Questions pour un réflexologue Exigences de qualification - réflexologue

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Consignes pour le poste " Réflexologue", présenté sur le site, est conforme aux exigences du document - "REPERTOIRE des caractéristiques de qualification des professions ouvrières. Numéro 78. Soins de santé. (Tel que modifié conformément aux arrêtés du Ministère de la Santé N 131-O du 18 juin 2003 N 277 du 25 mai 2007 N 153 du 21 mars 2011 N 121 du 14 février 2012) », qui est approuvé Arrêté du ministère de la santé de l'Ukraine du 29 mars 2002 N 117. Approuvé par le ministère du travail et de la politique sociale de l'Ukraine.
Le statut du document est "valide".

Qualifications
Formation supérieure complète (spécialiste, master) en direction de préparation "Médecine", spécialité "Médecine". Passage d'un stage dans la spécialité "Neurologie" avec une spécialisation ultérieure en "Réflexologie". Possession d'un certificat de médecin spécialiste. Aucune exigence d'expérience de travail.

Connaît et applique : législation en vigueur sur la protection de la santé et les documents réglementaires qui déterminent les activités des organismes gouvernementaux et des établissements de santé, l'organisation des services de thérapie réflexe et au laser, les soins médicaux d'urgence et d'urgence; fondements du droit en médecine; droits, devoirs et responsabilités d'un réflexologue; bases de la norme et de la pathologie de l'anatomie et de la physiologie des organes et systèmes humains, métabolisme eau-électrolyte, équilibre acido-basique; bases de la neurologie, de la biochimie, de l'immunologie, de la génétique et d'autres disciplines médicales ; classification moderne des maladies; les principaux symptômes cliniques et syndromes des maladies dans lesquelles la thérapie réflexe et au laser est utilisée; principes de compatibilité et de séquence, désignation des procédures, méthodes générales et fonctionnelles d'examen; méthodes modernes de thérapie réflexe et laser; indications et contre-indications aux cures thermales ; règles et exigences pour l'équipement du cabinet de thérapie réflexe et laser; technique de procédure; règles de sécurité lors de l'utilisation d'équipements et d'appareils ; règles de délivrance de la documentation médicale; littérature moderne sur la spécialité et les méthodes de sa généralisation.

Description du travail, des tâches et des responsabilités professionnelles
Il est guidé par la législation ukrainienne en vigueur sur la protection de la santé et les actes juridiques réglementaires qui déterminent les activités des organismes gouvernementaux et des établissements de santé, l'organisation du travail des salles de thérapie réflexe et laser dans les cliniques et les hôpitaux, les unités médicales et les établissements médicaux spécialisés. . Fournit une assistance en réflexologie aux patients. Supervise les effets indésirables/effets des médicaments. Travaille en contact étroit avec des médecins d'autres spécialités, organise et conduit des consultations avec des patients. Planifie le travail et analyse ses résultats. Supervise le travail du personnel paramédical. Respecte les principes de la déontologie médicale. Tient à jour les dossiers médicaux. Participe activement à la diffusion des connaissances médicales auprès de la population. Il améliore constamment son niveau professionnel, introduit des méthodes modernes de réflexe et de thérapie au laser.

L'état insatisfaisant du système de réadaptation médicale et l'absence de son cadre réglementaire et juridique nécessaire dans le pays sont notés dans le Concept pour le développement du système de santé dans la Fédération de Russie jusqu'en 2020.

L'une des composantes de la médecine de réadaptation est la réflexologie, et elle est pleinement touchée par le problème d'imperfection et d'incohérence du cadre réglementaire. Les documents distincts du système de soutien juridique pour les activités d'un réflexologue n'ont souvent pas de relation logique les uns avec les autres.

En particulier, l'équipement de la salle de réflexologie est stipulé par deux règlements :
Arrêté n ° 38 du 03.02.1999 du M3 de la Fédération de Russie «sur les mesures pour le développement ultérieur de la réflexologie dans la Fédération de Russie» (annexe n ° 10).
Arrêté du Ministère de la santé et du développement social de la Fédération de Russie n ° 753 du 1er décembre 2005 «sur l'équipement des établissements polycliniques ambulatoires et hospitaliers des municipalités en matériel de diagnostic» (annexes n ° 1, 3, 4);
Dans le même temps, le tableau des équipements de la salle de réflexologie, présenté dans l'ordonnance M3 du RF SR n ° 753, n'est pas identique au tableau similaire de l'ordonnance M3 de la Fédération de Russie n ° 38.
Les états du service de réflexologie sont régis par quatre réglementations en vigueur :
Arrêté n° 364 du 10.12.1997 « Portant introduction de la spécialité « Réflexologie » dans la nomenclature des spécialités médicales et pharmaceutiques » ;
Arrêté du ministère de la Santé de la Russie n ° 38 du 03.02. 1999 "Sur les mesures pour le développement ultérieur de la réflexologie dans la Fédération de Russie" ;
Arrêté du MHSD de Russie n ° 210n du 23 avril 2009 «Sur la nomenclature des spécialités pour les spécialistes ayant une formation médicale et pharmaceutique supérieure et postuniversitaire dans le secteur de la santé de la Fédération de Russie»;
Arrêté du ministère de la Santé et du Développement social de la Russie n° 415n du 7 juillet 2009 «portant approbation des exigences de qualification pour les spécialistes ayant une formation médicale et pharmaceutique supérieure et postdoctorale dans le domaine de la santé».

Les deux derniers ordres ne sont pas tout à fait cohérents avec le premier et avec la norme d'État pour la formation professionnelle postdoctorale des spécialistes ayant une formation médicale supérieure dans la spécialité n ° cycles, cycles de perfectionnement thématique.

De plus, ces ordonnances sont difficiles à comparer avec le document normatif qui réglemente le profil de pathologie nécessitant l'intervention d'un réflexologue spécialisé : ordonnance du ministère de la Santé et du Développement social de la Fédération de Russie n° 266 du 13.04. 2007 "Sur l'approbation des listes recommandées d'indications médicales et de contre-indications pour l'utilisation de la réflexologie dans la pratique clinique."

L'absence de système dans la formation du cadre réglementaire crée un décalage entre le profil des maladies recommandées pour le traitement par les méthodes de réflexologie et le profil des spécialistes qui sont chargés de sa mise en œuvre.
L'arrêté du ministère de la Santé et du Développement social de la Fédération de Russie n ° 266 est l'un des actes réglementaires les plus importants sur la réflexologie adoptés ces dernières années. Il donne des formulations d'indications claires et conformes à la CIM-10 pour l'utilisation de la réflexologie. Ceux-ci comprennent : ulcère de l'estomac et ulcère duodénal non spécifiés comme aigus ou chroniques (K25.9. K26.7), cholécystite chronique non calculeuse (K81.1), bronchite récurrente (diagnostic utilisé en pédiatrie) (J40.0), bronchite obstructive (J44.8), asthme bronchique (J45), pulpite (K04.0), otite moyenne non suppurée (H65), endométriose (N80), kraurose vulvaire et vaginale (N90.4 et N89.8), prostatite chronique ( N41.1), et d'autres. L'efficacité de l'utilisation de la réflexologie dans toutes ces maladies a été confirmée par de nombreuses études et se reflète dans la vaste littérature de ces dernières décennies, à la fois nationale et étrangère.

Outre l'ordonnance n ° 266, l'utilisation de la réflexologie dans diverses pathologies est également réglementée par les normes de soins en sanatorium pour les patients atteints de maladies de l'œsophage, de l'estomac et du duodénum, ​​des intestins (ordonnance du ministère de la Santé et du Développement social de la Fédération de Russie). Fédération n ° métabolisme des lipoprotéines et autres lipidémies (arrêté du ministère de la Santé et du Développement social de la Fédération de Russie n ° 223 du 22 novembre 2004), patients atteints de maladies du foie, de la vésicule biliaire, des voies biliaires et du pancréas (arrêté du ministère de la santé et du développement social de la Fédération de Russie n ° 277 du 23 novembre 2004), les patients atteints de maladies de l'oreille et du processus mastoïdien, des voies respiratoires supérieures (arrêté du ministère de la Santé de la Fédération de Russie n ° 275 du 23 novembre, 2004), patients atteints de lithiase urinaire et d'autres maladies du système urinaire (arrêté du ministère de la Santé de la Fédération de Russie n ° 210 du 22 novembre 2004), etc.

Ainsi, le cadre réglementaire présente un spectre de pathologies très diverses indiquées pour la réflexologie. À cet égard, on ne sait pas pourquoi la conduite de la réflexologie dans l'ordonnance n ° 415n est légalement attribuée principalement à un médecin spécialiste qui a une formation professionnelle de troisième cycle dans la spécialité "neurologie", et l'ordonnance n ° 210 exige clairement que tous les réflexologues aient spécialisation en neurologie.

La qualification des professionnels de la santé est également réglementée par l'arrêté du ministère de la Santé et du Développement social de la Russie n ° 541i du 23 juillet 2010 «portant approbation du manuel de qualification unifié pour les postes de gestionnaires, de spécialistes et d'employés», section « Caractéristiques de qualification des postes des travailleurs du secteur de la santé ». Selon la clause 1.6 de l'annexe au document réglementaire spécifié: «Les personnes qui n'ont pas la formation professionnelle supplémentaire appropriée ou l'expérience de travail établie par les exigences de qualification, mais qui ont une expérience pratique suffisante et exécutent les tâches qui leur sont assignées de manière qualitative et complète , sur recommandation de la commission de certification des organisations médicales, à titre exceptionnel, peuvent être nommés aux postes concernés, ainsi que des personnes ayant une formation spéciale et l'ancienneté nécessaire. L'employeur doit prendre des mesures pour le perfectionnement professionnel desdites personnes. En ce qui concerne un médecin - réflexologue, ce poste de l'ordre nécessite très clairement de dispenser, en plus de la spécialisation en réflexologie, une formation professionnelle post-universitaire dans la spécialité "Neurologie", bien qu'elle prévoie un certain délai temporaire (qui peut être utilisé, mais vraiment seulement jusqu'au moment de la délivrance de la licence ou de l'accréditation la plus proche).

Dans le même temps, les programmes de formation postdoctorale des docteurs en neurologie (spécialisation et perfectionnement) sont exclusivement axés sur la pathologie neurologique et n'incluent pas les questions de pathogenèse, de clinique et de diagnostic des maladies somatiques et de toute autre maladie, y compris celles dans lesquelles l'utilisation de la réflexothérapie est indiqué. Ainsi, la conduite qualitative de la réflexologie pour les patients souffrant de maladies non neurologiques nécessite la participation supplémentaire d'un spécialiste du profil de la maladie. Outre des coûts financiers supplémentaires pour le système de santé, en pratique ambulatoire, cette disposition crée des barrières supplémentaires pour le patient : la nécessité de visites régulières chez deux médecins, éventuellement avec des horaires et des listes d'attente différents, ce qui réduit la disponibilité du traitement et l'observance du patient . La régularité de ces visites est peu probable. En conséquence, l'évaluation de la dynamique de l'état du patient souffrant d'asthme bronchique ou d'ulcère peptique, réalisée au cours de la réflexologie uniquement par un spécialiste - un neurologue, sera inévitablement axée principalement sur des critères neurologiques et l'estime de soi du patient , qui ne reflète pas les intérêts du patient lui-même et n'est pas conforme aux protocoles pertinents de prise en charge des patients (Ordonnance du ministère de la Santé et du Développement social de la Fédération de Russie n ° 241 du 22 novembre 2004 «Sur l'approbation de la norme de soins médicaux soins aux patients souffrant d'ulcères gastriques et duodénaux » ; Arrêté du Ministère de la santé et du développement social de la Fédération de Russie n° 678 du 25 septembre 2006 « Approbation de la norme de soins médicaux pour les patients asthmatiques », etc.)

