personne a une maladie grave. Mais en même temps, l'employeur a le droit d'accepter de telles personnes pour la production, bien sûr, s'il existe un emploi approprié. L'emploi peut être exclu, à condition que le patient soit titulaire d'un tel diplôme en raison de l'impossibilité totale d'exercer des activités.

Le fait de la perte totale des capacités professionnelles devrait être reflété dans le DPI, à savoir : le paragraphe 6 du document devrait stipuler que le citoyen est totalement incapable de toute activité professionnelle. L'indication habituelle du 3ème degré de l'indicateur de capacité de travail dans ce cas ne suffit pas.

L'absence dans l'IPRA d'une phrase sur l'incapacité totale de travail, qui s'accompagne d'un refus personnel et écrit du salarié d'une partie des mesures de réadaptation ou de l'ensemble du programme, indique que le travail d'une personne handicapée à l'entreprise est possible. De plus, à la fois dans le mode temps partiel et dans le rythme habituel. De tels cas sont fréquents en présence d'un degré de restriction en cas de handicap du groupe 3.

Mais en même temps, une personne handicapée qui a abandonné l'IPRA complètement ou de la mise en œuvre partielle de ses parties individuelles fournit à l'employeur les précédents suivants :

n'est pas responsable de la mise en œuvre des recommandations individuelles pour le patient ;
retire à une personne handicapée le droit de percevoir des indemnités à hauteur du coût des mesures de réadaptation, qui sont fournies gratuitement.

Habituellement, de telles garanties s'appliquent à une personne handicapée du groupe 3, pour diverses raisons, de sa part. En général, ce groupe est un groupe de travail et n'a aucune contre-indication aux cours.

Mais dans certains cas, pour ces salariés, des mesures peuvent être prises pour restreindre le travail dans certaines professions et à des conditions particulières. Cela est dû au fait que la personne peut éprouver des complications dans la condition. C'est pourquoi un plan de réadaptation est émis, en fonction duquel l'emploi est effectué.

Prestations sociales pour les travailleurs handicapés de 3 groupes

Une personne dont l'état de santé est limité, au moment de passer le MSEC et de déterminer quel groupe de handicap correspond à sa condition physique, reçoit un avis médical sur son handicap. Ce document contient des informations sur ses fonctionnalités individuelles, qui doivent être prises en compte dans l'entreprise.

Ceux-ci inclus:

Une journée de travail plus courte ou une semaine de travail raccourcie, mais avec une mention directe de cela dans la conclusion. Cette possibilité n'est pas prévue pour les personnes handicapées du 3ème groupe. Ils sont soumis à des horaires de travail normaux.
Le paiement des heures travaillées réduites s'effectue en totalité, comme pour le travail complet.
Sortie les jours non ouvrables et les normes sur-réglementées uniquement avec le consentement de l'employé lui-même, fourni par écrit. Il est important que l'interdiction à ce sujet ne soit pas directement énoncée dans l'avis du MSEC.
Le Code du travail a élaboré une liste de types d'actes interdits aux personnes handicapées sur la base de critères d'abstinence physique.
La possibilité d'une durée des prochaines vacances de trente jours, soit 2 jours de plus que celle des travailleurs ordinaires. Le congé sans solde pour les personnes spéciales a également été porté à 60 jours par an. Pour les liquidateurs de Tchernobyl malades - le congé annuel est complété par 14 jours avec paiement d'une indemnité de vacances.
Il est interdit d'utiliser la période d'essai lors de l'embauche d'une personne handicapée.
Le salarié a le droit de mettre en œuvre des mesures de rétablissement de sa santé dans le cadre du quart de travail, qui sont directement précisées dans son IPRA.

Conditions de travail des personnes handicapées du 3ème groupe dans le cadre du niveau de réglementation du travail

Sur la base de la catégorie de quota assignée d'aptitude à accomplir des tâches, les personnes handicapées peuvent travailler selon des critères de travail normaux ou spécialement créés aux niveaux suivants :

1er degré

Avec de telles réductions de capacité, l'emploi d'une personne handicapée est possible à des taux de production normaux. L'employeur et le subordonné lui-même doivent comprendre qu'en présence de telles limites, un employé spécial peut travailler dans une production ordinaire et effectuer sa tâche dans un lieu de production normal avec d'autres travailleurs en bonne santé. Le processus fonctionnel s'effectue avec une diminution des volumes d'activité de production demandés par rapport à des salariés sains ou une diminution du niveau de qualification. Un salarié qui dispose d'une telle réglementation doit être muté par l'employeur à des travaux légers.

