« Il faut naviguer sur la mer. Ce n'est pas si nécessaire pour vivre." Flashé sur la page Internet, depuis l'enfance, une phrase familière qui appartenait, autant que je me souvienne, à l'un des généraux romains. L'altruisme désespéré, dans son sens littéral, n'évoque pas en moi une admiration sans ambiguïté aujourd'hui, comme dans ma jeunesse. Au contraire, il effraie par son imprudence.

Pompée Sextus, commandant de la flotte romaine dans l'Antiquité. J'aimerais en savoir plus sur lui. Je cherche sur le net et du coup je trouve une annonce-offre :

Livre.
« Des éclaboussures de glace. Victor Konetsky".
Ceci est le septième livre de V. Konetsky de la série
Prose de voyage, c'est-à-dire prose sur la mer
Travail, production marine.
Couverture rigide, parfait
état. je vais échanger contre quelques
histoire d'amour.

Le livre de V.Konetsky pour "certains..." ! Qui est ce fou ?

Dans quel merveilleux roman marin la lecture de mon enfance était enveloppée. "Les enfants du capitaine Grant", "20 000 lieues sous les mers", "Capitaine de quinze ans", "L'île au trésor", "Voiles écarlates", "L'île des navires morts", "Le vieil homme et la mer" , "Amphibian Man"... Mais après la mer le sujet n'a pas lâché prise. Thor Heyerdahl est apparu et a conquis avec son "Kon-Tiki", "Ra" et "Le mystère de l'île de Pâques". J.I. Cousteau et ses baleines.

Mon dernier passe-temps est Viktor Konetsky. Un merveilleux chanteur de la mer. Un psychologue intelligent, ironique et subtil des âmes humaines dans des circonstances extrêmes. Encore une fois, je suis indigné - le livre de V. Konetsky est en cours, quelle horrible histoire d'amour! Oui, écoute juste comment celui-ci écrit

« Autour, il y avait une houle verte, l'immensité de l'océan, des champs de mouettes flottant au-dessus du banc de poissons, des coques de chalutiers noir rougeâtre, la brise et le soleil, et des traînées de brouillard lointaines, des bouteilles vides sur la houle par dessus bord, trempées des morceaux de pain auxquels les mouettes n'ont pas prêté attention ... Et la première chose que nous avons entendue à cinquante milles de New York au radiotéléphone était :
- "Dostoïevski" ! Dostoïevski ! dit Dobrolyubov. Réponse par connexion !
"Eh bien, je suis Dostoïevski", répondit une vieille voix grincheuse.
« Bonjour, Fedor Mikhaïlovitch ! - J'ai pensé - c'est celui-là que je ne m'attendais pas à rencontrer dans le golfe du Maine, alors c'est vous ! "

***
Ou plus:

« À côté de Vera Fiodorovna Panova :
- Il me semble, Viktor Viktorovich, vous avez oublié notre première rencontre.
Ce fut une rencontre terrible. Vera Fiodorovna Panova a appelé à une conversation après que je lui ai demandé de lire mon prochain opus et, en sueur de peur, s'est assise sur le bord d'une chaise.
Vera Fiodorovna mit lentement et prudemment ses lunettes et fixa mon opus :
- Vous l'avez écrit ici, voici la page seize "la vache que mon père a achetée, étant revenue du front, est morte". C'est toi qui l'as écrit ?
— Oui, dis-je en riant, car dans ma jeunesse je riais. Et soudain j'imaginai bien que ma vache défendait Moscou et arrivait à Berlin, et au retour du front, le pauvre garçon, mourut.
Mais Panova ne souriait pas. Elle était pleine de sévérité. Pas d'humour quand il s'agit d'un saint."

Non, c'est incompréhensible, Konetsky, écrivant le capitaine du long voyage, peu importe le genre d'histoire d'amour, - Je m'indigne contre le moniteur.

Et, d'ailleurs, maintenant mon amour pour la mer ne s'étend pas plus loin que les pages des livres. Depuis quelque temps, je sais fermement que je ne monterai plus jamais sur le pont d'un navire. N'importe qui. J'ai peur de la mer.

Au début des années 80, ou plutôt en 1982, mon mari et moi travaillions dans l'une des installations de la Défense. Ce fut un été difficile et tendu. Et l'ouverture n'était attendue qu'à la livraison même de la structure. La commission arrivée a "piraté" les vacances, moi y compris. Et quand, comme « lot de consolation », ils ont offert en août un voyage d'affaires avec mon mari à Sébastopol pour se mettre d'accord sur la documentation pour la révision technique du « produit » pour une période de 20 jours, je l'ai saisi avec joie, décidant que sans le dire à personne, je pouvais le prendre à une fille de huit ans. On s'installera tant bien que mal, pour ne pas laisser l'enfant sans mer cette année.

Ils ont immédiatement secoué l'avion, s'accordant un repos de deux jours de la course épuisante de la livraison étape par étape du travail, après avoir acheté un compartiment séparé dans le train. J'ai adoré le train, faire les courses aux arrêts de poisson fumé chaud, de concombres légèrement salés avec des pommes de terre fumantes dans un sac de gros papier gris, des tomates en sucre, des melons, des fruits, et surtout, le farniente détendue, un plaisir rare dans ces années-là.

Le train est arrivé vers deux heures du matin. Sébastopol à cette époque était une ville soviétique "fermée", à laquelle on comptait avec des laissez-passer spéciaux. Seul le téléphone, inscrit au dos de la carte de transport, laissait espérer la solution du logement et d'autres problèmes dans une ville inconnue. Cependant, pour cela, il a fallu attendre le matin.

De la voiture étouffante chaude, nous sommes sortis sur la plate-forme et, les habitants de la steppe sèche, où au milieu de l'été le feuillage commence à jaunir et les herbes deviennent grises et épineuses, plongés dans la fraîcheur humide de la nuit de Crimée méridionale . Je ne sais même pas encore comment est aménagée la gare de Sébastopol. Nous n'avons pas eu le temps de nous pencher dessus pour essayer de nous installer pour la nuit, lorsque les habitants nous ont entourés d'une offre d'une nuitée. La vieille femme, qui ressemblait à Baba Yaga, dans la mesure où son éclairage de station dans la nuit le permettait, littéralement, par la manche, entraîna son mari avec elle. Nous nous sommes regardés, c'était tout de même, fatigué, avec un enfant qui trébuche, obéi.

Apparemment, il y a eu récemment une pluie légère, invisible sur l'asphalte, mais la vieille femme nous a guidés, glissant le long d'un chemin à peine perceptible quelque part en haut de la montagne. Nous marchâmes, sans nous parler, à travers quelques bosquets, la suivant à peine. Et elle escaladait la pente raide, comme une chèvre, ce qui était juste pour s'étonner de son agilité. L'image de la dame de Gogol - une sorcière - s'est enflammée de plus en plus vivement dans mon esprit. Mais finalement, une lumière a clignoté entre les arbres - ils sont venus.

