Qui étaient les sages qui sont venus à Christ ? Vrai et faux sur les sages bibliques : les Perses qui ont été martyrisés en visitant Bethléem ? et Tradition de l'Église

Mages (dans la Bible) Mages (dans la Bible)

VOLKHVY, le nom général des ministres des cultes pré-chrétiens, des guérisseurs considérés comme des sorciers, parfois - des sages orientaux, des astrologues. Dans la Bible, les sages sont des rois ou des magiciens (cm. MAGIE) qui est venu de l'Est pour adorer l'enfant Jésus (cm. JÉSUS-CHRIST)... Mentionné dans l'Évangile de Matthieu (2, 1-12).
Les mages apprirent la naissance de Jésus par l'apparition d'une étoile merveilleuse et vinrent à Jérusalem, où ils demandèrent innocemment à Hérode de les aider à trouver le messie né. (cm. MESSIE)- le futur roi juif. Hérode essaie d'utiliser les mages pour découvrir le nom de son successeur supposé. Les mages suivent l'étoile qui les conduit à Bethléem (cm. Bethléem)... Ici, ils accomplissent le rite de la "proskinésie" (se prosterner devant le bébé) et apportent des cadeaux : de l'or, de l'encens et de la myrrhe.
Le rêve leur interdit de retourner auprès d'Hérode et ils se rendent dans leur patrie, dont l'emplacement exact ne peut être établi à partir des évangiles. L'origine ethnique des mages n'est pas non plus claire. Ils étaient considérés à la fois comme les natifs d'Arabie et (surtout souvent) comme les magiciens persans. En Occident, depuis l'époque des Grandes Découvertes Géographiques (XVe siècle), les Mages sont représentés comme les représentants de trois races : noir, jaune et blanc (le nombre des Mages est absent de l'Evangile et appartient également au domaine des Apocryphes). Dans la tradition orientale, les noms des mages sont donnés de différentes manières, en Occident il est de coutume de les appeler Caspar, Balthazar et Melchior. Selon la légende, ils furent plus tard baptisés par l'apôtre Thomas. (cm. FOMA (apôtre)) et reçu la fin d'un martyr. Leurs reliques présumées acquises par Frederick Barbarossa (cm. FRIEDRICH I Barberousse) ont été enterrés dans la cathédrale de Cologne ("Trois Rois"). Sur Athos, dans le monastère Saint-Paul, sont conservés les « dons des mages ». En souvenir de l'offrande de cadeaux par les mages, la coutume d'offrir des cadeaux le jour de Noël s'est enracinée.

Dictionnaire encyclopédique. 2009 .

Voyez ce que "SAGES (dans la Bible)" est dans d'autres dictionnaires :

Une classe spéciale de personnes qui ont bénéficié d'une grande influence de l'antiquité. Il s'agissait de sages ou de soi-disant magiciens, dont la sagesse et le pouvoir consistaient dans leur connaissance de secrets inaccessibles aux gens ordinaires. Selon le degré de développement culturel du peuple, son V. ... ... Encyclopédie de Brockhaus et Efron

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Livres

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Trois sages qui sont venus au nouveau-né Jésus

Il est maintenant temps de parler des trois sages. Comme vous le savez, lorsque Jésus est né, trois sages sont venus à lui et lui ont prédit un grand avenir, disant qu'il deviendrait le roi des Juifs. Les mages vinrent de l'est, voyant une étoile, et « ouvrant leurs trésors, ils lui apportèrent des cadeaux : de l'or, de l'encens et de la myrrhe » (Matthieu 2:11). Smyrne est la myrrhe, un parfum d'encens.

Les noms des mages : Caspar, Belshazzar et Melchior. Nous pensions que les trois sages étaient des hommes, mais ce n'est pas le cas. Il existe de nombreuses images qui montrent clairement que le sorcier Melchior, qui est considéré comme un homme, est en fait une femme (voir, par exemple, fig. 125, extrait du vol. 4).

Et maintenant, regardons de plus près les noms des mages, mais d'abord, rappelons la structure de l'univers (Fig. 126a). Ce chiffre peut être compris comme suit (Fig. 126 b) :

Riz. 125. Adoration des mages d'après une fresque de la cathédrale de Bonn, XVe siècle. Le mage Melchior se tient au milieu

Riz. 126 a. Structure de l'esprit

Riz. 126 b. L'esprit est amour

Ainsi, les noms des mages. Commençons par Belshazzar. Belshazzar - Roi Baal - Roi du Royaume inférieur - Volos - Pouvoir de Vie - principe masculin.

Cupronickel - el M / Um - le plus haut esprit / sagesse. Ici, on pourrait supposer que nous parlons de Makoshi - Mère-Vide - le principe féminin. Et c'est bien le cas, car la clé est chef.