2ème degré

Cette sous-catégorie préfigure l'emploi dans des critères spécialement créés. Dans ce cas, l'employeur peut embaucher un candidat dont la deuxième étape de réglementation est d'exercer ses fonctions, à condition qu'il ait :

il n'y a pas de contre-indications à l'exécution de travaux dangereux ou difficiles de la 1ère ou de la 2ème classe de danger dans la réglementation pour leur exécution en mode de temps d'occupation réduit ;
les fonctions professionnellement significatives ont été préservées, même partiellement ;
il est possible de compenser les fonctions professionnelles perdues à l'aide de moyens techniques auxiliaires, de mécanismes ergonomiques du lieu de travail, d'adaptation du processus technologique aux caractéristiques pathologiques d'une personne handicapée ou avec l'aide d'autres personnes.

L'implication des personnes handicapées des groupes I et II avec la 2ème sous-catégorie pour la mise en œuvre professionnelle est possible

Si nécessaire, l'employeur pourra :

Identifiez-les pour travailler avec des critères de production optimaux et acceptables.
Réduisez considérablement la journée de travail.
Fixer les cadences de production sur une base préférentielle.
Autoriser des pauses de travail supplémentaires.
Équiper un site de production spécial.
Permettent de remplacer partiellement ou complètement la fonctionnalité dans la production à domicile effectuant des tâches.

Cependant, tous les patients atteints du 2e degré de cette localisation n'ont pas besoin des mesures énumérées - tout dépend de la gravité de la maladie et de la gravité des dysfonctionnements du corps. Les recommandations nécessaires sur l'admissibilité des conditions de travail sont énoncées dans la section « Mesures de réadaptation professionnelle ». Employant une personne spéciale, conformément à l'article 224 du Code du travail de la Fédération de Russie, l'entreprise est tenue de fournir les conditions de production, qui sont spécifiées dans la section "Recommandations sur les conditions et les types de travail contre-indiqués et accessibles".

3e degré

On sait qu'en présence de la 3ème catégorie de localisation au travail, une personne handicapée peut travailler avec l'aide prédominante d'autres personnes. Or tout emploi lui est généralement contre-indiqué, mais il y a des cas où une personne handicapée peut faire quelque chose d'utile. Et si une entreprise est intéressée par ses services, selon le Code civil de la Fédération de Russie, elle a le droit de conclure un accord avec un tel citoyen à des conditions mutuellement avantageuses pour les deux parties.

Lors de l'affectation d'une personne inapte à l'invalidité MSEC avec la localisation des capacités exécutées de différentes catégories, les documents indiquent la cause première de la perte de santé comme motif. Ils peuvent être:

accident du travail;
maladie générale ou professionnelle;
handicap de l'enfance
une maladie reçue pendant le service militaire;
l'incapacité résultant de la catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl ;
autres motifs prévus par la loi russe.

Et aussi un groupe de handicap peut être affecté sans faire d'indicateurs de régulation dans les caractéristiques de production. Sous MSEC, les niveaux d'activité peuvent être affectés par la suite. Lors de la détermination du troisième groupe, un degré d'activité 0 ou I peut être attribué.

Ainsi, il est clair que le groupe de handicap assigné n'est pas une catégorie de localisation du fonctionnement du travail.

Il faut savoir que l'indicateur de disponibilité de la capacité de travail est fixé pour une période similaire à celle de l'invalidité.

Aujourd'hui, seulement un tiers des citoyens en âge de travailler vivent dans le pays. Le nombre de personnes handicapées qui ont la capacité de travailler pour des raisons médicales a augmenté. Selon de nombreux experts, l'emploi des personnes handicapées est la principale perspective du marché du travail. Et dans des conditions de pénurie de personnel, il ne vaut pas la peine de disperser des centaines de milliers de mains-d'œuvre. Ces facteurs se reflètent dans les normes qui sont appliquées dans les entreprises de toutes les formes de propriété et sont conçues pour inciter la population handicapée à travailler.

Récemment, de plus en plus de personnes se tournent vers un médecin avec de graves problèmes de santé, mais peu de gens savent que la plupart des pathologies chroniques impliquent la conception du handicap. Le handicap est une certaine condition d'une personne qui a des limitations dans les capacités physiques, mentales ou psychologiques. Mais qui peut le confirmer, à quels degrés de handicap existe-t-il et à quoi peut s'attendre une personne ayant obtenu le statut de personne handicapée ? Voyons cela dans notre article.