L'hôtesse ouvrit la porte d'un minuscule hangar, dans lequel il n'y avait qu'un grand lit et un petit canapé, disparut une minute et revint avec deux parures d'excellent linge amidonné, prit l'argent et disparut. Nous ne l'avons jamais revue.

Nous nous sommes réveillés du chant d'un coq juste sous l'oreille. Alors la chèvre bêla. Il s'est avéré que notre habitation n'était séparée que par une cloison en contreplaqué de la basse-cour de la grand-mère, dont nous ne nous souciions pas la nuit. Quand nous sommes sortis et avons regardé dans la cour, nous avons vu... un lama beige et un paon gris, déployant volontiers sa queue, parmi des poulets tatillons.
La matinée a été chaude, calme et nous nous sommes dépêchés, malgré l'heure matinale, de quitter la cabane « hospitalière ». Cependant, en descendant le chemin menant à la gare, nous avons été étonnés de l'obscurité dans laquelle le cafard a décidé de grimper la nuit. Il ne me restait plus qu'à m'émerveiller de ma crédulité provinciale.

L'appel téléphonique a eu un effet magique et après quelques heures nous nous sommes parfaitement installés dans un hôtel départemental, où notre fille n'était pas un obstacle à l'administration, et jusqu'à demain nous sommes allés faire connaissance avec la ville, la légendaire et belle Sébastopol .

Nous avons eu assez de temps pendant ces vingt jours pour errer dans les rues pour apprécier le merveilleux relief de cette ville, quand les ruisseaux se précipitent sous la pluie avec bruit et nous, avec tout le monde, avons enlevé nos chaussures et avons couru gaiement jusqu'à l'arrêt de bus. La jetée du comte légendaire. Boulevard Primorski. Monuments à Nakhimov, Kornilov. Malakhov Kourgan. Cimetière fraternel. Un monument touchant sur la fosse commune de soldats russes et français, érigée en 1892. Panorama "Défense de Sébastopol". Platanes, châtaigniers, noyers, insolites à nos yeux. Des pêches, de somptueuses pêches énormes, étaient vendues à tous les coins de rue. D'excellents raisins et des livres, que nous avons "attaqués" sans réfléchir le premier jour, puis, comme une grande tentation, contournés - il était impossible de saisir l'immense richesse des ruines de la rue. Ils ont réussi avec Balzac, Shakespeare, Zola et le nouveau Dictionnaire Ozhegov, qui a remplacé le nôtre, complètement usé.

Les entreprises qui nous intéressent étaient situées dans la merveilleuse ville de Balaklava, avec son paysage incroyable, son remblai, sa falaise ... Et la mer, bien sûr, la mer incroyable clapotait à nos pieds.

Les concepteurs se sont avérés être de bons gars avec un concept et, selon le calendrier convenu, nous avons découpé plusieurs jours à la fin du voyage d'affaires et avons profité de la chance qui nous est tombée dessus, jusqu'à ce que cet événement se produise l'un des derniers jours. .

Ce dimanche-là, nous avons encore une fois pris un bateau de plaisance vers une plage lointaine, excellente, je dois l'avouer, avec le sable le plus fin. Maintenant, je ne me souviens plus de son nom. À midi, il n'y avait nulle part où marcher. Les vacanciers n'arrêtaient pas d'arriver. Nous nous sommes installés loin de l'eau près du mur de sable escarpé du rivage sous un parapluie et avons joué négligemment avec notre fille dans les "villes". Le mari s'enfonça profondément dans Zola.

Nous n'avons pas attaché d'importance au fait que le vent s'était rafraichi. Au contraire, voyant comment les vagues commençaient tout à coup à atteindre nos talons nus, nous entraînant, nous nous sommes précipités malicieusement dans l'eau, revenant avec une autre vague, presque jusqu'au mur de notre falaise. Ma fille était ravie. Affamé. Nous sommes montés au café-verre d'été, debout au-dessus de la falaise.
En mangeant négligemment, ils ont soudain remarqué comment les bateaux ont clignoté, emportant le reste. Dans un mégaphone, il a été annoncé que le prochain vol était le dernier, en raison du danger d'une tempête. Les embruns des vagues atteignaient déjà les murs en miroir du café. Mais nous sommes entrés avec confiance dans ce dernier voyage, un bateau rempli de monde. Ils sont déjà partis avec une forte excitation.

En voyageant sur un bateau à moteur le long de la Volga, je n'ai jamais ressenti de peur. Mais ici! Le soleil a disparu. Il a commencé à pleuvoir et la pluie s'est intensifiée. Le ciel et l'eau ont rapidement fusionné en une seule masse d'eau grise. L'inimaginable a commencé. Nous avons décollé sur la crête et déposé. Le navire surpeuplé a gîté et tout le monde, criant d'abord de joie, puis d'horreur, est tombé dans un sens ou dans l'autre. Les vagues ont commencé à s'écraser sur le pont. Deux femmes âgées ont commencé à prier. Nous, mouillés de la tête aux pieds, de toutes nos forces avons serré l'enfant dans nos bras et moi, semble-t-il, pour la première fois de ma vie, ne connaissant pas une seule prière, j'ai commencé à demander à Dieu : Seigneur, au secours ! Aidez-nous à atteindre le rivage vivants! Je savais que je ne monterais plus jamais, plus jamais sur le pont, pas un seul navire au monde.

Seul un marin-ouvrier sur le pont, qui semblait enrouler tranquillement une sorte de corde, inspirait une sorte d'espoir.

Et soudain, dans cette horreur des vagues, des éclaboussures et de la pluie, juste à côté de nous, complètement indiscernables une seconde auparavant sur le fond de la mer agitée, la silhouette d'un énorme croiseur est apparue. Il marchait, semblait-il, tout près de nous par la haute paroi grise de la coque. Il semble que vous puissiez la toucher avec votre main. J'ai réussi à apercevoir de mon regard les canons, les antennes, les mâts qui vacillaient, presque invisibles dans l'obscurité, et il a de nouveau disparu sous la pluie, invisible et inaudible, comme un fantôme.

Une exclamation générale d'horreur chevaucha le bruit des vagues qui jouaient, et le matelot qui était à côté de lui sur le pont, soudain, avec un visage changé, se signa avec ferveur.

Épuisés, nous sommes allés à terre. Il n'y avait plus la force ni de remercier ni de répondre à la sombre question du capitaine :
« Pas de pertes ? »

Épuisés, nous avons coulé sur les marches de la jetée. Cependant, comme beaucoup d'autres...

Mais, je me souviens, à la fin des années 70, lors de notre croisière amusante sur la route Saratov-Moscou-Astrakhan-Saratov, quelque part dans la région d'Oulianovsk, où la Volga ressemblait à la mer, nous nous sommes réveillés tôt le matin de la demande de une communication à haute voix du capitaine à la passerelle de notre paquebot de luxe :
- Matelot senior de toute urgence au capitaine !

Le bateau à moteur se tenait debout, fredonnait continuellement et pour une raison quelconque, la cloche sonnait. Brouillard épais avec du lait - à l'extérieur de la fenêtre de la cabine. Et encore, déjà agacé :
- Premier lieutenant du capitaine !

