A propos de l'intrigue :
Folk Solyanka est une modification où vous devez garder beaucoup de détails dans votre tête, des informations pour diverses quêtes. Cet article contient des conseils pour les quêtes incluses dans la série de quêtes "Dernier jour et marécage". (Guide : Admin (équipe Spaa))
Guide pas à pas : 1. Nous nous déplaçons vers le marigot, lisons le trafic radio
2. Après que Norman s'occupe des combattants Monolith - nous fouillons les cadavres, nous trouvons une carte de l'un d'eux
3. Nous allons à l'hélicoptère, qui se trouve dans le marais - nous trouvons le militaire, nous lui retirons le document
4. Nous recevons un message du Parfumeur, nous nous rendons à l'endroit indiqué sur la carte. Là on parle avec Robinson, il nous dirige vers la Barbe
5. Nous parlons avec la barbe, apprenons à connaître les habitants. Après la conversation, nous recevons un message sur les bandits capturés, nous allons à une réunion.
6. Après les négociations, nous allons au grenier pour les armes, nous parlons avec Beard - nous recevons la tâche. Après avoir parlé avec Fainting, puis avec Keith. Nous leur donnons des fusils, nous escortons Keith jusqu'à la colline la plus proche, nous reparlons avec lui.
7. Nous revenons, nous parlons avec Fainting, nous allons avec lui chez les gars locaux à Skadovsk
8. À Skadovsk, nous parlons avec grand-père, nous obtenons la tâche, nous parlons avec le barman, nous parlons avec le garde à l'entrée, nous avançons avec lui jusqu'à la péniche
9. Sur la péniche on tue tous les mutants, on trouve les pièces dont on a besoin, on se dit, on va plus loin sur la route tout seul.
Où chercher des composants radio
10. On arrive à Vaseline, on lui parle, on monte en haut de la barge, à l'antenne, après l'échange radio on descend, on reparle avec Vaseline, on prend la tâche suivante
11. Nous allons voir les bandits à la sous-station, tuons tout le monde, ouvrons les portes de l'ascenseur, mais ne sautons pas, sinon nous ne sortirons pas plus tard
12. Nous apportons les composants radio à Keith, parlons à Beard, obtenons un tuyau sur le chasseur de suceurs de sang, allons au village, nettoyons, le chasseur arrive, nous lui parlons.
13. Nous découvrons Sakharova, nous recevons une nouvelle tâche pour trouver l'ami d'un chasseur. Nous suivons la chauve-souris.
14. Sur les grues portuaires, nous trouvons le corps d'un ami du Bloodsucker Hunter, nous lui prenons les documents, nous les apportons au chasseur.
15. Nous obtenons un pourboire sur Sakharov, allons à la sous-station, sautons dans l'ascenseur, allons à la porte fermée, après l'échange radio, elle s'ouvrira
16. Nous passons au fond de la pièce, nous rencontrons des suceurs de sang pacifiques et Sakharov, nous disons, nous obtenons un cahier pour le professeur Sakharov.
17. Nous allons à Yantar, donnons le cahier à Sakharov, retournons à Zaton au bar de Skadovsk
18. Nous recevons la tâche du barman - Suivre le rat. Nous montons plus haut, traquons le rat.
19. Une fois que le Rat est arrivé à destination, nous allons lui parler. Nous obtenons des informations sur la grotte et l'argent qui doit être apporté au barman
20. Nous apportons l'argent au barman, nous obtenons des informations sur les chasseurs et quelques carcasses de rats, nous allons au pin, nous disons, nous obtenons un pourboire sur le chef de l'un des groupes de bandits, nous revenons à grand-père.
21. Grand-père nous donne un sac à dos et un pourboire pour Broadway
22. On trouve Broadway, on lui parle, on lui prend 2 photos, on longe le palier jusqu'à l'usine
23. À l'usine, on se fait frapper à la tête, on se réveille, on parle avec le chasseur de suceurs de sang, on obtient la tâche
24. On tue le fauteur de troubles, on retourne chez le chasseur, on obtient un pourboire sur la cachette.
25. Sur le plateau, nous trouvons une cache avec l'appareil, et près de l'hélicoptère dans la boîte, nous trouvons un cahier, nous emmenons la proie au chasseur suceur de sang. Sur le plateau, il ne sera pas non plus superflu d'aller dans la grotte, ramasser une note du scientifique.
