Que signifie le concept du « dernier ancêtre commun de toute l'humanité » ? Eve mitochondriale et Adam du chromosome Y - l'Adam et Eve de la Bible - sont-ils les seuls ancêtres de tous les habitants de la Terre ? Ces questions sont souvent posées par un public curieux, et bien que la science connaisse les réponses, il n'est pas si facile pour une personne ordinaire de les comprendre du point de vue du bon sens quotidien.
D'où viennent les Evas mitochondriales ? Le diagramme montre comment, à la suite d'une dérive génétique, la diversité de l'ADNmt dans une population aboutit finalement à une seule variante, dont toutes les femelles deviennent porteuses. Ce processus est stochastique, basé sur le hasard, mais son issue est inévitable.
Le dernier ancêtre commun de l'humanité, celui avec lequel chaque habitant de la Terre - des aborigènes australiens aux Esquimaux groenlandais - est directement lié. L'intuition suggère que notre ancêtre commun a vécu sur Terre à une époque fantastiquement ancienne, il y a peut-être un million d'années. Cependant, en réalité, ce n'est pas le cas, ce qui est confirmé par les calculs les plus complexes.
Tout est vite devenu lié
Imaginons qu'il existe une certaine population avec un nombre constant, où le nombre d'individus ne change pas de génération en génération. Et imaginons que de génération en génération, les couples mariés au sein d'une population se forment de manière aléatoire, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de sous-groupes isolés dans celle-ci. Chaque mâle a une chance égale de s'accoupler avec n'importe quelle femelle et vice versa. Une telle population est appelée panmictique et est un modèle idéal largement utilisé en biologie, apparenté à un gaz idéal ou à un corps noir en physique. Dans une population panmictique, chaque couple de parents laissera un certain nombre de descendants (par exemple, de 0 à 4), mais en conséquence, un nombre d'individus survit qui correspond exactement à la taille de la génération parentale. C'est-à-dire que chaque paire de parents laissera en moyenne deux enfants survivants. La même chose peut être dite à propos de chaque individu de la génération "0": dans la génération "1", il aura, en moyenne, deux descendants. Cela signifie que dans la génération "2" le même individu aura quatre petits-enfants, dans la génération "3" - huit arrière-petits-enfants, etc. Jusqu'à ce que les descendants de cet individu commencent à se croiser, leur nombre augmentera jusqu'à 2 en degré N, où N est le nombre de générations. C'est-à-dire très rapidement, et même après le début des croisements liés, la vitesse ne baissera pas beaucoup. Et puis un jour viendra une génération dont chaque représentant sera directement lié à l'un des individus de la génération "0".
Points de convergence
Eve mitochondriale et Adam chromosomique Y sont plus correctement appelés points de convergence. Ce sont les points de l'arbre évolutif où toutes les branches convergent en un seul nœud. Et un arbre construit selon n'importe quel gène a un tel point de fuite. Si vous prenez un gène sur des autosomes (chromosomes non sexuels), le point de convergence sera, en règle générale, encore plus ancien que Eve mitochondriale et Adam chromosomique Y. Le fait est que l'ADNmt et le chromosome Y ont un nombre effectif inférieur. Les hommes et les femmes ont l'ADNmt, et seulement dans une variante, et seul l'ADNmt maternel est transmis à la progéniture. Seuls les mâles ont un chromosome Y et aussi un seul. Le gène situé sur l'autosome a quatre fois le nombre effectif, car chez les femelles et les mâles, il existe en double (variantes) et est transmis à la progéniture des deux parents. Ainsi, on peut s'attendre à ce que le dernier ancêtre commun (point de convergence) de tout gène autosomique soit environ quatre fois plus profond dans le passé que l'Ève mitochondriale. Pour certains gènes, le point de convergence peut être même antérieur au point de divergence des ancêtres des humains et des chimpanzés. Cela signifie que même alors, il y avait deux variantes de ce gène et les deux sont passées dans la population d'Homo sapiens.
Quand cela arrivera-t-il ? On estime que le premier ancêtre commun de la génération "0" apparaîtra pour une génération, dont le nombre peut être calculé approximativement à l'aide de l'expression mathématique log2P (où P est la taille de la population). En termes simples, cela ne prendra pas plusieurs générations. Pour une population de 1000 individus, ce sera approximativement la 10ème génération. Après qu'approximativement le même nombre de générations se soient écoulées, tous les individus de la génération "0" deviendront soit les ancêtres communs de tous les membres vivants de la population, soit ils n'auront pas du tout de descendants vivants (en raison de lignes interrompues). Pour une population de 100 000 individus, le moment d'apparition du premier ancêtre commun se produit dans environ 17 générations, et après 30 ou un peu plus, tous les individus de la génération "0" deviendront les ancêtres communs de toute la population vivante, à l'exception de ceux qui n'ont aucune descendance vivante.
Le diagramme montre comment, à la suite d'une dérive génétique, la diversité de l'ADNmt dans une population aboutit finalement à une seule variante, dont toutes les femelles deviennent porteuses. Ce processus est stochastique, basé sur le hasard, mais son issue est inévitable.
Nous sommes tous Rurikovich et Chingisovich
De ces mathématiques simples découle la conclusion : il n'est pas nécessaire d'aller trop loin dans le passé après le dernier ancêtre commun de l'humanité et de ses grands groupes. Très probablement, toute la population de l'Eurasie d'aujourd'hui est la descendance de toute personne ayant vécu il y a 1000 ans et ayant eu de nombreux enfants ou petits-enfants. Par exemple, le nombreux clan des Rurikovich a prospéré il y a environ 1000 ans, d'où l'on peut conclure que maintenant tous les Russes sont presque certainement les descendants directs des Rurikovich. Même si l'on tient compte du fait que l'entrée des membres de cette famille dans le mariage était limitée par des barrières sociales, le flux minimum à travers ces barrières était suffisant pour que le modèle fonctionne et les gènes de la famille princière-tsariste russe nous soient parvenus chacun.
Était-ce l'invasion et la pénétration des Mongols en Russie par Batu ? Cela signifie que nous pouvons dire sans risque que tous les Russes sont des descendants de certains Mongols et même de Gengis Khan personnellement (à propos de lui un peu ci-dessous). Mais comment cela peut-il être? - quelqu'un s'y opposera. - Après tout, il n'y a pratiquement pas de gènes mongols dans le pool génétique russe ! Oui, mais cela ne prouve pas du tout l'absence d'ancêtres mongols. La population entière peut être constituée des descendants d'une seule personne, mais ne porte pas dans son génome ses sections d'ADN. Le fait est qu'avec une augmentation géométrique du nombre de descendants, la proportion des gènes de l'ancêtre diminuera dans la même progression géométrique. Après 35 générations, il est fort probable que cette progéniture particulière n'aura pas un seul nucléotide hérité de l'ancêtre. La proportion de gènes restants de l'ancêtre est calculée dans ce cas comme 1 divisé par 2 à la puissance 35. Considérant que nous avons environ six milliards de nucléotides, il s'avère que cette proportion sera inférieure à un nucléotide.
Il a été rapporté qu'aujourd'hui, il n'est plus possible de trouver un génome australien pur parmi les aborigènes du continent vert. Tous ont un mélange européen, bien qu'il soit complètement incompréhensible d'où il vient parmi les tribus vivant isolées dans les déserts. Il est clair qu'il s'agit d'une trace d'un contact très rare, mais maintenant tous les Australiens indigènes sont un peu blancs. Le véritable génome de l'aborigène australien n'a été lu que récemment, mais pour cela, il a fallu utiliser un échantillon de cheveux aborigènes collecté par un anthropologue il y a plus de 100 ans.