À notre avis, la position optimale serait que le médecin qui effectue le traitement de réflexothérapie des patients somatiques, gynécologiques, oto-rhino-laryngologiques, traumatologiques et orthopédiques soit un spécialiste du profil approprié et, au cours du processus de traitement, examine les patients en fonction des positions du normes pertinentes. La même opinion était partagée par l'un des plus grands spécialistes russes dans le domaine de la réflexologie, le professeur V.G. Vogralik. Dans ce cas, le patient doit être examiné dans la quantité nécessaire et suffisante pour évaluer la dynamique de l'état dans cette pathologie. Cependant, dans ce cas, les coûts de mise en place d'une spécialisation de base en neurologie pour un réflexologue n'étaient pas justifiés. Les coûts (financiers et en temps) d'une résidence obligatoire en réflexologie pour les thérapeutes, orthopédistes ou pédiatres qui travaillent avec des patients spécialisés ne semblent pas non plus inconditionnellement justifiés.

L'incohérence des normes se traduit par des coûts irrationnels et une diminution de la disponibilité des soins médicaux spécialisés.

Nous voyons la solution au problème de différentes manières. L'amélioration de la qualité, de la rentabilité et de l'accessibilité de la réflexologie pourrait être facilitée par l'ajustement des exigences de qualification pour un spécialiste - un réflexologue, à savoir l'introduction d'une référence à l'annexe 5 de l'actuel arrêté du ministère de la Santé de la Russie du 03.02.1999 Non . 38 "Sur les mesures de développement ultérieur de la réflexologie dans la Fédération de Russie" ("Règlement sur le médecin du cabinet (département) de réflexologie"): "Un spécialiste ayant une formation médicale supérieure dans la spécialité "Médecine générale" ou "( pédiatrie) qui a suivi une formation postdoctorale (stage, résidence) ou une spécialisation en réflexologie dans des établissements d'enseignement agréés.

Les aspects positifs d'une telle décision : premièrement, elle permet de faire le lien entre les deux documents réglementaires existants. Deuxièmement, il est possible pour les médecins de spécialistes dans différents domaines d'acquérir une spécialité supplémentaire de réflexologue et d'appliquer les connaissances acquises dans leur domaine.

Soit dit en passant, une approche similaire est mise en œuvre dans l'arrêté du ministère de la Santé et du Développement social de la Russie n ° 415n du 7 juillet 2009 concernant les caractéristiques de qualification d'un physiothérapeute.
La kinésithérapie et la réflexologie sont apparues dans le lexique médical presque simultanément : « kinésithérapie » en 1905 en Belgique, et « réflexothérapie » en 1912 en France. Déjà connues à cette époque dans les pays européens, dont la Russie, les méthodes de la médecine chinoise ancienne - l'acupuncture et la cautérisation - pouvaient également être attribuées à la fois à la physiothérapie et à la réflexologie. L'arsenal moderne des technologies de physiothérapie, ainsi que la réflexologie, sont largement utilisés dans presque tous les domaines de la médecine clinique. Les méthodologies et les méthodes des deux spécialités médicales s'enrichissent mutuellement. Il n'est jamais venu à l'esprit de personne de limiter la possibilité de se spécialiser en physiothérapie aux médecins, à une seule spécialité médicale de base. Pourquoi cela devrait être fait par rapport à la réflexologie défie toute explication logique.

Dans le même temps, la question de l'étude de la réflexologie dans le cadre de la formation médicale de base se fait attendre depuis longtemps. Cette spécialité doit être étudiée à différentes étapes de la formation du personnel médical, à partir de la troisième année, ainsi qu'en tant que discipline distincte dans le programme de formation des étudiants de cinquième année, lorsque la pensée clinique des futurs spécialistes commence à se former. Pour les médecins du 21e siècle, la connaissance du diagnostic réflexe et de la thérapie réflexe est particulièrement importante dans le cadre de la capacité à effectuer une évaluation intégrative de la santé du patient, à la fois dans l'état initial et dans le processus de correction des troubles fonctionnels identifiés non seulement du segment endommagé, mais de tout l'organisme dans son ensemble, tout en évaluant l'adéquation et l'efficacité des mesures thérapeutiques en cours.

Il est à noter qu'au cours des 10-15 dernières années, les normes régissant les activités professionnelles d'un réflexologue ont changé à plusieurs reprises. En conséquence, nous avons un cadre de médecins de réflexologues qui, à un moment donné, ont reçu leur spécialité sur la base de normes préexistantes et ne correspondent pas à la réglementation en vigueur. Le problème des conséquences de la refonte répétée des normes a été pris en compte dans la note 4 de l'arrêté du Ministère de la santé et du développement social de la Fédération de Russie n ° 112n du 11.03.2008. "Sur la nomenclature des spécialités pour les spécialistes ayant une formation médicale et pharmaceutique supérieure et postuniversitaire dans le secteur de la santé de la Fédération de Russie", qui était en vigueur jusqu'en avril 2009. Selon la note de cet ordre, les personnes qui ont reçu le droit à une formation professionnelle activité dans leur spécialité, ainsi que la formation professionnelle et complémentaire conformément à la réglementation antérieure, conservent le droit aux activités professionnelles et à la formation continue conformément à leur spécialité. Cette note, apparemment, devrait être incluse dans les nouveaux documents réglementaires.

Ainsi, la situation actuelle avec le soutien réglementaire de la réflexologie ne contribue pas à améliorer sa qualité et son accessibilité, entraîne des coûts inefficaces, la perte de personnel expérimenté et nécessite donc une correction. La poursuite du développement des fondements juridiques des activités des spécialistes en réflexologie devrait assurer la continuité et l'interconnexion des différents documents réglementaires. L'inclusion de cette discipline dans la formation obligatoire des étudiants en médecine portera sans aucun doute ses fruits dans un proche avenir.

Littérature.
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5. Grigoriadi N.V., Yablochkina TN. La place de la réflexologie dans la médecine moderne. Nouveaux aspects des indications et contre-indications pour l'utilisation de la réflexologie dans la pratique clinique (basé sur l'arrêté du ministère de la Santé et du Développement social de la Fédération de Russie n° 266 du 13 avril 2007) // Médecin et pharmacie du XXIe siècle. - 2008.-9.-p. 12-14.
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Commentaire de l'éditeur.

Article d.m.s. A. G. Polyakova et Ph.D. E. I. Maziloy poursuit et développe la discussion sur ce sujet qui a eu lieu en 2002. Le début a été posé par la lettre suivante, publiée dans le n ° 3 (3) de la revue "Reflexotherapy" pour 2002.

Sur la place de la réflexologie dans la nomenclature des spécialités médicales.

Lettre ouverte au premier adjoint
Ministre de la Santé de la Fédération de Russie A.I. Vialkov.

Cher Anatoly Ivanovitch !
La décision du Collège du Ministère de la santé de la Fédération de Russie, tenue les 20 et 21 mars 2001, prévoit en 2002 une révision de la nomenclature des spécialités médicales (Journal médical n ° 1, janvier 2002, p.13 ). La question de la nomenclature est l'une des plus fondamentales dans tous les domaines de la connaissance et de toute activité humaine. La révision de la nomenclature vise à contribuer à assurer le progrès de l'industrie dans son ensemble et le développement optimal de ses différents domaines. L'attribution d'un domaine particulier d'activité médicale à une spécialité doit être basée sur certains critères et réalités objectives de la science et de la pratique médicales.

À l'heure actuelle, la question des critères universels pour la formation de la nomenclature des spécialités médicales reste ouverte. Le plus souvent, les spécialités sont distinguées selon le critère du système affecté, dans d'autres cas, les critères de la méthode de traitement préférée, le principal facteur pathogène, l'objectif le plus urgent de fournir des soins médicaux ou son stade sont utilisés. Dans le même temps, certains types d'activités médicales se voient attribuer le titre de spécialité principale, d'autres - supplémentaires, beaucoup restent au rang des méthodes. Dans le même temps, encore une fois, il n'existe aucun critère objectif pour classer une activité, une technologie ou une méthode médicale particulière dans la catégorie appropriée.

La formulation suivante du critère de spécialité médicale peut être proposée à la discussion : le domaine d'activité médicale, caractérisé par un système holistique de diagnostic et de traitement relativement spécifique, efficace à différentes étapes de la prise en charge médicale.

Outre les avantages évidents, la spécialisation médicale a également des conséquences négatives. L'étroitesse de la pensée clinique professionnelle empêche parfois le médecin de voir le patient dans toute la diversité de ses relations internes et externes. Le principe « traiter non pas la maladie, mais le patient » n'est souvent pas appliqué dans la pratique. La prise en charge des patients, malgré l'approche complexe déclarée, est souvent effectuée de manière cohérente.

Le progrès de la médecine, comme toute autre science, nécessite le rapport optimal des méthodes analytiques et synthétiques de la cognition. Stefan Zweig possède les mots suivants: «Parmi les médecins les plus intelligents et les plus humains, il y a un désir ardent pour l'ancien universalisme, un désir de trouver des moyens d'une pathologie fermée et localisée à la thérapie constitutionnelle, une conscience non seulement des maladies individuelles, mais aussi de la personne individuelle. Après avoir exploré le corps jusqu'à la molécule, la curiosité créatrice tourne à nouveau son regard vers l'ensemble de la maladie, chaque fois différent. En effet, l'attention du public averti a toujours été attirée par des orientations fondées sur une approche holistique de l'homme et de ses maladies en indissociable unité avec l'environnement. Ainsi, dans la médecine européenne, la psychosomatique est apparue et les médecins - psychothérapeutes sont apparus.

L'approche holistique se manifeste clairement dans la médecine orientale traditionnelle, en particulier l'acupuncture. Peu à peu, une direction plus large de la médecine, qui reçut en 1912 le nom de "réflexothérapie", qui ne contenait initialement aucune consigne restrictive concernant la modalité des effets thérapeutiques et la participation de certains systèmes sensoriels, s'est avérée "monopolisée" par l'acupuncture. Aujourd'hui, nous restituons à la réflexologie (RT) sa compréhension originale et plus large, en la définissant comme un système de traitement et de prophylaxie basé sur l'évaluation des paramètres des zones réflexogènes périphériques et leur influence afin de réguler les systèmes fonctionnels de l'organisme.

La RT se caractérise par la présence d'un système holistique spécifique de diagnostic et de traitement. Son efficacité à différentes étapes des soins médicaux est prouvée à la fois par la « capacité de survie » séculaire de la méthode et par les données modernes d'études cliniques et expérimentales. Ainsi, la RT répond au critère d'une spécialité médicale. Selon la définition ci-dessus, la thérapie par la musique, les arômes, la lumière et la couleur reviennent dans le giron de la RT. Des études à multiples facettes et la pratique clinique ont fourni une base scientifique moderne pour la RT. La RT est reconnue comme une méthode universelle visant à réguler les réactions et l'adaptation au stress dans toute la variété de leurs manifestations physiologiques et cliniques.

En 1997, par arrêté du Ministère de la santé de la Fédération de Russie n ° 364 du 10.12.97 de la République du Tatarstan, il a été inclus dans la nomenclature des spécialités médicales et pharmaceutiques, la réglementation sur le médecin réflexologue, ses caractéristiques de qualification et la procédure de certification ont été approuvées. En 1999, par arrêté du ministère de l'Intérieur de la Fédération de Russie n ° 38 du 03.02 «Sur les mesures pour le développement ultérieur de la réflexologie dans la Fédération de Russie», le règlement sur le bureau et le département de la République du Tatarstan et la dotation en personnel des normes pour leur personnel ont été déterminées.

L'arrêté n ° 337 du 27.08.99 du ministère de l'Intérieur de la Fédération de Russie, selon lequel seuls les médecins spécialisés en neurologie ont le droit de recevoir un certificat en RT, a gravement nui au développement du service de RT. Il a été prouvé de manière convaincante que la RT est utilisée efficacement dans de nombreux domaines de la médecine clinique, y compris ceux qui sont éloignés de la neurologie.
Cependant, les mésaventures de RT ne s'arrêtent pas là. Le 05/06/2002, l'arrêté n° 186 a été signé pour modifier l'appendice n° 1 de l'arrêté du ministère de la Santé de la Russie du 26/07/2001 n° 290, qui introduit la clause 84 - Spécialiste en chef en médecine traditionnelle et traditionnelle médecine elle-même signifie "réflexothérapie, thérapie manuelle, phytothérapie, homéopathie, etc.