Emplacements d'apparition de la cachette
Option 1
La cache se trouve sur un plateau où se trouve l'un des hélicoptères. Également à l'hélicoptère lui-même se trouve une boîte qui doit être fouillée.
Option 2
Une grotte sous une ferme brûlée, le trou le plus proche de l'émeraude, et tout le temps restez sur le côté gauche, vous la trouverez derrière un caillou.
Option 2
Cave sous la station service. On s'approche du côté du champ anormal, on voit une grotte, on entre, on saute par-dessus la faille, et nous voici à la Cache.
26. Nous donnons au chasseur de suceurs de sang son appareil. Nous allons chercher les militaires sur le marigot
Où chercher un militaire
Dans les cachots sous la ferme brûlée
27. Nous entrons dans la grotte, mais nous y voyons un blocage, nous allons voir Keith, nous obtenons des informations sur la façon dont le blocage peut être démantelé
28. Nous devrons activer une capsule avec de la gelée près du blocage (elle peut être achetée auprès du barman à Skadovsk)
29. Nous parlons avec les militaires, nous obtenons des informations sur le drone, nous quittons la grotte, nous abattons le planeur.
Où est le planeur abattu
30. Nous prenons le module orange, nous l'attribuons à l'armée. Après être allés à Sakharova, nous parlons, nous recevons un pourboire sur Gulden.
31. Nous trouvons Gulden, nous planifions la libération d'Iskra.
32. Nous attendons la libération d'Iskra, nous accompagnons le groupe jusqu'à la grotte où est assis le militaire. Nous parlons avec lui, nous parlons avec Gulden, nous conduisons Iskra au camp des pionniers.
33. A l'arrivée, on parle avec Iskra, on récupère le code de la télécommande dans la MG, on se dirige vers elle.
34. Dans MG, nous trouvons une serrure à combinaison, ouvrez-la, dans la pièce, nous trouvons l'ordinateur portable d'Evil, nous retournons à Zaton à Sakharova.
35. Nous rendons l'ordinateur portable à Sakharova, nous essayons d'activer la télécommande - rien n'en sort. Nous retournons à Elsa, récupérons l'ordinateur portable, allons à Iskra
36. Nous rendons l'ordinateur portable à Spark, marchons pendant 10 minutes, découvrons le nouveau code, allons au panneau de contrôle de la sous-station, l'activons, recevons des SMS d'Evil, allons à une réunion.
PS. Quand j'ai rencontré Bland pour la première fois, je l'ai laissé en vie
37. Après la conversation, on tue le Malin, on reçoit un message de Bland, on va à une réunion avec lui
38. De Bland, nous obtenons des informations sur Lightning et un code de la porte.
39. En chemin on reçoit des SMS de Fang, on le retrouve à la station service, on se dit, on va ensemble à la base du Dernier Jour.
40. Nous sortons toute la base avec des partenaires, descendons au niveau inférieur du laboratoire, tuons Lightning, détruisons l'activateur de portail.
Tous =)
Novotchernobyl.
C'était la quatrième année de la confrontation entre les harceleurs de Novochernobyl et les forces de l'ordre ukrainiennes. La zone de Tchernobyl a été libérée de la protection de l'État et est passée sous le contrôle total des harceleurs. Parmi eux, un référendum a eu lieu, à la suite duquel Novochernobyl a été proclamé, qui comprenait deux républiques indépendantes: la République populaire centrale et la ZNR (Républiques populaires de Stalker central et de Stalker occidental). Les limites du TsZNR ont été étendues au-delà d'Ivankov et de Narodichi.
À la suite de la confrontation, des chaudières Ivankovsky, Dityatsky et Lelevsky ont été formées, dans lesquelles les forces de police ukrainiennes au nombre de 4,5 mille personnes sont digérées.