Veille accidentelle
Ainsi, le dernier ancêtre commun de l'humanité est bien plus proche de nous qu'on ne le pense. C'est une tout autre affaire si nous ne cherchons pas seulement le dernier ancêtre commun, mais le dernier ancêtre commun d'un gène spécifique ou d'un morceau spécifique du génome, disons, l'ADN mitochondrial ou le chromosome Y. Comme vous le savez, ces deux parties de notre génome sont intéressantes en ce que l'une d'elles (l'ADNmt) est transmise strictement par la lignée maternelle, et l'autre (le chromosome Y) est strictement sur le mâle. Nous recevons toutes les autres parties du génome du père et de la mère.
La carte génographique montre de quelles manières l'humanité s'est déplacée à travers le monde, une fois quittant sa patrie ancestrale africaine. Les données scientifiques indiquent que les ancêtres des peuples qui se sont installés en Eurasie, en Australie et dans les deux Amériques n'étaient que quelques milliers d'Africains.
Le dernier ancêtre commun de la lignée maternelle directe, traditionnellement appelé « Eve mitochondriale », est beaucoup plus éloigné dans le passé que le dernier ancêtre commun. Le fait est que le nombre de descendants d'une certaine femme dans une lignée féminine droite n'a pas la propriété d'augmenter de façon exponentielle à chaque génération, mais se comporte de manière complètement différente. Il change selon la loi des marches aléatoires - en raison de la dérive génétique. À chaque génération, il peut augmenter d'une valeur aléatoire et diminuer d'une valeur aléatoire, et ce processus n'a pas de « mémoire ». Cependant, nous avons toujours affaire à une situation calculée mathématiquement, dont l'issue peut être prédite.
Disons qu'il y a la génération « 0 », et qu'il y a 20 femmes, chacune ayant sa propre variante d'ADNmt. Dans la génération suivante, chacune de ces femmes donne naissance à un certain nombre (par exemple, de 0 à 4) filles (les fils dans ce cas peuvent être négligés). Sur le nombre total de filles de la génération, il y en a encore 20. Et certaines femmes de la génération "0" ont eu de la malchance : elles n'ont pas donné naissance à des filles ou leurs filles n'ont pas survécu. Ainsi, à la génération 1, la diversité de l'ADNmt a légèrement diminué. Cela se produit de génération en génération : progressivement, de moins en moins de variations d'ADNmt subsistent dans la population. Et bien que la fréquence de chacun des 20 haplotypes fluctue selon la loi des errances, vers la 30e génération, il ne reste qu'une seule des variantes originales. A ce moment, la femme qui a introduit cette variante de l'ADNmt dans la génération "0" devient l'Eve mitochondriale de toute la population vivante. Il s'agit d'un processus stochastique basé sur le hasard, mais dont l'issue est inévitable : toutes les femmes vivantes de la population seront les descendantes directes d'une femme célibataire de la génération « 0 ».
D'après l'explication, il est clair qu'Eve mitochondriale n'est en aucun cas la seule femme qui existait dans l'Antiquité et dont tout est originaire. Non, il y avait toute une population à côté d'elle, et beaucoup de femmes de la génération "0" sont aussi les ancêtres de la jeune génération, mais pas en ligne droite féminine, mais par fils, petits-enfants, arrière-petits-enfants, c'est-à-dire, ancêtres masculins. L'âge de l'Ève mitochondriale est fondamentalement supérieur à celui du dernier ancêtre commun. Elle est séparée de la génération vivante par un nombre de générations approximativement égal au nombre d'individus de la population.
Certes, il convient de noter que tous ces calculs sont liés à la population panmictique idéale. En réalité, la migration, l'isolement d'une partie de la population sur d'autres continents et îles - tout cela peut affecter le processus et augmenter le nombre de générations. Néanmoins, dans l'histoire réelle, si un isolement complet se produit, il ne dure généralement pas longtemps selon les normes de l'anthropogenèse. La population de l'Amérique pendant 10 à 12 000 ans était presque totalement isolée de la population de l'Eurasie, mais Colomb a ensuite navigué et l'échange de gènes s'est poursuivi.
Tout ce qui est ancien et ancien
Jusqu'à récemment, il s'est avéré qu'Eve mitochondriale et Adam chromosomique Y avaient à peu près "le même âge" et vivaient tous deux en Afrique de l'Est il y a 180 à 190 000 ans. Mais peut-être que cette estimation était basée sur une connaissance incomplète de la diversité génétique de l'humanité. Il suffit de trouver dans la nature sauvage de l'Afrique tropicale une personne avec une variante jusqu'alors inconnue de l'ADNmt (une branche très ancienne), et Eve deviendra immédiatement plus âgée. Récemment, il a été signalé qu'un résident noir des États-Unis avait subi un test ADN et avait trouvé un type de chromosome Y jusque-là inconnu. Cela signifie que l'Adam du chromosome Y devra "vieillir".
Comment vérifier dans l'historique
Quant au chromosome Y Adam, on peut s'attendre à ce que, puisque la polygamie, un système de harem, se produit de temps en temps dans différentes cultures, et que des situations sont possibles où un homme peut laisser des milliers de descendants, différentes variantes du chromosome Y se déplacent plus rapidement que les différentes variantes de l'ADNmt. Ainsi, le chromosome Y peut parfois se propager très rapidement. Un travail scientifique intéressant a été réalisé en 2003, lorsque des généticiens ont analysé les chromosomes Y dans un très grand nombre de populations d'Asiatiques modernes et en ont trouvé une variante, apparue il y a environ 1000 ans et présente chez 8% des hommes dans 16 populations. Le nombre total de porteurs de gènes est d'environ 16 millions de personnes. Comment une si « jeune » variante du chromosome Y a-t-elle pu se propager si largement ? Par dérive accidentelle, fluctuations des fréquences alléliques, il n'a pas pu atteindre de tels indicateurs. Par conséquent, il a été aidé par la sélection, la reproduction non aléatoire et sélective des porteurs de ce chromosome Y. Par de nombreux signes indirects, on peut supposer que cette option est née soit de Gengis Khan lui-même, soit de ses plus proches ancêtres du côté paternel et s'est propagée à la suite de conquêtes. Cette hypothèse est également confirmée par la coïncidence des limites de l'aire de distribution de cette variante du chromosome Y avec les contours de l'empire de Gengis Khan. Il existe également des cas particuliers qui appuient cette hypothèse. Par exemple, au Pakistan, il y a un petit peuple dont les gens se considèrent comme les descendants de Gengis Khan. Et c'est parmi eux qu'un pourcentage élevé de la variante "Gengis Khan" a été trouvé, malgré le fait que les tribus environnantes ne possèdent pas un tel chromosome Y.
Alors combien y en avait-il ?
Mais si la recherche génétique ne confirme pas le mythe biblique de l'origine de tous les êtres humains d'un même couple, alors de combien d'individus l'humanité est-elle issue ? Ici, seules des estimations très approximatives sont possibles sur la base de la nature du polymorphisme génétique de l'humanité moderne. Le fait est que les "goulots d'étranglement" - périodes de forte baisse des effectifs - laissent des traces caractéristiques dans le génome, et il est possible avec un certain degré de probabilité de calculer les fluctuations du nombre de la population ancestrale dans le passé. Les calculs montrent que les ancêtres de toute l'humanité non africaine ont connu un goulot d'étranglement il y a 100 000 ans, ce qui correspond à l'émergence d'un petit groupe de Sapiens d'Afrique. Les ancêtres des peuples qui se sont installés plus tard dans toute l'Eurasie, l'Australie et les deux Amériques avaient une population initiale de l'ordre de plusieurs milliers.
Si la population était réduite à une paire d'individus, nous aurions eu une très forte concentration de points de convergence pour différents gènes dans cette période hypothétique dans le passé. Mais rien de tel n'est observé : des arbres évolutifs, construits selon des gènes différents, remontent loin dans les profondeurs du temps et même au moment où l'Homo sapiens est apparu. Cela suggère que la taille de notre population ancestrale n'a jamais diminué à des valeurs extrêmement faibles. Il y avait plusieurs milliers d'Adam et Eve, et peut-être 10 à 20 000.