Passage de l'examen

Un examen médico-social est une commission de plusieurs personnes qui se réunit pour déterminer le degré d'invalidité, tout en tenant compte de l'état général de la personne, de la présence d'éventuelles anomalies perturbant le fonctionnement normal de l'organisme. Après être passé par la commission, toute personne qui s'adresse à la commission reçoit un document qui confirme que le patient présente des manifestations de limitations pour mener une vie normale.

N'ayant que ce document en main, une personne a la possibilité d'affecter l'un des groupes de handicap. Il n'est donné que sur la base d'un examen d'expert, et tous les écarts qui impliquent des restrictions sur le fonctionnement normal du corps humain sont principalement associés à des maladies ou des blessures graves reçues à la naissance ou tout au long de la vie. Mais à quels degrés de handicap une personne peut-elle s'attendre ? Qui est éligible au handicap ?

Classification et caractéristiques des groupes de handicap

Grâce au classificateur des groupes de handicaps, il est possible de déterminer avec précision le facteur de limitation de la vie d'une personne handicapée. Comme mentionné précédemment, seule la commission a le droit de reconnaître une personne comme inapte et lui accorde un certain degré d'invalidité. Tous les troubles de la santé humaine peuvent être répartis dans les groupes suivants :

Statodynamique - altération des capacités motrices, par exemple, mouvements limités de la tête, du corps, des membres et problèmes de coordination.
Troubles de la psyché, caractérisés par l'impossibilité de se souvenir, la perception de la réalité environnante, le manque de réflexion saine.
Discours - bégaiement, difficultés d'apprentissage des techniques d'écriture, présence de discours verbal ou non verbal.
Problèmes dans le travail du système hématopoïétique, processus métaboliques, dysfonctionnements du système digestif ou des organes respiratoires.
Difformité physique - les changements les plus importants dans la configuration du corps ou de ses parties individuelles. Cela inclut également des pathologies telles que la présence de trous dans le système respiratoire, digestif, urinaire, ainsi qu'une taille corporelle inacceptable, qui peuvent nuire à la santé.
Sensoriel - les personnes malentendantes, malvoyantes, odorantes et mal sensibles à la température et à la douleur entrent dans cette catégorie.

Toute personne qui présente un ou plusieurs de ces changements dans l'organisme doit immédiatement s'adresser à la commission, qui déterminera le handicap. Le degré de restriction de la capacité de travail de chaque patient est déterminé individuellement, en fonction de ses maladies et troubles. Vous ne pouvez pas ramer tout le monde avec le même pinceau.

Causes d'invalidité

Très souvent, de nombreux patients ont entendu une telle formulation affirmer le fait d'attribuer un degré d'invalidité à l'une des formes d'une maladie générale. Mais pour la plupart des patients, une telle conclusion ne soulève pas de questions, mais il existe un certain nombre de raisons que peu de gens connaissent et qui conviennent à cette formulation - l'établissement d'un statut d'invalidité en fonction de la forme d'une maladie générale. Ceux-ci inclus:

Blessures acquises sur le lieu de travail entraînant des malformations graves.
Les affections professionnelles.
Malformations congénitales.
Pathologies, blessures et blessures subies en servant dans les rangs des forces armées.
Maladies causées par l'accident de Tchernobyl.

Toutes les personnes blessées ou appartenant à l'une des catégories ont le plein droit de recevoir le statut de personne handicapée d'un certain groupe. Mais quels diplômes, groupes de handicap existe-t-il ?

Premier groupe de handicap

Le premier groupe est considéré comme l'un des degrés d'invalidité les plus difficiles. Les personnes atteintes de déficiences fonctionnelles importantes peuvent compter sur elle - le plus haut degré de difficulté de mouvement, de communication, d'apprentissage et d'incapacité à contrôler leurs actions. Une personne est confrontée à de graves limitations dans la vie, elle n'a pas la possibilité de se servir elle-même, ce qui conduit au fait qu'elle doit être constamment prise en charge. Le groupe de personnes handicapées (1 degré) prévoit la fourniture de fonctions quotidiennes vitales. De telles personnes ne sont que marginalement capables de libre-service.