Conformément à l'art. 1-64 KSNOAN (Code des harceleurs de Novochernobyl sur les violations administratives), toute obstruction à la présence et au mouvement des harceleurs à Novochernobyl et à la pénétration de toute police, sécurité et formations étatiques paramilitaires d'Ukraine sur son territoire est interdite. Pour l'importation de tout article non radioactif à Novochernobyl depuis le territoire ukrainien, un article pénal 562 UKSN (Code pénal des harceleurs de Novochernobyl) a été introduit.
L'arche du NSC est en train d'être démantelée par les ouvriers de Novarka, capturés par les harceleurs. L'Ukraine coupe l'approvisionnement en électricité de Novochernobyl. En réponse à cela, les harceleurs lancent les 1ère et 2ème unités de puissance et reprennent la construction de la deuxième étape de la centrale nucléaire de Tchernobyl. Une redoute ferroviaire a été installée à la gare de Semikhody pour bloquer les trains électriques en provenance du territoire contrôlé par l'Ukraine. La frontière avec la Biélorussie a été prise sous le contrôle de Novochernobyl, la circulation de la hryvnia est interdite, seuls les roubles biélorusses sont en circulation. Stalker a été déclaré langue d'État. Le deuxième état - biélorusse. Des négociations sont en cours avec Alexandre Loukachenko sur l'adhésion de Novochernobyl à la Biélorussie. Paniquée, l'Ukraine se tourne vers La Haye et les tribunaux européens avec des réclamations contre la Biélorussie et demande le soutien politique de la Russie et des États-Unis.
Le couvre-feu dans la zone d'exclusion a été levé, mais des harceleurs sont en service à tous les points de contrôle, effectuant le contrôle d'accès. Des patrouilles régulières de la zone sont effectuées par les forces d'autodéfense des harceleurs et l'identification des personnes qui sont entrées illégalement sur le territoire de Novochernobyl.
Des groupes de saboteurs de la police ukrainiens sont périodiquement arrêtés et liquidés dans la TsNR et la ZNR.
D'après les rapports de Novochernobyl. 13 avril, 8h20.
Un harceleur solitaire prend position dans un appartement de Pripyat et observe attentivement la zone à travers la fenêtre, essayant de ne pas révéler son emplacement. A 10h35, il découvre un groupe de trois patrouilleurs de police qui se frayent tranquillement un chemin dans les cours le long de la rue Lesya Ukrainka envahie par la végétation, tournant tous les 5 mètres. Le harceleur court hors de l'appartement dans la rue devant les patrouilleurs, bloquant leur chemin.
- Bonne journée les gars ! Et que fais-tu ici?
- Oui, nous sommes ... juste en train de marcher.
- Avez-vous entendu parler de l'article 1-64 ?
- Oui, mais nous étions ... en train de marcher, nous voulions juste regarder Pripyat ... Nous ne sommes ni des policiers ni des patrouilleurs ...
Pourquoi en tenue de policier ?
- Oui, nous l'avons acheté sur le marché de Kyiv.
- Prenons les documents. Et étalez tout, des sacs à dos et des poches sur le sol.
Les policiers remettent consciencieusement les documents au harceleur, déballent leurs sacs à dos par terre et vident leurs poches. Stalker vérifie les documents.
- Oh, alors parmi vous se trouve un citoyen de Lvov ! Eh bien, vous avez compris ! Vous devrez appeler le service de sécurité des harceleurs, comme cela se fait toujours lorsqu'un étranger est pris sur le territoire de Novochernobyl. Lviv n'est plus l'Ukraine.
- Et qu'allons-nous faire maintenant pour cela ?
- Ce tribunal de harceleur d'Ivankovo décidera quoi faire de vous. Il n'arrivera probablement rien au résident de Lviv, ils auront une conversation éducative et seront expulsés de Novochernobyl, et les autres seront envoyés au travail obligatoire pour améliorer les conditions des harceleurs. Vous dégagerez le chemin de fer des fourrés de Vilcha à Krasnitsa, ou drainerez les marécages de la Forêt Rouge, peut-être qu'ils enverront l'arc NSC pour être démantelé avec les Français. Pensez-vous que ce sera juste? Nous ne sommes pas venus à vous, mais vous êtes venus à nous !
