L'amour du selfie est une maladie mentale qui doit être traitée. C'est la conclusion à laquelle sont parvenus les psychologues de l'Indian School of Management de Madurai (Thiagarajar School of Management), écrit l'International Journal of Mental Health and Addiction.
Test de dépendance aux selfies
Les scientifiques ont mis au point un test qui comprend 20 déclarations, telles que "Je me sens plus populaire lorsque je publie des selfies sur les réseaux sociaux" ou "Quand je ne publie pas de selfies, je me sens déconnecté de mes pairs". De plus, les experts ont demandé à 400 volontaires (âge moyen 21 ans) de mettre devant chaque phrase un chiffre de 1 à 5, où 1 fortement en désaccord et 5 fortement en accord.
Il s'est avéré que le selfie affecte vraiment les jeunes, rend les gens plus détendus et confiants.
"La principale raison pour laquelle je prends des selfies et les publie sur les réseaux sociaux est d'attirer l'attention", écrit l'un des participants à l'expérience, Raj.
"Selfie m'aide à me détendre et à me débarrasser des pensées dépressives", explique Santosh.
« Je commence à m'apprécier et à ressentir une confiance incroyable en moi lorsque je regarde mes selfies », déclare Tess.
L'égoïsme - une nouvelle maladie du XXIe siècle
Sur la base des données obtenues, les scientifiques ont décidé de considérer la dépendance aux selfies comme une déviation mentale - l'égoïsme. Ils ont même identifié trois étapes dans le développement de la maladie.
Ainsi, le stade limite du trouble est celui où une personne prend des selfies jusqu'à trois fois par jour, mais ne publie pas de photos sur les réseaux sociaux. Après qu'une personne commence à les télécharger sur Internet, la phase aiguë de l'égoïsme commence. Et, enfin, une maladie chronique est une maladie dans laquelle une personne a un désir irrésistible de prendre des selfies et de les publier sur sa page plus de six fois par jour.
Les experts notent que le patient typique atteint d'égoïsme s'efforce d'attirer constamment l'attention et souffre de doute de lui-même. À l'aide d'un selfie, il souhaite améliorer sa position sociale, se sentir comme faisant partie d'une grande équipe.
« Je passe beaucoup de temps à prendre des selfies et à les télécharger sur ma page. C'est ainsi que je ressens un avantage concurrentiel par rapport aux autres », explique l'une des participantes à l'expérience, Priyanka.
Notez que maintenant des experts indiens travaillent pour faire en sorte que l'égoïsme soit reconnu comme une véritable maladie. Cela vous permettra de mieux enquêter sur la déviation et de trouver des moyens d'aider ceux qui en souffrent.
Doctorat en psychologie, professeur agrégé du département de psychologie sociale, Université d'État de Saint-Pétersbourg, spécialiste principal des relations parents-enfants
Bien sûr, je ne dirais pas si brutalement que l'envie de selfies est une déviation psychologique. Je crois que c'est l'une des façons dont les jeunes communiquent entre eux. Ainsi, les gens s'affirment, se déclarent, ce qui est extrêmement important à l'adolescence et à l'adolescence.
Notez que les selfies ne sont généralement pas pris inutilement. En règle générale, avec leur aide, une personne démontre quelque chose, cela signifie qu'elle a vu ce point de repère, parlé avec une personne célèbre, était dans un endroit extrême. Tout cela ensemble permet de résoudre très rapidement plusieurs problèmes à la fois, dont le principal est sans aucun effort pour établir le contact avec d'autres personnes, sans perdre de mots pour raconter toute une histoire sur soi. Par conséquent, je pense que les envies de selfie ne seront jamais reconnues comme une véritable maladie. Cela ne se produira que si une personne, par amour pour les selfies, commence à se jeter sur les gens ou arrête de manger, de boire et d'aller à l'école. Mais cela, bien sûr, est peu probable.
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Beaucoup de gens ont tendance à considérer le téléchargement constant de selfies comme une maladie, un trouble psychologique qui nécessite un traitement. Quand une façon de s'exprimer se transforme-t-elle en maladie ? Où est cette frontière ?