Le dernier des arrêtés cités introduit un malentendu supplémentaire dans l'organisation du service RT. Selon la nomenclature actuelle, la RT désigne la neurologie, selon l'ordonnance n°186 - la médecine traditionnelle, qui est généralement absente de la nomenclature des spécialités médicales.

L'appartenance de la RT à la neurologie existe formellementlimite considérablement la portée de son utilisation et la réception d'une formation appropriée par les médecins. Les médecins représentant de nombreux domaines de la médecine clinique, dans lesquels la RT est utilisée depuis longtemps et très efficacement, sont obligés de recevoir d'abord une spécialisation en neurologie. Ainsi, la formation de 4 mois prévue par le programme unifié de formation postdoctorale en RT devrait être précédée d'une spécialisation de 5 mois en neurologie. A noter que la formation est réalisée à temps plein avec une pause de production. Demandons maintenant au médecin-chef de n'importe quel établissement médical - est-il prêt à laisser partir son employé pendant 9 mois pour qu'il reçoive un certificat de réflexologue? - La réponse sera presque certainement négative.

Il n'est pas non plus justifié d'attribuer la RT à la médecine dite traditionnelle. Selon la définition adoptée par l'OMS, la médecine traditionnelle est un ensemble de connaissances et de compétences (qu'elles aient ou non reçu une explication logique) appliquées dans le processus de prévention, de diagnostic et de traitement des troubles de santé physique, mentale et sociale et fondées uniquement sur la pratique et les observations transmises de génération en génération oralement ou par écrit. Même dans l'acupuncture classique, les algorithmes diagnostiques et thérapeutiques sont basés sur la méthodologie scientifique chinoise générale, et pas "seulement dans la pratique et les observations". De plus, la RT moderne ne répond pas aux critères de la médecine traditionnelle formulés par l'OMS, dont les mécanismes sanogénétiques sont interprétés au regard des dernières avancées des sciences fondamentales et biomédicales, et dont l'arsenal méthodologique comprend les dernières technologies de l'information.

Beaucoup dépend de la section de la nomenclature dans laquelle se trouve la République du Tatarstan - à commencer par le système de formation du personnel, les problèmes quotidiens d'organisation du service correspondant et le travail des spécialistes, se terminant par les perspectives de développement ultérieur de la direction. La définition ci-dessus nous permet de considérer la RT comme une spécialité médicale indépendante, similaire à la spécialité d'un médecin de famille. Cependant, la révision de la nomenclature prévoit une réduction du nombre total de spécialités, plutôt que son augmentation.

La RT est utilisée efficacement à différentes étapes des soins médicaux, mais elle est plus largement et raisonnablement utilisée dans la prévention et la réadaptation. Dans la plupart des établissements de santé, les réflexologues travaillent le plus souvent dans des services de rééducation. Le plus grand nombre de candidats et de thèses de doctorat consacrés à la RT est examiné par le Conseil académique du Centre scientifique russe de médecine réparatrice, de balnéologie, de physiothérapie et d'exercice thérapeutique.

Lors de la préparation d'une édition butin de la nomenclature des spécialités médicales, nous vous demandons de résoudre la question de la place de la RT dans celle-ci, en tenant compte des circonstances et des arguments présentés.

Sincèrement.
Rédacteur en chef
revue "Réflexologie"
A.Vasilenko

* * *

Comme il n'y a pas eu de réponse à cet appel, en avril (n ° 4), le journal médical a publié une autre lettre plus détaillée - une invitation à une discussion sur ce sujet.

La nomenclature des spécialités médicales : la place de la réflexologie est une invitation à la discussion.

L'une des conditions les plus importantes pour le progrès de la médecine, comme de toute autre science, est le rapport optimal entre les méthodes analytiques et synthétiques de la cognition. Les mots suivants appartiennent à Stefan Zweig: «Parmi les médecins les plus intelligents et les plus humains, il y a un désir de l'ancien universalisme, un désir de trouver des voies d'une pathologie fermée et localisée à la thérapie constitutionnelle ... Après avoir exploré le corps jusqu'au molécule, la curiosité créatrice tourne à nouveau son regard vers l'intégrité de la maladie de divers dans tous les cas." La spécialisation des médecins est une conséquence naturelle du succès de l'approche analytique en médecine. Avec l'approfondissement des connaissances sur l'étiopathogénie, la variété des formes de manifestations cliniques de toute pathologie et l'amélioration des méthodes thérapeutiques et prophylactiques pour y faire face, de nouvelles spécialités médicales apparaissent. Ce processus naturel se reflète dans la nomenclature des travailleurs médicaux.

Outre les avantages évidents, la spécialisation médicale peut entrer en conflit avec les intérêts du patient. L'étroitesse de la pensée clinique professionnelle empêche parfois le médecin de voir le patient dans toute la diversité de ses relations internes et externes. Le principe « ne pas traiter la maladie, mais le patient » n'est souvent pas mis en pratique. Ainsi, l'attention du public averti a toujours été attirée par des orientations fondées sur une approche holistique de l'homme et de ses maladies, non seulement dans l'unité inséparable de toutes ses relations internes, mais aussi dans toute la diversité de son interaction avec l'environnement.

Revenons à la nomenclature actuelle des spécialités médicales. Quels principes sous-tendent sa formation - la désignation d'une activité médicale particulière comme spécialité? Certaines spécialités sont formées selon le critère du système atteint (dermatologie, neurologie, ..). Dans d'autres cas, les critères de la méthode de traitement préférée sont utilisés (chirurgie, physiothérapie, ..); le principal facteur pathogène (traumatologie, maladies infectieuses, ...); stade ou l'objectif le plus urgent des soins médicaux (réanimation, rééducation...). Certains types d'activité médicale sont inscrits dans la nomenclature au statut de la spécialité principale, d'autres sont classés comme "nécessitant une spécialisation complémentaire". De nombreux types d'activités médicales ne figurent pas dans la nomenclature, restant au rang des méthodes thérapeutiques et prophylactiques. Presque jusqu'en 1998, la réflexologie (RT) faisait également partie de ces dernières.

Arrêté du Ministère de la Santé de la Fédération de Russie n° 364 du 12/10/199 ? La République du Tatarstan a été incluse dans la nomenclature des spécialités médicales et pharmaceutiques, la réglementation sur le médecin réflexologue, ses qualifications et la procédure de certification ont été approuvées. En 1999, par arrêté du Ministère de la santé de la Fédération de Russie n ° 38 du 3 février "sur les mesures pour le développement ultérieur de la réflexologie dans la Fédération de Russie", des dispositions ont été définies pour le cabinet et le département de la République du Tatarstan et le normes de dotation pour leur personnel. Cependant, en août de la même année, conformément à l'arrêté du ministère de la Santé de la Fédération de Russie n ° 337 du 27 août 1999, la RT a été classée comme l'une des spécialités nécessitant une formation supplémentaire des neurologues.

Suivant la logique formelle de cet arrêté, les soins certifiés de réflexologie dans tous les domaines de la médecine clinique, où il existe un large éventail d'indications, ne peuvent légalement être dispensés que par des neurologues. Où pouvez-vous trouver autant de neurologues spécialisés en RT pour traiter de nombreuses maladies des organes internes, des maladies gynécologiques et fournir de l'obstétrique à l'aide de méthodes RT, les utiliser comme aide anesthésique et des dizaines d'autres domaines éloignés de la neurologie ? Un neurologue qui se respecte n'assumerait jamais ces tâches. Compte tenu de la proportion relativement faible de neurologues dans la cohorte médicale générale, la disponibilité de la RT est sévèrement limitée. Dans le même temps, des milliers de médecins non neurologues et dédiés à la RT se sont retrouvés formellement suspendus de leur spécialité. La nomenclature devrait contribuer au progrès de l'industrie dans son ensemble et de ses composantes individuelles. La commande n°337 répond-elle à cette mission ?

La rationalité de toute classification est déterminée par la clarté et l'universalité des principes sur lesquels elle repose. La nomenclature actuelle est basée principalement sur le paradigme médical - "centré sur la maladie", axé sur l'élimination du processus pathologique réel. Les soins de santé au sens littéral du terme correspondent au paradigme « centré sur la santé », dont la base est la préservation et l'amélioration de la santé, l'orientation préventive et rééducative. Les spécialités médicales représentant le paradigme centré sur la santé sont beaucoup plus modestement représentées dans la nomenclature moderne. La prédominance des spécialités basées sur le paradigme centré sur la maladie reflète une approche analytique des sciences humaines. Le paradigme centré sur la santé repose davantage sur une approche intégrative - holistique de l'étude d'une personne dans toute sa diversité et l'inséparabilité de ses fusions biologiques et sociales et de leurs manifestations.

Sans appeler au rejet des principes précédemment établis de la formation de la nomenclature, au cours de la discussion, la formulation suivante du critère de spécialité médicale est proposée: le domaine d'activité médicale basé sur un certain paradigme, caractérisé par un système holistique relativement spécifique de diagnostic et de traitement, efficace à différentes étapes des soins médicaux. La plupart des spécialités médicales incluses dans la nomenclature existante répondent au critère ci-dessus, la RT y répond-elle ?

Initialement, la RT était comprise comme tout effet thérapeutique qui provoque l'activation des mécanismes réflexes nerveux. Cela s'est reflété dans la première définition encyclopédique nationale de la RT : "un système de traitement qui utilise des corrélations réflexes qui ont été créées dans le corps humain au cours de son évolution séculaire pour influencer le processus pathologique" (AR Kirichinsky, BME, 1962, vol. 28, p. 564). Par la suite, la compréhension de la RT s'est réduite aux limites de l'analyseur somatosensoriel : "un système de traitement basé sur des relations réflexes formées au cours du processus de phylogenèse et d'ontogenèse, mis en œuvre via le système nerveux central en irritant l'appareil récepteur de la peau, des muqueuses et tissus sous-jacents pour affecter les systèmes fonctionnels de l'organisme » ( VS Goydenko, BME, 1984, vol. 22. S. 244), puis limité au seul impact sur les points d'acupuncture : « un ensemble de techniques thérapeutiques basées sur l'impact des divers facteurs, principalement physiques, sur certaines zones ponctuelles de la surface du corps - points d'acupuncture "(D.M. Tabeeva, KME, 1989, vol. 2. P. 603).

Ainsi, la signification sémantique initialement plus large de RT s'est considérablement réduite. Selon les définitions citées, la RT ressemble plus à une méthode de traitement qu'à une spécialité médicale. Cela contredit à la fois l'essence originale de l'acupuncture classique, dont une partie intégrante est son propre système de diagnostic, et une compréhension moderne plus large de la RT.

La limitation de la compréhension de la RT semble être due à la prédominance du concept de nervisme depuis le début du 19ème siècle, qui a conduit au fait que le terme "réflexe" a acquis une signification principalement neurophysiologique. Il convient cependant de rappeler que dans un sens biologique et philosophique plus large, la catégorie de réflexion (réflexe) s'applique non seulement à toute forme de relation entre l'organisme et l'environnement, mais en général à toutes les formes d'existence de matière, car ils sont sa propriété fondamentale. La compréhension de l'activité réflexe et, par conséquent, de la RT ne doit pas se limiter aux mécanismes nerveux de régulation.

Les idées d'aujourd'hui sur l'essence de la RT sont basées sur la théorie des systèmes fonctionnels, dont l'interprétation moderne est impensable sans les approches biophysiques et informationnelles. Une partie intégrante de la RT est une variété de méthodes de diagnostic réflexe spécifique. Ces circonstances nous incitent à nous tourner vers une compréhension d'abord plus large de la RT et à la définir comme un système de traitement et de prophylaxie basé sur l'évaluation des paramètres des zones réflexogènes périphériques et leur influence afin de réguler les systèmes fonctionnels de l'organisme. Contrairement aux précédentes, cette définition introduit la présence d'un système intégral de diagnostic et de traitement relativement spécifique dans la compréhension de la RT. Elle ne limite pas la compréhension de la RT au cadre neurophysiologique, à tout type de récepteur, à un système d'analyse particulier ou à une modalité de traitement. La musique, la couleur et l'aromathérapie reviennent dans l'arsenal en utilisant la méthode RT. Le domaine le plus étudié et le plus populaire de la médecine traditionnelle chinoise - l'acupuncture semble être la méthode de RT la plus étendue, mais reste une méthode particulière. Dans le même temps, les méthodes mécaniques et thermiques classiques de stimulation des points d'acupuncture cèdent de plus en plus la place à un facteur de faible et ultra-faible intensité, qui contient moins d'énergie que d'effets d'information sur le corps.