Hior - Arche - Héros - Héron. Héron du grec il est traduit par "vieil homme", d'ici vient le mot héros(notez la racine queue dans ces mots). Arche dans le même grec, cela signifie « début, supérieur, supérieur » (la bite est vraiment le début des commencements, et il l'est avant tout). Par conséquent, dans le nom Melchior, nous avons deux mots désignant la position la plus élevée de l'objet en question : ce ale et chior/arche, qui ensemble peuvent être traduits par "le plus élevé". Alors le nom Melchior peut être exactement traduit par "L'esprit le plus élevé", et c'est la Sagesse. Ainsi, ici, nous avons vraiment affaire à la Grande Mère, Sagesse / Vacuité, qui se trouve au tout début, à la base du monde.

C'est-à-dire qu'il s'avère que les principes masculins et féminins sont venus au Christ nouveau-né sous la forme des forces primitives de Volos et de Makosha. Le fait que Melchior et Belshazzar soient un couple est indiqué par le nom de Caspar. Kaspar - saspar - sus para - sus para ... Il est intéressant de noter que de nombreuses peintures médiévales représentant les trois sages indiquent sans ambiguïté que Belshazzar et Melchior sont un couple (dans le livre, vol. 4, il existe de nombreuses peintures de ce type).

Qu'est-ce que la sousse ? Comme nous l'avons découvert dans le volume 2, le surnom ou le titre de Jésus peut être déchiffré quelque chose comme "Une personne dont l'essence spirituelle supérieure est sortie et est devenue son visage"... Sus est le poids spirituel de l'être/essence, et tout ce qui existe contient une paire : les principes masculin et féminin - Belshazzar et Melchior, c'est-à-dire Volos et Makosh, respectivement le pouvoir de la Vie et de la Sagesse.

Combinons les trois noms en un seul tout, en les reliant en une seule image. Qu'allons-nous obtenir? Le même dessin qui a déjà été considéré : principes masculin et féminin, unis par l'essence - l'amour (voir fig. 127). À mon avis, il n'est pas nécessaire de prouver que l'amour et le sus (racine dans le nom de Jésus) sont une seule et même chose.

Riz. 127. La signification des noms des trois sages

Il s'avère que lorsque Jésus est né, l'essence lui est venue - un couple qui combine les principes masculins et féminins, le Pouvoir de Vie et la Sagesse, unis par l'amour. Et que signifie « quand Jésus est né » ? Quand le « Je » d'une personne meurt et qu'elle se transforme en Dieu, la Connaissance/Essence lui vient, qui par l'Amour unit le Pouvoir de la Vie et la Sagesse. Cependant, combien nos ancêtres voyaient et savaient ! Et encore une fois, nous voyons que l'histoire du Christ n'est pas une description littérale de la vie d'une personne, mais une description symbolique du chemin de transformation d'une personne en Dieu. Cela doit être appris très clairement, sinon nous ne sortirons jamais d'une foi vide en vivant l'état de Christ.

Qui sont les mages ?

L'évangéliste appelle les sages et les astrologues mages. Ils ont regardé les étoiles qui ont prédit la naissance du Christ. Cette ancienne prophétie était connue des sages, et c'est pourquoi ils se rendirent à Bethléem. Là, ils s'attendaient à contempler le Roi de Gloire qui était né. Il y avait plusieurs mages, mais l'Évangile ne dit pas combien et quels étaient leurs noms. Aujourd'hui, on pense qu'il y avait trois sages, ainsi que des cadeaux, mais cette information était un ajout qui figurait déjà dans la littérature chrétienne primitive.

Traditionnellement, dans le christianisme, les mages sont représentés dans les images de trois hommes d'âges différents : le jeune Balthazar, l'adulte Cupronickel et l'aîné Caspar. De plus, les mages représentent les trois directions cardinales. Balthazar est représenté comme Africain, Melchior comme Européen et Caspar comme Asiatique. Dans les pays d'Orient, trois ont accepté le martyre, et avant d'être baptisés par l'apôtre Thomas. L'impératrice Hélène de Constantinople a retrouvé leurs reliques et les a conservées longtemps à Constantinople.

Cadeaux des mages

Qu'avez-vous donné à l'Enfant Jésus ?

D'où venaient les sages ?

La veille de Noël, les chrétiens se souviennent de l'histoire évangélique de l'adoration du nouveau-né Christ des mages, qui a été conduit à lui par une merveilleuse étoile au-dessus de Bethléem. Les mages ont présenté des cadeaux - de l'or, de l'encens et de la myrrhe. Les particules des dons des mages sont l'une des rares reliques associées à la vie terrestre du Sauveur et préservées à ce jour.

Qui sont les mages ?

Dans l'Évangile, le mot "sages" signifie astrologues et sages. En observant les corps célestes, ils virent un phénomène jusqu'alors inconnu et, connaissant l'ancienne prophétie, se rendirent à Bethléem pour voir le roi de gloire né. Les évangélistes eux-mêmes n'ont pas mentionné le nombre et les noms des mages - l'histoire de trois (selon le nombre de cadeaux) mages (en Occident - les rois) est apparue dans la littérature chrétienne primitive et a été complétée au Moyen Âge.

