Faits sur la famille royale d'Arabie saoudite. Dynastie saoudienne

Au cours du week-end, avec le soutien tacite du président Trump, le roi d'Arabie saoudite et son puissant fils ont organisé une purge sans précédent de leur propre famille. Les principales victimes étaient les proches du roi qui contrôlaient les finances, les médias et l'armée. Parmi les quelques dizaines d'arrestations figuraient 11 princes, plusieurs fonctionnaires actuels et anciens, les propriétaires des trois plus grandes chaînes de télévision, le chef du service militaire le plus important et l'une des personnes les plus riches du monde, qui est un actionnaire majoritaire de Citibank, Twentieth Century Fox, Apple, Twitter et Lyft.

"C'est comme si vous vous réveilliez un matin pour découvrir que Warren Buffett et les dirigeants d'ABC, CBS et NBC ont été arrêtés", m'a dit un ancien responsable américain. - Il y a tous les signes d'un coup d'État. L'Arabie saoudite se transforme rapidement en un autre pays. Ce royaume n'a jamais été aussi instable."

À la suite de cette purge, une vague de peur a balayé le royaume - l'un des deux plus grands producteurs et exportateurs de pétrole - ainsi que le Moyen-Orient, les marchés financiers mondiaux et la communauté internationale. Le lundi 6 novembre, les arrestations se sont poursuivies et on ne sait pas encore quand elles prendront fin.

Le prince héritier Muhammad bin Salman, dont l'influence est montée en flèche lorsque son père l'a nommé ministre de la Défense à l'âge de 29 ans, est à l'origine de la purge, à la fois critiques et partisans. Il s'est engagé à moderniser la société ultra-conservatrice. Et pour ce faire, il a pris le contrôle de projets et programmes critiques dans les domaines de l'économie, de la politique, de la justice et de la sécurité. En juin, il écarte de son chemin l'ancien prince héritier - le prince Nayef, l'allié le plus fidèle des États-Unis au sein de la famille royale, et devient prince héritier. Nayef est toujours assigné à résidence, selon Human Rights Watch. En septembre, le prince héritier Muhammad a organisé l'arrestation d'intellectuels et de chefs spirituels de premier plan.

Le samedi 4 novembre, le roi Salmane a créé une nouvelle commission anti-corruption et a nommé à sa tête le prince héritier de MBS - comme l'appelle communément Mahomet. Les arrestations ont commencé immédiatement après cela.

« Une forme intéressante de dictature est en train de prendre forme en Arabie saoudite en ce moment », m'a dit Jamal Khashoggi, un éminent chroniqueur saoudien, ancien rédacteur en chef et conseiller des diplomates saoudiens actuellement en exil. "MBS devient le leader suprême." Le seul pays où un tel titre existe désormais est l'Iran, ennemi juré de l'Arabie saoudite.

Selon les experts, ces arrestations représentent une tentative de consolidation du pouvoir entre les mains du prince héritier à la veille du possible départ du roi âgé et malade. Ce duo père-fils a déjà créé une toute nouvelle famille royale qui a réussi à déborder des centaines d'autres princes. "La maison dirigeante saoudienne et le monde savent maintenant que le prince héritier Muhammad bin Salman est prêt à utiliser tous les moyens nécessaires pour accéder au trône après la mort ou l'abdication de son père, le roi Salman, âgé de 81 ans", a écrit David Ottaway, Research Fellow Woodrow Wilson Center à Washington DC. "Jamais auparavant dans l'histoire de l'Arabie saoudite, rien de tel ne s'était produit, et il semble que le royaume entre maintenant en territoire inconnu avec des perspectives peu claires."

Le prince héritier a également le pouvoir de saisir des biens et d'imposer des interdictions de visa. Le Times a rapporté que tous les membres de la grande famille royale saoudienne ont été interdits de quitter le pays. Ibn Saud, le roi fondateur de l'Arabie saoudite moderne, avait plus de 40 fils et encore plus de filles. Aujourd'hui, le nombre de ses descendants, selon diverses estimations, varie de 6 à 15 000 personnes.

Après la mort d'Ibn Saud en 1953, la première génération de fils passa la royauté des aînés aux plus jeunes - avec le consentement des autres frères. Ils ont statué par consensus. Mais maintenant, tout est différent. Maintenant, le jeune prince parmi les petits-enfants a devancé tous les autres candidats.

« C'est incroyable que tout cela ait été fait méthodiquement. Il a progressivement pris des mesures pour faire taire toutes les personnes mécontentes, se retirer ou se retirer », a déclaré Robert Malley, vice-président de l'International Crisis Group et ancien membre du Conseil de sécurité nationale de l'administration Obama. - Personne ne pouvait l'arrêter. Il a eu raison de ses adversaires."

L'administration Trump soutient ces changements dramatiques, qui ont radicalement transformé le royaume - et la famille royale - au cours des deux dernières années. Sur le chemin de l'Asie, quelques heures seulement avant le début de la purge le samedi 4 novembre, le président Trump a parlé au roi au téléphone alors qu'il était à bord de l'avion présidentiel, et l'a félicité ainsi que le prince héritier pour leurs déclarations sur « la nécessité de créer une région modérée, pacifique et tolérante". lui-même de son mal », comme le dit le communiqué officiel de la Maison Blanche.

Trump a également déclaré qu'il tentait personnellement de persuader le royaume d'inscrire les actions de la société pétrolière d'État Aramco, l'une des plus grandes au monde, à la Bourse de New York ou au NASDAQ. "Ce sera probablement l'offre d'actions la plus importante", a déclaré Trump aux journalistes dans l'avion avec lui. "Maintenant, ils n'envisagent pas cette possibilité en raison de la procédure et d'autres risques, ce qui est très triste."

Trump n'a pas mentionné les risques associés à une offre d'actions américaine, mais l'un de ces risques est que tout actif saoudien aux États-Unis puisse être saisi en vertu de la loi sur la justice contre les sponsors du terrorisme, qui a été adoptée par le Congrès en 2016. Cette loi permet aux familles des victimes du 11 septembre d'intenter une action civile contre l'Arabie saoudite devant un tribunal de Lower Manhattan pour leur implication présumée dans les attentats. Si le tribunal prononce un verdict contre le royaume, la loi permettra au juge de geler les avoirs du royaume aux États-Unis afin de payer les amendes imposées par le tribunal.

"Cela signifie que l'Arabie saoudite sera dans une position très vulnérable en étant cotée à la Bourse de New York", a déclaré Bruce Riedel, ancien de la CIA, du Pentagone et ancien membre du Conseil de sécurité nationale. "Et ils le savent."

Ironiquement, Trump a soutenu la Justice Against Sponsors of Terrorism Act et a dénoncé le président Obama pour lui avoir opposé son veto. "Le veto qu'Obama a imposé à la loi
"La justice contre les sponsors du terrorisme" est une décision honteuse qui sera l'un des points les plus bas de sa présidence ", a déclaré Trump pendant la campagne. Le Congrès a annulé le veto d'Obama - cela s'est produit peu de temps avant sa démission et c'était la seule fois où le Congrès l'a renversé Décision Maintenant, Trump critique la loi.

Dans le cadre de sa campagne de lobbying contre le projet de loi, l'Arabie saoudite a dépensé plus d'un quart de million de dollars pour le nouvel hôtel de Trump à Washington, a rapporté le Wall Street Journal en juin. Dans le cadre de la campagne, plusieurs vétérans militaires se sont adressés au Congrès pour critiquer le projet de loi.

L'administration Trump a activement recherché l'emplacement de la Maison des Saoud. Le premier voyage à l'étranger de Trump en tant que président était en Arabie saoudite. Fin octobre, le gendre de Trump, Jared Kushner, s'est rendu dans le royaume pour la troisième fois cette année sans aucune annonce préalable. Selon la version officielle, lors de son voyage, le processus de paix au Moyen-Orient a été discuté, mais Kushner a réussi à établir des relations amicales avec le prince héritier saoudien (tous deux trentenaires). personnes.