La plupart des gens ne connaissent pas la vérité sur leur origine sur Terre, et ceux qui la connaissent la cachent jusqu'au dernier. Pourtant, à notre époque, cette information commence à être révélée. Il y a des centaines d'années, une civilisation humanoïde hautement développée s'est envolée vers notre Terre depuis l'espace, qui a fondé l'humanité. Dans les mythes et selon les témoignages oculaires, ils sont décrits comme des personnes grandes et minces avec une peau blanche comme une sculpture en plâtre, des yeux bleus et des cheveux blancs...
La question de l'origine de l'homme est considérée dans de nombreuses écritures. Dans la plupart des cas, Dieu est le créateur de l'homme. Qui est ce Dieu ?
La plupart des gens ne connaissent pas la vérité de leur origine sur cette Terre, et ceux qui la connaissent la cachent jusqu'au dernier. Pourtant, à notre époque, cette information commence à être révélée.
Il y a des centaines d'années, une civilisation humanoïde hautement développée s'est envolée vers notre Terre depuis l'espace. Dans les mythes et selon les témoignages oculaires, ils sont décrits comme des personnes grandes et minces avec une peau blanche comme des sculptures en plâtre, des yeux bleus et des cheveux blancs. Ils sont tombés amoureux de notre belle planète et ont décidé de créer leur propre colonie ici. Ce n'est pas la première planète où ils ont fondé une colonie de leur espèce. Pour eux, en raison du manque de pigmentation, le soleil était destructeur, ils ont donc décidé d'utiliser le génie génétique pour créer des personnes adaptées aux conditions de la Terre. Les "Blancs" ont choisi les animaux les plus appropriés pour l'expérience - les singes (chimpanzés et gorilles). Ils ont fait plusieurs tentatives pour créer une personne qui leur ressemble le plus et le plus raisonnable. Les précédentes expériences ratées (Australopithèques, Néandertaliens...) ont été détruites par une grande catastrophe.
Maintenant, nous avons d'eux 80% des gènes, des singes nous avons une pigmentation, une certaine structure d'organes, du sang rouge, etc. Par la structure de l'organisme, nous sommes des terres animales, et tout ce qui nous distingue des singes vient des créateurs. Ils ont créé différentes races : Noirs, Arabes, Hindous, Indiens et Blancs, afin de voir laquelle s'implanterait le mieux sur la planète. Nous sommes tous leurs enfants, nous ne faisons qu'un ! Mais encore, les gens ne sont pas entièrement adaptés aux conditions de la Terre.
« L'écologiste Ellis Silver soutient dans son livre que la physiologie humaine montre des signes qu'il n'est pas adapté à cette planète. Silver dit que les humains ont été amenés ici par des extraterrestres en tant qu'espèce pleinement évoluée.
Il fonde son raisonnement sur la comparaison de l'homme à d'autres animaux et constate que l'espèce humaine est particulièrement sensible au soleil. Par exemple, le soleil nous aveugle et endommage notre peau, et après un long bronzage, nous pouvons nous brûler. Dans les manuels, ils écrivent également qu'au cours de "l'évolution", le singe humanoïde a perdu la racine de ses cheveux et que l'homme a dû se créer des vêtements afin de ne pas mourir de froid. Ce n'est pas du tout logique, car l'évolution des animaux terrestres rend leurs corps aussi confortables et adaptés que possible à la vie sur la planète, et non l'inverse !
Il souligne également que les humains ont plus de maladies chroniques que les autres animaux. L'une de nos préoccupations est le mal de dos, ce qui pourrait signifier que nous avons évolué sur une planète avec une gravité plus faible. "Nous sommes tous des malades chroniques, dit Silver. Vraiment, pouvez-vous trouver au moins une personne en bonne santé à 100% ?..."
Dans les légendes slaves et indiennes, il était dit que lorsque les "dieux" se sont envolés pour la Terre, elle était déjà habitée par une civilisation intelligente. Cette civilisation s'est développée à l'époque des dinosaures et existe depuis des millions d'années. Les habitants de cette civilisation ressemblaient à la fois à des humains et à des lézards, ils étaient grands et athlétiques, une peau de serpent, de grands yeux rouges avec une pupille verticale et une petite crête sur le front et le long de la colonne vertébrale. Leurs villes étaient situées sous terre à des profondeurs de 2 à 8 kilomètres. Ils n'étaient pas d'accord avec l'installation d'une nouvelle race intelligente à la surface de la Terre, et une guerre pour la Terre a été déclenchée entre le " peuple blanc " et la civilisation reptilienne. Au cours de laquelle la planète a été frappée par de nombreuses frappes nucléaires.
« Dans le premier livre d'A.V. Koltypin "Les habitants disparus de la Terre" fait référence à un épisode - la grande bataille des dieux blancs avec les hommes-serpents.
... dieux et démons-serpents se sont battus sur terre et dans le ciel. De plus, les principaux combats entre eux se déroulaient dans les airs. Les dieux utilisaient des machines volantes, qui étaient alors répandues parmi les habitants d'Hyperborée. Les "dieux" et les démons-serpents ont utilisé dans la bataille entre eux une sorte de terrible puissance destructrice et les conséquences des armes - nucléaires ou autres, inconnues à l'heure actuelle. Probablement, des anomalies d'iridium, confinées à une mince couche d'argiles limites à la frontière des périodes crétacée et paléogène, sont restées de son application sur toute la terre.
Selon les légendes slaves et indiennes, alors dans la bataille sanglante entre les dieux et le peuple-serpent, au cours de laquelle la terre fut « fendue » et « toute la terre fut mêlée de sang, des gouttes de sang sur chaque pierre », la victoire fut gagné par les "dieux blancs", et les démons-serpents sont allés vivre sous terre. Les dieux victorieux sont restés sur la terre et l'ont peuplée de leurs créations - les gens ... "
Les guerres entre nos créateurs et les hommes-serpents ont continué, et les temps de règne ont parfois changé. Dans la mythologie des anciens Mayas, Aztèques, Chine, Inde, Egypte, des dieux ressemblant à des lézards sont mentionnés, qu'ils vénéraient et offraient parfois leurs sacrifices.
« Les traditions des Mayas, des Toltèques, des Aztèques et d'autres anciens habitants d'Amérique centrale et du Mexique, ainsi que les traditions égyptiennes, regorgent de références aux dieux serpentins. Ils décrivent rarement ces dieux, cependant, ils les dotent presque toujours de tels attributs qu'il est impossible de ne pas deviner leur nature serpentine ou reptilienne. C'est tout d'abord l'un des principaux dieux mayas et toltèques de Kukulkan - le "serpent ailé". Et aussi l'un des dieux les plus populaires des Toltèques, des Aztèques et d'autres peuples d'Amérique centrale de l'ère olmèque (XII-VI siècles avant JC) Quetzalcoatl - "un serpent couvert de plumes vertes", "le père précieux des serpents, balayant le routes" ou simplement "Serpent à plumes".
La civilisation reptilienne a laissé de nombreux artefacts à la surface de la Terre, dont les plus remarquables sont des pyramides, construites en grand nombre dans différentes parties du monde. Les scientifiques ne peuvent toujours pas comprendre comment les gens de cette époque ont construit ces structures monumentales sans l'utilisation de hautes technologies, que nous ne maîtrisons pas encore aujourd'hui. Le peuple-serpent avait un culte des pyramides, toute structure terrestre avait une forme pyramidale, et même sur Mars ils le sont. De plus, certains navires de cette civilisation ont la forme d'une pyramide. Selon des témoins oculaires, ces navires atteignent 15 à 20 mètres de largeur, brillent ou se camouflent, devenant translucides.