La traduction synodale de l'Écriture, en particulier du Nouveau Testament, introduit une certaine confusion concernant le terme « sorcier ». D'une part, nous parlons de personnes qui sont venues adorer le nouveau-né Jésus-Christ. Ils sont mentionnés dans l'Évangile de Matthieu (deuxième chapitre), et ce sont certainement des caractères positifs. Par contre, dans "Actes", au huitième chapitre, il est question d'un certain Simon, qui pratiquait la sorcellerie. Voyant que la condescendance du Saint-Esprit sur une personne lui permet d'accomplir de grands miracles, il apporta de l'argent aux apôtres, leur demandant de vendre ce don. Depuis lors, le commerce des offices religieux s'appelle la simonie. Ainsi, le sorcier mentionné dans les Actes est un sorcier essayant de se faire passer pour quelqu'un de grand. En un mot, un charlatan. Alors que veut dire « mages », quelle est l'étymologie de ce mot ?

Qu'avez-vous donné à l'Enfant Jésus ?

Il est de coutume de s'offrir des cadeaux à Noël. Cette tradition ne remonte pas seulement à l'image de Saint-Nicolas, qui est devenu le prototype du Père Noël grâce à son cœur bon et généreux. Elle a aussi des racines évangéliques. Comme le disent les Écritures, trois sages d'Orient sont venus adorer le Christ nouveau-né. Dans la tradition russe, il est d'usage de les appeler les mages. C'étaient des savants qui observaient le ciel étoilé. Ils ont apporté des cadeaux à l'Enfant Jésus : de l'or, de l'encens et de la myrrhe. Les noms des mages étaient Caspar, Balthazar et Melchior.
D'où venaient les sages ?

Cadeaux des mages : comment utiliser la myrrhe ? Parlons à nouveau des dons précieux des Mages : Les premiers donateurs de l'Enfant Jésus, si vous vous souvenez du Nouveau Testament, étaient les Mages qui ont trouvé le chemin de Bethléem. Ne pensez pas que l'étoile a littéralement marché devant eux dans le ciel. Matthieu parle un langage poétique. Mais l'étoile brillait sur Bethléem. Il existe une merveilleuse légende selon laquelle l'étoile, ayant accompli son travail de guide, est tombée dans le puits de Bethléem et s'y trouve toujours, où elle peut parfois être vue par des personnes au cœur pur.

De nombreuses légendes parlent des mages. Selon la tradition orientale ancienne, il y en avait douze. Mais maintenant, c'est une tradition presque généralement acceptée de considérer qu'ils étaient trois, puisque dans le Nouveau Testament, il est dit qu'ils ont apporté trois cadeaux.

Ils lui ont apporté de l'or, de l'encens et de la myrrhe en cadeau. Ces cadeaux ont été faits pour une raison. Chacun des trois dons avait une signification particulière.

Qui a apporté des cadeaux à Jésus

Les mages ont été les premiers païens à adorer l'enfant Jésus en tant que Messie, ou "Roi des Juifs". Après l'étoile, ils sont venus de l'Est à Bethléem avec des cadeaux d'or, d'encens et de myrrhe. Et maintenant, les chrétiens vénèrent les reliques de ces magiciens-astrologues et ces signes de révérence qu'ils ont apportés au Sauveur.
Ceux qui veulent voir les dons des mages devront se rendre en pèlerinage à Athos, au monastère de Saint-Paul. Certes, seul le sexe fort a cette opportunité - les femmes ne sont pas autorisées à entrer dans l'ancien monastère de la piété orthodoxe masculine afin d'éviter la tentation des moines.
Les moines athonites ont conservé les dons des mages, précieux pour l'humanité, à ce jour. Les moines grecs du monastère de Saint-Paul conservent ces reliques dans plusieurs petits reliquaires. Les moines comprennent bien à quel point la valeur spirituelle, historique et archéologique des dons des mages est grande pour les pèlerins, c'est pourquoi, après les services nocturnes, ils les apportent au culte de tous les invités du monastère.

Elle a aussi des racines évangéliques. Comme le disent les Écritures, trois sages d'Orient sont venus adorer le Christ nouveau-né. Dans la tradition russe, il est d'usage de les appeler les mages. C'étaient des savants qui observaient le ciel étoilé. Ils ont apporté des cadeaux à l'Enfant Jésus : de l'or, de l'encens et de la myrrhe. Les noms des mages étaient Caspar, Balthazar et Melchior. D'où venaient les sages ?

Rien n'est dit sur les noms des mages dans l'Evangile - ils sont connus de la Tradition. Des quatre évangélistes, seul l'apôtre Matthieu écrit sur leur culte du Christ nouveau-né, les autres ont omis ce fait. Mais il y a une explication logique à cela. Matthieu a écrit son Evangile pour le peuple d'Israël, et donc son texte contient beaucoup d'informations qui sont fondamentalement importantes précisément pour les Juifs et qu'ils ont parfaitement compris. Par exemple, la «généalogie» terrestre du Christ, avec laquelle commence l'Évangile de Matthieu, des références à d'anciennes prophéties, des citations des psaumes - tout cela est une sorte de code par lequel Israël pourrait reconnaître son Messie.