La vague de purges reflète à la fois les faiblesses du prince héritier et son influence croissante – en partie parce que ses plans de reconstruction du royaume ultra-conservateur et d'augmentation de la présence de l'Arabie saoudite dans la région sont désormais compromis. Ses plans ambitieux pour reconstruire le royaume se reflètent dans Vision 2030, un programme majeur visant à diversifier l'économie de l'Arabie saoudite et à briser la dépendance pétrolière. Cependant, tous les membres de la famille royale ne soutiennent pas le prince héritier - un homme relativement jeune dans un système connu pour ses dirigeants plus âgés.

"Il s'agit d'une tentative d'imposer la succession à la famille royale, qui nourrit de sérieux doutes quant à la sagesse de nommer un jeune général, comme on l'appelle, comme chef", a déclaré Riedel, auteur du nouveau livre Kings and Presidents: Saudi Arabia and L'Amérique depuis Roosevelt. L'Arabie et l'Amérique depuis FDR) "Et ces doutes sont bien fondés."

« La vision saoudienne 2030 est de plus en plus défaillante sur le plan économique. Elle présente de plus en plus de caractéristiques de Poznya. Dans la nouvelle ville de Neom dans le golfe d'Aqaba, qui devra attirer 500 milliards de dollars d'investissements et dans laquelle les normes habituelles de La société saoudienne ne s'appliquera pas.

La stratégie du prince héritier dans la région a jusqu'à présent donné des résultats principalement négatifs. « Son principal projet de politique étrangère était la guerre au Yémen, qui s'est avérée être un grave problème pour Riyad », a déclaré Riedel, qui travaille maintenant à la Brookings Institution. « Son blocus du Qatar a été un échec. Il veut que le Qatar devienne comme Bahreïn, c'est-à-dire une sorte d'appendice. Mais le Qatar n'a pas baissé les bras."

L'Arabie saoudite semble impliquée dans la démission du Premier ministre libanais Saad Hariri, qui faisait partie de la lutte d'influence dans la région. Hariri a fait une déclaration sur une chaîne de télévision saoudienne à Riyad. Il a évoqué la menace qui pèse sur sa vie et l'ingérence de l'Iran et du Hezbollah dans la politique libanaise. Son père, qui a également été Premier ministre, a fait fortune en construisant des projets en Arabie saoudite. En 2005, il a été tué.

« L'Arabie saoudite l'a convoqué et l'a forcé à démissionner », a déclaré Molly de l'International Crisis Group. - Ce sont les Saoudiens qui ont pris la décision sur la façon de traiter avec l'Iran et le Hezbollah. Tout est très transparent. Ce que le MBS a fait à l'intérieur du royaume et dans la région essaie de nettoyer la place, de se rendre et de rendre le roi des joueurs plus agressifs dans la région et éliminer tous leurs concurrents sur la scène nationale. »

L'explication officielle des purges au sein de la grande famille royale est la lutte contre la corruption, mais les critiques contestent cette version.

"La corruption ronge l'Arabie saoudite depuis 40 à 50 ans", a déclaré Khashoggi. La nouvelle branche de la Maison des Saoud construit exactement ce qu'elle dit être corrompu lorsqu'elle est dirigée par d'autres membres de la famille royale. « Ils disent : 'Ce que vous faites est de la corruption, et ce que je fais n'est pas de la corruption' », a-t-il ajouté.

Parmi les personnes arrêtées figurait le prince al-Walid bin Talal, un investisseur et milliardaire qui s'est entretenu avec Michael Bloomberg, Rupert Murdoch et Bill Gates dans le cadre de ses affaires. Alwaleed a possédé des propriétés de première classe dans le monde entier, ainsi que des hôtels de luxe, dont le Savoy à Londres et le George V à Paris. En 2005, il a fourni 20 millions de dollars à l'Université de Georgetown pour financer le Center for Christian-Muslim Understanding, qui porte son nom. Il a même promis de finir par faire don de la majeure partie de sa fortune à des œuvres caritatives.

Le prince al-Walid n'a occupé aucun poste au gouvernement et n'a jamais été considéré comme un homme politique. Cependant, en 2012, il écrivait dans le Wall Street Journal : « Si nous devons tirer une leçon des événements du printemps arabe, c'est de réaliser que les vents du changement qui soufflent actuellement sur le Moyen-Orient se feront tôt ou tard. atteindre tous les États arabes. C'est maintenant le bon moment - en particulier pour les régimes monarchiques arabes, qui bénéficient toujours d'une acceptation et d'une légitimité populaires - pour commencer à prendre des mesures qui permettront à leurs citoyens de s'impliquer davantage dans la vie politique. »

Il sympathisait avec un jeune marchand de fruits tunisien qui s'est immolé par le feu pour protester contre la corruption de la police qui l'a privé de ses revenus, et a ainsi déclenché le printemps arabe.

"Aussi tragique que cela puisse être, l'auto-immolation de Bouazizi a résumé le sentiment collectif de désespoir et de désespoir ressenti par de nombreux Arabes", a-t-il écrit. « En termes simples, ils ne pouvaient plus le supporter. Leurs appels aux dirigeants étaient courts et clairs : « assez » et « partez ».

Cependant, le prince al-Walid a eu un conflit avec Donald Trump. Il était l'un des investisseurs qui ont acheté le Plaza à New York au magnat de l'immobilier de l'époque. Il a également acheté un yacht au futur président. Cependant, al-Walid a critiqué la politique de Trump. En décembre 2015, il a tweeté : « Donald Trump, vous n'êtes pas seulement une honte pour le Parti républicain, mais pour l'Amérique dans son ensemble. Quittez la course car vous ne gagnerez jamais."

Huit heures plus tard, Trump a répondu : « Le stupide prince al-Walid bin Talal veut contrôler nos politiciens américains avec l'argent de papa. Il ne pourra pas faire ça quand je serai élu.» Mais le prince a reçu presque deux fois plus de retweets. Il est à noter que Trump a également reçu un soutien financier important de son père.

La personne la plus influente arrêtée au cours du week-end était Miteb bin Abdullah, chef de la Garde nationale et fils de feu le roi Abdallah, décédé en 2015. Le prince Miteb, qui a plus de 40 ans de plus que le prince héritier actuel, était autrefois considéré comme un roi potentiel. Il dirigeait la branche militaire la plus puissante du pays, dont les fonctions comprenaient la protection de la famille royale.

« L'arrestation du prince Miteb est un signal que le royaume est confronté à la dictature d'un prince arrogant de 32 ans aux capacités encore incertaines, ainsi qu'à de graves tensions et mécontentements au sein de la famille royale qui pourraient menacer la stabilité de la Chambre. de Saoud pour les années à venir », a écrit Ottaway dans un courriel du Woodrow Wilson Center.

De nombreux experts sont convaincus que d'autres arrestations auront lieu dans un avenir proche. « C'est un jeu de trônes imprudent », a déclaré Sarah Leah Whitson, directrice du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord à Human Rights Watch. - Si j'étais à la place des représentants de l'élite saoudienne, je n'attendrais pas. Beaucoup d'entre eux savent depuis longtemps qu'ils sont à un cheveu de la catastrophe. Les arrestations sont un autre signal ».

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Récemment, l'Arabie saoudite a été sous les projecteurs de nombreux experts sur le Moyen-Orient, dont beaucoup, notant le rôle accru du royaume dans les affaires régionales après une série de révolutions « de couleur » dans le monde arabe et les dernières mesures prises par Riyad dans l'intérêt des États-Unis à déverser du pétrole sur le marché mondial, indiquent néanmoins qu'en même temps ce pays le plus riche du monde arabe est à la veille de changements radicaux et même d'une possible disparition en tant qu'entité étatique. Par ailleurs, presque tous les analystes s'accordent à dire que la dynastie régnante Al Saoud, qui a longtemps été un frein sur la voie de la modernisation et de la réforme du pays, se dégrade de plus en plus, plongeant dans tous les péchés et vices mortels et ne prenant pas sobrement les processus politiques complexes prenant place à l'intérieur et autour de la KSA. Et ce qui est dangereux pour le monde entier, c'est qu'il continue d'encourager le radicalisme islamique, l'extrémisme et le terrorisme.