Selfie typique, photo du site sovets.net/3022-pozy-dlya-selfi.html
Se photographier
Ce n'est un secret pour personne, le mot « selfie » lui-même se traduit par « moi-même » ou « lui-même ». En fait, dans le langage moderne, il est devenu synonyme d'auto-photographie. Il n'y a rien de spécial à se photographier pour indiquer une maladie psychologique. Il est assez logique qu'une personne se prenne en photo, par exemple, lors d'un voyage, car il n'y aura tout simplement personne à qui demander cela - dans cette situation, c'est le seul moyen de capturer tous les moments importants du voyage . D'autres photos prises dans le but de stocker des événements importants en mémoire sont d'une importance similaire. Publier des photos sur les réseaux sociaux n'est pas non plus un signe de dépendance ni aux selfies ni aux réseaux sociaux eux-mêmes. Qui ne publie pas ses photos ? Presque tout le monde le fait.
Trouble psychologique
Le problème se pose lorsqu'une personne veut prendre des selfies tout le temps, lorsqu'elle ne peut tout simplement pas s'empêcher d'être photographiée tous les jours. Cet état de fait ne peut être qualifié que de narcissisme. Ces dernières années, de nombreux adolescents ont souffert de la dépendance au selfie. Se photographier constamment et publier des images pratiquement identiques à l'immensité des réseaux sociaux devient la norme pour la plupart des jeunes générations. Mais quel est le sens de ces actions ?
Presque les mêmes selfies, dont le nombre dans la mémoire des gadgets augmente chaque jour, ne représentent aucune valeur esthétique. L'automanie s'apparente à une drogue : une personne photographie tout et se photographie elle-même, elle veut prendre le plus de photos possible.
Les cas de personnes risquant leur vie pour des selfies spectaculaires ou tentant de se suicider parce qu'elles ne peuvent pas prendre autant de photos qu'elles le souhaitent sont inquiétants.
Les avis des experts sur ce qu'est l'automanie sont partagés. Certains pensent qu'il s'agit d'une maladie. Le groupe à risque comprend ceux qui prennent plus de cinq selfies par jour. Les scientifiques associent le concept d'« automanie » à l'adolescence transitionnelle et à une psyché instable, et l'assimilent également au narcissisme et à l'égoïsme.
D'autres chercheurs sont d'avis que le désir constant de se photographier n'est qu'un moyen d'expression de soi qui permet de s'établir dans son cercle social.
« Prenons un selfie ? », « Veux-tu te faire toi-même ? » - se fait entendre de toutes parts. La folie du selfie a conquis le monde. Aujourd'hui, je vais parler de la façon dont nous photographier affecte nos vies.
Selfie (eng. Selfie, de "self" - lui-même, lui-même) - ce sont des photographies qui sont prises le plus souvent sur l'appareil photo avant d'un téléphone portable. Les selfies peuvent également être pris à l'aide d'un appareil photo, d'un miroir et d'une perche à selfie. Soit dit en passant, les premiers autoportraits de ce type ont été enregistrés en 1900.
Le premier pic de popularité de ce type de photographie a été présenté par la ressource populaire MySpace - dans les années 2000, les photos auto-prises sont apparues assez souvent. La deuxième vague de popularité du selfie, qui balaie encore le monde aujourd'hui, a été réintroduite à la mode par le célèbre Instagram, où il est important de photographier TOUT ce que vous voyez, mangez ou ressentez. Le phénomène de popularité de ce genre de photographies est clair pour moi : c'est rapide, simple, le résultat est immédiatement visible. Vous n'avez pas besoin de demander à qui que ce soit d'être photographié. Maintenant, vous pouvez voir vous-même comment vous allez et si quelque chose se produit, changez rapidement de pose, reprenez la photo.
Les célébrités alimentent également les flammes du culte épuisé des « selfies ». Un instantané de Dmitry Medvedev dans un ascenseur sur un iPhone est devenu un mème populaire, donnant lieu à de nombreuses parodies, le soi-disant "photojab".
D'autres célébrités n'hésitent pas non plus à se prendre en photo avec la caméra frontale et à publier les résultats sur le réseau. De plus, l'orientation sociale n'est pas du tout importante ici ! En général, à l'ère de la technologie, il est difficile d'imaginer une personne qui ne se soit jamais "faite" au moins une fois - même le pape François n'y a pas échappé.