7. Qui étaient les sages, et qu'ont-ils donné à l'enfant Jésus ?

Pour la première fois, les mages ont parlé en détail par Hérodote dans le premier livre de l'Histoire. Il les appelle magiciens et les considère comme l'une des tribus Mèdes. A la cour persane, ils exerçaient des fonctions sacerdotales - ils étaient astrologues et interprètes de rêves. Les mages étaient les prêtres de Mithra, un culte qui s'est largement répandu dans l'empire romain à l'époque du christianisme primitif.

Matthieu dit que les sages sont venus "de l'est", mais ne précise pas où exactement. Justin Martyr, Epiphane, Tertullien croyaient que les mages venaient d'Arabie ; Jean Chrysostome et Basile le Grand, de Perse, et Augustin croyaient cela de Chaldée. En tout cas, il est clair que ce ne sont pas des juifs et que leur pays (ou pays) se situe à l'est de la Palestine.

Dans les monuments de l'art byzantin, les mages semblent être arrivés d'un seul pays. Vous arrivez naturellement à cette conclusion, voyant leur similitude au point de vue du type et des costumes nationaux.

Plus de deux mille ans se sont écoulés depuis la grande Nativité du Christ, mais la tradition de présenter des cadeaux aux autres a survécu. Noël était et reste une grande fête, et ce jour-là, il est toujours d'usage d'offrir des cadeaux à votre famille et à vos amis.

Cadeaux des mages

Les sages de l'Évangile sont appelés sages qui croyaient au pouvoir des étoiles, attendant le signe de la naissance d'un bébé extraordinaire, le futur Sauveur. Ils ont été les premiers à venir saluer le Christ né et lui ont apporté des cadeaux. Selon la légende, plus tard, ils ont accepté la foi du Christ et ont été tués ou sont morts dans les tourments. Maintenant, les reliques des mages sont dans la cathédrale de la ville de Cologne, où elles ont été apportées de Constantinople.

L'enfant Jésus a été présenté pour Noël avec de la myrrhe (résine d'arbre), de l'encens et de l'or, ce qui signifiait trois choses : il est destiné à mourir, il est Dieu et le Roi sur terre. Certains de ces dons ont été conservés et dispersés à travers le monde chrétien.

Athos Gifts of the Mages - or, encens et myrrhe, apportés par les mages de l'Est en cadeau au nouveau-né Jésus. Ils ont survécu jusqu'à ce jour. Or - vingt-huit petites assiettes de formes diverses avec le plus bel ornement en filigrane. L'ornement n'est répété sur aucune des assiettes. L'encens et la myrrhe sont de petites boules de la taille d'une olive, environ soixante-dix d'entre elles. Les dons des mages sont conservés dans des arches sur le mont Athos (Grèce) dans le monastère de St. Paul.

Voir aussi : Suaire de Turin

Excursion historique

Le culte des sages orientaux, qui ont apporté des cadeaux - de l'or, de l'encens et de la myrrhe - à l'Enfant Christ, est décrit dans l'Évangile de Matthieu.

Voyant l'étoile, ils se réjouirent avec une très grande joie, et entrant dans la maison, ils virent l'Enfant avec Marie, sa Mère, et, tombant, l'adorèrent ; et ouvrant leurs trésors, ils lui apportèrent des présents : de l'or, de l'encens et de la myrrhe. (Matt. 2 : 9-11)

Adoration des mages

On pense que dans les temps anciens, il y avait un type particulier de personnes qui possédaient les secrets de l'univers. Ces sages vagabonds sont mentionnés dans la Bible, dans l'épisode sur la naissance de Jésus-Christ. Ce sont les mages qui sont venus les premiers adorer Jésus. Le lieu de naissance du messie leur a été signalé par une étoile. Les mages se sont inclinés devant le bébé comme un roi et lui ont apporté des cadeaux : de l'or, de l'encens et de la myrrhe. Les morts étaient oints de cette résine parfumée.

Par conséquent, les sages savaient qui ils adoraient, prévoyaient d'avance toute sa vie terrestre.

Et qui les Slaves appelaient-ils les Mages ? Des gens avec des connaissances secrètes, voyant le passé et l'avenir. Vraisemblablement, le mot "sorcier" est venu du nom du dieu Veles, et s'est progressivement transformé en "magie".