Malgré le fait que nous n'ayons pas bougé, nous avons commencé à nous sentir mal et des nausées sont apparues. Ceux qui sortaient dans le couloir ont été priés de retourner dans leurs cabines. Nous avons écouté avec une curiosité frivole le déroulement du service. Mais la musique joyeuse incluse dans l'émission a noyé même les signes d'anxiété dans notre pays.

Peu à peu, le brouillard s'est dissipé, et nous avons continué, sans entrer dans les détails de l'excitation de l'équipage. À ce moment-là, à la fin des années soixante-dix, nous ne savions toujours pas que le 5 juin 1983 (un an après notre Sébastopol), le paquebot à moteur "Alexander Suvorov", à l'approche d'Oulianovsk, passera à pleine vitesse sous le non-navigable huitième travée du pont ferroviaire sur la Volga, sera démoli tout le pont supérieur, où se trouvait une discothèque, et un train de charbon et de céréales tombera sur le beau paquebot. On annonçait environ 176 morts, et les infirmes étaient innombrables. La croix à Oulianovsk sur le rivage se dresse à la mémoire des victimes.

Et plus loin! Je me souviens du magnifique paquebot "Amiral Nakhimov". En nous reposant à Gelendzhik, nous sommes arrivés à Novorossiysk, nous voulions visiter le cimetière commémoratif. Nous nous sommes assis sur le quai, regardant ce luxueux paquebot blanc comme neige se préparer à naviguer. Une foule élégante de passagers monta à bord en un flot incessant. Des gens joyeux et heureux. Je me souviens que nous étions surpris du nombre de cartons de vins, de champagne, de cartons de fruits et légumes avec étiquetage étranger qui étaient chargés en soute. Les voitures arrivaient à la hâte et les chargeuses, en une chaîne sans fin se déplaçant le long de l'échelle, dans les mêmes vêtements noirs ressemblaient à des fourmis.

Nous, tout près, avons nourri les dauphins apprivoisés avec de délicieux petits pains blancs à base de farine de blé du Kouban. Et qui aurait alors deviné que le 31 août 1986, en quittant la baie de Novorossiysk, le navire à vapeur "Amiral Nakhimov" entrerait en collision avec le cargo sec "Pyotr Vasev" et coulerait à deux milles du rivage le plus proche. Plus de 500 personnes sont mortes. Mémoire éternelle à eux.

Je n'ai plus jamais tenté le destin sur l'eau. Et naviguer sur la mer est, bien sûr, nécessaire.

Photo d'Internet.

Wapiti- le noble et puissant maître de nos forêts, avec lequel même l'ours n'osera pas toujours se disputer.

Comment s'appelle Elk

Parfois élan aussi appelée charrue à orignal en raison de la forme des cornes, qui ressemblent à une charrue.

A quoi ressemble un élan

Wapiti ce n'est pas pour rien qu'il est considéré comme l'un des plus gros animaux, puisque les mâles atteignent souvent des tailles d'environ 3 mètres de long et 2,5 mètres de haut, et pèsent jusqu'à 600 kg. Une caractéristique distinctive de l'élan est ses beaux bois de balayage, qui ont une moyenne de 18 dents.

Les chercheurs ont environ 7 sous-espèces de wapitis, qui diffèrent par la taille et la structure des cornes.

Que mangent les orignaux

V Régime de wapiti comprend une végétation herbacée et arbustive, des mousses, des lichens, des champignons et des baies. Les élans mangent de l'écorce pins, le saule, le bouleau, le tremble, adorent les jeunes branches de framboisier. Selon la période de l'année, le déjeuner d'Elk est de préférence composé de feuilles ou de plantes aquatiques : nénuphars, prêles, souci. Fait intéressant, la portion du wapiti par jour varie de 10 à 35 kg d'aliments, et ce chiffre atteint 7 tonnes par an.

Où vit Elk

Le wapiti habite pratiquement sur tout le territoire de la zone boisée de l'hémisphère nord, on le trouve souvent dans la taïga ou la partie steppique.

Les zones humides sont une partie importante de la vie des wapitis, car pendant la saison chaude, les animaux se nourrissent de la végétation aquatique et échappent à la surchauffe. Ces animaux se trouvent en Pologne, dans les États baltes, en République tchèque, en Hongrie, en Biélorussie, dans le nord de l'Ukraine, en Scandinavie, dans la partie européenne de la Russie et dans la taïga sibérienne. Environ la moitié de la population animale totale vit en Russie.

Actuellement, le nombre d'élans, comme d'autres ongulés, diminue en raison de l'essor du braconnage.

Les orignaux sont-ils dangereux pour les humains

Si vous êtes dans la forêt voir l'orignal- congeler et rester immobile jusqu'au départ de l'animal. Pendant le rut, les élans sont assez agressifs, mais ils ne verront pas une personne même à une courte distance, car ils ont vision peu développée... En général, les élans attaquent rarement en premier, pour cela, vous devez provoquer l'animal ou vous approcher trop près de l'endroit où se trouve la progéniture. Le wapiti est dangereux pour les automobilistes, car en cas de collision avec un animal de cette taille sur la route, de gros dommages seront causés à la fois à la voiture et à l'animal lui-même.

Élevage d'élans

Orignal seul vivent séparément en petits groupes de jusqu'à 4 individus, les femelles avec les veaux d'orignaux s'unissent parfois en petits troupeaux de jusqu'à 8 têtes. Les orignaux sont monogames par nature, contrairement aux autres parents.

Le rut du wapiti a lieu au début de l'automne et s'accompagne d'un rugissement fort et caractéristique des mâles. À cette époque, il vaut mieux ne pas s'enfoncer dans la forêt, car les orignaux sont agressifs et peuvent attaquer une personne.

Aussi célèbre Les combats d'élans, où les rivaux dans la lutte pour la meilleure femme peuvent non seulement se blesser gravement, mais même mourir. La grossesse d'Elk dure 225-240 jours d'avril à juin. Habituellement, un veau naît, mais les vieilles femelles expérimentées peuvent donner naissance à des jumeaux. Le bébé a une couleur rouge clair et peut se lever quelques minutes après la naissance, et après 3 jours, il peut bouger librement.

Maturité du wapiti arrive à 2 ans, et à 12 ans ils vieillissent déjà, bien qu'en captivité, avec de bons soins, ils vivent jusqu'à 20 ans.

Ennemis de l'élan

D'abord ennemi d'élan, bien sûr, un homme avec une arme.

Les wapitis sont chassés loups et les ours (ours brun, grizzly). La proie est généralement de jeunes orignaux malades et âgés. Les loups sont pratiquement inoffensifs pour les adultes en bonne santé s'ils n'attaquent pas en grands groupes.

élan il est difficile de maintenir une défense périmétrique dans les espaces ouverts. L'image est complètement différente lorsque l'élan est dans le fourré. Ici, il prend souvent une défense défensive : après avoir recouvert l'arrière de quelques arbres ou bosquets de buissons, l'élan se défend des coups d'attaque de ses pattes avant. Ces coups de signature Elk sont capables de ouvrir le crâne d'un loup et peut facilement se protéger d'un ours. Par conséquent, les prédateurs évitent de rencontrer le wapiti « face à face ».