Les flics ont marmonné à contrecœur, ce qui était juste.
"Oh, ne nous emmenez pas à Vilcha", a plaidé un policier, "L'année dernière, les harceleurs m'ont détenu là-bas, ont emporté la caméra thermique et l'uniforme de la police, après cela, j'ai reçu un gros coup des autorités, j'ai presque eu licencié. D'accord, il y a une caméra thermique, mais pourquoi avez-vous besoin d'un uniforme de police, je ne le saurai jamais ...
- Oui, nous n'avons pas besoin d'uniforme, - répondit le harceleur, - mais ils l'ont pris pour qu'il soit irrespectueux d'aller vers nous. Et en général, nous l'avons déjà, nous l'attrapons à chaque fois, et vous continuez à grimper et à grimper ici, et même avec des étrangers embauchés, - le harceleur était enflammé, - Qu'avez-vous oublié du tout ici? Nous ne venons pas chez vous !
Les patrouilleurs baissèrent silencieusement la tête, réalisant que le reste de la journée ne serait gaspillé qu'à rédiger des protocoles et à en recueillir les preuves. Et devant la cour de harceleur Ivankovsky sans illusion se profilait - sévère, mais juste!
- Ne vont-ils pas nous battre ? demandèrent craintifs les policiers.
- Si vous vous comportez décemment, ils ne le feront pas. Et réjouissez-vous que ce soit moi qui vous ai retardé. S'il y avait des harceleurs de Grezli à ma place, vous vous seriez depuis longtemps emmenés à Pripyat le long de l'avenue Lénine, comme les Français capturés à Novarka l'année dernière. Après eux, toute l'avenue a été lavée avec l'eau du marigot.
Et les Français ?
- Et c'était mal de construire ce hangar à la centrale nucléaire de Tchernobyl. Maintenant, ils travaillent et le démontent gratuitement.
Le harceleur a caché les passeports des policiers dans sa poche et a appelé par téléphone les harceleurs opérationnels de Tchernobyl.
- Emballez vos affaires dans des sacs à dos et allez à l'appartement, vous m'aiderez à insérer des fenêtres à double vitrage, je ne travaillerai pas seul.
- Oui, oui, bien sûr, nous allons aider, - a répondu la police avec joie, - Et après combien de temps viendront-ils nous chercher de Tchernobyl?
- Dans environ sept heures, ils viendront vous chercher, mais ils ne viendront pas. Nous ne conduisons pas autour de Novochernobyl, nous nous promenons juste.
- Vont-ils aussi nous conduire à Tchernobyl à pied ?
- Naturellement. Et regardez, pas de bêtises là-bas! J'ai toujours vos documents, personne ne vous laissera sortir de Novochernobyl sans eux. Si vous essayez de vous enfuir, nous vous attraperons et vous punirons quand même ! Et remettez vos téléphones, tous leurs contacts seront vérifiés par rapport à notre base de données de harceleurs.
Six heures plus tard, avec l'aide de la police, des fenêtres à double vitrage ont été insérées dans l'appartement du harceleur. Tous les quatre s'assirent pour dîner à une table confortable au centre de la pièce. Il n'y avait plus de situation tendue dans la communication entre la police et le harceleur, ils ont commencé à parler de sujets de tous les jours.
- Et d'où venez-vous, harceleurs, fenêtres à double vitrage?
- En Biélorussie, nous achetons.
- Hmm... Et on dit à la télévision que la Biélorussie ne vous aide pas !
- Ils disent aussi à la télévision que les étrangers ne servent pas dans vos rangs de police, - a déclaré le harceleur en faisant un signe de tête au résident de Lviv.
- Il ne sert pas officiellement avec nous, c'est un policier engagé, pour ainsi dire, il est allé défendre l'Ukraine de son plein gré.
"Eh bien, nous n'avons pas non plus de harceleurs officiels de Biélorussie, seulement des embauchés", a ri le harceleur.