Dans la poursuite des guerres pour la Terre, la vie sur Mars, qui était également habitée par des serpents, a été détruite, après quoi le pouvoir a de nouveau été remplacé par la civilisation des " blancs ". Depuis cette époque jusqu'à nos jours, il n'y a pas eu de guerres mondiales.
Après la victoire dans la guerre pour la Terre, nos créateurs ont établi leurs propres règles, dont la principale était « aucune interférence » dans le développement des personnes, à la fois pour la race reptilienne et pour les autres.
Cependant, cette règle est parfois violée et des personnes sont kidnappées pendant un certain temps pour des expériences. Il y a beaucoup de témoins oculaires parmi la population, mais ils se taisent, craignant d'être considérés comme des fous.
Konstantin Severinov, biologiste moléculaire, explique comment les linguistes ont aidé les biologistes à découvrir d'où vient l'humanité, qui est Eve mitochondriale et si elle a rencontré Adam
Nom génétique
Afin d'analyser d'où viennent les gens, vous pouvez utiliser, assez curieusement, des approches non généalogiques, mais linguistiques - la procédure pour trouver la racine des êtres vivants et de la vie en général sur Terre est très similaire à la procédure pour déterminer la racine de certains langues vivantes appartenant au même groupe...
Chaque individu - vivant maintenant ou ayant vécu avant - du point de vue de la génétique peut être considéré comme un texte très long. Ce texte est notre gène. Ce message génétique est composé d'un langage simple - le langage de l'acide désoxyribonucléique, dont l'alphabet ne contient que quatre lettres : A, G, C et T. Ces lettres sont utilisées pour composer un texte d'environ trois milliards de lettres, disposées dans un ordre précis. . Dans ce texte en langage génétique, il est écrit qu'il s'agit, par exemple, de Kostya Severinov ou de quelqu'un d'autre. Trois milliards de lettres, c'est beaucoup, autant de lettres seraient contenues dans un livre mille fois plus volumineux que Guerre et Paix.
Évidemment, nous sommes tous non seulement plus ou moins semblables, mais aussi différents. Cette différence est due au fait que parmi les trois milliards de lettres qui composent le génome de chaque individu, il existe un certain nombre de différences. Le nombre de telles "fautes de frappe" entre deux individus humains est d'environ 0,1% du nombre total de lettres. C'est-à-dire qu'entre deux individus spécifiques, la différence sera d'environ trois millions de positions.
origines humaines africaines
Si nous prenons un texte génétique qui dit qu'il s'agit, par exemple, d'un chimpanzé, alors il y aura également environ trois milliards de lettres, mais le nombre de différences entre le chimpanzé moyen et la personne moyenne ne sera pas de 0,1%.
comme entre les personnes, mais 1%. Dans l'ensemble, cependant, le texte est toujours très similaire. Le texte génétique des autres mammifères sera plus différent, mais il sera toujours très similaire au nôtre.
Les génomes de divers organismes sont maintenant déterminés chaque jour.
et sont comparés entre eux. L'approche est identique à la façon dont les linguistes recherchent la racine, disons, des langues slaves. Ils comparent les langues et mettent en évidence les plus similaires. Ainsi, l'ukrainien ressemble plus au russe qu'à chacun
d'entre eux sont individuellement similaires au tchèque. Ainsi, des arbres génériques sont construits, sur lesquels les langues sont représentées sous forme de branches qui sortent
à partir d'une racine commune, et plus les branches sont proches les unes des autres, plus les langues indiquées par ces branches sont proches. Les généticiens construisent également de tels arbres, et d'une manière intéressante, il s'avère que l'arbre génétique de la vie a une racine.
Il est plus pratique de comparer les textes génétiques des personnes si nous utilisons de petits morceaux d'ADN de plusieurs milliers de lettres, qui sont situés dans des organites spéciaux de nos cellules, appelés mitochondries. Les mitochondries et l'ADN qu'elles contiennent ne sont transmis que par la lignée maternelle. C'est-à-dire que nous obtenons nos mitochondries de notre mère, nos mères les obtiennent de leurs mères, et ainsi de suite. Si nous commençons à comparer ces textes, il s'avère que la plus grande diversité d'ADN mitochondrial, le plus grand nombre de « typos » dans ces textes similaires se concentre en Afrique, quelque part où se trouve l'Éthiopie moderne. C'est-à-dire que les gens y sont les plus divers. Et dans les Amériques, en Europe, en Asie, en Australie et en Océanie, ils se ressemblent davantage - souvent plus forts que les habitants des villages africains voisins.
L'explication la plus simple de ce fait inattendu est que les peuples anciens ont à l'origine vécu et évolué (c'est-à-dire qu'ils sont devenus plus diversifiés et ont acquis des mutations typographiques dans leur ADN) en Afrique,
puis quelques petits groupes de ces personnes, qui ne constituaient qu'une petite partie de la diversité totale, ont quitté (ou peut-être été expulsés) de leur habitat d'origine et se sont finalement répandus à travers la planète, s'installant d'abord en Europe, puis en Asie et en Océanie, et puis l'Amérique.
Une analyse plus approfondie révèle qu'il y a eu plusieurs exodes de ce type depuis l'Afrique. Peu à peu, les descendants de ces indigènes ont changé et ont accumulé des mutations typographiques supplémentaires. Mais encore, en tant que groupe, ils ne représentaient tous qu'un petit sous-ensemble de toute cette diversité génétique, toutes ces fautes de frappe qui sortaient de l'endroit d'origine. D'un autre côté, il n'y a pas eu de fautes de frappe qui ont été acquises par les colons en Afrique elle-même - après tout, la probabilité d'obtenir la même faute de frappe indépendamment est très faible.
Locomotion des animaux. Photo par Edward Muybridge. années 1880 Le musée Métropolitain d'art Qu'était Ève
Il ne fait aucun doute que nous venons tous d'Afrique, mais la réponse exacte à la question de savoir quand cet exode ou ses résultats ont eu lieu n'est pas tout à fait claire. Mais en tout cas, la migration a commencé il y a cent cinquante mille ans au plus tôt. Cette estimation est dérivée du concept d'Eve mitochondriale, qui en soi n'a rien à voir avec le fait que nous sommes tous originaires d'Afrique, mais prétend que toutes les mitochondries et l'ADN mitochondrial des personnes vivant aujourd'hui sont réductibles à une seule femme ayant vécu en Afrique. il y a environ cent cinquante mille ans.
Comme déjà mentionné, les mitochondries sont héritées par la lignée maternelle, c'est-à-dire que les mitochondries pour les garçons et les filles ne sont données que par la mère. Faisons une petite expérience mentale : regardons toutes les nombreuses personnes qui vivent sur la planète maintenant - chaque homme et chaque femme, bien sûr, avait une mère, et il est facile de comprendre que le nombre de mères qui ont donné naissance à tous personnes est inférieur au nombre de personnes qui vivent actuellement. En passant de chaque génération à la précédente, on réduira progressivement le nombre de mères nécessaires pour donner naissance à la génération suivante, et en passant le long d'un tel cône, on arrivera très vite à la conclusion qu'il aurait dû y avoir une et une seule une femme, - c'est la soi-disant Eve mitochondriale, dont les mitochondries ont servi de source à toutes les personnes vivant aujourd'hui, et elle a vécu il y a cent cinquante mille ans.