De nombreuses études polyvalentes ont permis de trouver une interprétation moderne adéquate des principales dispositions méthodologiques de l'acupuncture traditionnelle. Ainsi, le concept d '«énergie vitale du qi», la topographie canonique des canaux et des points d'acupuncture sont expliqués du point de vue de la mécanique classique et quantique, des idées modernes sur le niveau électron-ion-quantique des réactions biochimiques qui fournissent l'homéostasie bioélectromagnétique. La considération de la phénoménologie des canaux et des points d'acupuncture au niveau électron-ion-quantique ne contredit nullement la théorie réflexe, sinon limitée à son interprétation neurophysiologique simplifiée.

La synthèse des résultats d'études menées sur différents modèles expérimentaux et en clinique, nous permet de conclure que les effets thérapeutiques et prophylactiques de la RT se développent en raison de l'implication de réactions adaptatives de différents niveaux. Les réactions adaptatives initiées par les impacts sur les points d'acupuncture se manifestent dans l'optimisation des fonctions de presque tous les systèmes du corps, cependant, le rôle central de coordination est joué par le système de contrôle de la sensibilité à la douleur. Cela détermine la grande efficacité de l'utilisation de la RT dans une variété de syndromes douloureux.

Le système de contrôle de la sensibilité à la douleur est évolutivement le mécanisme homéostatique le plus ancien, qui occupe une position de leader dans la hiérarchie des mécanismes formés plus tard pour maintenir la constance de l'environnement interne du corps et ses réactions adaptatives. Les modifications de l'état fonctionnel de ce système entraînent des modifications de la réponse d'autres systèmes qui assurent l'adaptation de l'organisme non seulement sous l'action de facteurs physiques directement dommageables (nociceptifs), mais également sous d'autres charges stressantes potentiellement pathogènes.

Les méthodes de diagnostic réflexe permettent d'identifier des systèmes adaptatifs fonctionnellement insuffisants. En effet, les méthodes thérapeutiques, comblant le déficit de ces systèmes, permettent de limiter l'effet pathogène du stress, contribuent à l'élimination des mécanismes pathogéniques existants et à la formation de systèmes fonctionnels sanogènes. L'effet limitant le stress et adaptogène de la RT offre un large éventail d'indications pour son utilisation à des fins thérapeutiques et prophylactiques dans presque tous les domaines de la médecine clinique et à toutes les étapes des soins médicaux. Cela se traduit notamment par le contenu de la revue scientifique et pratique trimestrielle "Réflexothérapie" publiée depuis 2002, dont l'éventail des publications va bien au-delà de la neurologie. La RT actuelle est un système scientifiquement fondé et en développement dynamique qui comprend plusieurs dizaines de méthodes de diagnostic, de traitement et de prophylaxie, dont la totalité répond aux exigences d'une spécialité médicale.

Ni la base théorique moderne, ni la pratique établie, ni la perspective d'un développement ultérieur ne permettent de considérer la RT comme l'apanage exclusif de la neurologie. Cette restriction farfelue n'existe dans aucun pays où les méthodes de RT sont utilisées dans tel ou tel règlement. La possibilité de recevoir une spécialisation en RT devrait être offerte aux représentants de tous les domaines des soins de santé où il existe des indications pour son utilisation. De plus, l'actuel programme unifié de spécialisation en RT comprend une solide quantité d'informations, tant sur les fondements généraux de la neurologie que sur les spécificités de l'utilisation de la RT en clinique des maladies nerveuses.

La possibilité d'une spécialisation appropriée pour les travailleurs paramédicaux devrait également être discutée. Un certain nombre de méthodes de diagnostic et de thérapie réflexe, bien qu'elles nécessitent une certaine préparation, ne sont pas du tout plus difficiles que, par exemple, l'enregistrement ECG, les injections intraveineuses ou certaines procédures physiothérapeutiques. La législation d'un certain nombre de pays d'Europe occidentale et d'États américains autorise la pratique de l'acupuncture et de certains types d'activités médicales similaires pour les personnes qui n'ont pas de formation médicale supérieure, mais qui ont suivi une formation appropriée (généralement deux ans).

En conclusion, je voudrais espérer que le ministère de la Santé de la Russie poursuivra la tradition d'une attitude prudente et attentive à l'état actuel et aux perspectives de développement du service de la République du Tatarstan, dont le début remonte à 1956 . Il est nécessaire d'offrir des opportunités de spécialisation aux médecins travaillant dans les domaines de la médecine clinique où la RT s'est depuis longtemps imposée comme une approche holistique efficace, sûre et rentable qui contribue à l'intégration nécessaire des paradigmes centrés sur la maladie et la santé dans la médecine d'aujourd'hui et les soins de santé du futur.

Chef du département de réflexe
et thérapie manuelle MGMSU,
Rédacteur en chef
revue "Réflexologie",
MD, prof. A. M. Vasilenko.

* * *

Du côté du ministère de la Santé, elle est, comme la première, restée sans réponse, mais a provoqué des dizaines de réponses de spécialistes qui n'étaient pas indifférents au sort de la République du Tatarstan (Vrachevnaya Gazeta n° 12, 2003). En voici quelques extraits.

Réponses au Pr. UN M. Vasilenko « La nomenclature des spécialités médicales : la place de la réflexologie est une invitation à la discussion », publié dans VG n°4 (43), avril 2003.


Dans l'allocution du professeur A.M. Vasilenko au ministère de la Santé de la Fédération de Russie abordera la question d'actualité de la situation de la spécialité médicale "réflexothérapie" dans le pays et les difficultés rencontrées par les praticiens pour obtenir un certificat dans cette spécialité. Sans entrer dans une longue discussion, je voudrais souligner que ces dernières années, la science médicale a élargi sa compréhension des mécanismes des effets thérapeutiques positifs de la réflexologie, ainsi que la pratique elle-même a donné de nombreux exemples de son utilisation réussie dans divers domaines de la médecine.

Ainsi, il est considéré comme prouvé que l'effet thérapeutique de la RT ne peut être expliqué uniquement du point de vue de la théorie réflexe classique. De nombreuses données témoignent de manière convaincante en faveur de la participation des mécanismes endocriniens, ainsi que de diverses parties de la régulation immunitaire, lorsqu'elles affectent des points biologiquement actifs. Une participation aussi large de divers facteurs endogènes qui rétablissent une homéostasie perturbée selon le principe le plus important de l'activité vitale - le principe d'autorégulation, prédétermine le succès de la RT dans les cas de diverses manifestations pathologiques chez l'homme. Actuellement, les effets positifs de la RT sont décrits non seulement en neurologie, mais aussi dans la clinique des maladies internes, l'obstétrique et la gynécologie, l'urologie, les troubles mentaux borderline, etc.

À cet égard, l'arrêté du ministère de la Santé de la Fédération de Russie n ° 337 du 27 août 1999, qui limite la délivrance de certificats de RT exclusivement aux neurologues, constitue un frein incontestable à l'utilisation de la RT dans les soins de santé pratiques.

Constatant les effets positifs de la RT dans diverses maladies, nous ne considérons en aucun cas la RT comme une panacée et n'essayons pas d'opposer la RT à d'autres spécialités médicales. De plus, il existe un nombre croissant de preuves que la RT est encore plus efficace lorsqu'elle est utilisée à la fois avec des méthodes de médecine académique et d'autres méthodes de médecine traditionnelle.

À partir de là, il est clair que plus les travailleurs médicaux maîtriseront la spécialité de la RT et l'utiliseront de manière créative dans le traitement des patients, meilleurs seront les succès de nos soins de santé pratiques.

chef de département
traitements non médicamenteux
et physiologie clinique
MM A im. LEUR. Sechenov,
Docteur en sciences médicales, académicien de l'Académie russe des sciences médicales,
Professeur V.G. Zilov

Avis de l'institut principal.

La question de la modification de l'ordre du ministère de la Santé de la Russie n ° 337 se fait attendre depuis longtemps. Conçu et approuvé dans la bonne intention de réduire la nomenclature exorbitante et pléthorique des spécialités médicales et pharmaceutiques, cet arrêté s'est avéré mal conçu et largement incohérent. L'absence de critères clairs définissant la spécialité médicale, l'étude approfondie, la définition de la vie privée lors de la discussion de l'ordonnance a conduit à la violation des droits d'un certain nombre de spécialistes.

Il convient de noter que la discussion tant attendue sur cette question a commencé sur les pages de Vrachevnaya Gazeta, l'organe de la plus grande organisation médicale professionnelle publique. C'est l'Association médicale russe, dans notre profonde conviction, qui, sur la base d'une large étude des avis des spécialistes, devrait élaborer et soumettre au ministère de la Santé de Russie un projet de nouvel arrêté qui refléterait, d'une part , une tendance globale objective à la réduction du nombre de spécialités, et d'autre part, éviterait cette subjectivité et cette incohérence qui caractérisent l'ordonnance n° 337.

Quant à la réflexologie en tant que spécialité médicale, elle ne peut, à notre avis, être liée de manière rigide à une spécialité de base. À cet égard, je voudrais attirer l'attention sur le fait que lors d'une récente conférence scientifique et pratique organisée par le ministère de la Santé de la Russie, le respecté professeur A.N. Razumov a présenté le projet d'une nouvelle spécialité médicale de base "médecine réparatrice", à laquelle s'ajoute la réflexothérapie en complément, nécessitant une étude approfondie. Dans ce cas, la réflexologie tombera, comme on dit, "du feu dans le feu", car le champ d'activité et le champ de formation des spécialistes seront encore plus limités.

Nous sommes convaincus qu'un certificat de médecin - réflexologue devrait avoir le droit de recevoir après une formation appropriée un représentant de toute spécialité médicale (thérapie, chirurgie, obstétrique et gynécologie, neurologie, pédiatrie, etc.).

Directeur de l'Institut de Réflexologie
Fédéral Scientifique Clinique
centre expérimental
méthodes traditionnelles
diagnostic et traitement du ministère de la Santé de la Fédération de Russie
MARYLAND SON. Mazerov

Il ne faut pas diviser l'indivisible - l'avis des thérapeutes sur la place de la réflexologie dans la nomenclature des spécialités médicales.

L'arrêté du ministère de la Santé de la Fédération de Russie n ° 364 du 10 décembre 1997 sur l'introduction de la réflexologie (RT) dans l'éventail des spécialités médicales et pharmaceutiques était une conséquence naturelle de nombreuses années de travail de médecins et de chercheurs de diverses spécialités , qui a prouvé que la RT est efficace et sûre, et est utilisée dans presque tous les domaines de la médecine clinique . La chose la plus intéressante à propos de la RT est que ses mécanismes sanogénétiques sont basés sur la régulation des processus naturels d'adaptation à différents niveaux. L'effet limitant le stress et adaptogène de la RT garantit l'opportunité et l'efficacité de son utilisation pour le traitement et la prévention des maladies les plus courantes.

Passons à la liste des indications pour RT. En prenant comme 100% toutes les formes nosologiques dans lesquelles la RT est indiquée, il est facile de calculer que les maladies des organes internes occupent la première place parmi les indications - 21,7%. La deuxième place est occupée par la pédiatrie - 15%, la troisième - l'obstétrique et la gynécologie - 10,6%, la quatrième - les conditions limites et la psychiatrie, la cinquième - les maladies du système musculo-squelettique - 8% et seulement la sixième (7,5%) - les maladies du système nerveux . La gastro-entérologie dépasse à elle seule la neurologie en termes de nombre de formes nosologiques dans lesquelles la RT est indiquée - 17 et 15, respectivement. La RT est indiquée pour 14 maladies du système broncho-pulmonaire, au moins sept maladies du système cardiovasculaire et cinq maladies endocrinologiques différentes.