Premier sponsor mondial du terrorisme

L'une des principales raisons pour lesquelles les menaces à la sécurité nationale du royaume augmentent rapidement, ce qui jette le doute sur la préservation même des ambitions de la politique étrangère saoudienne dans le monde arabe et islamique, renversant des dirigeants indésirables, imposant un islamisme de type salafiste et déclenchant des guerres et des conflits dans pays voisins afin de les affaiblir. En fait, l'Arabie saoudite elle-même est devenue un État extrémiste et terroriste, et pas seulement à l'intérieur du pays, où la société est gouvernée par la répression sévère de toute forme de dissidence, qu'elle soit idéologique et politique ou religieuse, fondée sur la discrimination de la minorité chiite, violation flagrante des droits de l'homme et des libertés. , violence et terreur policière.

Al Saud a imposé sa vision de la modernité à l'ensemble du monde arabe, le faisant par la force, ouvert depuis 2011. Avant cela, tout se faisait en secret, en finançant des mouvements terroristes et extrémistes, en formant des "cadres" idéologiques et religieux de salafistes dans des écoles spéciales, en formant des commandants militaires de terrain et des militants tant sur leur propre territoire que sur le territoire des pays limitrophes des zones

conflits. Passée de 2011 à une ingérence ouverte dans les affaires intérieures des pays arabes et islamiques, la KSA a tout simplement jeté le masque d'un État décent qui se prétend défenseur des intérêts de tous les musulmans du monde. Et les victimes de cela sont déjà devenues l'Égypte, la Libye, la Syrie, le Yémen, l'Irak, l'Afghanistan, le Pakistan, plongés sur ordre et avec la participation directe d'Al Saoud dans l'abîme des guerres et des conflits civils. Les principaux alliés de l'Arabie saoudite sont également bien connus : Al-Qaïda avec ses branches régionales, les Frères musulmans, de nombreux groupes djihadistes, Jabhat al-Nosra et, jusqu'à récemment, l'État islamique d'Irak et du Levant, jusqu'à la sortie de cette structure. en juin de cette année hors du contrôle de leurs créateurs et maîtres saoudiens.

Sur la conscience des dirigeants saoudiens, des dizaines de milliers de civils sont tués par les salafistes, y compris des femmes et des enfants, avec les méthodes les plus viles et les plus odieuses - de couper la tête à manger publiquement les organes internes de personnes encore en vie. Cela suffit à lui seul pour traduire le vieux roi Abdallah et ses forces de sécurité, dirigés par le prince Bandar, aujourd'hui l'ancien chef des services de renseignement de l'Arabie saoudite, devant un tribunal international de La Haye pour crimes contre l'humanité à la fois dans le royaume et dans les pays arabes susmentionnés. et les pays islamiques, et aussi pour le génocide contre les chiites à l'intérieur de l'Arabie saoudite, et les sunnites aussi. Et pour commencer, il serait bon de tous les mettre en cage et de les conduire vers des lieux de « gloire militaire », où des atrocités ont été commises avec leur argent et sous leur direction.

De plus, il n'est pas nécessaire de rechercher des preuves spéciales. Qu'il suffise de rappeler que tout cela est organisé au niveau de l'État à travers Idarat Hayat al-Buchus Wal Daawa Wal-Irshad ( organisation basée à Riyad) , mieux connu sous le nom de Hayat ad-Daawa , et " Devant" à La Mecque - Ligue du monde islamique (Rabitat al-alam al-islami ) , qui sont le plus haut commandement militaire » des wahhabites-salafistes. C'est le principal mécanisme financier et organisationnel des activités des wahhabites-salafis dans le monde. Ils sont généreusement financés par le gouvernement saoudien. Et c'est le gouvernement saoudien qui nomme le chef des salafistes. De plus, la famille est soutenue par les Al Saud. Aal el-Cheikh (traduit par la famille du cheikh), qui se compose des descendants de Muhammad Abdel Wahhab et se classe deuxième en Arabie saoudite après eux en termes de prestige. En effet, les chefs des ministères de la justice, des affaires religieuses, le mufti national et le chef de l'organisation salafiste en chef Ad-Daawah (ainsi que des personnes occupant un certain nombre d'autres postes, comme le chef du protocole royal) viennent du clan Aal al-Cheikh. C'est la direction politique wahhabite des salafistes. Tout en condamnant verbalement les salafistes trop radicaux de Takfiri, la famille royale finance en réalité le mouvement salafiste. Elle doit aux wahhabites la légalité d'origine historique, puisque le clan Al Saud a été élu par eux pour gouverner l'Arabie, et les utilise également pour s'opposer aux idées chiites du khomeinisme, qu'Al Saud redoute le plus et redoute comme la peste.

La décadence morale complète de la famille Al Saud

Mais le terrorisme n'est qu'une partie du problème de la dynastie royale. Un danger non moins grave pour son existence future est l'extrême décadence morale de la majorité des membres du clan Al Saud et des soi-disant princes, dont le nombre dépasse 300 personnes. De plus, les membres les mieux classés de la famille royale sont les plus décomposés.

Au premier rang des vices est la débauche sexuelle. Le roi, le prince héritier et leurs proches au plus haut niveau, y compris dans le système de gouvernement, sont des polygames, souvent mariés à des filles pratiquement immobiles ou des jeunes filles, avec une différence d'âge allant jusqu'à 40-50 ans. D'où - les nombreux descendants qui composent cette immense communauté de "princes" de sang royal. Si auparavant l'institution de la polygamie dans l'Islam a servi aux musulmans à augmenter rapidement le nombre d'Arabes bédouins qui formaient l'épine dorsale de l'armée de Mahomet et des conquérants arabes ultérieurs, ainsi qu'à consolider les positions dans les territoires conquis en épousant des représentants de leurs élites locales, puis dans le monde moderne, quand la plupart des musulmans ont une, deux femmes au maximum, les dirigeants saoudiens l'utilisent pour satisfaire leurs désirs sexuels. De plus, en Arabie saoudite, il est tout à fait normal de se débarrasser souvent des vieilles femmes par le divorce et d'épouser de nouvelles jeunes femmes. Il est tout à fait normal pour la dynastie Al Saud qu'un « cheikh » de 65-70 ans épouse une fille de 18 ans. Et s'il y a peu d'épouses, alors il y a l'institution des concubines, qui n'est restée que dans les monarchies conservatrices d'Arabie, principalement en Arabie saoudite et au Qatar. De plus, il peut y avoir de nombreuses concubines - parfois leur nombre atteint la centaine. Les filles sont achetées dans tous les coins du globe - des blondes européennes aux femmes noires africaines. Par ailleurs, selon ceux qui ont fait partie à un moment du cercle restreint des membres du clan Al Saud, mais sont ensuite tombés en disgrâce et ont fui le royaume, les Saoudiens pratiquent très activement le sexe collectif, faisant l'amour avec plusieurs épouses et concubines à le même temps. Le « cheikh » ou le « prince » ne peut plus se contenter d'une relation avec une seule femme. Dans le même temps, les rapports sexuels naturels avec les femmes ne sont pas non plus suffisants : d'où le recours au sexe oral et anal. Tout cela est détaillé dans le livre de Gene P. Sasson. "Princesse. L'histoire vraie de la vie sous le voile en Arabie Saoudite" (http://www.litres.ru/pages/biblio_book/?art=154457).

Et pour certains, le statut de femme est aussi important pour le sexe. Ainsi, selon des histoires "de l'intérieur", l'un des hauts gradés d'Al Saoud voulait la peau foncée Condoleezza Rice lorsqu'elle était secrétaire d'État américaine. Ils disent que le "cheikh" était prêt à payer 5 millions de dollars pour avoir des relations sexuelles avec elle. Il est intéressant de noter qu'après l'une de ses visites à Riyad, le chef du ministère américain des Affaires étrangères a reçu un serti de diamants coûteux. Et elle-même était une ardente partisane du développement d'un partenariat stratégique entre Washington et Riyad. Bien qu'en théorie, une femme politique américaine, et même une femme à la peau foncée, aurait dû chercher à mettre fin à la discrimination à l'égard des femmes dans la société saoudienne, et ne pas se laisser aller à une monarchie absolue dirigée par des pervers sexuels.