- Tse OK zrada et calomnie! les policiers étaient indignés.
- Zrada, pas zrada, mais officiellement il n'y a pas de Biélorusses à Novochernobyl, point final ! Avez-vous encore sous les yeux des harceleurs crucifiés sur la place devant le tribunal d'Ivankov ? pourquoi es-tu silencieux? Est-ce devenu gênant ?
La conversation a échoué et pendant les 15 minutes suivantes, tout le monde a dîné en silence. On a frappé à l'appartement et le harceleur est allé ouvrir la porte. De loin, la voix sonore de quelqu'un d'autre a sonné une salutation: "Gloire à Novochernobyl!" la réponse ne s'est pas fait attendre : "Gloire aux harceleurs !".
- Fat aux harceleurs, - l'un des policiers ukrainiens a imité calmement et caustiquement.
"Ils sont venus nous chercher de Tchernobyl", a déclaré le résident de Lvov.
Deux nouveaux harceleurs sont entrés dans la pièce et se sont dirigés vers les policiers.
- Alors, alors, soooo, nous avons de chers invités, - dit l'un des harceleurs avec joie, - Secouez vos sacs à dos et videz vos poches!
- Mais nous avons déjà été fouillés !
- Eh bien, rien, cherchez à nouveau.
À contrecœur, les policiers ont recommencé à déballer leurs sacs à dos, traînant leur contenu sur le sol. Le deuxième des harceleurs qui est arrivé, déplaçant pensivement quelques-unes de leurs affaires avec son pied, a soudainement aboyé d'une voix rageuse :
- Les deux premières lignes de l'hymne Novochernobyl ! Vite!
Les policiers frissonnèrent et se crispèrent indistinctement :
- Shcheee est mort en Ukraine et gloire et vooolya, Shche nous sommes des frères harceleurs du roood de Tchernobyl ...
- Et maintenant, ils se sont levés et ont commencé à sauter avec les mots "Qui ne saute pas - il gèlera!".
- C'est trop! Arrêtez de vous moquer d'eux ! - a déclaré le tout premier harceleur qui a détenu les policiers, - Nous ne sommes pas une sorte de monstres, nous n'agirons pas selon leurs méthodes, d'autant plus qu'une telle torture est interdite par la Convention de Genève sur le traitement des prisonniers. Emmenez-les simplement et emmenez-les à Tchernobyl, laissez-les s'occuper d'eux plus loin comme ils le souhaitent. Et j'ai encore besoin de conduire l'électricité jusqu'à la maison depuis la centrale nucléaire de Tchernobyl, j'en ai déjà assez de cuisiner sur le bûcher, - avec ces mots, le harceleur a remis les passeports de la police à ses collègues.
Le chemin vers Tchernobyl a d'abord traversé la forêt rouge. Tout le monde marchait en silence, maudissant cette zone marécageuse pour eux-mêmes. "Rien, le chaudron d'Ivankovsky va bientôt nous céder, nous les forcerons immédiatement à assécher ces marécages", pensaient les harceleurs. "Rien, bientôt Poutine viendra - mettez les choses en ordre, nous forcerons immédiatement ces harceleurs à s'asseoir à nouveau dans ce marais", a rêvé la police. Le crépuscule est tombé sur Novochernobyl, il y avait un long chemin à parcourir jusqu'à Tchernobyl. À Pripyat, des lumières électriques se sont allumées dans de nombreux appartements.
Bien après minuit, des voyageurs fatigués ont atteint l'ancien département de police de Tchernobyl, où se trouvait le département des harceleurs, et ont remis la police aux mains d'agents de sécurité, où ils ont été accueillis, bien que pacifiquement, mais sans enthousiasme :
- Le contenu des sacs à dos et des poches par terre !
- Mais nous sommes déjà... Oh, d'accord.
L'interrogatoire s'est poursuivi jusqu'au matin.
- Comment sont-ils entrés sur le territoire de Novochernobyl?