L'orignal est un excellent nageur et peut retenir son souffle sous l'eau pendant plus d'une minute.

Parmi les sens, le wapiti a l'ouïe et l'odorat les mieux développés. La vue d'Elk est faible- il ne voit pas une personne immobile à une distance de quelques dizaines de mètres.

Dans un combat avec des prédateurs, le wapiti utilise de fortes pattes avant, de sorte que même les ours préfèrent parfois contourner le wapiti. Ces animaux courent bien grâce à des pattes fortes et longues, et peuvent atteindre des vitesses allant jusqu'à 56 km/h.

Lait d'élan, avec laquelle ils nourrissent leur progéniture, contient 5 fois plus de protéines que la vache, et 3 à 4 fois plus gros. Aujourd'hui, en Russie, il existe deux fermes d'orignaux qui produisent du lait utilisé à des fins médicinales, ainsi que de la viande et de la peau.

Au début, les veaux d'orignal aux longues pattes ne peuvent pas atteindre l'herbe et brouter sur leurs genoux.

Photo de élans célestes ou Deer étaient communs à de nombreux peuples chasseurs. La constellation Ursa Major dans la tradition russe s'appelait Elk. Les peuples du Nord ont des légendes sur la création de la Voie lactée à la poursuite des chasseurs d'élans, ainsi que sur la façon dont les élans ont transporté le soleil dans la taïga céleste. Parfois, les chasseurs de la taïga imaginaient aussi au sens figuré le soleil comme une créature vivante - un élan géant, parcourant tout le ciel pendant la journée et s'enfonçant dans la mer souterraine sans fin à la tombée de la nuit.

Ces deux bêtes terrifient les grands prédateurs. Ils sont eux-mêmes des prédateurs, mangeant tout ce qu'ils attrapent et trouvent. L'un d'eux se trouve dans toute l'Europe et l'Asie, se trouve en Russie et est célèbre pour sa férocité. Et le second est un aborigène africain, d'ailleurs, avec un nom plutôt paisible.

Eh bien, avez-vous une idée de qui cela pourrait être?

Nous sommes sûrs que beaucoup ont été les premiers à nommer l'ours et se sont trompés. Les ours eux-mêmes ne risquent pas de s'impliquer avec une bête appelée carcajou. Et le deuxième animal est le blaireau à miel africain, qui appartient à la famille des blaireaux. Mais ne laissez pas le nom paisible vous induire en erreur - le blaireau est un prédateur très dangereux dont tous les grands félins, y compris les lions, ont peur. Même les éléphants et les rhinocéros essaient de l'éviter.

Et voici votre confirmation !

Carcajou

Cette bête est petite, de la taille d'un chien moyen, mais en force elle est comparée à un ours et en férocité - au diable lui-même. Fait référence aux belettes.

• Elle a des mâchoires incroyablement fortes, ses dents peuvent mordre même les os les plus gros et ses griffes sont les plus longues et les plus puissantes parmi les animaux. Ce sont les seuls prédateurs qui mangent même les dents de leurs proies !
• Le nom scientifique du carcajou est Gulo Gulo, qui se traduit par Glutton. En une journée, l'animal peut manger autant de nourriture qu'il se pèse.
• Les carcajous sentent très dégoûtant, c'est pourquoi ils sont aussi appelés mouffette, ours diabolique ou malodorant, un méchant chat. De nombreux experts pensent que c'est le carcajou qui est le mystérieux Chupacabra qui détruit des dizaines d'animaux domestiques et d'oiseaux.

• Un carcajou peut facilement tuer un animal, même 10 fois sa taille. C'est dangereux pour une personne, mais seulement si cela provoque une attaque.
• Elle a les plus grosses griffes, la patte ressemble à une raquette, l'animal nage et plonge parfaitement, et peut chasser les poissons.

• Les carcajous sont des voleurs plus puissants que quarante. Dans la tanière d'un mâle, ils ont trouvé un tas de choses complètement inutiles pour lui : un chapeau melon, une bûche carbonisée, un vieux pistolet, une bouteille d'alcool et bien plus qu'il a apparemment trouvé dans des pavillons de chasse.
• En été, les carcajous adorent se régaler de baies sauvages, chassant même les ours des framboises.

• Il y a des témoins de chasse qui ont vu comment un petit carcajou a pris le saumon attrapé d'un énorme ours et est parti calmement, tandis que la victime est allée attraper un nouveau poisson. Dans l'un des zoos du Canada, un carcajou a creusé une cage avec un ours polaire et l'a étranglé.

Blaireau de miel africain

Ce blaireau n'a pas meilleure réputation que le carcajou nordique. Le blaireau à miel tire son nom de son amour du miel, bien que ce ne soit pas son régime alimentaire principal. C'est un vrai prédateur, comme un carcajou - il chasse les animaux encore plus que lui-même, se nourrit de léopards et de lions.

Il a de nombreux noms - blaireau chauve, tornade noire, ours en colère. Il a reçu le surnom de chauve, donc, que la fourrure sur lui est légère et de loin il semble qu'il n'est pas là.

Les pattes du blaireau à miel ont exactement la même structure que celles du carcajou. Et aussi - le blaireau à miel a la même peau épaisse que l'éléphant. Même les lions ne peuvent pas le mordre ! Par conséquent, si le blaireau tombe dans sa bouche, il ne perd que quelques touffes de laine. Mais les rois des bêtes peuvent très mal souffrir, et les lions préfèrent ne pas se mêler de ce monstre.

Les serpents venimeux ne peuvent pas mordre à travers une peau épaisse, donc le blaireau à miel les attrape facilement, même les cobras, les serpents à lunettes et s'en régale.

Et voici une vidéo de la façon dont le blaireau à miel "construit" toute une famille de lions.

Les mecs!

Pour ceux d'entre vous qui veulent en savoir plus sur la vie et les habitudes des animaux et des oiseaux qui peuplent l'immensité de notre grande patrie, ce livre est adressé. C'est comme le premier chemin précieux menant au monde fascinant de la connaissance de la faune. Cependant, pas tous les animaux, mais leurs nombreuses espèces, nous pouvons le dire ici. Ne parlons que des plus intéressants. Chaque animal ou oiseau, que ce soit un ours polaire ou un lynx, un écureuil ou un pélican rose, est remarquable à sa manière, chacun d'eux a sa propre place qui lui est assignée par la nature. Alors allons-y! Rencontrez le royaume de la faune à fourrure, ailé, moustachu et à queue !

Toundra

La toundra s'étend le long de la côte de l'océan Arctique. L'hiver est très long ici, neigeux et glacial. Les étés sont courts et froids. En juillet, le mois le plus chaud de l'année, la température ne dépasse pas les dix degrés. Ici et là, il y a encore de la neige fine à faible cohésion et les vents sifflent la nuit. Il peut être humide et nuageux pendant la journée. Une épaisse couche de pergélisol repose dans le sol à faible profondeur. Il n'est pas facile pour les animaux et les oiseaux de vivre ici. De vastes zones sont couvertes de marécages, de mousses, d'herbes. Bouleaux nains, saules, trembles poussent ici. En automne, il y a beaucoup de champignons et de baies : myrtilles, airelles, chicouté.