Et aux orgies sexuelles des représentants de la famille Al Saud, il faut ajouter d'autres "divertissements" d'un plan absolument immoral. Et d'abord, c'est l'homosexualité (la sodomie). N'étant pas homosexuels par nature, de nombreux Saoudiens satisfont leurs désirs sexuels avec des hommes, puisqu'ils ne s'intéressent plus entièrement aux femmes. Et ils le font sous la forme la plus perverse, après avoir lu la littérature pertinente publiée en Occident. Naturellement, lorsqu'ils étaient bergers bédouins de chèvres et de chameaux, les Al Saoud pratiquaient cela en l'absence des femmes. Mais maintenant, alors qu'ils peuvent acheter presque toutes les beautés disponibles et inaccessibles dans n'importe quel coin de la planète pour leurs pétrodollars, cela ne peut pas être justifié par la dure vie quotidienne d'un berger dans le désert du Rub al-Khali. Pour les Saoudiens homosexuels "actifs", il est préférable, car les "experts" de l'intérieur du royaume, sont des hommes européens, pour les passifs - Noirs, Arabes ou Pakistanais.

Un autre péché auquel sont soumis de nombreux membres « dignes » de la famille royale d'Arabie saoudite est la pédophilie, qui fleurit chez les « princes » et les « cheikhs » non pas comme un défaut naturel de naissance, mais simplement comme une perversion morale de la satiété due à un excès de pétrodollars. . De plus, les jeunes filles et les garçons sont utilisés. Les enfants aux yeux bleus sont particulièrement populaires - les blondes d'Europe, qui sont achetées pour beaucoup d'argent dans les familles nombreuses et pauvres. Mais, si vous en avez besoin et que vous le voulez vraiment, et que les parents n'acceptent pas de tels accords, cela se résume à l'enlèvement et à la livraison banals d'enfants par des avions spéciaux du clan Al Saud sous le couvert de passeports diplomatiques. Apparemment, Washington en est conscient, mais préfère faire semblant de ne pas savoir. Après tout, faire face à un tel régime où les polygames, les maniaques sexuels, les homosexuels et les pédophiles dirigent la balle est une honte et une menace de faire l'objet de sévères critiques de la part de nos propres structures de droits humains. Alors la Maison Blanche ferme les yeux sur les « farces » des représentants du « sang bleu » d'Al Saoud. Après tout, l'essentiel pour l'élite américaine est que la famille royale de l'Arabie saoudite possède des milliards de pétrodollars, et non un moral élevé.

Mais qu'est-ce qu'il y a vraiment là, bien qu'il soit dégoûtant d'écrire à ce sujet, mais la bestialité est aussi en vogue chez les membres de la dynastie Al Saud. Apparemment, la copulation avec des animaux - des chiens aux moutons et aux chameaux, est déjà le seul moyen pour certains "cheikhs" et "princes" de satisfaire leurs fantasmes sexuels, lorsque le sexe avec les gens est déjà fatigué. Nous avons besoin d'animaux. De plus, les ancêtres d'Al Sadov, faisant paître des chèvres dans le désert, l'ont également fait. Mais, ils l'ont fait en l'absence d'autres moyens d'avoir des relations sexuelles, et même il y a 1500 ans, lorsque les Bédouins d'Arabie avaient des normes de moralité au niveau de l'âge de pierre. Cela explique peut-être en partie le fait que les sponsors saoudiens n'hésitent pas à financer des organisations extrémistes armées, dont les militants massacrent des prisonniers, des otages et des civils de la manière la plus brutale. Les animaux préfèrent les animaux.

Dans ce contexte, la consommation de drogue et l'alcoolisme total chez les Al Saoud semblent enfantins. En interdisant la vente et la consommation de boissons alcoolisées au sein de l'Arabie saoudite, la famille royale est le principal contrôleur de la contrebande d'alcool d'une valeur de 3 à 4 milliards de dollars par an. Après le pétrole, c'est la deuxième source de revenus des « princes ». Les principaux canaux d'importation de boissons alcoolisées sont la Jordanie et Dubaï, d'où le whisky est livré directement dans des camions de plusieurs tonnes. Ensuite, une bouteille de Black Label, qui coûte 30 $ en boutique hors taxes, est vendue à leurs propres sujets pour 200 $. Ils ne dédaignent rien. Y compris le trafic de drogue.

L'Arabie saoudite est condamnée

Avec un tel gouvernement du pays et à la lumière de l'évolution des processus internes au royaume et autour de lui, il est bien évident que l'Arabie saoudite est tout simplement vouée à l'effondrement et à la désintégration. Al Saud est aujourd'hui l'une des rares familles royales à avoir un pouvoir absolu dans le pays. Tous les postes au gouvernement et dans les régions sont occupés par des représentants des Al Saoud, nommés par le roi. Aujourd'hui, le chef de la dynastie est le roi Abdallah ibn Abdel Aziz Al Saud, et le nombre total de Saoudiens atteint 25 000 personnes. Le souverain actuel de 90 ans,

fils du premier roi de l'Arabie saoudite, Abdullah est né en août 1924. Il était l'un des 37 fils du premier roi. Il a reçu une éducation islamique traditionnelle à la cour sous la direction de son père, mais a passé beaucoup de temps dans le désert avec sa mère, où il était habitué au mode de vie bédouin. Abdullah est devenu le nouveau roi d'Arabie saoudite en 2005, héritant du titre de « Serviteur des deux sanctuaires ». Le roi Abdallah était le chef de gouvernement le plus riche, selon le magazine Forbes en 2006, sa fortune personnelle était de 21 milliards de dollars. Il a tout un « bouquet » de maladies et en fait il ne peut plus gouverner le pays, disparaissant souvent de la vue pendant des mois pour se faire soigner. La deuxième personne du royaume - le prince héritier Salman bin Abd al-Aziz Al Saud est né le 31 décembre 1935, c'est-à-dire qu'il a presque 80 ans. Il est également le fils du premier roi d'Arabie saoudite. Le prince Salmane a été nommé héritier du trône et premier vice-premier ministre en juin 2012 après la mort de son frère, le prince héritier Naif, devenant le troisième héritier du trône sous le règne du roi Abdallah, décédé de vieillesse et de maladie un après un autre. Ces dernières années, il a subi un accident vasculaire cérébral, à la suite duquel son bras gauche n'a pas fonctionné, et en août 2010, il a subi une intervention chirurgicale à la colonne vertébrale. On disait aussi qu'il souffrait de la maladie d'Alzheimer.

Un facteur qui sape indirectement l'unité de la famille régnante est la deuxième génération d'Al Saoud - la soi-disant jeunes princes , qui ont pour la plupart plus de 60 ans. Les représentants de ce groupe dirigent les cadres intermédiaires dans un certain nombre de départements clés, occupent les postes les plus importants dans les gouvernorats, les forces armées, la Garde nationale, les services spéciaux et mènent des activités commerciales fructueuses. Ayant reçu une éducation supérieure laïque en Occident, les « jeunes princes » sont souvent insatisfaits du parcours ambivalent de la direction du pays, visant à préserver les traditions islamiques du XVIIe siècle comme fondement de l'existence de l'État saoudien et en même temps temps à la mise en œuvre de la modernisation, ainsi que leur degré insignifiant de participation aux affaires de l'État. Le leader informel des « jeunes princes » est Walid bin Talal, un représentant de premier plan du monde des affaires du Moyen-Orient et l'un des « dix premiers » propriétaires des plus grandes fortunes personnelles. Et il aspire clairement au pouvoir, mais il est peu probable qu'il l'obtienne. Et la personne la plus puissante parmi les "petits-enfants" - le prince Bandar bin Sultan a récemment été démis de ses fonctions de chef des services spéciaux pour les échecs en Syrie et en Irak. Dans ces conditions, il est difficile de prévoir ce qu'il adviendra de l'Arabie saoudite après la mort du roi Abdallah. À moins, bien sûr, que la KSA ne s'effondre plus tôt sous la pression de facteurs internes et externes.