- À travers la ligne de démarcation près de Katyuzhanka, puis Ivankov et Oranoe ont contourné la forêt, après le chaudron Dityatsky, et directement à Pripyat.
- Comment l'ont-ils forcé ?
- Au début, ils voulaient traverser le pont la nuit, mais derrière le pont, ils ont vu des harceleurs en embuscade et nous avons dû traverser à la nage déjà deux kilomètres de Cherevach.
Avez-vous des objets interdits avec vous ? Je vous suggère de le soumettre dès maintenant.
Les mains tremblantes, le résident de Lvov a sorti un petit livre "La Constitution de l'Ukraine" de sa poitrine. Les autres policiers se couvraient le visage de leurs mains, maudissant tranquillement le citoyen de Lvov:
- Eh bien, pourquoi diable l'as-tu emporté avec toi ? Vous ne pouvez pas partir dans votre pays ? Maintenant, vous serez obligé de le manger!
Le harceleur qui interrogeait la police est devenu sombre et silencieux. Après un moment de silence, il dit entre ses dents :
- Dans quel but sont-ils entrés sur le territoire de Novochernobyl ?
- Les autorités nous ont envoyés en reconnaissance, nous ne voulions pas y aller, mais chacun de nous a une famille, des enfants, ils ont besoin d'être nourris avec quelque chose ...
- Et nous n'avons pas de familles et d'enfants ? - l'interrogateur l'interrompit avec colère, - Nous avons organisé un référendum, créé des républiques indépendantes ici et défendu notre territoire contre des gens comme vous ! C'est vous qui montez vers nous, pas nous vers vous !
- Ce référendum était illégal, pas un seul pays, à l'exception de la Biélorussie et de quelques républiques bananières, reconnaît votre Novochernobyl ! - lui-même surpris de son courage, rétorqua le policier ukrainien, - Et la Russie est à nous ! Poutine viens - mets les choses en ordre!
Tout le département d'autodéfense des harceleurs rit à l'unisson.
- Dans la matinée, vous serez conduit au tribunal Ivankovsky Stalker, où une décision sera prise sur votre sort futur. Ensuite, vous reviendrez avec vos accompagnateurs aux travaux obligatoires au profit de Novochernobyl.
- Vont-ils vous emmener? Encore à pied ? - les policiers étaient consternés.
- Bien sûr à pied ! Nous ne faisons que marcher. Vous avez atteint Pripyat à pied, alors habituez-vous à marcher, c'est bon pour la santé. De plus, vous irez le long de la route, et non à travers les forêts et les champs. En 11 heures, vous arriverez à un rythme rapide avec de courtes pauses pour vous reposer. Il est maintenant temps de partir, sinon vous n'aurez pas le temps...
C'était la quatrième année de la confrontation entre les harceleurs de Novochernobyl et les forces de l'ordre ukrainiennes.
Remarques.
Art. 1-64 KSnoAN du 09.10.2023 n° X-3708
Violation des exigences du régime de sécurité pour les harceleurs dans une zone de contamination radioactive spécialement définie, qui se traduit par la pénétration des forces de l'ordre ukrainiennes dans cette zone sans l'autorisation officielle de la communauté des harceleurs, ou des patrouilles non autorisées dans celle-ci, ou entraver la présence et le déplacement des harceleurs dans celui-ci, -
entraîne une peine sous forme de travaux obligatoires au profit de Novochernobyl de 360 à 840 heures avec confiscation des instruments de commission de l'infraction.
Art. 562 UKSN du 10/09/2023 n° X-3709
L'importation sur le territoire de Novochernobyl de tout article non radioactif, de produits alimentaires et d'animaux - entraîne une responsabilité pénale sous forme d'emprisonnement avec travail obligatoire au profit de Novochernobyl pour une période de deux à cinq ans.
Les mêmes actions, si elles ont causé un préjudice aux citoyens de Novochernobyl ou d'autres conséquences graves, sont passibles d'une peine d'emprisonnement de cinq à dix ans.
De vastes étendues de territoires aliénés, qui ont été isolés de l'activité humaine omniprésente et destructrice pendant environ un quart de siècle, se sont transformés en un monde unique et à bien des égards attrayant.