Ours polaire

L'ours polaire vit dans le Grand Nord, dans l'Arctique froid et enneigé. L'énorme bête voyou est à juste titre considérée comme le prédateur le plus féroce et le plus vorace de toute la côte de l'océan Arctique.
Il a un "manteau" de fourrure blanc comme neige, légèrement doré au soleil, épais et chaud. Même la plante des pattes est "en laine". Et sous le "manteau de fourrure", il y a une épaisse couche de graisse sous-cutanée. Fat sauve un vagabond féroce des tempêtes de neige, des blizzards et des gelées sévères.

L'ours polaire court vite, nage et plonge parfaitement, a une ouïe fine et une vue perçante. Errant dans le désert blanc comme neige, il chasse les phoques et les morses, attrape adroitement des poissons, et de sous la neige profonde, il déterre habilement des souris avec ses pattes.
Pendant la saison estivale éphémère du nord, le géant blanc se régale de mousses, d'herbes et de baies.

La tête de l'ours polaire est étroite et les pattes sont larges et fortes. Avec de telles pattes, il est plus pratique pour lui de ramer dans l'élément eau glacée. L'infatigable géante blanche nage facilement et librement des dizaines de kilomètres dans l'océan Arctique.
Il est prudent d'admirer un bel ours avec des oursons uniquement sur la photo. C'est une autre affaire dans la nature - là-bas, parmi les monticules de glace et les neiges sans fin, méfiez-vous d'elle !

Morse

Les eaux froides et salées de la mer de Kara et de la mer Blanche sont originaires du morse - l'un des plus grands animaux du nord, atteignant une longueur de quatre mètres. Au lieu de pattes, il a des nageoires. Avec eux, le morse, comme des rames, dirige habilement dans la mer.

Deux grands crocs blancs pointus dépassent des moustaches hérissées du morse. Avec ses crocs, il s'appuie sur la banquise et, tel un sac de cuir épais et maladroit, tombe des profondeurs mousseuses de la mer sur le rivage. Les morses se dandinent le long du rivage, maladroitement, à l'aide de nageoires. Mais ils plongent agilement du rivage dans les eaux de la mer froide. Ils s'enfoncent rapidement dans une profondeur et, comme une herse, « labourent » le fond boueux avec leurs crocs à la recherche de nourriture. Le "plat" préféré des morses est le mollusque en coquille. Ils écrasent des coquillages solides avec des dents acérées et engloutissent la chair de coquillages ainsi que les algues par les deux joues. L'appétit des plongeurs aux crocs marins est, franchement, enviable !

Sceller

En décembre, lorsque les tempêtes de neige hurlent pendant des semaines dans le nord et que les bourrasques de vent sifflent, des centaines de gros phoques à tête blanche pesant deux mètres rampent sur la glace de la mer Blanche. Dans l'eau, les phoques se sentent comme dans leur élément natal, bien mieux que sur terre. Au lieu de pattes, ils ont des nageoires, et les nageoires avant leur servent à nager comme des rames, et les arrière - comme un gouvernail. Une épaisse couche de graisse sous-cutanée les protège du froid. Les phoques sont de merveilleux plongeurs et nageurs, ils capturent magistralement des poissons dans la mer.

De février à mars, les phoques donnent naissance à de drôles de phoques blancs comme neige avec de grands yeux noirs curieux juste sur la glace. Les premiers mois de leur vie, les mères les nourrissent avec du lait, et dans le Nord, on les appelle avec justesse et affection - les phoques.

Loup de la toundra

Des rives de l'océan Arctique à la toundra forestière, parmi les énormes blocs de glace et les aurores polaires vit ce féroce, intelligent et robuste, presque blanc, à l'image des interminables champs blancs comme neige, un animal prédateur. Les loups de la toundra arctique sont plus gros que leurs cousins ​​gris des forêts. Leur pelage est léger, chaud, long et la queue est baissée. Ils chassent seuls ou en petits groupes. La meute est dirigée par un chef de loup expérimenté. Les loups de la toundra poursuivent des troupeaux de rennes et de bœufs musqués. Avec eux, ils errent, se déplaçant en hiver de la toundra plus près de la taïga. Le plus souvent, les animaux malades et âgés qui ne peuvent pas courir rapidement et sont à la traîne du troupeau deviennent leurs victimes. En plus des cerfs, des lièvres et des renards polaires, les loups de la toundra chassent les oies, les canards et, en été, ils se régalent d'herbes juteuses et de baies.

Renne

Dans le Grand Nord, il y a des gelées et des blizzards presque toute l'année. Et l'été est très court. Ici, vous ne trouverez ni chevaux ni vaches, mais les rennes ont beaucoup d'espace. Après tout, le renne est un enfant d'étendues bleues enneigées sans fin et de longues nuits polaires sombres. Il a un pelage épais et ondulé, des pattes rapides et minces, des cornes ramifiées (chez les mâles et les femelles). Avec son nez "peluche" sensible, le cerf recherche des mousses - lichens savoureuses et nutritives sous la neige.

Il semble que Dame Nature elle-même ait créé un cerf pour le Nord. Grâce à ses larges sabots, il ne tombe pas dans les congères et ne reste pas coincé dans les marécages marécageux. Les attelages de rennes sont indispensables pour conduire sur l'immense tout-terrain blanc comme neige.
Un cerf donne naissance à un cerf par an. L'enfant se lève rapidement et court après sa mère. Savez-vous ce qu'il aime beaucoup ? Le sel! Si vous voulez vous lier d'amitié avec le faon, donnez-lui la plénitude de lécher une poignée de sel de sa paume avec sa langue rugueuse.

La viande de cerf est savoureuse et le lait est sucré et gras. Les peuples du Nord fabriquent des manteaux de fourrure chauds, des chaussures (pimas), des chapeaux et des mitaines à partir de peaux de renne.

Bœuf musqué

Dans l'Arctique et la toundra, parmi le "désert glacé" dans des zones couvertes de mousses et de lichens, paissent de petits troupeaux de bœufs musqués. La croissance d'un bœuf musqué a la taille d'un petit cheval - un poney. Cependant, il semble beaucoup plus gros qu'un poney en raison de son pelage épais, long et chaud. Les bases des cornes raides et pointues (à la fois mâles et femelles) du bœuf musqué se referment sur le front en un puissant bouclier corné. Brune, avec un sous-poil doux et soyeux, la laine sauve l'animal des fortes gelées et des forts vents du nord. Les bœufs musqués se nourrissent de mousses, de lichens, de pousses de peupliers faux-trembles et de bouleaux.