MAGIE - une classe spéciale de personnes qui jouissait d'une grande influence dans l'antiquité et qui acquit une renommée particulière du fait que ses représentants venaient à Bethléem pour adorer le Christ nouveau-né (Mt 2, 1 et 2). Il s'agissait de "sages" ou de soi-disant magiciens, dont la sagesse et la force consistaient dans leur connaissance de secrets inaccessibles aux gens ordinaires. Selon le degré de développement culturel du peuple, son magicien. ou les sages pourraient représenter différents degrés de "sagesse" - du simple charlatanisme ignorant à la connaissance véritablement scientifique. La patrie des mages est l'ancien Orient. La magie ou la sorcellerie était l'une des branches les plus importantes de la connaissance dans l'ancienne Assyro-Babylonie. Les magiciens là-bas étaient très différents des prêtres ; les sacrifices aux dieux, par exemple, sont faits par les prêtres, et ils expliquent les rêves, prédisent l'avenir par les sages, les magiciens, les sages. Ils avaient leur propre chef ou patron, le soi-disant magicien-esclave, qui, comme d'autres hauts gradés qui portaient les mêmes titres (rab-saris, slave-sak), était l'un des conseillers les plus proches du roi babylonien (Jérémie 39 : 3 et 13). Le magicien lui-même. étaient divisés en plusieurs catégories, chacune ayant sa spécialité et portant un nom correspondant. Une catégorie comprenait la compilation de conspirations écrites ou de talismans appliqués sur le corps des malades ou sur les portes des maisons frappées par quelque grand malheur. Volkh., Engagé dans cela, s'appelait hertummim, au sens propre des magiciens. Une autre classe de sages (Ashshafim ou Mekashafim) avait sa spécialité dans le lancer de sorts ; la troisième classe (gazerim) tenait un registre de divers phénomènes physiques et astronomiques, qui leur servaient de base pour prédire les événements futurs. Les gazerims ou astrologues étaient particulièrement importants. Mage assyro-babylonien. étaient les plus célèbres dans l'antiquité, de sorte que leur nom commun Chaldéens est devenu plus tard synonyme de magiciens parmi d'autres peuples. Les Égyptiens avaient aussi des sages ou des sorciers.; leur magie ressemble de très près à la sagesse similaire des Chaldéens. Ils se distinguaient aussi par leur connaissance des secrets de la nature, qu'ils utilisaient pour produire des phénomènes extraordinaires, comme en témoigne leur compétition avec Moïse en présence de Pharaon (Exode 7, 8-12, etc.), interprètent des rêves et fait des prédictions basées sur des observations astronomiques. Mais chez les Égyptiens, selon leur caractère le plus sérieux, et le plus magus. se distinguaient par leur sérieux et se consacraient principalement au développement scientifique des phénomènes présentés à leur observation. Du Mage Assyro-Babyloniens. transmis aux Perses, où ils ont d'abord rencontré une forte rebuffade de la part des prêtres indigènes. Mais alors, la magie s'est enracinée chez les Perses, fusionnant avec le sacerdoce local, de sorte que le mot même de magicien ou de sorcier chez les Perses a reçu le sens de prêtre ou de prêtre. Zoroastre dans de nombreux monuments antiques est présenté comme le chef et le réformateur de la classe des magiciens ou mages. De la monarchie persane le concept du volh. passé aux Grecs, d'abord asiatiques, puis européens. Sous le nom de mages ou magiciens, les Grecs commencèrent à comprendre en général divers sorciers ou sorciers, lanceurs de sorts, dont l'art avait parfois un sens très incertain. Cependant, Platon parle avec respect de la magie de Zoroastre, comme constituant une telle base d'éducation, qui est meilleure que l'Athénienne. Xénophon parle aussi favorablement des magiciens dans sa Kyropédia. Selon la définition du dernier lexicographe Svida, « les Perses appelaient les philosophes et les théologiens » des magiciens. Dans la traduction grecque de la Bible, les magiciens désignent les sages babyloniens et égyptiens, les interprètes de rêves, les interprètes de livres sacrés, les guérisseurs, les sorciers, les invocateurs des morts, etc. Des Grecs, puis directement des peuples orientaux, les volh. transmis aux Romains, qui très tôt commencèrent à considérer les mages orientaux comme de bas trompeurs, exploitant sans vergogne la superstition populaire. Tacite appelle la sagesse des mages orientaux. superstition (magicae Superstitiones), et Pline voit dans la boisson « vacuité » et « tromperie » (vanitates magicae, mendacia magica). Les satiristes romains de l'époque de l'empire fouettent à la fois les magiciens eux-mêmes et leurs nombreux clients. Malgré cela, mage. reçu de plus en plus d'influence dans la société romaine. Dans de nombreuses maisons de la noblesse romaine, un volh. consistait en un salaire, et à la cour des Césars vivaient parfois en régiments entiers, jouant un rôle important dans toutes les intrigues de cour. Déjà au IIe siècle. avant P. X. il y eut une tentative d'expulser les Chaldéens de Rome. La loi de Sylla, qui s'appliquait à divers sicaires et méchants secrets, était appliquée en pratique aux mages. Par la suite, certains dirigeants ont persécuté le sorcier, tandis que d'autres, au contraire, les ont protégés. Ainsi, l'empereur Auguste, qui tentait de restaurer l'ancien culte romain, a interdit aux mages asiatiques et aux astrologues de se livrer à leurs prédictions et a même brûlé leurs livres. Tibère et Claudius ont également publié divers décrets concernant l'expulsion des « mathématiciens et magiciens », bien qu'il soit connu que Tibère personnellement était loin d'être indifférent à eux et s'est secrètement entouré de « troupeaux de Chaldéens » (dans l'expression sarcastique de Tacite). Néron les traita si bien qu'il n'hésita pas à participer aux festins des magiciens. Vesiasian, Adrian et Marcus Aurelius les ont traités avec tolérance. Certains des mages de l'Est, comme Apollonios de Tyane, ont acquis une grande renommée. Le concept même de magiciens est devenu de plus en plus flou, et par eux, on entendait généralement les adeptes de tout ce qui est mystérieux et incompréhensible. Le célèbre polémiste païen contre le christianisme Celsius n'a presque pas fait de distinction entre les magiciens et les chrétiens et a attribué la connaissance de la magie au Christ lui-même. De leur côté, les chrétiens attribuaient les miracles à la magie, soi-disant accomplis par des hérétiques connus à cette époque. Sous le règne de Caracalla, le mage. étaient brûlés vifs, et ceux qui usaient de leurs charmes au détriment des autres étaient crucifiés ou livrés pour être déchiquetés par des bêtes. Alexander Sauver appartenait au mage. si bienveillant qu'il leur accorda une pension alimentaire. Dioplétien a renouvelé les décrets précédents contre eux, mais une attitude complètement négative à leur égard ne s'est établie que sous les empereurs chrétiens. Constantin le Grand a publié des décrets restrictifs sur toute magie, et son fils Constance et les empereurs suivants ont interdit la magie sous peine de mort. Ceci est lié au mage. a trouvé une définition juridique claire dans les lois de Justinien, qui ont servi de base à la législation ultérieure des peuples chrétiens.