Déjà sur la base de cette analyse formelle, il devient évident que considérer la RT comme une spécialité complémentaire à la neurologie, comme le prévoit l'arrêté du ministère de la santé n° 337 du 27 août 1999, est totalement injustifié. Selon les données des études modernes, les mécanismes nerveux ne sont en aucun cas les seuls et, selon un certain nombre d'auteurs, ils ne sont pas les principaux dans la mise en œuvre des effets thérapeutiques de la RT. De nombreuses années d'expérience dans la clinique des maladies internes montrent que l'utilisation de la RT permet de traiter plus efficacement de nombreuses maladies complexes tolérantes à la pharmacothérapie, d'éviter la surcharge médicamenteuse des patients et de nombreuses complications. Ainsi, ni du point de vue de la pathogenèse et de la sanogenèse, ni du point de vue de la pratique clinique réelle, l'attribution de la RT à la neurologie ne peut être considérée comme appropriée.

Toute classification, y compris la nomenclature des spécialités médicales, est une sorte de convention qui reflète les positions et les pratiques épistémologiques actuelles. Le niveau théorique moderne du développement de la RT, du monde et de la pratique personnelle convainc que les représentants des divers domaines de la médecine clinique doivent posséder un riche arsenal de méthodes de la RT moderne.

Qu'est-ce qui empêche de certifier des médecins de différentes spécialités également dans la spécialité "réflexologie" ? - Connaissant le volume du programme de formation unifié de 4 mois pour la RT, qui contient les principales informations modernes sur l'étiopathogénie et la clinique de diverses maladies, où la RT est indiquée, nous pouvons répondre en toute confiance - rien ! Si cela ne rentre pas dans la structure existante de la nomenclature, alors il faut la changer, et ne pas essayer de limiter artificiellement l'utilisation de la RT au cadre d'une spécialité en particulier.

Dans le même temps, la RT ne doit en aucun cas être autorisée à perdre le statut de spécialité indépendante, dont elle respecte pleinement les critères. Il est nécessaire de conserver la résidence et les autres formes de formation postdoctorale en RT. Compte tenu de la situation actuelle et des perspectives de développement futur de la RT, il y a des raisons de penser à l'inclure comme un cours approprié dans la formation médicale de base. Comme le montre l'expérience de 5 ans de notre Université, le nombre d'étudiants souhaitant suivre le cours électif "Fondamentaux de la médecine réflexe, manuelle et informationnelle" augmente chaque année.

La RT d'aujourd'hui, se développant intensivement sur la base des dernières réalisations des sciences fondamentales, utilisant les dernières réalisations de la microélectronique et des technologies de l'information, est un vaste domaine des soins de santé modernes basé sur des idées sur l'intégrité d'une personne dans toutes les manifestations de son l'existence, les relations avec la nature et la société, répondant de manière optimale au principe de "traiter non pas une maladie, mais un malade". Les tentatives en cours de «lier» la RT à l'une des spécialités existantes ou de l'introduire dans les limites indéfinies de la «médecine traditionnelle» (arrêté du ministère de la Santé de la Fédération de Russie n ° un certain nombre de conséquences négatives, principalement dans le forme de limitation de sa disponibilité pour des centaines de milliers de patients qui en ont besoin et pour de larges contingents de personnes chez qui il est conseillé de l'utiliser à des fins de prévention et de réhabilitation.

Responsable scientifique-pédagogique-pratique
Centre des nouvelles technologies en médecine
Académicien de l'Académie russe des sciences médicales, le professeur L.E. Martynov.
Professeurs du Département de thérapie n ° 1 FPDO
MGMSU A.G. Evdokimov et V.L. Olkhine
Diriger Département de thérapie n ° 2 FPDO
MGMSU Professeur LL Kirichenko
Professeur du Département d'Interne
maladies n ° 3 MGMSU, chef. cours
maladies professionnelles Popkova
Professeur agrégé du Département de réflexologie
et thérapie manuelle, MGMSU,
Cardiologue-thérapeute avec un homme de 35 ans
expérience médicale, doctorat. Ouais. Makarov

Au rédacteur en chef du journal médical, le professeur G. A. Komarov.

Cher Gueorgui Alekseevitch !
Nous envoyons du matériel pour la "Discussion" sur l'article du professeur A.M. Vasilenko « Nomenclature des spécialités médicales. Le lieu de la réflexologie est une invitation à la discussion. Nous partageons pleinement l'inquiétude d'Alexei Mikhailovich, l'un des plus grands spécialistes de notre pays dans le domaine de la réflexologie, quant à la situation dans laquelle se trouve la spécialité "réflexothérapie", dans le cadre de la délivrance de l'ordre du ministère de la Santé de la Fédération de Russie No.

La portée de cette spécialité dans la pratique médicale est clairement formulée dans l'arrêté du Ministère de la santé de la Fédération de Russie n° 364 du 12/10/1997 :
Annexe 2. 1.1. Médecin - réflexologue - spécialiste de l'enseignement supérieur dans la spécialité "Médecine générale" ou "Pédiatrie" ... "et plus loin à l'annexe 3, clause 3.1. la réflexologie est désignée comme "une discipline clinique complexe indépendante". Historiquement, depuis 47 ans d'existence dans le pays de la réflexologie, il est devenu une pratique d'utiliser ce type de diagnostic et de traitement pour un large éventail de maladies au sein des spécialités comprises dans la rubrique "Médecine générale" et "Pédiatrie" Cette disposition est inscrit dans l'ordonnance du ministère de la Santé de l'URSS n ° g. "Sur les indications et les contre-indications à l'utilisation de la méthode d'acupuncture", ainsi que les "Recommandations méthodologiques" du ministère de la Santé de l'URSS de 1980 sous le même nom. Notre pratique et nos recherches scientifiques depuis 1957 (laboratoire et groupe de recherche d'acupuncture, centre scientifique et méthodologique de toute l'Union et département de réflexologie à la GIDUVe de Leningrad, puis St. et à la clinique des maladies internes (pneumologie, gastro-entérologie), allergologie, obstétrique et gynécologie, orthopédie et traumatologie. L'application clinique de la réflexologie est confirmée par la recherche scientifique fondamentale, reflétée dans un grand nombre de thèses de doctorat et de maîtrise, dont le nombre a atteint 300.

Dans le contexte de tous les efforts et mesures organisationnelles du ministère de la Santé de la Fédération de Russie (y compris l'arrêté n ° 38 du 3 février 1999 «sur les mesures pour le développement ultérieur de la réflexologie dans la Fédération de Russie»), l'arrêté n ° 337 du 27 août 1999 a déstabilisé le service de réflexologie dans tout le pays, ramenant la spécialité "Réflexologie" au rang de "spécialité nécessitant une formation approfondie". Ainsi, en fait, d'un seul coup, une immense armée d'autres spécialistes (thérapeutes, allergologues, gynécologues-obstétriciens, pédiatres, etc.) a été «coupée» de la réflexologie et a privé des milliers de patients qui avaient besoin de soins non médicamenteux efficaces. soins, qui est la réflexologie. Les médecins des spécialités ci-dessus sont dans une impasse: par exemple, un médecin généraliste, un obstétricien-gynécologue, un allergologue doit maîtriser la neurologie à partir de zéro, passer un examen pour un certificat de neurologue (!!!). puis se spécialiser en réflexologie. Une telle tâche est irréaliste. Ainsi, nous soutenons le point de vue de notre confrère et réfléchissons à la solution optimale pour donner (ou plutôt : redonner) à la « réflexothérapie » le statut de spécialité indépendante.

Membre du Conseil médical académique, section "Médecine traditionnelle", Spécialiste en chef en réflexologie du Comité de santé de l'administration de Saint-Pétersbourg, Professeur du Département de réflexologie de Saint-Pétersbourg MAPO Docteur en sciences médicales, Professeur A.T. Kachan.

Diriger Département de réflexologie, Saint-Pétersbourg MAPO
Docteur en Sciences Médicales, Professeur N.N. Bogdanov

Le point de vue du narcologue.

Ces dernières années, la réflexologie (RT) a été de plus en plus utilisée dans divers domaines de la médecine. Une grande expérience a également été accumulée dans l'utilisation réussie de la RT en narcologie (V.A. Durinyan, V.P. Kokhanov, 1961 ; V.L. Lakusta, 1993, etc.). Les méthodes modernes de pharmacothérapie des maladies narcologiques restent problématiques. L'usage de médicaments a souvent ses limites et ses contre-indications. Il n'est pas rare que nos patients développent une dépendance aux médicaments.

Il est souvent nécessaire d'abandonner le rendez-vous d'un traitement médicamenteux en raison de la survenue d'effets toxiques ou d'effets secondaires des médicaments. Par conséquent, parallèlement à l'amélioration des anciennes méthodes de traitement, il existe une recherche constante de méthodes de traitement nouvelles et combinées en narcologie.

Depuis l'époque où la narcologie a été distinguée comme discipline clinique indépendante, la RT a fermement occupé sa «niche» dans le traitement complexe des maladies narcologiques. Un grand nombre de travaux ont été menés pour étudier l'effet de la RT sur l'activité de différents systèmes corporels de patients dépendants à l'alcool (pendant la période de sevrage). Il s'agit d'un effet sur les systèmes de neurotransmetteurs (adrénaline, noradrénaline, sérotonine, acétylcholine, cholinestérase, hormones, histamine), y compris l'état du système hypothalamo-hypophyso-surrénalien. Une grande attention dans la littérature mondiale est accordée à la participation des récepteurs opioïdes et de leurs ligands (enképhalines et endorphines) dans la mise en œuvre des effets de la RT dans le traitement de l'alcoolisme. Par conséquent, la méthode RT est considérée par de nombreux auteurs non seulement comme une méthode de traitement physiologique non médicamenteux de l'alcoolisme, mais également comme un moyen d'étudier les mécanismes pathogéniques de cette maladie (Kokhapov V.P., 1992). Il convient également de mentionner les résultats élevés du traitement du tabagisme, où la RT en tant que méthode principale est effectivement utilisée dans de nombreux pays du monde (Rudnev S.G.).

Dans les institutions médicales modernes du profil narcologique, la RT fait partie intégrante d'un programme de traitement complet. L'utilisation de la RT se reflète dans les normes (modèles de protocole) pour la prestation de soins aux patients narcologiques. La prise en charge de nos patients s'effectue en plusieurs étapes : désintoxication, traitement de l'état post-abstinence, période de rééducation. La RT est utilisée en combinaison avec le traitement principal à un certain stade ou pendant toute la durée du traitement, qui est déterminée dans chaque cas individuellement. Dans certains cas, notamment en période de rééducation, la RT est utilisée en monothérapie (micro-aiguilles). Pour diagnostiquer et évaluer l'efficacité du traitement en narcologie, les méthodes de diagnostic réflexe sont également utilisées efficacement. L'utilisation de diagnostics et de thérapies réflexes en narcologie permet de réduire les doses de médicaments utilisées, de renforcer le contact psychothérapeutique avec le patient et d'obtenir une rémission plus stable et de haute qualité.

La privation de la possibilité pour les narcologues de se spécialiser (ou d'améliorer leurs qualifications) en RT, tout d'abord, affecte négativement les intérêts de nos patients. Il est difficile d'imaginer la présence d'un neurologue dans le personnel de chaque service ou dispensaire de stupéfiants. Mais à notre avis, seul le médecin traitant, qui dispose d'informations complètes sur la nature de la maladie chez un patient donné et a un contact émotionnel avec le patient, peut obtenir un effet significatif lors de l'utilisation de la RT. Nous espérons le triomphe du bon sens et une approche plus différenciée pour résoudre ce problème.

Psychiatre-narcologue -
réflexologue du 17ème narcologique
hôpitaux à Moscou G.I. Romachtchenko

Le destin commun de la réflexologie et de la thérapie manuelle.

La coïncidence des dates de "naissance" et de "décès" "10.12.1997-27.08.1999" de la réflexologie et de la thérapie manuelle, en tant que spécialités médicales indépendantes, n'est évidemment pas fortuite. Tout ce que le Pr. UN M. Vasilenko concernant l'inopportunité de limiter l'utilisation de la réflexologie dans le cadre de la neurologie peut également être extrapolée à la thérapie manuelle.