Si les loups de la toundra affamés commencent à chasser le troupeau, les taureaux mâles aux cornes raides deviennent un anneau dense, côte à côte, avec leurs cornes vers l'extérieur, formant une barrière défensive circulaire fiable pour les prédateurs. Et au milieu du cercle se trouvent les veaux et leurs mères sensibles et attentionnées. Dès que le loup se précipite sur le taureau, il le bat avec des cornes, le piétine avec ses sabots. Et les prédateurs se retirent du troupeau, comme le dit le proverbe, mangeant beaucoup.

le renard arctique

Les renards arctiques blancs comme neige sont des habitants de la toundra rocheuse ouverte. Certes, dans l'Arctique, il y a des renards bleus, gris clair et même noirs. La fourrure duveteuse des renards arctiques est très prisée. Ce n'est pas pour rien que les chasseurs les appellent « renards polaires ».
Les renards arctiques ont beaucoup d'espace pendant l'été nordique rapide : ils attrapent des lièvres, détruisent des nids d'oiseaux, se régalent de baies et de créatures marines jetées à terre par les tempêtes.

Pendant le long hiver polaire, les renards arctiques ont faim, ils doivent donc parcourir la toundra, effectuant de longs voyages à la recherche de nourriture. Les renards arctiques ramassent les restes du déjeuner d'un ours polaire, chassent les souris, dont les terriers sont profondément enfoncés dans la neige. Le renard arctique a une ouïe extrêmement fine : une souris couine quelque part - et il est juste là. Il enfouit son visage dans la neige, le ratisse avec des pattes tenaces, fait claquer ses dents - et la souris est attrapée. Dans un blizzard et de fortes gelées, les renards arctiques se cachent dans des terriers qu'ils creusent dans des congères. Les animaux y passent souvent plusieurs jours, avant le dégel. Au printemps, de drôles de chiots à grosse tête naissent dans les terriers des sablonneux.

Harfang blanc ou harfang des neiges

Sur les îles de l'océan Arctique et dans la toundra, vit un grand oiseau aux yeux jaunes - le hibou blanc. En hiver comme en été, il est blanc comme neige avec des taches sombres légèrement visibles. Son bec et ses griffes sont pointus, noirs, crochus. Les plumes sur ses pattes permettent au hibou de marcher calmement sur la neige meuble sans tomber dedans.

La chouette blanche vole silencieusement et voit avec vigilance dans l'obscurité totale des longues nuits polaires. Un son léger ou un bruissement se fera entendre dans le désert enneigé de la nuit - le hibou l'attrapera immédiatement, alertera et volera, battant doucement ses larges ailes. Il s'enfoncera un instant dans la neige et l'emportera dans les griffes d'un lièvre, d'une souris ou d'une perdrix. Pas étonnant que les habitants du Nord appellent la chouette proie "chat polaire".

Peigne eider

Au printemps, de nombreux troupeaux de canards arrivent sur les îles, les rochers et les côtes de l'océan Arctique. L'un d'eux a une grosse excroissance sur le front, à la base, comme un peigne. Pour cette excroissance, le canard était surnommé "peigne". Un bel oiseau majestueux et grand avec un bec orange vif crie fort, répétant trois fois: "Arr-app-arr ..."
Comme tous les canards, l'eider nage et plonge magnifiquement. Elle se nourrit de mollusques, coléoptères et crustacés qui rampent le long du fond et des pierres.

Les oiseaux aquatiques ont des membranes sur leurs pattes, ce qui leur permet de ramer comme avec des rames, sans s'enliser dans la boue boueuse.
Les peignes nichent par paires, souvent loin de la mer. De simples nids sont construits le long des rives des lacs ou des rivières sous le couvert d'un buisson ou d'une pierre. Ils couvrent le fond et les parois des nids de peluches, les arrachant de leurs seins luxuriants. Sous une "couverture" aussi chaude, les oisillons des rayons n'ont peur ni des gelées nocturnes ni des vents froids de l'océan.

Mouette rose

La mouette rose est la perle ailée du nord. Elle a des plumes rose pâle sur la tête, la poitrine et l'abdomen; bec - noir; le dos et la queue sont gris-gris; les pattes sont rouges et autour du cou mince se trouve un collier sombre. En un mot, le plumage des mouettes roses, pour ainsi dire, absorbait le reflet des aurores polaires et les couleurs multicolores des aurores boréales.

Tout au long de l'hiver rigoureux, les goélands passent parmi les absinthes et les bassins versants de l'océan Arctique. Ils se jettent hardiment dans les vagues, plongent et attrapent poissons et crustacés avec leur bec.
Avec l'arrivée du printemps, les mouettes volent vers le sud. Ils nichent dans le cours inférieur des rivières de la toundra Indigirka et Kolyma. Parmi les bosses de mousse et les pierres, les nids sont construits à même le sol.
Les poussins de goélands roses sont recouverts de duvet chaud et ressemblent de loin à des jouets en peluche amusants. Au fil des ans, les "perles du Nord" - les mouettes roses sont de moins en moins nombreuses, c'est pourquoi les scientifiques se sont alarmés et les ont inscrites dans le "Livre rouge de la Russie" de sécurité.

T?pic

Un drôle d'oiseau au bec plat et épais vit sur la côte et les îles de l'océan Arctique, dont la moitié avant est colorée en rouge. Les explorateurs polaires l'ont surnommé en plaisantant « perroquet de mer » ou « clown ailé », et les scientifiques l'appellent « impasse ». Le vol de cet oiseau est incroyable. Lorsqu'un cul-de-sac vole bas, comme s'il s'étendait sur l'océan, il semble qu'il court le long de sa surface dans une course avec le vent, sautant d'une vague à l'autre. En même temps, l'oiseau vole de ses ailes courtes et s'aide de ses pattes.

Vêtu d'une plume dense et chaude, le « perroquet des mers » n'a peur ni des gelées crépitantes ni des vents froids et perçants de l'océan.
Puffin est un excellent plongeur et un pêcheur à la ligne réussi. Il attrape plusieurs poissons dans l'eau avec son bec et se précipite pour nourrir un seul poussin avec eux. Et le poussin attend ses parents ailés dans un trou de terre sur une pente raide au-dessus de la mer.

cygnes chanteurs

En avril, la neige de la toundra commence à fondre, les ruisseaux coulent, le soleil sort des nuages. Le vent pousse la banquise vers l'aval. Des miroirs d'eau claire se forment sur les lacs et les rivières. Parfois, des hauteurs célestes, le cri guttural et trompeur des cygnes se fait entendre, et sur la surface du miroir de l'eau, déployant leurs ailes, les majestueux cygnes blancs descendent et flottent en douceur - le plus grand de la famille des cygnes.

Les cygnes volent vers le nord en groupes. Sur les rives des rivières et des lacs, le cygne et le cygne construisent de grands nids spacieux dans des fourrés côtiers isolés. Le cygne couve quatre à six poussins à partir d'œufs. Alors que les poussins sont faibles et sans défense, les cygnes mettent les voiles, portant leurs petits sur leur dos. Bientôt, les cygnes grandiront, commenceront à nager seuls, à attraper des insectes et à grignoter de l'herbe. Le cygne garde avec vigilance et courage son site de nidification. Il ne permet pas à des prédateurs non invités de s'approcher de lui - ni un renard polaire, ni un loup, ni un faucon. Dans un coup furieux sur un prédateur, un cygne le chasse avec son bec et ses ailes puissantes et peut même le blesser.