Nos petits frères suivent la mode : chiens, chats, kangourous, singes. Des photographies d'animaux ressemblant à des selfies ont fait exploser Internet. Bien sûr, les animaux ne savent pas appuyer sur le déclencheur, alors pour prendre une telle photo, il suffit de cliquer, par exemple, un chat, lorsqu'il tire sa patte vers le smartphone.
Une nouvelle vision à la mode pour des selfies intéressants : la statue selfie. Les jokers du musée de la Grèce antique ont décidé de faire preuve de créativité avec l'art classique et ont pris une photo des statues comme un selfie :
Des photos avec des statues ont circulé sur Internet et le nouveau courant dominant a envahi les masses. Le personnel du musée n'est pas très satisfait d'une telle augmentation du nombre de personnes souhaitant photographier des sculptures anciennes et moins. Par exemple, en mai de cette année, les amateurs de selfie en Italie ont cassé une statue d'Hercule.
Dans le contexte d'un nouveau pic de la mode, un monument au prince ottoman a été érigé en Turquie : dans la ville d'Amasya, des foules de touristes font la queue pour prendre des photos avec le prince, qui se photographie lui-même. Le smartphone dans la main de la statue a été brisé par quelques vandales (il est possible que ce soient les mêmes personnes qui ont endommagé le monument à Hercule en Italie), mais cela ne dérange pas du tout les touristes.
Les selfies sont-ils dangereux ? Des réponses réelles et ésotériques
On peut parler à l'infini des dangers des "selfies", cependant, ainsi que de leur utilité. Les gens sont prêts à tout pour faire un beau cliché, c'est pourquoi ils subissent périodiquement des blessures plus ou moins complexes, et certains perdent même la vie.
Ramon Gonzalez, le célèbre rappeur a décidé de prendre un selfie au volant de sa moto. Le résultat est un départ dans la voie venant en sens inverse et une collision avec une voiture. Autre cas : la fille Sylvia d'Espagne voulait être photographiée sur le pont. Elle a grimpé sur le rebord en s'y tenant d'une main (dans l'autre, bien sûr, il y avait un smartphone). En conséquence, la jambe de la fille a glissé et elle est tombée sur le support en béton.
Comme vous pouvez le voir, les selfies causent des problèmes aux gens lorsqu'ils se concentrent sur quelque chose qui ne va pas. Cela se produit pour les raisons suivantes : lorsque nous faisons quelque chose, par exemple conduire une voiture, nos flux d'énergie sont réglés sur un certain rythme. La concentration peut ne pas être maximale, et le réglage nous sauve dans ce cas. Mais lorsque nous prenons une photo, les flux d'énergie se comportent différemment. On sort de l'état de concentration, on essaie de se détendre et de sourire. Et donc la situation suivante s'avère : vous venez d'être concentré sur une chose et essayez immédiatement de vous détendre, étant distrait par un sujet complètement différent (une photographie). C'est ce qui est dangereux et peut entraîner de tristes conséquences. Cela est particulièrement vrai pour les personnes qui ne savent pas comment changer rapidement de flux d'énergie, sortent de la dépression pendant longtemps et abandonnent lentement leurs habitudes.
En 2014, Roskomnadzor a mis en garde contre les dangers des selfies. Apparemment, en raison d'un contact avec la tête, lors d'une photo générale, des poux de tête et d'autres maladies peuvent être transmis.
D'un point de vue ésotérique, les selfies ne nuisent en aucun cas à notre énergie s'ils sont pris au bon endroit. Mais une photo avec votre visage sur fond de quelque chose de désagréable capturera à jamais les informations de cette époque. Par exemple, une photo dans une zone anormale, même après le passage du temps, peut influencer votre cours de vie habituel avec son énergie. Et cela ne s'applique pas seulement aux photos personnelles.
Autant vous voulez avoir l'air original dans le contexte de l'engouement mondial pour les selfies, n'oubliez pas que la sécurité passe avant tout. La photo elle-même ne fait pas de mal - les circonstances et l'insouciance font du mal. Prenez des photos d'amis, de proches, d'animaux domestiques autant que vous le souhaitez. Après tout, plus le tournage est positif, mieux c'est ! Ne prenez que des selfies en toute sécurité !