Incitant à leurs côtés les révolutions « de couleur » dans le monde arabe, encourageant l'extrémisme et le terrorisme dans la région, entrant dans une vive confrontation avec l'Iran chiite et l'Irak, faisant baisser les prix du pétrole pour plaire aux États-Unis et à son propre détriment, l'Arabie saoudite a reçu un l'environnement sur tout le périmètre de leurs frontières - Syrie, Irak, Yémen. Créé avec l'argent de l'Arabie saoudite, l'Etat islamique a récemment annoncé l'extension de son jihad sur le territoire du royaume. Il y a eu une nouvelle flambée de violence contre les chiites dans la province orientale. Les premiers attentats terroristes historiques ont déjà eu lieu. La situation à l'intérieur du pays était chauffée. Dans ces conditions, il est évident que la dynastie régnante d'Al Saoud, composée de pervers âgés et malades, d'homosexuels, de pédophiles et de zoophiles, ne peut en aucun cas résister aux menaces externes et internes. La désintégration du royaume sera la fin naturelle du règne de la famille bédouine Al Saud, qui a créé un État artificiel il y a 85 ans avec le soutien de la Grande-Bretagne. Et presque personne ne sera surpris de cela.

Les Saoudiens sont la dynastie régnante du Royaume d'Arabie saoudite. Mais tout le monde ne sait pas que l'histoire de la montée de ce clan a commencé plusieurs siècles avant l'émergence de l'Arabie saoudite d'aujourd'hui, cette famille a joué un rôle énorme dans le destin de toute la péninsule arabique.

Les Saoudiens ne sont devenus rois qu'en 1932, lorsque le Royaume d'Arabie Saoudite a été proclamé, avant cela, à partir de 1720, c'était une dynastie d'émirs.

Au XVIIIe siècle. la population de la péninsule se composait de nombreuses tribus et principautés, se livrant une inimitié continue entre elles. La plus grande partie de l'Arabie était sous le contrôle de conquérants étrangers, mais l'intérieur - le Najd, protégé de toutes parts par des déserts, conservait son indépendance.

C'est au Najd que le théologien Muhammad ibn Abdal-Wahhab a créé la doctrine qui a été appelée plus tard le wahhabisme. Les enseignements ont été acceptés par l'émir de l'une des principautés, Muhammad ibn Saud, et en ont fait la base de la lutte pour la collecte des terres arabes. Le clan saoudien est toujours fidèle à cet enseignement.

Après des siècles de guerres incessantes, de trahisons, d'intrigues et de coups d'État, le Royaume d'Arabie Saoudite, que nous connaissons, a progressivement pris forme. On peut dire que l'histoire du clan Saoud est l'histoire du royaume.

Avant le boom pétrolier du XXe siècle, l'Arabie saoudite était un pays du tiers monde pauvre et sous-développé, mais les énormes réserves d'or noir découvertes en 1938 ont immédiatement changé la donne. Jusqu'à aujourd'hui, c'est la base de la prospérité du royaume et de la dynastie saoudienne, qui compte actuellement 25 000 personnes, dont plus de deux cents sont des princes héritiers (tout cela est).

Les Saoudiens ont longtemps cherché à gagner de l'influence en Europe et aux États-Unis. Il ne s'agit pas tant d'ambition que d'affaires et d'accès aux marchés de vente.

Le clan Saoud est la plus grande entreprise familiale, qui possède un État entier avec d'énormes richesses dans les profondeurs. L'état des Saoudiens n'est précisément inconnu de personne, mais il s'agit de sommes fabuleuses. Par exemple, le roi d'Arabie saoudite Salman bin Abdulaziz, en l'honneur de son accession au trône, a distribué 30 milliards de dollars aux résidents du pays et 20 autres dollars pour les infrastructures.

Mais il serait faux de dire que les membres de la famille saoudienne ne savent percevoir que les rentes des revenus pétroliers. Beaucoup d'argent est investi dans le secteur de la construction, l'industrie chimique. L'Arabie saoudite investit dans de grands projets internationaux, dans l'achat de biens immobiliers et de terrains à l'étranger. Mais en même temps, l'État est une monarchie théocratique absolue, où la peine capitale publique est toujours utilisée et toutes les sphères de la vie sont strictement subordonnées aux normes religieuses.

L'industrie pétrolière de l'Arabie saoudite

L'industrie pétrolière est l'épine dorsale de l'économie saoudienne (40 % du PIB, 75 % des revenus et 90 % des exportations). Le pays possède 1/5 des réserves de pétrole de la planète. Plus de 8 millions de barils sont récupérés chaque jour. 70% de la production de pétrole est de grades légers, ils sont extraits dans des champs continentaux (Al-Gawar). Le développement des réserves de pétrole léger est la tâche principale de l'industrie. Bien que du pétrole lourd soit également produit dans le Royaume (plateau du golfe Persique).

Les principaux consommateurs de pétrole arabe sont le Japon, la République de Corée, la Chine, l'Inde, les États-Unis et l'Europe occidentale dans une moindre mesure.

Canalisations principales :

Vostochny (Petroline) - capacité de débit d'environ 4,8 millions de barils / j, transporte du pétrole léger vers les exportations européennes via la mer Rouge et vers la province occidentale pour le raffinage.
Abkaik - Yanbu - passe à 270 000 b/j.

Les principaux terminaux pétroliers sont situés dans le golfe Persique (Ras al-Juaymah - 150 millions de tonnes, Ras Tanura - 300 millions de tonnes) et la mer Rouge (Yanbu - 250 millions de tonnes).

L'Arabie saoudite compte plus de 80 champs pétroliers actifs, mais les principales réserves de pétrole sont concentrées dans 8 champs, tels que : Al-Gawar (20 milliards de tonnes), Safaniya-Khafji (10,30 milliards de tonnes), Manifa (3,7 milliards de tonnes), Khurais (2,7 milliards de tonnes), Shaiba (2,4 milliards de tonnes), Zuluf (2,0 milliards de tonnes), etc. Le bassin pétrolifère et gazier de ces champs est le golfe Persique.

Malgré le fait que la production pétrolière dans le Royaume augmente, il existe quelques difficultés dans le développement de cette industrie :

la nécessité d'investir dans le secteur de l'exploration géologique ;
la nécessité d'attirer des entreprises étrangères possédant de nouvelles technologies pour le développement des gisements ;
manque de capacité pour l'équipement de forage et augmentation de la location de celui-ci.

Grandes compagnies pétrolières : Saudi Aramco (État et plus grand au monde, 97 % de la production pétrolière), SAMREF – Yanbu, SASREF – Jubail, Petro Rabigh.

En raison de la baisse du coût du pétrole dans le Royaume, les taxes, les prix de l'électricité et de l'eau augmentent. C'est un coup dur pour l'économie, de sorte que le pays envisage de vendre le trésor de l'État - Saudi Aramco.

Comment la crise a affecté l'Arabie saoudite

La situation de déficit budgétaire a conduit à la nécessité de réduire le montant des fonds publics alloués à l'éducation des Saoudiens, au secteur de la santé et aux projets d'infrastructure.

Le budget de cet état dépend directement des revenus pétroliers. Les trous dans le budget, formés après la chute des prix du pétrole, ont été comblés grâce aux fonds de réserve de l'Arabie, mais ce n'était pas le dernier outil contre le déficit qui en a résulté.

La vente d'obligations d'État et de titres étrangers était également présente comme une option d'assistance et de redressement, face aux déficits croissants du budget de l'État.

Une composante nécessaire pour revenir au cadre budgétaire précédent devrait être une réduction des dépenses en prestations sociales pour les citoyens de l'Arabie saoudite.