Zone d'exclusion de Tchernobyl se transforme progressivement en l'un des complexes naturels les plus intéressants d'Ukraine et devient progressivement une attraction touristique de premier plan dans notre pays. L'intérêt du public pour les territoires aliénés est renforcé par l'abondance de ressources de haute qualité sur la ville sur Internet et la sortie d'un certain nombre de jeux informatiques à succès avec un scénario bien visualisé, où le monde fictif et le monde de la zone réelle sont harmonieusement combinés. Un regain d'intérêt pour la zone d'exclusion réelle de la centrale nucléaire de Tchernobyl est également promu par la maison d'édition EKSMO. En outre, un assouplissement significatif du régime de contrôle d'accès contribue également à la formation de l'intérêt du profane moyen dans la zone de Tchernobyl.
Dans le même temps, la croissance du thème de Tchernobyl dans l'espace d'information qui nous entoure et son passage à la catégorie des mascults, l'intérêt pour la zone d'exclusion parmi les personnes fatiguées de la routine dégoûtée et aspirant à une solitude temporaire augmente. Certains, ayant une expérience de bivouac, trouvent du réconfort en pénétrant le territoire de la zone de Tchernobyl. Une autre raison de la croissance des harceleurs dans la zone d'exclusion de Tchernobyl est le désir des jeunes de se sentir comme un "vrai harceleur" - de courir dans la zone non pas sur un écran d'ordinateur, mais en direct.
C'est la vague de rapports sur la pénétration dans la zone d'exclusion de Tchernobyl, dont Internet s'est récemment saturé, qui a attiré l'attention sur un phénomène tel que les harceleurs.
Il est devenu intéressant d'analyser à la fois les rapports déjà publiés sur Internet et de communiquer (si possible) directement avec les auteurs des documents publiés. Pour la plupart, mes appels aux auteurs de rapports sur les pénétrations dans la zone d'exclusion ont été ignorés, mais quelques personnes ont néanmoins accepté d'approfondir légèrement leurs connaissances sur la vie des harceleurs.
La littérature moderne contribue également à une vulgarisation significative du sujet de la zone de Tchernobyl. Un éditeur commercialise avec succès une série d'histoires fantastiques appelée S.T.A.L.K.E.R. À bien des égards, semblable aux réalités de la zone d'exclusion de Tchernobyl.
Harceleur en chef de Tchernobyl
Premier harceleur
Étonnamment, la phrase placée dans l'épigraphe du texte a été exprimée par un colonel de police, un homme qui gardait la zone d'exclusion de Tchernobyl depuis de nombreuses années - Alexander Naumov. Cet ancien ouvrier de Tchernobyl, souvent qualifié par les journalistes de « harceleur », est un sujet fréquent de couverture médiatique de la zone de Tchernobyl. Naumov a sa propre vision, à bien des égards unique, de la forme de visite de la zone.
En fait, pour le bien de cette phrase, il valait la peine de mentionner cette personne, bien que ceux qui ne sont pas trop paresseux et "filtrent" Internet trouveront beaucoup de choses intéressantes sur cette personne et son attitude envers le tourisme et d'autres activités dans l'exclusion zone.
Malgré le fait que l'ancien employé du ministère de l'Intérieur ne se félicite pas lorsqu'il est identifié au concept de "harceleur" - le journal "Vestnik Stalker" avec le slogan significatif "Votre guide dans la zone" (créé par des fans de le jeu du même nom), contient le matériel de l'auteur par A. "Colonel" Naumov sur les événements liés à la zone d'exclusion, la liquidation de l'accident, etc.
Stalker - qu'y a-t-il dans ce mot
Le concept de harceleur a été introduit par les écrivains de science-fiction soviétiques, les frères Strugatsky, dans l'histoire Roadside Picnic. Là, c'était un métier de criminel : « C'est ce qu'on appelle chez Harmont des gars désespérés qui, à leurs risques et périls, pénètrent dans la Zone et en font sortir tout ce qu'ils peuvent trouver. La pénétration était assez pragmatique - pour voler un artefact ("swag") de la zone et le vendre pour de l'argent. Certes, cette occupation a beaucoup influencé une personne - chaque campagne est un séjour dans une situation limite, où chaque action signifie un choix entre la vie et la mort, où il y a toujours une place pour des dilemmes moraux complexes, où l'intuition est plus importante que la raison.