Enfin, je partagerai mon propre selfie :
Aujourd'hui, les smartphones remplacent une personne moderne et un ordinateur portable, un ordinateur, une caméra vidéo et même un appareil photo. De nombreux adolescents ne peuvent plus vivre une journée sans se prendre en photo. Ce processus a reçu le nom de "selfie". Les psychologues soutiennent que l'autodépendance menace la santé mentale de la jeune génération. Auparavant, chaque plan était un événement soigneusement préparé pour tout faire tenir dans 36 images de film. Les photos prises avec un téléphone finissent rarement dans des albums et perdent de leur valeur. La valeur des images est dévalorisée. Comment un selfie affecte-t-il la psyché humaine ? Pourquoi l'automanie est-elle dangereuse ?
Quels processus de la vie sont entravés par l'auto-mania ?
La photographie de masse et souvent irréfléchie de tout conduit au fait qu'une personne ne se souvient pas de ce qui se passe autour de lui. À l'Université de Harvard, un psychologue a mené une expérience dans laquelle des étudiants ont été amenés dans un musée et invités à se souvenir des expositions. En même temps, il était permis d'utiliser n'importe quelle technique. Lors de l'évaluation des résultats, il s'est avéré que les étudiants qui n'ont pas photographié dans le musée se souvenaient beaucoup plus d'expositions que ceux qui les ont photographiées. Les étudiants qui ont regardé les expositions de leurs propres yeux se sont souvenus non seulement de l'apparence, mais aussi de tous les détails, ainsi que de l'histoire de l'art.
Ce qui menace le développement de l'auto-addiction :
- Le danger de l'auto-dépendance pour les relations familiales et d'équipe ;
- Danger pour la santé physique ;
- Danger pour la santé mentale avec le développement d'anomalies mentales ;
- Le développement du narcissisme, qui affecte les relations avec les autres.
Quel est le danger de développer une auto-addiction ?
Selfiemania a pris de l'ampleur ces dernières années. Les selfies sont pris non seulement par des célébrités, mais aussi par des fonctionnaires, des travailleurs ordinaires, des étudiants et même des écoliers. Cette façon d'auto-admiration, selon les psychologues, n'est pas du tout anodine.
Les psychologues soutiennent que les selfies sont une forme de narcissisme et font référence à des déviations psychologiques. L'automanie entraîne des problèmes au travail et dans la famille. La passion pour son personnage ne passe pas sans laisser une trace dans les relations avec les collègues, les proches et les membres de la famille, se transformant en addiction.
Les gens passent beaucoup de temps à prendre un selfie « réussi », à publier des photos sur les réseaux sociaux et à attendre des discussions et des commentaires positifs. En réalité, il a été remarqué que l'environnement commence à traiter le selfiman différemment en raison du flux incessant de photos sur les réseaux sociaux.
L'auto-mania peut avoir des conséquences désastreuses. Ainsi, un adolescent anglais a tenté de se suicider à cause d'un selfie infructueux. L'étudiant a pris des selfies le matin, prenant jusqu'à 80 photos en une seule matinée. Peu à peu, l'adolescent a commencé à y voir le sens de sa vie.
Quel trouble psychologique se développe sur fond d'auto-addiction ?
Les psychiatres disent que dans le contexte d'une aggravation des troubles mentaux, une dysmorphophobie corporelle apparaît en raison de l'auto-dépendance. La dysmorphophobie corporelle est un trouble dans lequel une personne est très préoccupée par son apparence et son corps et éprouve un sentiment d'anxiété à propos de ses défauts ou de ses caractéristiques. Le plus souvent, les adolescents trouvent des défauts en eux-mêmes et ils les voient souvent en images. Les psychiatres disent qu'avec l'avènement des selfies et le développement de l'autodépendance, le nombre de patients atteints de dysmorphophobie corporelle a doublé.
Ainsi, l'obsession de soi est aujourd'hui un trouble psychologique appelé selfimanie. Le premier stade de la maladie est établi si une personne prend environ trois photos par jour sans les publier sur les réseaux sociaux, le deuxième stade est déterminé lorsqu'une personne prend et publie environ six photos par jour.