Bien sûr, nous ne savons pas ce qu'elle était, cette Ève, mais nous savons quel ADN mitochondrial elle avait, quelle était sa séquence d'ADN, tout comme nous connaissons la langue proto-indo-européenne, non pas parce que quelqu'un la parle maintenant, mais parce que qu'il peut être reconstruit à partir des langues modernes qui en sont dérivées. Il est important de comprendre qu'Eva n'était en aucun cas la seule femme de son temps et ne se démarquait en aucune façon parmi ses contemporains. Elle n'était ni plus belle, ni plus sexy, productive ou intelligente que les autres femmes de son époque. Tout ce que nous savons, c'est qu'elle a eu au moins deux filles, et l'une des filles a eu une erreur, une faute de frappe dans l'ADN mitochondrial, de sorte qu'elle est devenue différente de l'ADN mitochondrial de sa sœur, et chacune des sœurs a laissé une progéniture femelle qui, à son tour , ils ont eu des filles.
Rencontre d'Adam et Eve
La question se pose naturellement d'un homme, à qui toute l'humanité peut se réduire. Il s'appelle, respectivement, Adam. Avec lui, exactement la même situation se présente : du cours de biologie à l'école, on sait qu'un garçon ne peut recevoir le chromosome Y que de son père. Et de la même manière que nous faisons sortir Eve, nous pouvons faire sortir Adam. Il s'agit d'un certain homme qui, le long de la lignée paternelle directe, est la source de tous les chromosomes Y chez tous les hommes vivants. Mais si vous comptez quand cette personne a vécu, il s'avère qu'il y a environ cinquante mille ans. C'est-à-dire qu'Eve est plus âgée qu'Adam. Cela s'explique par le fait qu'un homme peut avoir plus d'enfants qu'une femme, ce qui permet au chromosome Y de se propager plus rapidement que l'ADN mitochondrial. Adam n'était pas non plus célèbre pour quoi que ce soit de spécial, il est juste la source des chromosomes Y de tous les hommes vivant maintenant.
Locomotion des animaux. Photo par Edward Muybridge. années 1880 Le musée Métropolitain d'art Ancêtre unicellulaire
En général, Adam et Eve, c'est-à-dire les fondateurs, peuvent être trouvés pour n'importe lequel des quelque trente mille gènes que chacun de nous possède. Seule une infime fraction de ces gènes se trouve sur le chromosome Y et dans les mitochondries. Les fondateurs - peut-être serait-il plus juste de les appeler ancêtres communs - de nos divers gènes sont situés à des profondeurs différentes dans le temps. L'ancêtre commun de nos gènes, responsable de certains groupes sanguins, a vécu avant que nos ancêtres ne se séparent des singes, c'est-à-dire l'Adam correspondant, appelons-le le facteur Rh Adam, est beaucoup plus ancien que l'Adam chromosomique Y et Eve mitochondriale. Et il existe des gènes dont l'ancêtre commun est l'ancêtre de toutes les formes de vie sur Terre. Cette créature unicellulaire vivait il y a environ trois milliards et demi d'années et son nom est LUCA (de l'anglais Last Universal Common Ancestor - "le dernier ancêtre commun universel"). Autrement dit, tous les êtres vivants de la planète ont une racine commune et nous sommes parents de tous les êtres vivants.
La Trinité de la Lumière - Essence, Substance et Vie
Le christianisme a apporté le concept de la Sainte Trinité aux temps modernes, dont les éléments constitutifs sont Dieu - le père, Dieu - le fils et Dieu - le Saint-Esprit. Cette trinité reflète la réalité avec une précision absolue et parle de l'existence du Dieu des enfants d'Israël - Yahweh, son fils, qui est devenu le Dieu des chrétiens - Jésus-Christ et le Saint-Esprit - le champ énergétique-informationnel. Mais l'explication canonique de la trinité chrétienne va au-delà de la réalité que nous avons désignée et la comprime dans des idées païennes plus anciennes :
« Il y a un seul Dieu - le Père de la Parole vivante, la sagesse existante, un seul Seigneur, Dieu de Dieu - l'image et l'expression du Divin, et un seul Saint-Esprit, qui vient de Dieu et apparaît à travers le Fils.
La différence entre les Personnes de la Sainte Trinité est la suivante : Dieu le Père n'est pas né et ne vient pas d'une autre Personne ; Le Fils de Dieu est éternellement né du Père ; Le Saint-Esprit procède éternellement du Père.
Trois Hypostases ou Personnes de la Trinité éternelle sont l'essence d'une dignité divine absolument égale. »
La religion païenne parle de la Sainte Trinité d'une manière très spécifique. L'explication la plus compréhensible de son essence est donnée dans les textes des anciennes Upanishads indiennes :
« Celui qui crée des mondes sans cesse est triple. Il est Brahma - le père ; il est Maya - Mère ; il est Vishnu - le Fils. Essence, Substance et Vie. Chacun englobe les deux autres, et tous les trois ne font qu'un dans le non-descriptif. »
"La syllabe sacrée AUM", le Trimutri védique, l'Osiris égyptien avec Isis et leur fils Horus sont la Sainte Trinité de différentes régions de l'Antiquité, personnifiant le même phénomène physique. En anglais, allemand et russe, le mot "table" se prononce différemment, mais cela ne change rien à la chose elle-même.Ainsi dans la religion païenne - peu importe comment s'appelle la Sainte Trinité, elle caractérise la trinité de l'univers : la matière de l'Univers est l'essence, la totalité des antineutrinos de l'Univers est la substance et leur génération - l'énergie- champ informationnel qui crée la vie. Tous ensemble - c'est celui qui n'est pas décrit, dont le nom est le Créateur.
La religion chrétienne, en essayant de rattacher sa Trinité à la Trinité païenne, se trompe. Elle réside dans une mauvaise évaluation de l'essence de Yahvé et de son fils Jésus-Christ.
La compréhension de la Sainte Trinité est venue au paganisme de la civilisation antédiluvienne et a été préservée pendant longtemps par les prêtres des religions païennes. C'est pourquoi tous les peuples anciens du monde avaient des idées claires sur le Créateur. Mais plus la société se rapprochait de la modernité, plus l'essence de la religion païenne s'éloignait du peuple. La connaissance de l'essence physique des divinités a été perdue et ils sont tous devenus de simples dieux, dont on ne sait pas pourquoi les ancêtres adoraient.
Maintenant, il nous est difficile de comprendre sur quoi reposait la toute-puissance de l'ancien dieu indien Indra. Et c'était basé sur la connaissance qu'il personnifiait la force de gravité. De même, l'essence physique de tous les dieux des religions païennes était vouée à l'oubli.
La transformation des idées sur les divinités est le résultat de la perte de connaissances anciennes par les personnes qui ont survécu au déluge
Ainsi, la transformation n'a pas suivi le chemin de l'amélioration des idées sur le Créateur et les divinités de l'Antiquité - les éléments de connaissance à leur sujet ont été émasculés. La dégradation et l'éclipse de la vérité ont été signalées par l'apôtre Paul. Le processus de perte des connaissances était global, les idées scientifiques claires se sont transformées en « légendes de l'antiquité profonde » et sont devenues incompréhensibles pour quiconque.
« 700 ans avant la naissance du Christ,- écrit E.P. Blavatsky, - dans les écoles de Pythagore, la doctrine du vrai mouvement de la terre, sa forme et l'ensemble du système héliocentrique a été enseignée, et en 317 après JC Lactinius, le mentor de Crips César, fils de Constantin le Grand, a enseigné à son élève que la terre est plat, cet avion est entouré par le ciel, qui se compose de feu et d'eau ".
A. Les hommes ont dit que dans le processus religieux - historique, il y avait deux chemins opposés : le chemin de Dieu et le chemin vers Dieu. Sa déclaration est erronée : il n'y avait qu'un seul chemin - de Dieu.La perte des connaissances anciennes est naturelle et ce schéma découle de la dégradation des descendants des personnes qui ont survécu au déluge. Il est caractéristique de toute la période d'existence de la civilisation moderne, à partir du moment de sa création. L'émergence des religions du monde moderne est le même modèle. Ils sont apparus pendant la période de perte pratiquement totale des connaissances, et même sous l'influence de facteurs externes sur la conscience des gens.