Les réformes nécessaires comprennent l'élimination des subventions pour les factures de carburant, d'eau et d'électricité. L'État essaie de priver ses citoyens le moins possible de quoi que ce soit, mais la criticité de la situation ne laisse pas le choix de sacrifier quoi que ce soit pour la prospérité future de l'État.

Les Saoudiens cherchent de nouvelles sources de revenus - ils investissent dans le tourisme spatial - dans des projets, ils sont une ville du futur, bourrée de nouvelles technologies.

De nouveaux défis sont également apparus sur la scène internationale : les États-Unis deviennent un partenaire de plus en plus incommode, tandis que la Russie, au contraire, donne des idées de coopération, notamment dans le domaine du service à l'industrie pétrolière.

novembre 2017 Plusieurs princes saoudiens ont été arrêtés pour corruption. Le WSJ écrit que les autorités saoudiennes pourraient confisquer les biens des princes arrêtés et des hommes d'affaires (environ 60 personnes au total) pour un montant de 800 milliards de dollars.

Selon les analystes, Mohammed ben Salmane doit rapidement moderniser le pays et sortir de la dépendance pétrolière. Les fonds levés lors de l'introduction en bourse de Saudi Aramco sont rares. Il y a une autre source - une famille nombreuse. Cependant, tout le monde ne veut probablement pas faire du bénévolat pour donner de l'argent. L'attaque contre l'élite du pays y est associée. Sacrifiez "le nôtre" pour la prospérité de tout le pays. Une bonne leçon pour tous les pays où il y a des élites envahissantes.

30 août 2012, 22:09

Saoudiens, Al Saud (arabe. Ibn Saoud L'État a été uni en 1932 par Abdel-Aziz ibn Saud, qui était un noble polygame et a laissé derrière lui 42 fils légitimes et 125 filles. Certains chercheurs affirment qu'il avait 1 400 épouses et concubines]. Il y a à peine quelques princes saoudiens avec seulement 1 femme et 5-6 enfants. Fondamentalement, ils ont 10-15 femmes et 10-35 enfants. Et le nombre total de la famille al-Saoud est d'environ 50 000 000 membres. La maison régnante de Saoud a toujours été étroitement liée au fondateur du wahhabisme - avec le "réformateur" religieux Mohammed Abdul Wahhab (il ne peut vraiment être appelé réformateurs qu'entre guillemets, vous pouvez le rechercher sur Google) - il a signé un accord avec Mohammed bin Saud en 1744. Le clan saoudien, associé aux fidèles religieux d'Abdul Wahhab, a eu un effet explosif. La Maison des Saoud a reçu sa richesse et son pouvoir, et les dirigeants wahhabites brutaux ont reçu le soutien du gouvernement qui leur permettra de répandre leur idéologie dans le monde au cours des prochaines décennies. Le wahhabisme (les adeptes des wahhabites se disent salafistes) est une tendance sectaire de l'islam qui nie les innovations dans l'islam, la musique est mauvaise pour eux, ils prônent une démarcation stricte, la ségrégation des hommes et des femmes et nient tout pouvoir séculier.
L'Arabie saoudite avant le boom pétrolier, 20e siècle. L'histoire du pays a radicalement changé lorsque le roi Ibn Saoud a accordé aux compagnies pétrolières américaines une concession pour explorer et produire du pétrole en 1933. Il s'est avéré que dans les profondeurs de l'Arabie, il existe d'énormes réserves d'"or noir". En 1938, des gisements de pétrole colossaux ont été découverts en Arabie saoudite. Le roi a transféré les principaux droits d'exploitation des gisements à la société Aramco. La plupart du pétrole produit est allé aux États-Unis et presque tous les bénéfices en sont allés directement à la famille royale. Néanmoins, les bénéfices augmentaient constamment et l'argent allait au trésor public. L'Arabie saoudite est rapidement devenue l'État le plus riche du Moyen-Orient. La vente du pétrole a permis à Abdel Aziz de se constituer une fortune colossale, estimée en 1952 à 200 millions de dollars américains. L'héritage chez les Saoudiens ne se fait pas comme dans la plupart des dynasties, du père aux enfants, mais dans la plupart des cas de frère à frère, et alors seulement à l'aîné de la génération suivante. La lignée féminine n'est pas comptée. Malgré la religion stricte, la famille royale d'Arabie saoudite donne beaucoup à manger aux tabloïds et est connue pour ses scandales très médiatisés : alors qu'il étudiait à Beyrouth en tant que mec, il était aussi natif de Saoudien, ils voulaient s'évader, mais ils ont été attrapés et le gars a été exécuté aussi.Le triste sort de Mishaal a même été filmé.
Bin Nasser Saud 2) Le prince saoudien Saoud, Abdulaziz bin Nasser Saud, a tué son serviteur Bandar Abdulaziz à Londres en 2010. Le corps de Bandar battu et étranglé a été retrouvé le 15 février de cette année à l'hôtel Landmark dans le quartier cher de Marylebone à Londres. Le meurtre avait une connotation homosexuelle, comme l'a dit le procureur Jonathan Laidlaw, la connotation sexuelle de l'agression contre le domestique est absolument évidente, malgré les tentatives du prince de le cacher de toutes ses forces. 3. La princesse saoudienne Basma bint Saud, nièce du roi Abdallah II et personnalité publique bien connue, défend depuis longtemps les droits des femmes. La princesse a donné une interview dans laquelle elle a accusé la famille royale al-Saoud de corruption. "Les princes et princesses baignent dans le luxe, alors que 95% de la population du pays meurt de faim", a déclaré la princesse. 4. La princesse saoudienne Maha al-Sudairi, épouse du ministre de l'Intérieur, le prince Nayef, a acheté cette semaine pour 20 000 $ d'articles en verre et en argent (par lots de 100). Lucky store à New York, West 34th Street. Pourquoi entre guillemets ? Pourquoi, l'année dernière, cette même princesse a été impliquée dans un scandale parisien. Le propriétaire du magasin s'est alors plaint au Times de Londres : "Il nous semble que nous nous battons seuls avec le deuxième homme le plus riche d'Arabie saoudite. C'est une chose étrange, dans leur propre pays ils ont coupé la main d'un voleur qui a volé un morceau de chl :), et puis elle vient en Europe et croit que tu peux partir sans payer. »
Princesse saoudienne et son amant 5 Playboy et le mannequin Patrick Ribbsaerta ont attaqué sa bien-aimée, la princesse saoudienne Sarah al-Amundi (il s'agit d'un pseudonyme, le vrai nom de la princesse n'a pas été annoncé). Le playboy de 30 ans et chasseur de dot a rencontré la princesse en vacances en Thaïlande. Leur romance éclair s'est poursuivie à Londres, où la princesse a loué un appartement. Le chauffeur de la princesse, Sarkis Tokatlyan, emmenait souvent le couple dans des restaurants et des boîtes de nuit prestigieux, et devenait également un témoin involontaire de leurs querelles. Enragé, Ribbsaert cassa une bouteille de cognac et, un éclat à la main, se précipita vers la princesse. La princesse a été empêchée d'être blessée par son chauffeur. Sarkis Tokatlyan s'est précipité vers le playboy et a caché la princesse avec lui. En conséquence, le conducteur a été grièvement blessé et a dû passer environ 4 mois à l'hôpital. Au procès, Ribbsaert nie vigoureusement sa culpabilité et affirme qu'il se défendait contre le "chauffeur enragé". Selon la police suédoise, le playboy a déjà été déféré à la police pour coups et tentative d'étranglement de son ex-petite amie. Et enfin, voici à quoi ressemble la femme saoudienne moyenne "dans le monde", et voici à quoi ressemblent les princesses saoudiennes : la princesse Amirra, l'épouse du milliardaire prince al-Walid.

La dynastie saoudienne. D'où viennent-ils et quelle est leur origine réelle ?