Sa propre expérience médicale, ainsi qu'un ensemble impressionnant d'observations de collègues, témoignent de manière assez convaincante de l'opportunité d'utiliser la thérapie manuelle dans la clinique des maladies internes, de l'obstétrique et de la gynécologie et d'autres domaines de la médecine clinique assez éloignés de la neurologie. Par conséquent, l'arrêté du ministère de la Santé de la Fédération de Russie n ° 337 du 27 août 1999, "mettant" la thérapie manuelle dans le lit de Procuste de la neurologie ou de la traumatologie et de l'orthopédie, limite considérablement les possibilités de son utilisation par les médecins d'autres spécialités .
232 médecins des régions de Moscou, Moscou, Kaluga, Kostroma et Yaroslavl, qui étaient présents à la conférence finale de l'Association professionnelle des thérapeutes manuels de Moscou, tenue le 26 octobre 2002, ont voté à l'unanimité pour la décision, dont l'un des points se lit comme suit :
"À ce jour, des données ont été obtenues sur la possibilité d'utiliser la thérapie manuelle dans le traitement non seulement des troubles musculo-squelettiques, mais également d'un certain nombre de maladies des organes internes. Cela suggère une utilisation plus large de la thérapie manuelle par divers spécialistes. L'ordre actuel sur la formation de spécialistes uniquement des neuropathologistes et des traumatologues entrave l'introduction de nouveaux développements dans la clinique des maladies internes. Le programme de formation spécialisée existant (560 heures) peut être maîtrisé par des médecins ayant reçu une spécialité en médecine générale ou en pédiatrie, ce qui permettra d'introduire plus largement les acquis de la médecine manuelle dans le traitement et la prévention des maladies chez l'adulte et l'enfant , qui peut devenir une partie intégrante d'un programme à grande échelle pour améliorer la nation.

Une décision similaire concernant la réflexologie a été prise par les participants du Congrès sur la médecine traditionnelle, qui s'est tenu du 27 au 29 septembre 2000 à Elista. Ainsi, il y a tout lieu de croire que les opinions de la majorité des spécialistes du domaine de la réflexologie et de la thérapie manuelle sur la question en discussion sont les mêmes. De nombreux médecins qui maîtrisent la réflexologie sont motivés pour maîtriser la thérapie manuelle et vice versa. Cela est dû à la similitude d'un certain nombre de leurs mécanismes sanogénétiques et à leur action de potentialisation mutuelle, qui fournissent des effets thérapeutiques beaucoup plus prononcés et stables. La kinésiologie médicale se développe activement, combinant les approches de la réflexologie, de la thérapie manuelle et des exercices de physiothérapie. Les méthodes de la médecine de l'information sont introduites de plus en plus activement dans la pratique, dont l'éventail des possibilités de diagnostic, de traitement et de prophylaxie va également bien au-delà de la neurologie.

Le développement rapide des approches non pharmacologiques répertoriées dans la médecine moderne nécessite évidemment une réflexion appropriée dans la nomenclature des spécialités médicales. S'intégrant pratiquement et théoriquement sur la base du paradigme centré sur la santé, ces approches apparemment différentes forment une direction unique qui ne rentre pas dans la structure actuelle de la nomenclature des spécialités médicales. C'est probablement pourquoi elles sont souvent regroupées sous les noms collectifs de médecine « alternative », « complémentaire » ou « intégrative ».

La combinaison la plus logique d'entre eux dans une seule spécialité serait peut-être la médecine restauratrice. La question de l'introduction de cette dernière dans la nomenclature des spécialités médicales, à notre connaissance, est actuellement examinée par le ministère de la Santé de la Fédération de Russie. L'étape de récupération étant déjà prévue dans toute activité médicale, la réflexologie, la thérapie manuelle, l'homéopathie et autres technologies médicales innovantes ne resteront pas l'apanage exclusif des neurologues. L'efficacité de leur utilisation intégrée est confirmée par l'expérience du centre de réadaptation de toute l'armée, fonctionnant sur la base du 6e hôpital clinique militaire central du ministère de la Défense de la Fédération de Russie. La pratique des conseils scientifiques spécialisés opérant dans le cadre du Centre scientifique russe de médecine réparatrice et de balnéologie du ministère de la Santé de la Fédération de Russie témoigne également en faveur de l'argument de leur attribution à la médecine réparatrice.

En conclusion, nous en appelons au ministère de la Santé de la Fédération de Russie avec une demande d'une manière ou d'une autre pour supprimer les obstacles artificiels à la possibilité d'obtenir une spécialisation en réflexologie et thérapie manuelle pour les représentants de toutes les spécialités médicales où ils ont des indications d'utilisation .

Responsable des cours de thérapie manuelle
et de réflexologie du Département de médecine
rééducation et méthodes physiques
traitement de l'Institut d'État
perfectionnement des médecins du ministère de la Défense de la Fédération de Russie Président
Conseil du professionnel de Moscou
Associations des thérapeutes manuels, MD,
le professeur A.T. Néborski
Responsable du centre manuel
Thérapies du Centre scientifique russe
Médecine réparatrice et thermalisme
Ministère de la Santé de la Fédération de Russie, Président de la Moscow
Association professionnelle du manuel
Thérapeutes, Ph.D. A.E. Samoroukov

Sauvez la réflexologie des enfants !

Selon le ministère de la Santé de la Fédération de Russie, de 1990 à 1999, la morbidité infantile dans tous les groupes de maladies a augmenté en moyenne de 20 %. En excluant les facteurs socio-économiques connus, l'augmentation de la morbidité est due à une augmentation de la proportion de maladies d'inadaptation associées aux conditions environnementales, à l'utilisation déraisonnablement large et intensive de la pharmacothérapie, conduisant à l'allergisation de la population enfant et adulte. S'habituant à la consommation constante de médicaments de la période de développement prénatal, les enfants, selon V.P. Kaznacheev deviennent des "sous-bois" immunologiques.

Dans ce contexte, l'utilisation la plus large possible de la réflexothérapie (RT), qui est basée sur la régulation dirigée des mécanismes naturels d'adaptation et de sanogenèse, est particulièrement importante. Les méthodes de diagnostic réflexe permettent d'identifier les manifestations précoces (précliniques) de la maladaptation et de déterminer les plus vulnérables, du point de vue du développement possible de la pathologie, des systèmes corporels. En fait, les méthodes thérapeutiques offrent une approche holistique individualisée pour résoudre les problèmes de prévention, de traitement et de réadaptation, qui répond au principe de "traiter non pas la maladie, mais le patient". La RT, dans laquelle les procédures médicales sont effectuées par un médecin, contrairement à la plupart des autres spécialités médicales, offre davantage de possibilités d'interaction psychologique nécessaire avec l'enfant et ses parents. La RT, visant à la fois à augmenter la résistance générale non spécifique d'un enfant à diverses influences pathogènes et à traiter des maladies spécifiques, peut limiter considérablement les effets nocifs sur l'organisme, qui se trouve dans un état de stress environnemental, psychologique et médicinal.

Avec l'offre matérielle actuelle de soins de santé, l'augmentation du coût des services médicaux, en particulier des soins médicaux spécialisés, et l'augmentation des prix des produits pharmaceutiques, le problème du maintien de la santé, de la prévention et de la détection précoce des maladies par des méthodes économiquement abordables se pose importance particulière. La RT ne nécessite pas d'équipement coûteux, elle est "abordable" pour tout établissement médical, ainsi que pour la population en général. L'efficacité de la RT n'est pas inférieure et dépasse souvent le niveau d'efficacité de la pharmacothérapie, peut remplacer toute une gamme de médicaments, a une gamme très limitée de contre-indications et n'a pratiquement aucun effet secondaire.

Sur la base de ces conditions préalables, on s'attendrait à une nouvelle augmentation du nombre de pédiatres propriétaires de RT, à une expansion du réseau de salles et de services de RT dans les établissements de santé pour enfants. En fait, cela ne se produit pas, et la tendance inverse est souvent observée. Ainsi, en 1993, le bureau de la République du Tatarstan a été liquidé ; N.F. Filatov. En janvier 2001, après quatre ans de travaux, le bureau de la RT DP n°11 du SVAO est liquidé. Avec ces exemples, je voudrais attirer l'attention de la direction du ministère de la Santé de Moscou sur l'organisation du service de RT pour enfants. La situation défavorable de ce service est due à un certain nombre de circonstances.

Tout d'abord, l'attention est attirée sur le manque de sensibilisation des patients et, apparemment, des organisateurs de soins de santé sur les possibilités de la RT et, bien que sous-développé, mais toujours disponible, du réseau de bureaux existants dans les polycliniques et les hôpitaux. Le patient a le droit de recevoir des informations sur toutes les indications et méthodes pouvant être utilisées pour son traitement, l'administration de l'établissement de santé est tenue de fournir ces informations, mais ne le fait généralement pas. Dans le contexte d'une publicité intrusive pour les préparations pharmacologiques, il n'y a pas d'informations non seulement sur les méthodes de RT en général, mais également sur les salles de RT disponibles dans la structure des établissements de santé pour enfants. Ainsi, le réseau déjà peu développé de RT pour enfants est clairement sous-utilisé.

L'organisation de tout service médical commence par la nomenclature des spécialités médicales. Selon l'arrêté du ministère de la Santé de la Fédération de Russie n ° 337 du 27 août 1999, la RT a été classée parmi les spécialités nécessitant une formation supplémentaire des neurologues, et ce malgré le fait que la morbidité neurologique chez les enfants de moins de 14 ans , selon les données de 1999, ne représente qu'environ 10 % de la morbidité totale. Notre propre pratique de 22 ans en RT pédiatrique montre qu'environ la moitié des patients sont référés à un réflexologue par des neurologues. Cependant, parmi ces enfants, environ 70% sont des patients atteints de pathologie somatique polysystémique de nature végétative-viscérale ou psychosomatique. Ainsi, pas plus de 35% des patients ont besoin d'un traitement neurologique spécialisé, les autres ont besoin de l'aide d'un pédiatre généraliste. Le programme de formation unifié pour les médecins en RT contient toutes les informations nécessaires aux médecins généralistes pour traiter les patients souffrant de maladies du système nerveux. Divers aspects de la RT en pédiatrie sont assez bien présentés.

L'ordonnance n° 337 entrave la disponibilité de la RT pour les nombreux enfants qui en ont besoin et limite artificiellement la capacité des pédiatres à maîtriser notre spécialité. Une erreur similaire a déjà été commise lorsque RT, par arrêté du ministère de la Santé n ° 6931981, a été affecté à la physiothérapie. La RT moderne est un domaine interdisciplinaire et en développement dynamique qui répond aux critères d'une spécialité médicale indépendante. Les prérequis théoriques mûrissent et la pratique de l'utilisation intégrée de la RT, de la thérapie manuelle, de la thérapie par biorésonance, de l'homéopathie, de l'homotoxicologie et d'un certain nombre d'autres méthodes est en cours de développement sous la forme d'un système méthodologiquement unifié pour fournir des soins médicaux avec des technologies biomédicales externes différentes. Cependant, il n'est guère possible de reconnaître comme une tentative réussie de les combiner avec le terme ambigu de «médecine traditionnelle» (Ordonnance du Ministère de la santé de la Fédération de Russie n ° 186 du 05.06.02). Au contraire, le terme de médecine « complémentaire » ou « intégrative », qui est utilisé dans le lexique professionnel international, serait approprié ici.

D'une manière ou d'une autre, il est nécessaire de ne pas limiter, mais d'élargir les possibilités d'obtention d'une spécialisation en RT et dans des domaines idéologiquement proches, non seulement pour les représentants de divers domaines de la médecine clinique, mais également pour les soins de santé en général.


réflexologue de la plus haute catégorie.
Polyclinique centrale pour enfants du Ministère de l'intérieur de la Fédération de Russie.
TG Tikhonov.
Pédiatre de la catégorie la plus élevée,
réflexologue de la plus haute catégorie,
DGP n° 140 SZAO Moscou
Doctorat D. L. Kazbekov.