Les personnes handicapées du premier groupe sont pour la plupart handicapées, mais il y a aussi ceux qui peuvent travailler - ils sont aveugles ou sourds-muets. Dans la plupart des villes, des sociétés spéciales sont ouvertes, dans lesquelles des conditions spéciales ont été créées pour le travail des personnes atteintes d'un handicap du premier degré. Les personnes dont les membres inférieurs ne fonctionnent pas ont la possibilité d'effectuer certains types de travaux en position assise, et le plus souvent elles travaillent à domicile.

Personnes handicapées du deuxième groupe

Le deuxième groupe est reçu par des personnes présentant des troubles mineurs du fonctionnement de l'organisme. Ils peuvent se servir seuls et ne nécessitent pas de surveillance constante. Cette catégorie peut inclure les personnes mesurant moins de 150 cm ou celles qui n'ont pas l'index sur les mains.

Le deuxième groupe, le deuxième degré de handicap, est réservé aux personnes qui présentent de telles pathologies : malformation crânienne, paralysie, séquelles graves après blessures, pathologies congénitales. Le deuxième groupe est affecté aux enfants handicapés pendant leurs études, après quoi un certificat est délivré attestant que la personne est apte au travail.

Les personnes appartenant au deuxième groupe de handicaps sont capables de travailler, mais seulement si la journée de travail pour elles est réduite, des pauses supplémentaires sont prévues, le taux de production sera considérablement réduit.

Si tous les indicateurs sont évalués de manière exhaustive, les principales catégories d'activité vitale peuvent être divisées en trois degrés :

1, 2 degré (handicap grave) - c'est lorsqu'une personne a la possibilité de se servir seule, tout en passant beaucoup de temps, et de réduire le volume qu'elle ne peut pas faire sans l'aide de moyens techniques.
3 degré - une personne ne peut pratiquement pas se servir elle-même, elle a besoin d'une aide extérieure.

Personnes handicapées du troisième groupe

Les personnes qui ont reçu le troisième groupe de handicaps ont des handicaps modérés dans le travail de l'un ou l'autre organe - il peut s'agir d'une surdité, d'une incapacité à naviguer ou d'une paralysie des mains. En tant que handicap du troisième groupe, la limitation du 1er degré prévoit des perturbations du fonctionnement du corps à la suite de maladies, de malformations congénitales ou de blessures subies au cours de la vie. Le résultat de telles affections peut être une limitation modérément prononcée de la capacité de travail.

Les personnes atteintes d'un troisième degré de handicap peuvent prendre soin d'elles-mêmes et n'ont pas une telle dépendance aux autres, mais l'aide des travailleurs sociaux est toujours nécessaire.

Il convient également de dire qu'avec une évaluation complète de certains indicateurs qui caractérisent les violations du fonctionnement du corps humain, on distingue quatre principaux degrés de handicap:

1 degré - ce sont des perturbations mineures dans le travail du corps.
Grade 2 - les violations sont modérées.
Grade 3 - toutes les violations sont prononcées.
4 degré d'invalidité - ce sont de graves dysfonctionnements dans le travail de tout l'organisme, qui sont très prononcés, et il ne sera pas possible de ne pas les remarquer.

Pendant combien de temps accordent-ils le statut d'invalide, le réexamen

Après que la commission de l'UIT ait reconnu une personne comme handicapée, elle lui délivre un document approprié avec un sceau. Le patient reçoit un programme de réadaptation et un certificat d'attribution de l'un ou l'autre degré d'invalidité. Trois jours après l'attribution de l'invalidité, un extrait du procès-verbal de la réunion de la commission est adressé à la Caisse de Pensions locale. Le premier groupe d'invalidité est attribué à une personne pour une période de 24 mois, et les deuxième et troisième - pour un an.

En ce qui concerne le handicap d'un enfant, dans ce cas, la période d'octroi du statut peut aller d'un an jusqu'au moment où il atteint ses 18 ans. Une invalidité à vie peut être établie dans certains cas, s'il n'est pas possible de réduire le degré ou d'éliminer la limitation de l'activité vitale d'une personne, causée par de graves changements morphologiques ou des perturbations du fonctionnement des systèmes du corps.

C'est pourquoi, afin de surveiller l'état de santé du patient et l'état d'aptitude au travail de la personne handicapée, ils procèdent à un réexamen régulier. Les patients qui ont reçu un groupe indéfini peuvent également être renvoyés à la commission de leur propre gré ou sur recommandation de leur médecin traitant. Chaque personne handicapée a le droit de recevoir une aide matérielle de l'État, pour chaque degré d'incapacité de travail pris séparément, il est déterminé individuellement.