Avec l'arrivée du froid, les cygnes en groupes s'envolent pour hiverner dans les régions chaudes. Au printemps, ils retournent sur les rives de leurs rivières et lacs nordiques natals.

Taïga

Au sud, la toundra blanche comme neige s'assombrit progressivement et se transforme en forêts de conifères - la taïga. Dans la taïga sibérienne, on trouve de nombreux conifères à feuilles persistantes : cèdre, pin, épicéa, sapin.

Et il y a plus d'animaux et d'oiseaux que dans la toundra. Certains se cachent pour l'hiver dans des tanières, d'autres dans les buissons, et d'autres encore dans des trous de terre. Les hivers sont froids et rigoureux, et les étés sont chauds.

ours brun

Dans les forêts denses de conifères - la taïga - vit un ours brun. Dans les contes de fées russes, il est respectueusement appelé le maître de la taïga, Kosolapy ou Toptygin.

Dans un zoo, dans une volière ou dans une cage, un ours semble paresseux et maladroit. Cependant, dans la taïga, en liberté, il a l'air complètement différent. Cette énorme bête, atteignant parfois trois mètres de long, grimpe rapidement et avec dextérité sur les troncs de grands cèdres centenaires, nage à travers des rivières tumultueuses, éloigne de lourds rochers de son chemin. Et d'un coup de patte à forte griffe, il renverse un puissant élan cornu. L'ours est très malin : il sent la fumée dans la taïga ou voit le feu de loin, court aussitôt pour s'échapper vers une rivière ou un lac.
Pour l'hiver, l'ours s'endort dans une tanière - un trou sous les racines de vieux cèdres ou sous les troncs d'arbres abattus par une tempête. Les oursons naissent d'une ourse dans une tanière en janvier-février. Dans la taïga, à cette époque, les gelées crépitent, les blizzards hurlent et dans une tanière, recouverte d'une couverture de neige luxuriante, il fait doux, chaud et calme.

Les oursons naissent minuscules, de la taille d'une mitaine. Au printemps, à la fonte des neiges, la maman ours arrête de nourrir les bébés avec du lait, sort de la tanière et les accompagne dans la forêt. Elle apprend aux pieds bots à chercher des racines d'herbe et des cônes de cèdre sur le sol, sous les feuilles mortes. L'ourse conduit les oursons à la rivière pour un point d'eau, leur apprend à nager, à nager dans les bas-fonds. Soudain, les deux ours en peluche décidèrent d'être espiègles. L'un d'eux est monté au sommet d'un vieux pin sec et a failli tomber de là dans la rivière. Et l'autre a commencé à battre l'eau avec ses pattes autant qu'il le pouvait - les embruns volaient dans toutes les directions ! J'ai fait peur à tous les poissons.
En été, les ours, fredonnant et faisant claquer leurs lèvres, mangent des framboises directement du buisson, ne laissant que des branches nues après un déjeuner sucré de baies. Mais leur mets préféré est le miel d'abeille sauvage. Pour le miel volé dans les creux, les abeilles piquent impitoyablement les ours, vraiment, vous n'envierez pas un pied bot le bec sucré !

Carcajou

Le carcajou agace les chasseurs de la taïga. Elle vide souvent les pièges à martres et martres qui s'y sont retrouvés. Pour ces tours insidieux, elle a été surnommée "la foutue ours". Wolverine, en effet, ressemble un peu à un petit ours. Elle ne mesure pas plus d'un mètre. Elle a une fourrure noire et blanche longue et épaisse, des pattes fortes et larges, des dents et des griffes acérées et une queue duveteuse.

Le carcajou a un caractère prédateur. Elle peut ronger un loup et chasser un lynx prédateur de sa zone de chasse. Il est également robuste et fort : il parcourt des dizaines de kilomètres dans la neige profonde de la taïga, pourchassant chevreuils et renards polaires. En hiver, le carcajou fait du commerce avec des lièvres, des renards, des écureuils, et en été il erre dans la taïga et dévore tout ce qui se présente : s'il attrape une grenouille, un lézard ou une souris, il le mangera ; remarquerez un nid de grand tétras - se ruinera. Elle ronge joyeusement des cônes de cèdre, se régale des restes de proies d'ours, de loups, de lynx. Mangeant des animaux morts, le carcajou effectue un travail sanitaire utile dans la taïga.

Loup

Dès que le crépuscule gris est passé dans l'obscurité, un loup est sorti au bord. Grand, guilleret, avec une queue tombante. Son épaisse fourrure grise était argentée à la lumière de la lune. La bête leva son front tête haute et hurla d'une manière interminable : « U-huu ! Waouh ! Gu ! " - appelé le troupeau à la pêche de nuit. Tranquillement, sentier après sentier, les loups aux oreilles pointues ont couru le long du sentier enneigé chéri jusqu'au village. Attention aux moutons et chèvres, veaux et cochons ! Les prédateurs à pleines dents partaient à la chasse.

Dans les hivers enneigés et glacials, les loups ont faim. A cette époque, ils n'épargnent même pas les gens. Les chasseurs tirent depuis longtemps sur des prédateurs diaboliques et insidieux.
Dans la taïga et les contreforts, les loups attaquent les orignaux, les chevreuils, les cerfs et les sangliers. Les herbivores âgés et malades deviennent le plus souvent leurs proies. Une meute de loups, dirigée par un chef chevronné, sort chasser la nuit et pendant la journée, les animaux dorment dans un endroit isolé, loin des villages et des routes - une tanière.

Les loups sont très attachés à leur antre et protègent leurs « terres » de taïga des intrus : ours, carcajous, lynx. Les jours de printemps, au son du tambour des pics, des loups bruns aveugles à grosse tête naissent de louves. Ils grandissent rapidement, gagnent en force et organisent des histoires et des combats pour des os près d'une tanière cachée dans les roseaux sur les rives de la taïga.

Lynx

Le lynx est un gros chat prédateur tacheté avec une queue courte, comme une queue coupée. Ses yeux sont jaune-vert, coquins. Oreilles avec pompons. Les pattes sont larges, douces, avec des griffes acérées tenaces. Il fait un peu plus d'un mètre de long. Le lynx marche silencieusement sur le sol et l'herbe. Elle grimpe habilement sur les troncs et saute habilement le long des branches des arbres.

Le lynx chasse la nuit ou au petit matin, et toujours seul. Pour la chasse, il choisit une petite zone de la forêt. Il s'installera quelque part sur une épaisse branche de cèdre hirsute, se déguisera et, retenant son souffle, attendra sa proie. Un lièvre blanc galopera le long du chemin ou un petit chevreuil courra vers le ruisseau - le lynx se réduira en boule, jaillira ... Un saut instantané - et une proie savoureuse dans les griffes du prédateur. Et aussi le chat de la taïga attrape des tétras lyre endormis et des tétras lyre, ni les souris ni les rats ne peuvent échapper à ses griffes acérées.