* * *

Il est peu probable que les documents ci-dessus n'aient pas été portés à l'attention des responsables médicaux, de plus, ils ont été directement présentés à l'un des sous-ministres .... Mais la direction du ministère de la Santé de l'époque ne nous a de nouveau honorés d'aucune réponse , démontrant ainsi leur indifférence au sort de la République du Tatarstan. La direction de notre association professionnelle veillera à ce que ce numéro de la revue tombe entre les mains de la direction actuelle du ministère russe de la Santé. Espérons qu'elle prendra les mesures nécessaires pour régler les problèmes pressants d'organisation du service RT.

Tu peux télécharger la fiche de poste d'un réflexologue est libre.
Responsabilités professionnelles d'un réflexologue.

j'approuve

________________________________ (Nom, initiales)

(nom de l'établissement, son ________________________

forme organisationnelle et juridique) (administrateur ; autre personne

autorisé à approuver

Description de l'emploi)

DESCRIPTION DE L'EMPLOI

MÉDECIN-RÉFLEXOTHERAPEUTE

______________________________________________

(nom de l'institution)

00.00.201_ #00

I. Dispositions générales

1.1. Cette fiche de poste définit les devoirs, droits et responsabilités d'un réflexologue _____________________ (ci-après dénommée « l'entreprise »).

1.2. Une personne qui a une formation médicale supérieure et qui a été formée dans la spécialité "Réflexologie" est nommée au poste de réflexothérapeute.

1.3. La nomination au poste de réflexologue et sa révocation s'effectuent conformément à la procédure établie par la législation du travail en vigueur par ordre du chef de l'établissement de santé.

1.4. Le réflexologue relève directement de _____________________

(Chef de département,

médecin-chef adjoint)

1.5. Le réflexologue doit savoir :

Lois de la Fédération de Russie et autres actes juridiques réglementaires réglementant les activités des établissements de santé ;

Documents réglementaires et méthodologiques actuels régissant les activités des établissements médicaux ;

Méthodes et règles pour la fourniture de soins médicinaux et médicaux d'urgence ;

Le contenu de la réflexologie en tant que discipline clinique distincte ;

Organisation, structure, tâches, personnel et équipement du service de réflexologie ;

Tous les documents légaux et réglementaires dans leur spécialité ;

Méthodes de prévention, de diagnostic, de traitement et de rééducation du patient ;

Planification des activités et tout reporting du service de réflexologie ;

La méthodologie et la procédure de suivi de votre service ;

Règles et normes de protection du travail, d'assainissement industriel, de sécurité et de protection contre les incendies ;

Bases de la législation du travail de la Fédération de Russie

Règlement intérieur du travail ;

1.6. Pendant l'absence du réflexologue (voyage d'affaires, vacances, maladie, etc.), ses fonctions sont exercées de la manière prescrite par une personne désignée qui est entièrement responsable de leur bonne exécution.

II. Responsabilités professionnelles

Réflexologue :

2.1. Dans sa spécialité, il fournit des soins médicaux qualifiés, en utilisant des méthodes modernes de diagnostic, de prévention, de traitement et de rééducation ultérieure du patient.

2.2. Conformément aux règles et normes établies, il choisit les tactiques de gestion du patient, élabore un plan pour son examen

2.3. Précise le volume et les méthodes d'examen du patient afin d'obtenir un diagnostic fiable et complet de la maladie dans les plus brefs délais.

2.4. Sur la base des données collectées, il effectue une analyse, ainsi que prescrit et effectue le traitement et les procédures nécessaires.

2.5. Effectue des contrôles quotidiens à l'hôpital.

2.6. Modifie le plan de traitement au besoin

2.7. Conseille les médecins des services des établissements de santé dans leur spécialité

2.8. Gère le personnel médical junior

2.9. Surveille l'exactitude des procédures diagnostiques et thérapeutiques, ainsi que le fonctionnement des équipements et appareils, outils, médicaments, réactifs

2.10. Supervise le respect des règles de sécurité et de protection du travail par le personnel médical de niveau inférieur.

2.11. Exécute en temps opportun et avec compétence les ordres, instructions et instructions de la direction de l'institution

2.12. Conforme au règlement intérieur.

2.13. Conforme aux exigences de la protection du travail, de l'assainissement industriel et de la sécurité

2.14. Exécute en temps opportun et avec compétence les ordres, instructions et instructions de la direction de l'institution

2.15. Conforme au règlement intérieur.

2.16. Conforme aux exigences de la protection du travail, de l'assainissement industriel et de la sécurité

III. Les droits

Le réflexologue a le droit de :

3.1. Faire des propositions à la direction de l'entreprise sur l'optimisation et l'amélioration de l'assistance médicale et sociale, y compris sur les questions de leurs activités de travail.

3.2. Exiger de la direction de l'établissement qu'elle l'aide à s'acquitter de ses devoirs et de ses droits.

3.3. Recevoir les informations des spécialistes de l'entreprise nécessaires à l'exécution efficace de leurs fonctions.

3.4. Passer la certification conformément à la procédure établie avec le droit d'obtenir la catégorie de qualification appropriée.

3.5. Participer aux travaux de réunions, de conférences scientifiques et pratiques et de sections sur des questions liées à leurs activités professionnelles.

3.6. Bénéficiez des droits du travail conformément au Code du travail de la Fédération de Russie

je V . Responsabilité

Le réflexologue est chargé de :

4.1. Pour l'exécution correcte et en temps voulu des tâches qui lui sont confiées, prévues dans la présente description de poste

4.2. Pour l'organisation de leur travail et l'exécution qualifiée des commandes, ordres et instructions de la direction de l'entreprise.

4.3. Veiller à ce que les employés subalternes respectent leurs obligations.

4.4. En cas de non-respect du règlement intérieur et des règles de sécurité.

Pour les infractions ou omissions commises dans le cadre de mesures thérapeutiques ; pour des erreurs dans l'exercice de leurs activités, entraînant des conséquences graves pour la santé et la vie du patient ; ainsi que pour violation de la discipline du travail, des actes législatifs et réglementaires, un réflexologue peut être poursuivi conformément à la loi applicable, en fonction de la gravité de la faute, à la responsabilité disciplinaire, matérielle, administrative et pénale.

Un réflexologue est un spécialiste qui traite les maladies en influençant l'acupuncture. Les points particuliers du corps humain sont directement liés à divers systèmes et organes internes. Un professionnel dans ce domaine doit avoir des compétences pratiques et une vaste réserve de connaissances théoriques dans le domaine de la neurologie. Avec une compréhension claire de l'anatomie, le médecin peut effectuer des procédures sans risquer de nuire au patient.

La spécialité "réflexothérapeute" a été agréée en 1998. Les médecins prescrivent et exécutent des procédures de manière indépendante. Les techniques n'ont presque pas de contre-indications, donc les adultes et les enfants peuvent être des patients.

Dans tous les points biologiquement actifs du corps, on observe une augmentation du flux lymphatique et du flux sanguin. Dans ces zones, l'oxygène est absorbé beaucoup plus activement, ce qui augmente la sensibilité à la pression à certains endroits. En réponse à l'exposition, une faible impulsion électrique se forme aux points d'acupuncture, qui est transmise à l'organe malade par un certain nombre de centres nerveux. Le processus stimule non seulement le travail du corps, mais active également le système de récupération.

Quelles sont les méthodes utilisées pour le traitement?

Un réflexologue professionnel dans le cadre du traitement de maladies peut utiliser diverses méthodes pour influencer les points biologiquement actifs.

  • L'acupression est une technique qui implique l'impact sur l'acupuncture à l'aide de l'acupression avec les doigts.
  • Pharmacopuncture, qui est l'injection sous-cutanée de médicaments (dans la plupart des cas, des remèdes homéopathiques) dans les points d'acupuncture.
  • L'acupuncture, qui est la technique de réflexologie la plus courante, dans laquelle de fines aiguilles sont insérées dans différentes parties du corps. La longueur des aiguilles utilisées dépend directement de la profondeur d'un certain point. Selon la méthode utilisée par le spécialiste, la technique d'injection est choisie - rapide, lente, profonde, superficielle, avec défilement et combinant plusieurs aiguilles.
  • L'apithérapie, qui implique l'utilisation des abeilles, ainsi que de leurs produits métaboliques - miel, cire, propolis, gelée royale. Le traitement peut être effectué par piqûre directe sur des points biologiquement actifs, ainsi qu'en combinaison avec des médicaments, des hormones, une thérapie par l'exercice et une physiothérapie.
  • Réflexologie d'application, dans laquelle la stimulation est effectuée à l'aide de plaques et de balles spéciales qui sont attachées à la peau dans certaines zones, après quoi elles restent pendant plusieurs jours ou une journée (dans le cas des personnes âgées et gravement malades, ainsi comme enfants). Certains réflexologues utilisent des graines et des céréales germées, du gingembre, de l'ail, des oignons et d'autres irritants comme applications.
  • Magnetopuncture - stimulation des points, fournie par des champs magnétiques à basse fréquence variables ou constants.
  • Thermopuncture, dans laquelle les points sont stimulés par cautérisation avec des cigares d'absinthe et des cônes spéciaux. La procédure diffère en ce qu'elle a un léger effet irritant : le patient ne ressent pas de douleur ou d'autres sensations désagréables, mais se sent seulement chaud dans la zone stimulée.

Chacune des méthodes a ses propres caractéristiques, avantages et inconvénients. Le choix d'une technique qui assurera l'atteinte de l'objectif dans les plus brefs délais est directement pris en charge par le réflexologue traitant.

En plus de ces techniques, de nombreux médecins utilisent des techniques personnelles qui ont prouvé leur efficacité. À ce jour, plus de 900 points d'acupuncture ont été découverts, associés à divers systèmes et organes du corps humain. Les procédures individuelles menées et les traitements complexes contribuent à l'amélioration du bien-être général et ouvrent également les canaux d'afflux d'énergie vitale.

Dans les situations où le patient souffre d'un certain nombre de symptômes désagréables, mais que les médecins de la clinique ne peuvent pas identifier la cause, la meilleure solution consiste à contacter un spécialiste dans le domaine de la médecine alternative. Le réflexologue utilise ses propres méthodes de diagnostic, au cours desquelles il étudie l'état des organes internes en fonction des "signes" affichés sur le corps. En influençant certains points et en surveillant les réactions, le médecin peut tirer des conclusions sur la présence de problèmes. De plus, grâce à la technologie moderne et à l'utilisation d'équipements de pointe, la précision des procédures de diagnostic a considérablement augmenté.

Quelles maladies soigne-t-il ?

Parmi les affections auxquelles un réflexologue aide à faire face figurent de nombreuses pathologies du système musculo-squelettique (myosite, arthrite, bursite, périarthrite, éperon calcanéen, arthrose). De plus, les personnes souffrant d'hypertension, de bronchite chronique, de gastrite, de pancréatite et de maux de tête se tournent souvent vers des spécialistes. La réflexologie aide à faire face à la néphrite, aux maladies du système génito-urinaire, aux troubles métaboliques, à l'anémie.

En plus des maladies physiques, l'impact sur divers points du corps est un moyen efficace de lutter contre l'insomnie, la dépression, l'instabilité émotionnelle et l'anxiété accrue.

Quand consulter un réflexologue ?

L'aide d'un spécialiste peut être utile non seulement dans le traitement, mais aussi dans le cadre de mesures préventives. La pratique montre qu'un réflexologue est contacté lorsque les méthodes de traitement traditionnelles ne donnent pas le résultat escompté. Une aide professionnelle vous aidera à :

  • douleurs chroniques et allergies;
  • violations du système reproducteur;
  • inflammations chroniques et aiguës;
  • les retards de développement chez les enfants et la paralysie cérébrale ;
  • maladies cutanées et infectieuses;
  • récupération après AVC, poliomyélite, crises d'épilepsie.

Souvent, les personnes souffrant d'alcool, de drogue et d'autres types de dépendance, qui sont déçues par les méthodes de traitement traditionnelles, demandent l'aide d'un réflexologue.

Avec quels organes un réflexologue travaille-t-il ?