Partie un

Extrait de Saudhouse.com, recherché et fourni par Muhammad Saher, tué sur ordre du régime saoudien pour les recherches suivantes :

1. Les membres de la famille saoudienne appartiennent-ils à la tribu Anza bin Waiel, comme ils le prétendent ?

2. L'Islam est-il leur vraie religion ?

Les faits suivants jettent le doute sur toutes les affirmations de la famille saoudienne et réfutent toutes les fausses affirmations faites par les hypocrites qui se sont vendus à cette famille et ont déformé la véritable histoire de la famille saoudienne. Je veux dire les journalistes et les historiens qui, en raison du financement important, ont une généalogie forgée et altérée de cette famille, et qui soi-disant notre plus grand Prophète Muhammad (DBAR) a dit que les Saoudiens sont la preuve du pouvoir d'Allah sur Terre. Et il est très clair que cette flatterie vise à justifier le crime et l'autocratie des Saoudiens et qu'elle garantit la stabilité de leur gouvernement et est la base de leur régime oppressif, qui est une forme extrême de dictature et compromet complètement notre grande religion de Islam.

Le concept même de monarchie est inacceptable dans notre religion, l'Islam, dans le Saint Coran, car il conclut le pouvoir en une personne et dans les membres de sa famille, en supprimant le peuple et en étouffant les voix de toute « opposition » s'opposant au despotisme royal et règles dictatoriales. Et les rois sont condamnés dans l'ayat suivant du Saint Coran : " Les rois, entrant dans un pays (étranger), le détruisent et le ruinent, et les plus nobles de ses habitants sont privés de respect et d'honneur, - c'est ce que (tous) les rois do" (Sourate an-Naml, 27 Meccan, ayat 34. Coran. Traduction des sens et commentaires. Imam Valery Porokhov).

Malgré cela, la famille saoudienne ignore les versets coraniques et prétend faussement qu'ils sont les adhérents les plus stricts du Saint Coran : sous leur stricte supervision, des programmes de radio et de télévision sont diffusés, utilisant les versets coraniques pour protéger leur ordre. En même temps, la publication d'autres ayats dans la presse est strictement interdite, car les imprimer et les lire peut affecter leur trône !

Qui sont les Saoudiens ? D'où viennent-ils? Quel est leur but ultime ?

Les membres de la famille d'Ibn Saoud sont bien conscients que les musulmans du monde entier connaissent leurs origines juives. Les musulmans sont conscients de tous leurs actes sanglants dans le passé et de leur cruauté impitoyable et despotique dans le présent. À l'heure actuelle, ils essaient de toutes les manières possibles de cacher leur origine juive et, se cachant derrière la religion de l'Islam, commencent à inventer leur généalogie, essayant de l'apporter à notre plus précieux Prophète Muhammad (DBAR)

Ils ont complètement oublié ou ignorent de toutes les manières possibles le fait que l'Islam n'a jamais attaché d'importance à la généalogie ou à « l'arbre généalogique » ; ici le respect et l'honneur sont rendus à tous, sans exception, si leurs actions sont conformes aux principes proclamés dans le verset suivant du Saint Coran : « O peuple ! Nous vous avons créés à partir de (un couple): mari et femme, et avons créé des clans (familiaux) et des nations (différentes) à partir de vous, afin que vous puissiez vous connaître. Après tout, devant Allah, le plus honoré est celui qui deviendra le juste de vous tous. En effet, Allah est omniscient et connaît tout et tout le monde ! » (sourate al-Hujurat, 49, Médine, ayat 13).

Quiconque est injuste et cupide ne peut pas être proche de notre Prophète Muhammad (DBAR), même s'il est un proche parent de lui. Bilyal, un esclave abyssin qui était un vrai musulman, a beaucoup plus de respect dans l'Islam que le païen Abu Lahab, qui était un parent par le sang (oncle) de notre Prophète (DBAR). Dans l'Islam, il n'y a pas de préférence pour les gens. Allah donne les degrés de comparaison dans l'Islam selon la piété d'une personne, et non son origine ou son appartenance à une quelconque dynastie.

Qui est le vrai fondateur de la dynastie saoudienne ?

En 851 AH, un groupe de personnes du clan al-Masalikh, un clan de la tribu Anza, équipe une caravane pour acheter des céréales (blé) et d'autres produits alimentaires d'Irak et les transporter jusqu'au Najd. Le chef de la caravane était un homme nommé Sahmi bin Haslul. La caravane est arrivée à Bassorah, où les hommes de la caravane se sont rendus chez un marchand de céréales, un juif nommé Mordahai bin Ibrahim bin Moshe. Au cours des négociations, le juif leur a demandé : « D'où venez-vous ? Ils ont répondu : "De la tribu Anza du clan al-Masaleh." En entendant cela, le Juif commença à tromper durement chacun de ceux qui venaient, disant qu'il était aussi du clan al-Masaleh, mais qu'il vivait à Basra à cause d'une querelle entre son père et certains membres de la tribu Anza.

Après avoir raconté l'histoire qu'il avait inventée, il ordonna à ses serviteurs de charger les chameaux de quantités beaucoup plus importantes de nourriture ; cet acte a semblé si généreux que les représentants du clan al-Masaleh ont été très surpris et ils ont été submergés par la fierté de leur parent, qui a réussi à devenir un commerçant prospère en Irak ; ils croyaient chacune de ses paroles et étaient d'accord avec lui, parce qu'il était un très riche marchand de céréales, dont ils avaient tant besoin (c'est ainsi que le Juif a commencé à s'appeler un représentant du clan arabe al-Masaleh).

Lorsque la caravane était prête à partir, le Juif a demandé de l'emmener avec lui, car il veut vraiment visiter sa patrie, Nejd. En entendant sa demande, les hommes de la caravane acceptèrent volontiers de l'emmener avec eux.

Ainsi, le Juif atteignit secrètement le Najd. Au Najd, par l'intermédiaire de ses partisans, qu'il faisait passer pour ses proches, il commença à faire de la propagande avec diligence. Mais, contre toute attente, il s'est heurté à l'opposition des partisans du prédicateur musulman de la région al-Qasim Cheikh Salih Salman Abdullah at-Tamimi. Un juif (le véritable ancêtre de la famille ibn Saud) a prêché dans les territoires du Najd, du Yémen et du Hedjaz, passant d'al-Qasim à al-Isha, sur le chemin d'al-Katif, il a changé son nom de Mordahai à Marwan bin Diriya et a commencé à inventer des histoires sur notre bouclier Prophète Muhammad (DBAR), qu'il a été pris comme trophée d'un païen arabe lors de la bataille d'Uhud entre les païens arabes et les musulmans. Il a dit que "ce bouclier a été vendu par un païen arabe à la tribu juive Banu Kunayka, qui l'a gardé comme un trésor". Peu à peu, en racontant de telles histoires aux Bédouins, il augmenta l'autorité des tribus juives, comme très influentes. Il décide de s'installer définitivement dans la ville de Diriya dans la région d'al-Qatif, qu'il considère comme la base, un tremplin pour la création d'un Etat juif en Arabie.

Pour réaliser des projets aussi ambitieux, il est devenu très proche des Bédouins et s'est finalement déclaré leur souverain !

Dans le même temps, la tribu Azhaman, en alliance avec la tribu Banu Khalid, réalisant son essence et le fait que le plan insidieux élaboré par ce juif commence à porter ses fruits, ils décident de le détruire. Ils ont attaqué sa ville et l'ont capturée, mais ils n'ont pas pu capturer un juif qui se cachait des ennemis...

Cet ancêtre juif de la dynastie saoudienne, Mordahai, s'est caché dans une ferme qui s'appelait à l'époque al-Malibed-Usaybabliz al-Arida, le nom actuel de cette zone est ar-Riyad

Il a demandé refuge au propriétaire de cette terre. L'hôte était un homme très hospitalier et a permis au juif de rester. Moins d'un mois plus tard, le Juif tua tous les membres de la famille du propriétaire de la ferme, cachant les traces de ses crimes et donnant l'impression que les voleurs qui avaient pénétré ici avaient détruit la famille. Puis il annonça qu'il avait acheté ces terres avant la mort de l'ancien propriétaire et qu'il était resté y vivre. Il renomma la zone, lui donnant le nom ad-Diriya, ainsi que la zone qu'il avait perdue.