Hermine

En été, le "costume" d'une hermine est brun-brun, discret dans les fourrés de la taïga et sur les placers pierreux de montagne. Mais en hiver, la bête s'habille d'un "manteau de fourrure" blanc comme neige chic. Seul le bout de la queue reste noir. La belle et durable fourrure d'hermine blanche comme neige est très prisée.

Autrefois, de longues et élégantes robes blanches étaient cousues en fourrure d'hermine pour les rois. L'"animal du tsar" vit dans des terriers souterrains avec de nombreuses salles de stockage, chambres et sorties. Il chasse les perdrix, les tétras noisette, les tétras lyre. Cependant, son plat préféré est la souris. Des animaux rapides et agiles détruisent des milliers de rongeurs nuisibles dans la taïga, apportant de grands avantages à la nature.

Tamia

Le tamia ressemble beaucoup à l'écureuil, sauf qu'il fait presque la moitié de sa taille. Son museau est en écureuil, ses oreilles sont rondes, mais sans pompons. Les yeux sont exorbités, noirs, comme des baies de cassis. Le "manteau de fourrure" du tamia est rouge, la queue courte est dressée et le long du dos, il y a cinq rayures noires. En un mot, l'animal est drôle. Il vit dans la taïga.
Un tamia agile court rapidement le long du sol et le long des troncs d'arbres, et se cache des ennemis dans des trous de terre. Pour cela, la taïga l'appelait « écureuil de terre ».

En automne, le tamia bourre ses joues de pignons de pin et les met dans des terriers en réserve. Avec l'arrivée de l'hiver, "l'écureuil de terre" grimpe dans le terrier et hiberne jusqu'au printemps. En avril, il se réveille, rampe hors de la "chambre en terre" et se nourrit des réserves d'automne de pignons de pin.
En été, avant un orage, les tamias s'assoient sur leurs pattes postérieures, soutiennent leurs joues avec celles de devant et, se balançant légèrement, se mettent à siffler et à tousser sourdement. Et les gens et les animaux de la taïga savent que depuis que les tamias se sont raclés la gorge, il va bientôt pleuvoir ou un fort orage avec du tonnerre et des éclairs éclatera.

Aigle en or

C'est le plus grand oiseau de proie de la grande famille des aigles. Pour sa majesté et sa vigilance, l'aigle royal était surnommé « le seigneur du ciel ». Ses plumes sont larges, brun foncé et son envergure atteint trois mètres.

Les aigles royaux s'installent dans la taïga sibérienne sur les pentes des montagnes et le long des vallées fluviales. Les nids énormes sont construits à partir de branches épaisses sur des rochers ou de grands arbres inaccessibles aux animaux prédateurs. Les « seigneurs du ciel » ont un fort cri guttural : « kyek-kek-kyek… » Pendant des heures, ils planent dans le ciel, chassant les renards polaires, les tétras des bois et les lièvres. Si l'aigle royal voit un loup, il le chassera et le griffera. En un mot, l'aigle royal est un prédateur de la taïga courageux, fort et vigilant.

Hibou

Un hibou hululait bruyamment dans la nature sauvage et dense de la taïga dans la nuit noire et sauvage. Les souris, rongeant les cônes de cèdre, se sont immédiatement précipitées pour courir dans différentes directions, bruissant d'aiguilles et de feuilles tombées.
Le prédateur ailé, ayant attrapé le bruissement, a volé doucement après sa proie. Un atterrissage rapide et soudain - et une souris dans ses griffes acérées. Avec la proie, la chouette vole jusqu'à son nid, situé dans un ravin, dans la crevasse d'une vieille souche. Là, deux poussins duveteux jaunes l'attendent avec impatience.

Dans l'obscurité totale, la chouette, la plus grande des chouettes, voit et entend bien. Il a de grands yeux rouge orangé, un bec crochu et deux grappes de plumes qui dépassent sur les côtés de sa tête - des "oreilles" sensibles. Le vol du prédateur ailé de la nuit est silencieux. Hurlements et rires bruyants la nuit pour tout le quartier de borovoy : "Wow-hu-hu-hu gu !", La chouette effraie et griffe les corneilles et les lièvres, chasse les rongeurs : souris et rats.

Tétras des bois

Le plus grand oiseau vivant dans les vieilles forêts de conifères avec des baies et des mousses est le tétras des bois. Si les tétras des bois ne sont pas dérangés, les arbres ne sont pas abattus dans leurs lieux de nidification, alors ils s'y installeront pour des dizaines ou des centaines d'années. Ils se nourrissent de baies, de graines d'herbe, d'aiguilles, de bourgeons, picorent de la résine parfumée, attrapent divers insectes et avalent de petits cailloux le long des rives des rivières et des ruisseaux. Les cailloux, comme les meules, aident à broyer la nourriture dans leur estomac.

Au printemps, dès que les neiges commencent à fondre dans la taïga, les bourgeons gonflés dégagent une odeur douce et enivrante et le vent chaud du sud bourdonne au sommet des cèdres, les grands coqs dignes des grands tétras s'assoient sur de hautes branches et commencent à chanter leurs chansons émouvantes - à jeter. Il fait encore sombre et calme dans la taïga en ce moment. Mais soudain, quelque part au-dessus, depuis l'obscurité du petit matin, depuis les pattes de cèdre hirsutes, un léger déclic se fait entendre : « Buck ! » et une chanson merveilleuse commence à sonner. Tokuya, un beau "coq de la taïga", dont le plumage sombre projette un éclat métallique, écarte la queue comme un éventail, abaisse ses puissantes ailes brunes, étend son cou, lève ses sourcils écarlates et ébouriffe sa "barbe" noire. Ce n'est pas pour rien que le tétras des bois, du même âge que l'ancien éléphant, le mammouth, était populairement surnommé "le roi des oiseaux". Et il a une chanson spéciale ! Au début, il y a un clic sourd: "teke-tek, teke-tek", puis - en tournant, comme avec un couteau sur un bloc: "scree, scree, scree ..." À la fin de cette chanson altruiste le grand tétras n'entend plus rien, devient sourd. Apparemment, c'est pour ça qu'on l'appelait ainsi. Mais l'œil du grand tétras est perspicace !

corbeau

Le corbeau est noir comme de la suie au four. Sa plume dense et solide projette un éclat d'acier violet foncé au soleil. De la famille des grands corbeaux "noirs" - choucas, corbeaux, pies, corbeaux - le corbeau est le plus grand et digne oiseau avec un bec épais et des griffes acérées. Les corbeaux construisent des nids dans les forêts de conifères, sur les grands épicéas et les cèdres, sur les corniches rocheuses. Leur vol est libre et fluide. Facilement, comme pour plaisanter, ils parcourent de longues distances.

Le matin, les corbeaux s'en prennent à leur proie. D'un œil attentif, ils inspecteront chaque piste, ravin de la taïga et examineront les berges des rivières. Si des charognes sont remarquées : les restes d'un orignal, abattu par un ours, ou des poissons morts sur le rivage, en informeront immédiatement les proches. Des cris retentissants, gutturaux et invitants seront entendus du ciel : "Krruk !", "Krruk !"