L'automanie est plus sensible aux personnes ayant une accentuation hystérique de caractère, c'est-à-dire les femmes. Ce sont les femmes qui sont inhérentes au comportement démonstratif, qui est associé au désir de plaire aux hommes.
Les psychologues soutiennent qu'une assistance psychologique opportune peut empêcher la propagation de l'autodépendance et le développement de problèmes psychologiques.
07.11.2019
Faits intéressants sur les selfies
Quel est le mot le plus populaire au monde ? Les Britanniques croient que le mot « selfie » ! Toute personne intéressée peut lire à ce sujet dans le dictionnaire Oxford. Internet n'est pas apparu hier, de nombreuses années se sont écoulées, le mot a donc acquis divers dérivés ...
Les statistiques montrent qu'en une minute, plus de 2,5 millions de selfies sont pris dans le monde. Le nombre de téléphones qui vous permettent de prendre de telles photos ne cesse d'augmenter et la production de selfies croît de façon exponentielle.
- Les scientifiques font des recherches et essaient de comprendre si l'automanie existe ? Les gens ne peuvent s'empêcher d'envoyer constamment leurs photos sur le réseau. Certains s'affirment, d'autres tentent de se débarrasser de l'insécurité.
- On estime qu'environ 50% de tous les adultes ont pris un selfie au moins une fois dans leur vie, environ 40% des jeunes interrogés prennent des selfies régulièrement (au moins une fois par semaine).
- Les gymnases, les cabines d'essayage et les plages sont les thèmes des photographies les plus populaires. Cependant, cela représente moins de 5% de tous les selfies qui se sont transformés en publications sur les réseaux sociaux. Les selfies avec d'autres personnes ne sont pas moins populaires. La nourriture, les animaux et la nature restent très populaires.
- Les femmes ont pris la main des hommes ici, ce qui est logique. Les selfies sont plus intéressants pour les visiteurs des réseaux sociaux que les photos ordinaires.
- Des discussions houleuses provoquent des selfies qui ont été pris dans un lieu inadapté pour cela (cimetière, Auschwitz).
En anglais australien, il y a une tendance à former des mots avec le suffixe "-ie" pour donner aux mots une connotation informelle.
Remarque
Par exemple, « barbie » pour « barbecue », « firie » pour « pompier », « tinnie » pour « étain » pour une canette de bière en métal. C'est en Australie que le mot « selfie » est apparu, et sa première utilisation sur Internet a été enregistrée en 2002.
Bien que la diffusion omniprésente du terme « selfie », d'abord dans le monde anglophone, puis dans d'autres pays, n'ait eu lieu que dix ans plus tard.
- Il existe deux versions de la question de savoir qui a pris le premier selfie. C'était soit Robert Cornelius (1839), soit elle pointait avec succès son appareil photo vers le miroir, en face duquel se tenait la grande-duchesse Anastasia Nikolaevna (1914).
- Le fond de la Tour Eiffel était le plus populaire en 2014. C'est ce que pense le magazine Time.
Chaque jour, il devient plus difficile de surprendre ses amis sur les réseaux sociaux avec un selfie inhabituel. Mais les gens remplissent constamment leurs profils de photos vibrantes qui parlent de moments amusants et mémorables de leur vie. Selfie transmet vraiment les émotions d'une personne et du monde qui l'entoure en même temps. Ils sont souvent identiques, parfois contrastés.
Selon les photographes, les selfies sont devenus un type particulier de photographie. Divers festivals, concours et expositions d'œuvres similaires sont organisés. La passion populaire pour la photographie selfie s'est transformée en une véritable compétition pour les selfies les plus fous et les plus extrêmes. Les utilisateurs des médias sociaux rivalisent d'ingéniosité, de courage et de folie.
Psychologie du selfie ou Selfmania comme maladie du 21e siècle
Les fils d'actualité regorgent de photos d'amis et de connaissances. Certains parviennent à disposer des dizaines de pièces par jour rien que pour eux. Il est plus intéressant d'observer les photographies des voyageurs, il y a au moins une certaine variété.
Vous êtes-vous déjà demandé si ce n'est pas une maladie de publier constamment vos photos ?
La psychologie moderne surveille de près la mode, les tendances actuelles et les nouveaux troubles de la psyché humaine. Bien sûr, l'amour des "selfies" n'a pas retenu l'attention des psychologues.