La Bible est l'un des livres de l'antiquité qui parle de Dieu sous une forme humaine. Il contient de nombreux moments de la communication personnelle de Yahweh avec des représentants individuels du peuple élu. Pendant longtemps : depuis l'époque d'Abraham et jusqu'à environ 700 av. Jésus-Christ a continué l'œuvre de son père, extérieurement pas différent de son environnement terrestre.
Les divinités étaient-elles des dieux ?
Aucun des représentants de la science et de la religion ne s'intéressait à l'existence de dieux personnels, et donc personne n'essaya de soumettre cet aspect le plus important des religions modernes à une analyse critique. On ne sait pas pourquoi Dieu Tout-Puissant, qui a créé et est responsable de l'univers entier, accorde une attention personnelle à la plus petite particule du monde des étoiles - la planète Terre. Son attitude envers la population mondiale est encore plus incompréhensible. Dieu, devant qui tous devraient être égaux, abandonne les peuples du monde à la merci du sort et élit, on ne sait pour quels motifs, le seul. Et si vous considérez que, selon la religion, il a personnellement créé Adam et Eve et est l'ancêtre de toute l'humanité, son parti pris est absolument illogique et injuste. Il n'y a aucun doute sur la véracité des textes bibliques concernant la communion humaine avec Dieu. Des doutes surgissent seulement quant à qui les tribus juives ont divinisé et qui a été appelé par ce mot. La simple connaissance des épreuves décrivant la descente de Yahvé sur terre jette le doute sur l'essence divine de celui qui est descendu du ciel :
« Le troisième jour, au début du matin, il y eut des tonnerres et des éclairs et un nuage épais sur la montagne et un son de trompette très fort... Et le mont Sinaï fuma de que le Seigneur est descendu sur elle dans le feu ; et la fumée d'elle montait comme la fumée d'une fournaise. Et le son de la trompette grandissait de plus en plus ".
Après tous les tonnerres, le feu et la fumée, la "maison de Dieu" est restée sur la montagne.Même pour une personne sans imagination, cela devrait être évident : le texte contient une description de l'atterrissage du vaisseau spatial.Et maintenant, le rugissement des moteurs, le feu et la fumée s'échappant de la tuyère sont des attributs invariables du décollage des "maisons" dans lesquelles se trouvent l'équipement et les membres des expéditions spatiales.
Le mot "maison" désigne une structure de protection contre les facteurs externes. L'utilisation par Dieu des anciens Juifs d'un vaisseau spatial pour se protéger de l'espace créé par lui n'est en aucun cas compatible avec le concept de Dieu - le Créateur de toutes choses. Pour lui, tout environnement qu'il crée doit être habitable. Mais pour tous les autres êtres vivants, dont l'organisme fonctionne en s'adaptant à certaines conditions, l'influence de facteurs différents de ces conditions est destructrice. Ils ont également besoin d'être isolés de l'environnement extérieur.Ainsi, la « maison de Dieu » qui descendit au mont Sinaï ne pouvait être utilisée que par des êtres intelligents représentant l'une des formes de vie organique de l'Univers.
Il n'y a aucun doute : les « fils de Dieu » bibliques, les anciens « habitants du ciel » indiens et le dieu Yahvé sont des représentants du même groupe d'êtres intelligents qui ont jeté les bases de la race humaine. Presque tous les peuples du monde ont gardé leur mémoire pendant longtemps. Les habitants de Babylone et d'Égypte les appelaient rois, les anciens Chinois - empereurs, les Grecs et Platon - dieux, les indigènes d'Amérique - les fils du Soleil, les Perses - les fils de la Sagesse. Les hindous étaient les plus proches de la vérité, les appelant "les habitants du ciel". Mais peu importe comment les peuples du monde antique les appelaient,tous sont des représentants de la civilisation extraterrestre.
Les principales religions du monde : le judaïsme, le christianisme et l'islam appellent Yahweh le Dieu Très-Haut, c'est-à-dire ils voient en lui la divinité suprême de l'univers. Et l'Ancien Testament - la base de ces religions, n'est pas d'accord avec une telle formulation de la question. Il dit que Yahweh n'a jamais été le Dieu Très-Haut, il y a un ancien au-dessus de lui et il y en a beaucoup comme lui. Pour comprendre ce qui a été dit, il suffit de méditer sur l'un de ses textes :
« Vous avez aimé la justice et haï l'iniquité, c'est pourquoi t'a oint, ô Dieu, ton Dieu avec l'huile de joie plus que tes semblables»
.
Tout cela se produit après que la "maison de Dieu" est montée au ciel, c'est-à-dire après le retour de l'expédition spatiale des représentants d'une civilisation extraterrestre sur leur planète natale. Le contenu sémantique du texte réside dans le fait que le souverain de la planète céleste a distingué Yahweh de tous les membres de l'expédition, reconnaissant ses activités sur Terre comme les plus réussies.
Le mystère de l'origine de la culture humaine sur tous les continents de la planète Terre a été révélé et confirmé scientifiquement au Turkménistan. Comme l'a découvert le travailleur honoré de la science et de la technologie du Turkménistan, académicien, professeur de géophysique et de géologie Odek Odekov, les Aztèques, les Incas, les Aïnous, les Sumériens et même les Scandinaves descendaient des anciens Turkmènes - et même, en fait , étaient eux-mêmes d'anciens Turkmènes, qui, migrant vers l'Europe, l'Asie et l'Amérique, ont généreusement apporté leur haute culture, leurs connaissances et leur civilisation au monde. Le monde doit presque tout ce que l'humanité possède aujourd'hui aux anciens Turkmènes, simplement parce qu'ils l'étaient.
"Fergana" a réussi à lire deux livres d'Odekov. Le premier s'intitule « Nous sommes des Asiatiques, des Aryens, des Turkmènes », le second est « Des traces de Turkmènes sur Terre ». Il s'agit de recueils d'articles publiés après l'indépendance du Turkménistan. Étonnamment, cette littérature est "secrète", l'auteur n'autorise pas la vente de livres ouvertement, et s'il donne à quelqu'un de le lire, il exige alors de rendre un exemplaire, de sorte que les deux grands livres ont le statut de restrictions de voyage au Turkménistan. Très probablement, l'auteur craint pour la santé mentale des Turkmènes, qui seront sûrement stupéfaits de joie en apprenant la vérité. Mais pourquoi ces grandes découvertes scientifiques sont cachées aux camarades étrangers n'est pas clair. Après tout, si le monde découvre ses véritables ancêtres, il commencera à respecter le Turkménistan non seulement pour le gaz, mais en général - pour tout, tout, tout.
Les livres disent que l'auteur, Odek Odekov, est un travailleur honoré de la science et de la technologie du Turkménistan, académicien de l'Académie des sciences du Turkménistan, professeur de géophysique et de géologie, un scientifique de renommée mondiale dans le domaine de la sismologie mondiale, de la géotectonique, géologie du pétrole et du gaz. Et les articles rassemblés dans les deux collections sont "le résultat de nombreuses années de recherches sérieuses sur l'histoire ancienne des Turkmènes et l'ethnolinguistique, reconnues par les scientifiques - linguistes, historiens et archéologues". De plus, comme l'écrit l'auteur, certains de ces articles « ont été écrits et rapportés lors de conférences scientifiques, de réunions avec des scientifiques, des professionnels de la culture et des arts, et certains ont reçu des critiques élogieuses dans les manuscrits ».
Nous sommes également ravis, honnêtement. Et nous proposons aux lecteurs de "Fergana" une courte - très courte - liste des découvertes inédites d'Odekov.