Accompagnement matériel des personnes handicapées

La principale possibilité d'assurer la vie des personnes handicapées est une pension. Pour l'obtenir, vous devez passer l'ITU et obtenir l'un des trois groupes de handicap. Une pension de retraite d'invalidité est un paiement mensuel versé aux personnes handicapées pour les compenser pour la perte de revenus.

Si l'invalidité a été obtenue en raison d'une maladie générale acquise au cours de la vie, alors dans ce cas, pour la nomination d'une pension, l'ancienneté totale avec une certaine durée est prise en compte. Ceux qui ont été blessés dans l'enfance, avant même que la personne ait 20 ans, se voient attribuer une allocation matérielle, qui ne dépend en aucun cas de l'ancienneté. Si le deuxième groupe, le deuxième degré d'invalidité a été attribué en raison d'une maladie reçue dans l'exercice de fonctions professionnelles, alors dans ce cas, la pension est attribuée quelle que soit l'ancienneté.

Pour les militaires, une mensualité est prescrite si les motifs d'obtention d'un groupe d'invalidité sont apparus pendant le service ou au plus tard trois mois après son achèvement. En outre, une pension peut être établie pour un militaire si une personne a obtenu une invalidité après une période suffisamment longue après son licenciement. Dans ce cas, l'essentiel est que la blessure ou la maladie reçue, qui a causé l'invalidité, aient été acquises précisément pendant la période de service.

Considérons, en utilisant l'exemple des patients atteints de coxarthrose de l'articulation de la hanche, quel groupe de handicap est autorisé et comment le formaliser correctement.

Handicap avec coxarthrose

La coxarthrose de l'articulation de la hanche est une pathologie grave qui restreint dans une certaine mesure la mobilité d'une personne, dans ce cas le patient a le droit de demander à la commission et de recevoir un handicap du groupe 3, limitation de 1 degré ou tout autre, selon le gravité de la maladie et des pathologies qui l'accompagnent ... Le principal critère d'enregistrement d'un handicap est considéré comme l'incapacité d'une personne handicapée à effectuer de manière autonome certaines tâches ménagères et à se rendre au travail. En conséquence, une personne perd la possibilité de subvenir à ses besoins et pour cette raison, une prestation d'invalidité mensuelle lui est attribuée. Mais quel degré d'invalidité avec la coxarthrose une personne peut-elle donner et de quoi a-t-elle besoin pour cela?

Pour obtenir un handicap, vous devez tout d'abord consulter votre médecin, qui soumettra tous les documents nécessaires et une référence à l'UIT. Si la commission prend une décision positive, dans ce cas, la personne se voit attribuer un degré ou un autre de handicap. Mais quel groupe de handicap dans ce cas peut être attribué à une personne ?

Le plus souvent, avec une telle maladie, le patient reçoit un handicap de 3 groupes, une limitation de 1 degré, car le patient est capable de se servir lui-même, même s'il y consacre beaucoup de temps. Il est possible d'avoir un deuxième groupe, mais ce sera beaucoup plus difficile. Dans le même temps, il faudra régulièrement confirmer la présence de la maladie selon le calendrier établi, mais si au moins une fois une personne ne figure pas sur la commission, alors le groupe handicap sera supprimé et ce sera encore plus difficile de le retourner.

De telles mesures s'expliquent par l'émergence de nouvelles technologies uniques qui permettent à une personne atteinte de coxarthrose de subir une intervention chirurgicale et de remplacer l'articulation malade par une articulation artificielle.

Si le patient a reçu un degré d'invalidité 3, un degré de restriction 1, alors après l'opération, il peut être retiré, et si la chirurgie n'a pas aidé, le deuxième groupe peut également être administré.

Mais la présence d'un degré ou d'un autre de la maladie ne donne pas à une personne le droit d'obtenir automatiquement l'invalidité, seule la commission, après avoir examiné tous les documents confirmant la présence d'une pathologie et d'une déformation de l'articulation, pourra attribuer le statut de personne handicapée ou non. Grâce aux techniques de diagnostic les plus modernes, il est aujourd'hui devenu beaucoup plus facile et plus rapide de le faire. Il suffira de fournir à la commission une radiographie, qui confirme la présence d'une pathologie articulaire et les résultats de l'arthroscopie. Après examen des documents, qui confirment également le fait que le patient est incapable de se servir lui-même et qu'il souffre d'un handicap, la commission prend une décision et attribue un handicap au deuxième ou au troisième degré.