Aujourd'hui, nous allons parler des caractéristiques psychologiques des personnes qui aiment les selfies. Donc, la psychologie des selfies. Les selfies sont une maladie du 21e siècle.
« L'égoïsme » révèle plusieurs problèmes psychologiques d'une personne.
Selfie (de l'anglais self - "lui-même, lui-même"), ou "vous-même" ou le narcissisme. Un narcissisme excessif conduit au développement d'un type de personnalité narcissique, lorsqu'une personne est incapable d'aimer quelqu'un d'autre que lui-même.
Selfies de femmes. En premier lieu pour les femmes est la démonstration de données externes, en second lieu est la vie sociale.
Selfies pour hommes. Chez les hommes, exactement le contraire. La vie sociale est en premier lieu : ses réalisations, ses courses, ses voyages, ses voitures, ses rencontres entre amis et collègues, ses restaurants, etc. En second lieu, les données externes : un beau torse, des biceps, un nouveau costume et des expressions faciales simples.
Dans tous les cas, tous ceux qui téléchargent leurs photos sur le réseau sont motivés par le désir d'obtenir l'approbation, l'admiration des autres. "L'égoïsme" ne constitue une menace que dans les cas avancés. Comme le dit l'adage : tout est bon avec modération.
Syndrome du selfie. LE SELFIE EST-IL UNE MAUVAISE HABITUDE OU UNE MALADIE MENTALE ?
selfie(eng. "Selfie" de "soi" - lui-même, lui-même, il y a aussi des noms soi, arbalète) - une sorte d'autoportrait, qui consiste à se capter sur l'appareil photo, parfois à l'aide d'un miroir, d'un cordon ou d'une minuterie.
Le terme a gagné en popularité à la fin des années 2000 et au début des années 2010 en raison du développement de fonctions de caméra intégrées dans les appareils mobiles.
Étant donné que le selfie est le plus souvent pris à distance d'une main tendue tenant l'appareil, l'image sur la photo a un angle et une composition caractéristiques - à un angle, légèrement au-dessus ou en dessous de la tête.
La dépendance au selfie est officiellement reconnue comme un trouble mental. Cette conclusion a été tirée par des scientifiques de l'American Psychiatric Association, selon la publication spécialisée dans les nouvelles "incroyables".
L'association, selon la publication, a présenté une classification d'une nouvelle maladie appelée selfies à Chicago.
Par exemple, les selfies sont définis comme un trouble obsessionnel-compulsif caractérisé par un désir constant de se prendre en photo et de télécharger des images sur les réseaux sociaux afin de compenser un manque d'estime de soi.
La note note qu'il n'existe actuellement aucun remède contre les selfies. Cependant, l'un des utilisateurs du portail Global Trend News, commentant cette nouvelle, a proposé sa propre solution au problème : détruire simplement le téléphone portable.
Actualités RIA
Avis du psychologue :
Les selfies sont devenus très populaires ces derniers temps. Désormais, non seulement ils regardent depuis les pages des réseaux sociaux, mais ils flashent souvent sur des affiches publicitaires, font parler d'eux-mêmes à la télévision.
Tout cela ressemble à une épidémie de maladie et, peut-être, chaque personne moderne a-t-elle une attitude claire envers ce phénomène. Quelqu'un a été infecté et ne publie pas ses autoportraits uniquement lorsqu'il dort.
Et il y a ceux qui sont dégoûtés par l'afflux de ce genre de créativité.
L'épidémie a commencé après la 86e cérémonie des Oscaractris et l'hôte de la cérémonie, Ellen DeGeneres, ainsi que l'acteur Bradley Cooper, ont pris un selfie dans lequel ils ont été capturés en compagnie de nombreuses stars hollywoodiennes.
Un Oscar est un événement pour lequel ils se préparent depuis des mois : les stars, en tandem avec leurs stylistes, sélectionnent soigneusement une image, commandent des tenues chez des couturiers célèbres, confectionnent toutes sortes de bretelles, et même se font des injections spéciales pour ne pas transpirer, car ils sont obligés d'être sous les projecteurs. La cérémonie est la quintessence de la poursuite humaine de l'idéal.
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