"Turkmène" - il est "tu-ku-man" en Chine
Pour commencer, voici un petit exemple qui justifie l'origine turkmène des chinois. «Il existe des signes en 50 mille caractères chinois qui expriment le mot« turkmène »sans transformations complexes. Il s'agit des trois caractères chinois « tu », « ku » et « homme », qui expriment respectivement séparément les concepts de « terre », « réserve », « entrepôt » et « beau », ce qui, bien entendu, n'était pas inventé par les sinologues spécifiquement pour l'expression de l'ethnonyme bisyllabique « Turkmène ».
Odekov estime que l'ethnonyme « Turc » est issu du « étymon » teke « , qui s'est transformé au cours de plus d'un millénaire en « Turc ». De plus, Odekov prouve la primauté de l'étymon « teke », qui, comme il l'écrit, « l'ère du totémisme - la cinquième civilisation de l'humanité Altyn-Depe (IV-III millénaire avant JC) ». Il est intéressant de noter que la science historique mondiale date Altyn-Depe de 2300-1900. AVANT JC. - mais qu'en est-il d'Odekov, qui jongle avec confiance avec les rendez-vous ?
Il est important que le clan au pouvoir au Turkménistan auquel appartient le président soit de la tribu Teke, dont sont issus tous les « Turcs ». Odekov fournit une base scientifique sous le règne de Gurbanguly Berdimuhamedov - ce n'est pas seulement un choix sincère du peuple, mais aussi un droit, inscrit dans l'histoire.
La tribu « Hekteke », dont le nom aurait été auparavant traduit par « Turcs bleus », Odekov « transcrit » en « béliers bleus », qui dans les temps anciens, à l'époque du totémisme, étaient vénérés par la tribu, et de tels béliers ont été découverts par l'académicien : « Dans le livre de V. Sievers, dans la section décrivant la faune d'Asie centrale, il y a un mouflon, la chèvre bleue (ovis nabhor), semblable au bélier de pierre des Alpes, considéré comme une espèce particulière de Psendois et représentant un croisement entre un mouton et une chèvre." Odekov trouve des traces du culte des "béliers bleus" partout dans le monde, dans presque toutes les cultures anciennes : des images de béliers, de béliers ou de cornes de chèvres aux anciens hiéroglyphes chinois et - oui, oui ! - la constellation "Bélier". Pour Odekov, il n'y a aucun doute : le culte du « bélier bleu » prouve l'origine de toutes ces civilisations de la tribu turkmène « gekteke ».
D'un autre côté, pourquoi pas ? Comme l'a écrit Dovlatov à propos des vaches, "cependant, je ne les connais pas bien..."
Comment - comment a dit Zarathoustra ?
Qui a créé l'Avesta, à partir de laquelle le monde a appris le zoroastrisme ? Qui était Zarathoustra ? Une drôle de question. Bien sûr, il était turkmène et le zoroastrisme est originaire du Turkménistan, à savoir de Nisa. Preuve? Je vous en prie. Odekov : « Les trois bâtiments principaux du complexe sud de Nisa étaient associés aux cultes zoroastriens, qui incluaient des aspects héroïques… Il y avait une tradition d'honorer leurs rois et héros divinisés qui devinrent célèbres dans les batailles. Les idées du pouvoir sanctifié, l'éligibilité du souverain n'étaient pas tant le résultat d'emprunts aux Grecs, mais plutôt le résultat du développement de systèmes idéologiques locaux proto-turkmènes basés sur les Saintes Écritures - l'Avesta. "
Plus de preuve. « IN Khlopin, poursuivant le concept du Turkménistan du Sud en tant que patrie ancestrale des Aryens, exprimé et justifié dans ses nombreux ouvrages, fournit des données supplémentaires pour étayer ce concept. En même temps, sur la base de l'analyse de l'Avesta et de la comparaison des résultats obtenus avec certaines sources anciennes (malheureusement, sans référence à des sources spécifiques - OO), il arriva à la conclusion importante que le prophète Zarathushtra est originaire de le sud du Turkménistan."
Odekov lui-même ne donne aucune référence aux sources, jongle seulement avec les noms d'archéologues et d'historiens célèbres. Il est impossible de vérifier les citations ou de clarifier ce que signifiaient réellement le grand Masson ou Pougachenkov. D'un autre côté, qui doit le vérifier? Oui, il y a des preuves à chaque étape : par exemple, c'est au Turkménistan que pousse la plante même « haoma » dont il était question dans « l'Avesta ». "C'est une mandragore turkmène, découverte et décrite par le botaniste O. Mizgireva."
Et comment ne pas croire que Zarathoustra était un Turkmène, si la connexion des temps est si évidente : « 25 longs siècles après Zarathushtra, Saparmurat Turkmenbashi le Grand est né sur la terre sacrée du Turkménistan, qui a créé la constitution spirituelle de l'ancienne ethnie turkmène groupe « Rukhnama », qui s'étend triomphalement à travers les pays et les continents de la Terre ».
Hourra, camarades.
Et les scandinaves sont à nous aussi
Odekov : « Selon la mythologie scandinave, reconnue comme une vérité historique, les fondateurs divinisés de l'Islande et de la Norvège, Odin et Thor, ont conduit leur peuple hors du pays à l'est du Don. Et avant cela, leur résidence principale, Asgard (Osgard), était située à l'est de la mer Caspienne et est décrite dans les mythes et chants islandais sur les dieux. »
Bien sûr, cet Asgard est l'ancienne Parthie avec Nisa, qui était autrefois appelée "la terre des Ases, c'est-à-dire, Asgard, et plus tard ce nom a été oublié."
Et puis Odekov fait une découverte : le scandinave Odin (le dieu suprême dans la mythologie germano-scandinave) et Zarathoustra sont « une seule et même personne, d'autant plus que chronologiquement la légende d'Asgard et des dieux Asah coïncide avec l'ère de la naissance du zoroastrisme. , et le royaume parthe est l'héritage culturel d'Asgard". Sans s'arrêter pour expliquer comment il a été possible de résoudre le problème historique insoluble de la datation exacte de la "Jeune Edda" et de "Avesta", Odekov va plus loin : "La reconnaissance de l'identité de la personne de Zarathushtra et d'Odin nous permet de dater la naissance d'Asgard au moins jusqu'à la seconde moitié du VIe siècle av. la première moitié du siècle."
Et si l'on considère que Zarathoustra, venu dans le nord de l'Europe sous le nom d'Odin, était un Turkmène, on peut affirmer avec certitude que tous les Scandinaves étaient des Turkmènes dans le passé. « Dans l'ethnogenèse des peuples scandinaves et dans l'émergence de leurs États (Islande, Norvège, Suède, Danemark), nos grands ancêtres, les Turkmènes, les Oguzes, ont joué un rôle important », écrit Odekov.
Je ne sais même pas qui féliciter le plus.
Sumériens des "endroits perdus"
L'ancienne tribu des Massagets était turkmène, dont la reine Tomiris, comme nous l'a dit Hérodote, a vaincu le Perse Cyrus. Pourquoi? Car c'est l'opinion de "nombreux scientifiques", dont les noms ne sont pas divulgués - apparemment en raison du grand nombre. « En résumant les déclarations de nombreux scientifiques, on peut affirmer que l'écrasante majorité d'entre eux a attribué et fait référence aux Massagets aux tribus de langue turkmène », écrit Odekov.
Mais la plus grande surprise est l'origine turkmène des anciens Sumériens, qui est prouvée par "le chemin le plus correct et le plus court" - "déchiffrer le nom". Le déroulement de la preuve est le suivant. D'abord. "Sumériens" vient du nom "Sibérie", qui, à son tour, "de l'avis de nombreuses autorités", vient de la tribu de langue turque des Savirs. Seconde. "Tous les Turcs de l'ère préhistorique parlaient une langue turkmène légèrement déformée." Troisième. "Sumer" - à la fois dans le sens et dans le son, coïncide avec les mots turkmènes modernes "noise" et "ep ) ". "De plus, la phrase turkmène" shum yer "se prononce avec un accent sur la deuxième syllabe, et dans les chroniques assyriennes" Sumer "est également prononcée avec un accent sur la même syllabe", explique le brillant scientifique turkmène.