Quant à ces mages, que l'évangéliste Matthieu mentionne dans l'histoire de la naissance du Christ, en disant, à Jérusalem « sont venus les mages de l'Est. et ils ont demandé où est né le roi des Juifs »(Matt. 2, 1 et 2), il est difficile de décider de quel genre de personnes ils étaient, de quel pays et de quelle religion, puisque l'évangéliste ne donne aucune indication de cette. Mais la déclaration supplémentaire de ces mages : qu'ils sont venus à Jérusalem, parce qu'ils ont vu en Orient l'étoile du roi né des Juifs, qu'ils sont venus adorer (Matthieu 2, 2), montre qu'ils appartenaient à la catégorie des ces mages de l'Est qui s'occupaient d'observations astronomiques. Si tel est le cas, leur prochaine apparition pourrait les avoir incités à se rendre à Jérusalem. À l'époque de la Nativité du Christ, précisément en l'an 747 après la fondation de Rome, il y avait apparemment une combinaison extrêmement rare des planètes Jupiter et Saturne dans la constellation des Poissons dans le ciel. Il ne pouvait manquer d'attirer l'attention de tous ceux qui regardaient le ciel étoilé et étudiaient l'astronomie, c'est-à-dire les mages chaldéens. L'année suivante, Mars a rejoint cette combinaison, qui a encore renforcé le caractère extraordinaire de l'ensemble du phénomène, portant le sceau du miraculeux (voir "L'étoile à l'Est"). Volkh., s'étant prosterné devant le Christ nouveau-né, trouvé par eux à Bethléem, selon le témoignage de l'évangéliste, « se retira dans leur pays », suscitant ainsi l'extrême irritation d'Hérode. Tout un cycle de légendes s'est développé à leur sujet, dans lequel celles-ci sont. les sages ne sont plus de simples magiciens, mais des rois, représentants des trois races humaines. Plus tard, la légende connaît même leurs noms - Caspar, Melchior et Valtasar, et décrit en détail leur apparence même. Dans les légendes chrétiennes orientales, le sorcier. obtenez encore plus de grandeur et de splendeur extérieures. Ils arrivèrent à Jérusalem avec une suite de mille hommes, laissant derrière eux sur la rive gauche de l'Euphrate un détachement de 7000 hommes. De retour dans leur pays (dans l'Est lointain, près des rives de l'océan), ils se livrèrent à la vie contemplative et à la prière, et lorsque les apôtres se dispersèrent pour prêcher l'Evangile dans le monde entier, St. Thomas les rencontra à Pareia, où ils reçurent le baptême de lui et devinrent eux-mêmes prédicateurs de la nouvelle foi. La légende ajoute que leurs reliques ont été retrouvées plus tard par la reine Hélène, ont d'abord été placées à Constantinople, mais de là, elles ont été transférées à Mediolan (Milan), puis à Cologne, où leurs crânes, comme un sanctuaire, sont conservés à ce jour. En leur honneur, une fête fut instituée en Occident, connue sous le nom des trois rois (6 janvier), et ils devinrent généralement les patrons des voyageurs. En raison de cette dernière circonstance, leurs noms étaient souvent utilisés pour nommer les hôtels.