Dans les cas où la complexité de la maladie n'est pas trop élevée et en même temps le patient ne ressent aucun problème particulier, il n'a pas de grandes restrictions de mouvement, et il peut aller travailler ou le faire à la maison, alors il peut se voir refuser le statut de personne handicapée. Dans les mêmes cas, si le processus inflammatoire de l'articulation se déroule à un rythme modéré et que le patient a des antécédents de diagnostic de "coxarthrose" du troisième stade, le patient a le droit de recevoir le 3e groupe d'invalidité. Cela s'applique généralement aux personnes chez lesquelles la pathologie a été identifiée assez récemment.

Dans les cas où la maladie a conduit au fait que le patient a remarqué un raccourcissement du membre inférieur, le patient peut s'adresser non pas au troisième groupe, mais au deuxième. Mais, comme la pratique l'a montré, cela ne se produit que si la jambe est raccourcie de 7 centimètres ou plus. Mais le premier groupe ne peut être reçu que par des personnes souffrant d'arthrose déformante et incapables de se déplacer sans fauteuil roulant. Le plus souvent, avec un tel diagnostic, ils donnent un degré d'invalidité 3, un degré de restriction 1, et ensuite seulement pour une période d'un an, puis il est supprimé, car une opération est prescrite, permettant au patient d'oublier la maladie et commencer à vivre pleinement.

Mais non seulement les adultes atteints de certaines maladies peuvent recevoir le statut de personne handicapée, il existe également une catégorie - les enfants handicapés.

Enfance handicapée

Le handicap peut même être attribué aux enfants, et la catégorie d'enfant handicapé est attribuée à ceux qui n'ont pas atteint l'âge de la majorité et qui ont des handicaps à la suite d'un traumatisme congénital ou d'une pathologie acquise. Recevoir des blessures graves, qui impliquaient des difficultés de mouvement et d'autonomie, l'incapacité d'étudier pleinement, de contrôler leur comportement et de concentrer leur attention est également la base pour obtenir un degré d'invalidité.

Pour obtenir le statut d'enfant handicapé, vous devez également contacter la Commission de l'UIT, qui non seulement détermine le degré d'invalidité, mais donne également certaines recommandations sur la formation, le lieu de détention, la nécessité de moyens techniques pour assurer des conditions optimales pour une vie normale. vie et prescrit un programme de réadaptation.

Les pédagogues-défectologues doivent travailler en permanence avec les enfants handicapés, qui leur enseignent toutes les compétences nécessaires leur permettant de mieux s'adapter parmi leurs pairs. Ils préparent l'enfant à un apprentissage ultérieur, en s'appuyant sur les fonctions corporelles préservées. Mais nous pouvons dire avec certitude qu'à notre époque moderne, le handicap n'est pas une peine. Aujourd'hui, tout le monde appelle tout le monde à être fidèle aux personnes handicapées. De nombreux nouveaux programmes sont en cours de développement qui permettent à une personne ayant des problèmes d'améliorer sa qualité de vie, elle a la possibilité de commencer une nouvelle vie et en même temps de ne pas prêter attention à son statut.

Les personnes en bonne santé doivent tenir compte du fait qu'une personne n'est pas devenue volontairement handicapée et, si possible, l'aider de toutes les manières possibles. Aujourd'hui, l'État a développé un certain nombre de mesures d'accompagnement social qui permettent à une personne handicapée non seulement de vivre pleinement, mais aussi de ne rien se priver. Aujourd'hui, une telle personne a le droit :

Bénéficiez d'une aide financière mensuelle de l'État.
Il bénéficie d'une réduction sur les factures de services publics.
Pour un hébergement et un traitement gratuits dans des sanatoriums spécialisés.
Pour payer les déplacements jusqu'au lieu de rééducation et de traitement.
Recevoir un quota en termes monétaires pour le traitement et le diagnostic.
Ayez une journée de travail plus courte si le groupe permet à la personne de travailler.

Il convient de rappeler que le handicap n'est pas une peine et que chaque personne handicapée peut vivre une vie bien remplie et ne pas se priver des joies. Vous ne devez pas vous enfermer et vous considérer comme imparfait et inférieur, on ne sait toujours pas qui a perdu et qui a gagné dans cette vie, car, comme le prouve la pratique, la plupart des personnes handicapées réussissent beaucoup dans la vie et la présence d'un tel statut n'est pas du tout un obstacle à l'obtention d'excellents résultats ...