Ici, je n'ai pas pu résister et j'ai lu ce passage sur le "stress dans les chroniques assyriennes" à ma fille de 15 ans, qui étudie dans une classe d'humanitaire dans l'une des meilleures écoles de Moscou. Elle éclata de rire. « Quelle tension ? elle sanglota. - Quelles syllabes ?! Les Sumériens avaient généralement une écriture cunéiforme ! »
Et puis j'ai douté d'avoir choisi la bonne école pour mon enfant. « De nombreuses autorités » et « de nombreux scientifiques » ne peuvent pas se tromper si fortement. D'autant plus en ce qui concerne les "lieux perdus". « Le lieu habité par les Sumériens est en effet catastrophique, puisque la température dans la zone située entre le Tigre et l'Euphrate. atteint + 50 ° C à 100% d'humidité, - écrit Odekov, l'un des "nombreux". - De plus, la Mésopotamie est sujette à des inondations destructrices relativement fréquentes, ce qui est aussi une raison tout aussi bonne pour la classer comme lieu fatal. Et ce n'est pas un hasard si une place prépondérante dans les croyances des Sumériens était occupée par le mythe du déluge et la seule personne qui a été sauvée du déluge - le sage Ziusudra. Des Sumériens, cette légende passa aux Babyloniens et aux Assyriens, qui se succédèrent successivement dans cette région, et d'eux aux tribus sémitiques. » Eh bien, quelle autre preuve est nécessaire?
« Déchiffrer le nom de la civilisation sumérienne sur la base d'une approche similaire nous permet de tirer une conclusion sur la parenté génétique des peuples les plus anciens vivant dans le pays de Sumeria (Irak moderne) et à Altyn-Depe (Turkménistan du Sud), indiquant que les Turkmènes modernes sont les descendants directs du peuple Saggig, qui vivait en Sumérie et des tribus qui ont créé la civilisation Altyp-Depe », écrit Odekov.
Incas, Aïnous et Aztèques
Les Turkmènes sont apparentés aux Aïnous qui vivaient en Extrême-Orient. Pourquoi? C'est simple. Les anciens Aïnous adoraient une divinité féminine qui symbolisait la fertilité. Mais "la plupart des experts" affirment que les ancêtres des Aïnous modernes ne connaissaient pas l'agriculture et l'élevage. Alors d'où ont-ils obtenu le culte d'une divinité féminine, que les anciens Turkmènes avaient ? De là, que les Aïnous, qui sont en réalité des Turkmènes, ont brusquement arrêté l'agriculture, mais « ont rendu hommage aux anciennes coutumes ».
Il existe une autre preuve inconditionnelle de la relation entre les Aïnous et les anciens Turkmènes : « dans les publications du météorologue et historien polonais BO Pilsudski, qui vécut plus de 18 ans en Extrême-Orient (1892-1910), dont 14 ans la langue et le folklore aïnou, il a été constaté que (attention ! - éd.) nous n'oublierons jamais) ...
Il existe une preuve de plus de la relation entre les Aïnous et les Turkmènes : le folklore Aïnous mentionne le pinni (frêne). Les Turkmènes appellent cette cendre "dagdan agach" et est considérée comme un "sacré" talisman "contre le mauvais œil et les dommages. Et son nom aïnou - "pinni" - se rapproche du mot turkmène moderne rena (mousse), signifiant "abri, protection, patronage", reflétant l'essence de l'arbre à amulettes. "
Pourquoi s'attarder avec autant de détails sur les relations entre les Aïnous et les Turkmènes ? Car les Aïnous sont les descendants des Turkmènes, « qui ont été envoyés pour « l'exploration » et le développement de nouvelles terres, où ils ont apporté leur culture, leurs coutumes et leur langue dès la primogéniture ». Mais l'essentiel est que les Aïnous soient les ancêtres des tribus indiennes qui, s'étant installées en Extrême-Orient, sont venues en Amérique. « Selon une version, les peuples les plus anciens du continent américain sont les habitants indigènes des îles japonaises Ainu, qui y sont arrivés il y a 15 000 ans. Dans le même temps, les descendants des Aïnous sont les Indiens des tribus Iroquois et Sioux », cite le scientifique cite l'émission de la radio Mayak. C'est toute une source pour le « travailleur honoré de la science et de la technologie du Turkménistan » et académicien.
Alors, sans entrer dans la description des détails, disons simplement : les Turkmènes ont découvert l'Amérique. Au contraire, ils l'ont installé, se sont transformés en tribus indiennes et ont apporté la culture en Amérique, l'habileté à construire des maisons, la tradition de nommer les villes d'après les dirigeants et, bien sûr, la langue.
Utilisant la langue turkmène, Odekov déchiffre facilement la langue des anciens Incas et prouve aussi facilement l'origine turkmène des tribus indiennes. Voici une excellente recherche linguistique, par exemple. « Le nom du lac péruvien en langue quechua inca est Titicaca, et l'endroit où sont enterrés les trésors incas s'appelle Paititi. Chacun de ces mots se compose de deux mots : « Titi + kaka » et « Pai + titi », dans lesquels apparaît le mot commun « titi ». Dans la langue turkmène parlée, ce mot (titi) signifie « propre », « propre ». Le deuxième mot du nom du lac Titicaca - "kaka" - se retrouve également dans la langue turkmène moderne : "comment" est un lieu d'accumulation d'eau propre. Ainsi, le nom Kechuan-Turkmène du lac Titicaca est absolument identique et signifie "un lieu d'accumulation d'eau propre", ou en abrégé - Titicaca. Dans le mot « Paititi », « partager » en turkmène signifie « partager », « partie », ce qui en combinaison avec le mot « titi » signifie « part pure ». Évidemment, les Incas ont mis de côté une certaine part (part) de leurs trésors, comme le font désormais tous les États qui créent leurs propres fonds d'or et de devises ou de stabilisation », résume à juste titre l'académicien Odekov.
« En complétant la présentation des résultats de mes recherches et découvertes en incologie (oui, incologie, et avant il y avait la sumérologie - ndlr), on peut définitivement dire que dans l'ethnogenèse des tribus Inca-Kechuan le rôle principal et dominant a été joué par les anciens Turkmènes et la civilisation inca, l'empire inca est leur produit qui orne l'histoire de l'humanité », écrit le grand scientifique.
La parenté des Aztèques et de la tribu turkmène "Teke" est également prouvée élémentaire. "Les Aztèques et les Huastecs forment un seul peuple portant le nom de Vasteke, avec des racines communes qui remontent à leur origine primordiale - la vallée fleurie de Vas dans le nord du Turkménistan", écrit Odekov. Preuve? Combien vous en désirez. Prenons, par exemple, le boomerang : « Personne ne doute que le boomerang primordial soit l'Asie, d'où il est venu en Australie et sur le continent américain. Et quoi, demandez-vous. Mais rien. Odekov pense que c'est la preuve.
Un sort pitoyable
Il est dommage que les livres d'Odekov n'aient encore rien dit sur les aborigènes australiens - mais nous espérons que le pied turkmène a été le premier à poser le pied sur le continent vert (par défaut).
Il est dommage que les livres d'Odekov ne soient pas accessibles au grand public, bien qu'ils soient publiés avec l'approbation inconditionnelle de l'Académie turkmène des sciences.
C'est dommage pour cette Académie illettrée. C'est dommage pour la science, qui n'existe plus au Turkménistan.
Et c'est dommage pour les Turkmènes, qui méritent un bien meilleur sort.
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