Dans la littérature du sujet, outre les recherches particulières de Lenormand sur la magie des Chaldéens, on peut citer des articles dans des dictionnaires spéciaux : Duc, sous les mots. Magier, Smith sous les paroles. Magi et autres Voir également l'Art. prof. P. Protopopova : « Les mages d'Égypte, de Babylone et de Bethléem » (« Foi et raison » 1902, livres 23 et 24) (Comparer l'encyclique. Dictionnaire Brockhaus-Efron vol. 13).

* A.P. Lopukhin

Source du texte : Encyclopédie théologique orthodoxe. Volume 3, page 757. Édition Petrograd. Supplément au journal spirituel "Wanderer" pour 1902

Par conséquent, les sages savaient qui ils adoraient, prévoyaient d'avance toute sa vie terrestre.

Les mages servaient non seulement les puissances supérieures, mais ils pouvaient eux-mêmes influencer divers phénomènes. Pas un seul événement dans les communautés anciennes, de la naissance d'une personne à la mort, n'était complet sans la participation de ces sages. C'étaient des ecclésiastiques qui communiquaient avec les esprits et les dieux, devins, guérisseurs. Ils possédaient le don de réincarnation, connaissaient les lois de la nature, l'astrologie et possédaient l'écriture proto-slave.

Les mages occupaient une position élevée dans la société. Les anciens et plus tard les princes les consultèrent. Ceux qui ont été appelés sages peuvent être trouvés dans n'importe quelle culture du monde.

Qui sont les Mages et que symbolisent les Dons des Mages ?

Mages dans l'ancienne Russie, ils appelaient des personnes qui savaient prédire l'avenir, guérir les maladies à l'aide d'herbes et de sorts et accomplir divers rites magiques et religieux. On les appelait aussi magiciens, sorciers, sorciers, devins, prophètes et sages. Les mages étaient crédités de posséder des pouvoirs magiques spéciaux et des connaissances secrètes, ils étaient vénérés et craints.

Dans l'Évangile, les mages sont mentionnés à propos de la naissance de Jésus : il est dit qu'ils sont venus d'Orient à Bethléem, conduits par l'étoile de Bethléem, pour adorer le nouveau-né roi d'Israël, et lui ont apporté de riches cadeaux.

Cadeaux des mages- ils étaient de l'or, de l'encens et de la myrrhe - avaient une signification symbolique particulière. L'or était un cadeau offert au roi. L'encens est un cadeau destiné au grand prêtre. Et la myrrhe, ou la myrrhe, était un cadeau à l'Élu pour le futur sacrifice expiatoire, pour lequel Jésus est né, parce que les corps des morts en ont été oints dans l'ancien Israël.

Dans la Bible, le terme « hommes sages » fait référence aux sages et aux astrologues qui pourraient prédire les événements futurs en fonction du mouvement des corps célestes. En regardant le ciel, les mages ont vu une étoile inhabituelle au-dessus de la ville de Bethléem. Après elle, les magiciens errants sont venus à l'endroit où se trouvait le Christ nouveau-né, l'ont reconnu comme le Roi de gloire et lui ont présenté leurs cadeaux.

Les mages se sont précipités à Bethléem, car ils considéraient une étoile brillante dans le ciel comme un signe, témoignant de la naissance du Grand Roi, dont l'apparition était si longtemps attendue. Pour les mages, ce n'était pas seulement une étoile, mais le rayonnement du pouvoir divin angélique. En Orient, d'où venaient les astrologues, les prophéties de l'Ancien Testament sur la venue du Messie, qui étaient destinés au rôle de Sauveur de l'humanité perdue, se sont depuis longtemps répandues.

Les auteurs des évangiles ne mentionnent pas les noms des mages et leur nombre. La mention des trois magiciens est apparue beaucoup plus tard dans la littérature chrétienne primitive, et plus tard la légende a été complétée par des auteurs médiévaux. Selon la tradition établie, on pense que trois sages sont venus à Jésus. Même leurs noms et nationalités sont mentionnés. L'Africain Balthazar était un jeune, Melchior était d'âge moyen et venait d'Europe, et Caspar, étant un vieil homme aux cheveux gris, représentait l'Asie.

La légende raconte qu'après avoir rendu visite à Jésus, les mages sont partis vers d'autres pays. On pense que beaucoup plus tard, ils ont été baptisés et martyrisés dans l'un des pays de l'Est. Les reliques des mages ont ensuite été trouvées et conservées à Constantinople, après quoi elles ont été transférées en Europe, où les reliques sont conservées à ce jour.

Cadeaux des mages

Quels étaient les dons des mages ? La Bible dit que les sages ont offert au nouveau-né Jésus trois cadeaux : de l'encens, de l'or et de la myrrhe - une résine parfumée. Chaque cadeau avait sa propre signification symbolique spécifique. L'encens est une offrande à Dieu. L'or était généralement donné aux rois. Smyrne symbolisait le futur sacrifice du Christ, qui a donné sa vie pour le salut de l'humanité.