Cet ancêtre juif (Mordahai) de la dynastie ibn Saoud a construit une cour d'assise appelée « Madafa » sur les terres de ses victimes et a rassemblé autour de lui un groupe de ses hommes de main, les plus hypocrites qui ont commencé à s'obstiner à dire qu'il était un éminent chef arabe. Le juif lui-même a commencé à tisser des complots contre le cheikh Salih Salman Abdullah at-Tamimi, son véritable ennemi, qui a ensuite été tué dans la mosquée de la ville d'al-Zalafi.

Après cela, il s'est senti en sécurité et a fait d'ad-Diriyah son lieu de résidence permanent. Il a eu beaucoup de femmes qui lui ont donné un grand nombre d'enfants. Il a donné à tous ses enfants des prénoms arabes.

Depuis cette époque, le nombre de ses descendants a augmenté, ce qui a permis la création d'un grand clan de Saoudiens, suivant sa voie, contrôlant les tribus et clans arabes. Ils ont impitoyablement emporté des terres agricoles et éliminé physiquement les récalcitrants. Ils ont utilisé toutes sortes de tromperies, de tromperies pour atteindre leurs objectifs, ils ont offert à leurs femmes de l'argent pour gagner le plus de monde possible. Ils étaient particulièrement zélés avec les historiens et les écrivains afin d'obscurcir à jamais leur origine juive et de la relier aux tribus arabes originales de Rabia, Anza et al-Masaleh.

L'un des hypocrites les plus célèbres de notre temps - Muhammad Amin at-Tamimi - Le directeur de la Bibliothèque moderne du Royaume d'Arabie saoudite a compilé un arbre généalogique pour la famille juive saoudienne et les a liés au plus grand prophète Muhammad (DBAR). Pour ce travail de fiction, il a reçu une récompense de 35 000 livres égyptiennes de l'ambassadeur d'Arabie saoudite au Caire, en Égypte, en 1362 AH - 1943. Le nom de l'ambassadeur est Ibrahim al-Fadel.

Comme mentionné ci-dessus, l'ancêtre juif des Saoudiens (Mordahai) pratiquait la polygamie, ayant épousé un grand nombre de femmes arabes et, par conséquent, eu un grand nombre d'enfants ; ses descendants répètent maintenant les actions de leur ancêtre, augmentant exactement leur pouvoir - prenant en quantité.

L'un des fils de Mordahai, dont le nom était al-Marakan, une forme arabisée du nom hébreu Makren, le fils aîné s'appelait Muhammad, et l'autre s'appelait Saoud, dont le nom porte maintenant la dynastie saoudienne.

Les descendants des Saoud (la dynastie saoudienne) ont commencé à tuer des personnalités arabes, sous prétexte qu'ils avaient abandonné l'islam, violé les préceptes coraniques, et ainsi suscité la colère des Saoudiens.

Dans le Livre d'histoire de la dynastie saoudienne, 98-101 pages, leur historien de la famille affirme que les Saoudiens considéraient tous les habitants du Najd comme des apostats, ils ont donc été autorisés à verser leur sang, à saisir des biens, et les Saoudiens ont pu transformer leurs femmes en concubines comme captives. Les musulmans qui ne partageaient pas les vues de l'idéologue saoudien - Muhammad ibn Abdulvahabhab (a également des racines juives de Turquie) ont été soumis à une destruction complète. Sous couvert de cela, les Saoudiens ont tué des hommes, poignardé des enfants, déchiré le ventre de femmes enceintes, violé, pillé et massacré des villages entiers. Et ils ont pris les enseignements de la secte « wahhabite » comme base de leur programme cruel, qui leur a permis de détruire les dissidents.

Cette dégoûtante dynastie juive patronne la secte wahhabite de toutes les manières possibles, qui autorisent la violence dans les villes et les villages sous couvert de l'islam. Cette dynastie juive fait l'anarchie depuis 1163 Hijri, depuis qu'ils ont donné leur nom à la péninsule arabique (Arabie saoudite) et considèrent toute la région comme leur propriété, et sa population sont des serviteurs et des esclaves de la dynastie qui devraient travailler au profit de leurs propriétaires (dynastie Sauditov).

Ils se sont complètement appropriés les ressources naturelles et les considèrent comme les leurs. Si quelqu'un pose des questions qui dérangent la dynastie ou commence à protester contre le despotisme de la dynastie juive, il lui coupe publiquement la tête sur la place. Une princesse saoudienne a déjà visité la Floride, aux États-Unis, avec ses courtisans, elle a loué 90 suites au Grand Hotel pour un coût total d'environ 1 million de dollars US par jour. Les sujets peuvent-ils demander ce qu'est cette astuce extravagante ? Si quelqu'un pose une question similaire, il sera immédiatement dépassé par la punition de l'épée saoudienne sur la place d'exécution !!!

Témoins d'ascendance juive de la dynastie saoudienne

Dans les années 1960, la station de radio South al-Arab au Caire, en Égypte, et la station de radio yéménite à Sanaa ont confirmé les origines juives de la dynastie saoudienne.

Le roi Fayçal al-Saud de l'époque ne pouvait pas nier les relations étroites de sa famille avec les Juifs lorsqu'il déclara dans une interview au Washington Post le 17 septembre 1969 : Les musulmans en général sur la question juive... nous devons vivre en paix et harmonie. Notre pays (l'Arabie) est la patrie ancestrale des premiers juifs et c'est d'ici qu'ils se sont répandus à travers le monde." C'était la déclaration du roi Fayçal al-Saoud bin Abdel Aziz !!!

Hafez Wahbi, un conseiller juridique saoudien, a mentionné dans son livre intitulé "La péninsule arabique" que le roi Abdul Aziz al-Saud, décédé en 1953, a déclaré : "Nos activités (la propagande saoudienne) se sont heurtées à l'opposition de toutes les tribus arabes. Mon grand-père Est-ce que Saud al-Awwal a emprisonné plusieurs cheikhs de la tribu Maziir, et quand un autre groupe de la même tribu est venu intercéder pour les prisonniers, avec une demande de libération de Saud al-Awwal a ordonné à son peuple de couper la tête des tous les prisonniers, et invita ceux qui venaient à goûter les plats de sa viande bouillie. victimes, dont il mit la tête sur les plats ! Les pétitionnaires étaient très effrayés et refusaient de manger la chair de leurs proches, et à cause de leur refus de manger, il ordonna à son peuple de lui couper également la tête.Ce crime odieux a été commis sur ordre du souverain saoudien contre des personnes dont la seule faute était la condamnation de ses méthodes cruelles et de son despotisme extrême.

Hafez Wahbi poursuit en disant que le roi Abdul Aziz Al-Saud a raconté une histoire sanglante selon laquelle les cheikhs de la tribu Mazeer, qui ont reçu la visite de son grand-père, pour intercéder pour leur éminent chef de l'époque, Faisal Al Darwish, qui a été emprisonné en la prison du roi. Il a raconté l'histoire avec eux afin de les empêcher de demander la libération de leur chef, sinon ils subiraient le même sort. Il tua le cheikh et utilisa son sang comme liquide pour les ablutions avant d'accomplir une prière (non interdite par la doctrine de la secte wahhabite). La faute de Faisal Darwich était d'avoir critiqué le roi Abdel Aziz al-Saud, lorsque le roi a signé un document préparé par les autorités britanniques en 1922, dans lequel les autorités britanniques déclarent l'octroi de terres palestiniennes aux Juifs, sa signature a été apposée lors d'une conférence à Al-Akira en 1922.

Ce fut et reste la base de ce régime de la famille juive (dynastie saoudienne). Dont le but principal est : le pillage des richesses du pays, le vol, la falsification, toutes sortes d'atrocités, l'anarchie et le blasphème. Tout est fait conformément à leurs convictions religieuses - une secte fictive wahhabite qui légalise toutes ces atrocités et n'a absolument rien à voir avec l'islam.