Il est impossible de déterminer le "corps de travail" principal d'un spécialiste dans le domaine de la réflexologie - le médecin affecte tous les points actifs du corps humain. Les procédures vous permettent de faire face aux maladies de divers organes, ainsi que de prévenir le développement de maladies chroniques.

Il s'agit d'une approche intégrée du développement d'un traitement qui aide à obtenir des résultats optimaux.

Réflexologue : comment se passe le rendez-vous ?

Le réflexologue prend rendez-vous dans un bureau entièrement équipé, où un canapé spécial est installé, des appareils avancés pour l'électroacupuncture et d'autres manipulations utilisant des méthodes modernes, ainsi qu'une armoire stérile dans laquelle sont stockés les kits d'acupuncture.

Au stade initial, le médecin recueille les antécédents du patient, identifie les plaintes et évalue son état. Il est très important de déterminer la localisation de la pathologie en temps opportun afin d'établir correctement un plan de manipulations. C'est pourquoi il est nécessaire de fournir au spécialiste des informations détaillées et honnêtes sur votre mode de vie, votre alimentation, vos maladies et blessures passées. Il est préférable d'emporter avec soi une carte médicale, des résultats d'examens et de tests récents.

Vous devez éviter d'aller chez un réflexologue lors d'une exacerbation d'affections chroniques ou avertir le médecin à l'avance de votre état. Ce n'est qu'avec des informations à jour qu'un spécialiste peut élaborer un programme de traitement efficace qui ne provoquera pas de conséquences négatives.

Il est très important de considérer que pour obtenir des résultats optimaux, il est important de terminer complètement le traitement, même si après plusieurs séances, le patient commence à ressentir un soulagement. Réduire le syndrome douloureux ne signifie pas que le problème est complètement éliminé.

Quels tests faut-il faire ?

Avant un rendez-vous avec un réflexologue, il n'est généralement pas nécessaire de passer des tests instrumentaux et de laboratoire supplémentaires. Cependant, il existe des situations où un spécialiste peut prescrire un examen afin d'obtenir une image objective de l'état du corps humain. Si vous avez entre les mains des résultats de test prêts à l'emploi et des opinions d'autres médecins, vous devez les emporter avec vous.

Comme tous les médecins professionnels, les réflexologues recommandent à leurs patients de demander de l'aide en temps opportun, notamment en se soumettant régulièrement à des procédures préventives pour se protéger de nombreux maux. Toute maladie est beaucoup plus facile à prévenir qu'à guérir.

  • manger de manière opportune et équilibrée;
  • faire régulièrement de l'activité physique et du repos;
  • rester à l'extérieur au moins une heure par jour;
  • traiter en temps opportun et complètement toutes les maladies actuelles, y compris les rhumes, et abandonner les méthodes traditionnelles non vérifiées.

Grâce à l'efficacité du travail des réflexologues, confirmée par des centaines de milliers d'avis positifs, les services de spécialistes dans ce domaine sont très appréciés.

Si les anciens médecins de médecine alternative n'utilisaient que leurs mains, leurs connaissances et leur intuition, les ordinateurs modernes les aident aujourd'hui dans le processus de traitement. Le système garantit l'exactitude du diagnostic et aide à effectuer la procédure sans nuire au corps du patient.

Il est du devoir de tout médecin en exercice d'augmenter le niveau de connaissances et de compétences. La certification est considérée comme l'un des moyens de formation, qui a ses propres exigences et caractéristiques, en fonction des résultats desquels les spécialistes se voient attribuer la catégorie appropriée. Chacune des catégories de médecins occupe un certain échelon dans la hiérarchie de la sphère médicale.

Objectif et tâches

La participation au processus de certification est volontaire. Au cours du processus, la viabilité personnelle d'un spécialiste, le niveau de ses connaissances, ses compétences pratiques, sa conformité au poste occupé et son professionnalisme sont évalués.

La certification des docteurs pour la catégorie présente un intérêt certain :

  1. C'est prestigieux. Vous permet d'occuper un poste supérieur en vous permet d'attirer l'attention de la direction sur vous-même. Bien souvent, les catégories de médecins sont indiquées sur des panneaux à l'entrée de leur cabinet.
  2. Dans certains cas, la catégorie la plus élevée permet de réduire la responsabilité morale ou physique envers les proches du patient. Par exemple, si une telle personne ne pouvait pas résoudre le problème, il est difficile de penser à ce qui se serait passé si un médecin moins expérimenté avait été à sa place.
  3. côté matériel. Les catégories médicales de médecins et l'élévation des niveaux de la hiérarchie médicale permettent d'augmenter l'augmentation du salaire de base.

Types d'attestations

La législation distingue plusieurs types d'activités de certification :

  • conférer le titre de "spécialiste" après avoir déterminé les compétences théoriques et pratiques ;
  • catégorie de qualification des médecins (récépissé);
  • Confirmation de catégorie.

La détermination du niveau de connaissances pour l'affectation de "spécialiste" est une mesure obligatoire avant la nomination au poste de médecin. Dirigé par des commissions spéciales dans les établissements d'enseignement postuniversitaire. Les candidats suivants sont à considérer :

  • après stage, magistrature, internat, études post-universitaires, s'il n'y a pas de diplôme "médecin spécialiste" ;
  • ceux qui n'ont pas travaillé plus de 3 ans dans une spécialité étroite ;
  • ceux qui n'ont pas réussi la certification en temps opportun pour obtenir les qualifications;
  • les personnes qui se voient refuser la possibilité de bénéficier de la deuxième catégorie pour des raisons objectives.

Chaque médecin a le droit de recevoir une catégorie dans plusieurs spécialités à la fois, si elles sont liées. La principale exigence est une expérience de travail dans la spécialisation requise. La catégorie des médecins généralistes fait exception.

Règles et exigences de base

Distinguer entre la deuxième, la première et la plus haute catégorie de médecins. Lors de la réception, la règle de séquence s'applique, mais il y a des exceptions. Les exigences sont répertoriées dans le tableau.

Catégorie de qualification des médecins Exigences obsolètes Exigences pour les commandes en cours
Seconde5 ans d'expérience pratique ou plusAu moins 3 ans d'expérience pratique dans la spécialité
Remise d'un rapport de travailApparition personnelle, y compris la participation à l'entretien, les tests
PremièreNécessite le niveau de chef de département ou de poste de directionAu moins 7 ans d'expérience pratique dans la spécialité
Dès réception - participation, la confirmation se produit par contumace
Plus hautePoste de manager recherchéPlus de 10 ans d'expérience dans la pratique de la spécialité
Apparence personnelle dans tous les casAssistance personnelle, y compris la participation à l'évaluation du rapport, aux entretiens, aux tests

Périodes de validité

Selon les anciennes ordonnances, certaines circonstances étaient qualifiées d'avantages sociaux et permettaient de prolonger la durée de la qualification actuelle. Celles-ci comprenaient :

  • grossesse et prise en charge d'un enfant de moins de 3 ans;
  • un mois après avoir été licencié en raison de licenciements ;
  • voyage d'affaires;
  • état d'incapacité temporaire.

Les avantages ne sont actuellement pas valables. La commission d'attestation peut décider de prolonger la durée de validité à la demande du médecin-chef de l'établissement médical. Si un médecin refuse de figurer dans la commission, sa catégorie est supprimée de plein droit après un délai de cinq ans à compter de la date d'affectation.

Les documents

Un rapport sur le travail effectué au cours des dernières années, approuvé par le médecin-chef de l'établissement de santé et le service du personnel où travaille la personne certifiée, est également rempli. Des copies des documents sur l'éducation, le livre de travail et l'attribution des qualifications actuelles sont également envoyées à la commission.

Rapport d'attestation

L'introduction comprend des données sur l'identité du médecin et l'institution médicale où il occupe son poste. Les caractéristiques du département, son équipement et la structure de son personnel, les performances du département sous forme de données statistiques sont décrites.

La partie principale est constituée des éléments suivants :

  • caractéristiques du contingent en traitement dans le département ;
  • la possibilité d'effectuer des mesures de diagnostic;
  • effectué un travail médical avec les résultats indiqués pour les maladies de profil;
  • cas mortels au cours des 3 dernières années et leur analyse ;
  • l'introduction d'innovations.

La conclusion du rapport consiste à résumer les résultats, en indiquant les problèmes éventuels et des exemples de leur solution, ainsi que les possibilités d'amélioration. S'il existe des documents publiés, une copie de ceux-ci est jointe. Indiqué et étudié au cours des dernières années.

Points de surclassement

Chaque spécialiste reçoit des points qui sont impliqués dans la prise de décision sur la qualification. Ils sont décernés pour assister à des conférences, y compris des congrès internationaux, donner des conférences à des collègues ou à des infirmières, suivre des cours à distance avec un certificat final et suivre des cours.

Des points supplémentaires sont attribués pour les réalisations suivantes :

  • maison d'édition d'un manuel, manuels, monographies;
  • publication de l'article;
  • obtenir un brevet pour une invention ;
  • présentation lors de symposiums avec rapport;
  • performances dans les institutions et les médias de masse;
  • obtenir un titre;
  • soutenance de thèse ;
  • récompenses par les pouvoirs publics.

Composition de la commission

La commission se compose d'un comité, dont les travaux se déroulent entre les réunions, et d'un groupe d'experts à vocation étroite, qui certifie directement un spécialiste (examen, test). Le comité et le groupe d'experts sont composés de personnes occupant les fonctions suivantes :

  1. Le président, qui dirige les travaux et partage les obligations entre les membres de la commission.
  2. Le vice-président exerce l'intégralité des fonctions du président en son absence.
  3. Le secrétaire s'occupe de l'enregistrement des documents entrants, forme les documents pour le travail de la commission, fixe les décisions.
  4. Le secrétaire adjoint remplace le secrétaire et exerce ses fonctions pendant son absence.

Chaque groupe d'experts comprend des spécialistes de spécialités connexes. Par exemple, la catégorie d'un dentiste et sa réception/confirmation nécessite d'être dans le groupe d'un parodontiste, d'un orthodontiste, d'un pédodontiste, d'un thérapeute.

Ordre de réunion

La certification est nommée au plus tard trois mois à compter de la date de réception des données sur le spécialiste par le comité. Si les données ne correspondent pas aux exigences de ce dernier, un refus d'accepter la documentation est reçu (au plus tard 2 semaines à compter de la date de réception). Le secrétaire du comité convient avec le président du groupe d'experts de la spécialisation requise de la date de l'examen.

Les membres du groupe d'experts examinent la certification pour la catégorie, remplissant un examen pour chacun d'eux, affichant les données suivantes :

  • le niveau de compétences pratiques d'un spécialiste;
  • participation à des projets sociaux liés au domaine médical;
  • disponibilité des documents publiés;
  • autoformation de la personne certifiée;
  • correspondance des connaissances et des compétences avec la catégorie déclarée de médecins.

L'examen doit avoir lieu dans les deux semaines suivant la réception du rapport. Le résultat de l'examen est un indicateur de l'issue possible de la certification. Le secrétaire informe le spécialiste de la date de la rencontre, y compris l'entrevue et les tests. Plus de 70% de bonnes réponses permettent de considérer le test comme réussi. L'entretien se déroule en interrogeant la personne certifiée selon la théorie et la pratique dont la connaissance doit correspondre à la qualification demandée.

La réunion s'accompagne de l'exécution du protocole, qui est signé par les membres du groupe d'experts et le président. La décision finale est notée sur la feuille de qualification. Le spécialiste ne reçoit le droit de repasser l'examen qu'après un an. Dans les 7 jours, la personne certifiée reçoit un document confirmant l'augmentation, la diminution ou le refus d'attribuer une catégorie.

Mesures extrêmes

L'administration de l'établissement médical peut adresser une demande à la commission afin que le médecin soit privé de ses qualifications ou promu plus tôt que prévu. Dans ce cas, des documents sont envoyés pour justifier la décision. La commission examine la question en présence d'un spécialiste. Une absence sans motif valable permet de prendre une décision en son absence.

Manifestation

À compter de la date de la décision, un médecin ou une institution médicale peut faire appel du résultat dans un délai d'un mois. Pour ce faire, il faut émettre une requête précisant les motifs du désaccord et la transmettre à la commission relevant du ministère de la santé.

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