Selon la légende, la mère de Jésus a ensuite transmis les cadeaux des mages aux chrétiens de Jérusalem, puis ces symboles chrétiens se sont retrouvés à Constantinople. Déjà au XVe siècle, les dons sacrés étaient transportés au monastère d'Athos, où ils étaient transférés pour être entreposés. Des particules de reliques chrétiennes sont soigneusement stockées dans dix arches spéciales. Les vrais chrétiens vénèrent beaucoup ces reliques, qui rappellent des temps lointains et sont directement liées à la vie terrestre du Sauveur.

Dans l'Évangile, le mot mages signifie astrologues et sages. En observant les corps célestes, ils virent un phénomène jusqu'alors inconnu et, connaissant l'ancienne prophétie, se rendirent à Bethléem pour voir le roi de gloire né. Les évangélistes eux-mêmes n'ont pas mentionné le nombre et les noms des mages, l'histoire des trois mages est apparue dans la littérature chrétienne primitive et a été complétée au Moyen Âge. Selon la tradition, les mages sont représentés comme des personnes de trois âges et de trois points cardinaux. Selon la légende, plus tard, les mages ont été baptisés par l'apôtre Thomas et ont accepté le martyre dans les pays de l'Est. Et leurs reliques ont été trouvées par l'impératrice Hélène de Constantinople et déposées d'abord à Constantinople, puis transférées en Europe occidentale, où elles sont maintenant conservées dans la cathédrale de Cologne.

Les mages ont apporté à l'enfant trois cadeaux : de l'or, de l'encens et de la myrrhe. Chacun des cadeaux avait sa propre signification symbolique :

Smyrne - Une résine parfumée d'un arbre poussant en Arabie et en Éthiopie.

L'or est un cadeau à l'enfant en tant que roi, indiquant que Jésus est né pour être roi.

L'encens est un don à Lui comme à Dieu.

Ce sont ces cadeaux qui ont initié la tradition qui est née dans le monde chrétien d'offrir des cadeaux à Noël et aux nouveau-nés en général.

Selon la légende, la Sainte Mère de Dieu a donné les Dons des Mages à la communauté chrétienne de Jérusalem, après quoi ils ont été transférés à Constantinople dans l'église Sainte-Sophie. Après la conquête de Constantinople par les Turcs au XVe siècle, la fille du prince serbe Maria Brankovic transporta les Dons des Mages au mont Athos, où ils sont conservés pendant plus de 500 ans dans le monastère Athos de Saint-Paul.

La relique se compose de 28 plaques d'or triangulaires et carrées, auxquelles sont attachées 60 perles sur un fil d'argent, constituées d'un mélange d'encens et de myrrhe.

Aujourd'hui, des parties de la relique sont conservées dans dix arches spéciales, et plusieurs d'entre elles seront disponibles pendant les vacances de Noël à Moscou dans la cathédrale du Christ Sauveur.

Chacun de nous sait ce qu'est Noël. Et tout le monde sait que le jour de la naissance de Jésus, on lui a présenté cadeaux des mages... Ce sont des personnes spéciales qui étaient très influentes dans les temps anciens. C'étaient des magiciens qui connaissaient des secrets inaccessibles aux gens ordinaires. Et ici, tout dépendait du développement culturel du peuple donné : le sorcier pouvait être un banal guérisseur, il pouvait être une sorte de livre de rêves interprétant les rêves prophétiques, ou il pouvait vraiment avoir une sorte de connaissance magique.

Les mages eux-mêmes étaient divisés en plusieurs spécialités : les Hertumim étaient des magiciens au sens plein du terme, les Ashshafim récitaient des sortilèges, les Gazerim enregistraient divers phénomènes astronomiques et physiques et savaient parfaitement si les rêves prophétiques existaient.

Mais revenons aux sages orientaux qui ont offert des cadeaux à l'enfant Jésus. Selon le témoignage des évangélistes, les autres chemins des mages se trouvaient dans leur propre pays. À propos de ces trois rois Melchior, Belshazzar et Kasper, même tout un cycle de légendes est né, il a été soutenu qu'ils étaient des rois représentant les trois races de l'humanité.

De retour dans leur pays, qui selon la légende se situe à l'Est le plus lointain, les mages se livrèrent à la prière et à la vie contemplative. Puis, après le laps de temps, ils ont été baptisés par l'apôtre Thomas et eux-mêmes ont commencé à prêcher une nouvelle ère.

La légende prétend que la reine Hélène a trouvé les reliques des rois, d'abord ils sont restés à Constantinople, puis ont déménagé à Milan et Cologne, où les crânes des mages royaux sont conservés à ce jour. La fête des Trois Rois est largement célébrée en Occident le 6 janvier et ils sont considérés comme les patrons des voyageurs.

Sources : elhow.ru, www.bolshoyvopros.ru, www.kakprosto.ru, www.aif.ru, www.prozagadki.ru

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