À l'avenir, l'image du harceleur a été popularisée et remplie de nouveaux contenus grâce au film du même nom de Tarkovsky. Ici, le harceleur est déjà un pragmatique dans une moindre mesure, et plutôt un homme de la Zone. Il comprend et accepte la zone - "il a rendez-vous avec la zone" dit le professeur lorsque le Stalker se retire pour être seul. Et tous les problèmes qu'il en a sont rachetés non par l'argent, mais en restant sur ce territoire, où un autre n'aurait pas vécu même cinq minutes, où il y a beaucoup de miracles qui vont au-delà de l'expérience humaine. Un voyage dans la zone est une épreuve de soi, une recherche de valeurs intérieures. Notez que tout cela se passait en 1972 et 1979. respectivement.
L'image d'un harceleur a dépassé les limites des œuvres d'art, et ce n'est pas surprenant. L'homme a toujours eu des zones d'inconnu, et cela a donné naissance à tout un système de concepts et d'images liés: «frontière et pays frontalier» comme bord du monde habité et compréhensible, «gardien» - celui qui protège ce monde d'un autre , scout / guide / contacté - celui qui est familier avec un autre monde. Ces derniers incluent Charon, les chamans, etc. Le problème est que «l'inconnu» au XXe siècle a beaucoup diminué - il n'y avait plus de points blancs géographiques, les objets non matériels ont capitulé devant la science - par conséquent, les guides n'étaient plus nécessaires là-bas. Cependant, après avoir traité de la mythologie traditionnelle, la civilisation industrielle a commencé à construire la sienne. Et elle a été la première à annoncer une nouvelle fin du monde - une guerre totale à l'échelle planétaire avec l'utilisation d'armes de destruction massive. Les manuels de protection civile décrivaient de manière colorée cette réalité - les zones de destruction et les zones de contamination (radioactive, chimique, biologique). Des ruines et des endroits où il n'y a pas de place pour les gens, mais où il y a danger. Encore une fois, il y avait des limites et des guides vers l'inconnu.
Le chef d'orchestre de l'ère industrielle dans la conscience de masse a commencé à être appelé un harceleur.
Les harceleurs de la zone de Tchernobyl
Il convient de noter tout de suite qu'il existe plusieurs différences fondamentales entre les personnes entrant dans la zone d'exclusion. Il existe une distinction assez claire entre les harceleurs de Tchernobyl en deux camps - deux catégories. Les différences entre les catégories sont frappantes - cela se voit à la fois dans la qualité des rapports préparés, l'argot utilisé, les photographies, et aussi l'apparence des harceleurs.
Le premier, je les appellerais ainsi - les joueurs curieux.
La seconde est idéologique.
Concernant ces deux catégories de harceleurs, on peut dire ce qui suit :
Les premiers sont des jeunes qui ont reçu des connaissances "de base" sur la zone d'exclusion grâce aux jeux informatiques, puis à Internet. C'est le jeu et le désir d'aiguiser la perception sensorielle des intrigues de jeu qui est à l'origine de la pénétration dans la zone d'exclusion. En règle générale, l'âge moyen des harceleurs de cette catégorie est d'environ 20 ans, mais pas plus de 22-24 ans. La plupart de ces personnes ne font qu'une ou deux pénétrations dans la zone et calment leurs ambitions là-dessus.
La grande majorité des joueurs ne franchissent même pas les frontières de la zone d'exclusion de Tchernobyl. Ils ont suffisamment de vues sur les bâtiments abandonnés de la zone d'évacuation obligatoire (districts de Narodichi, Polessky et Vilchi), et les photographies et vidéos qui en résultent ne semblent pas moins apocalyptiques que des photographies de trente et des dizaines (zone d'exclusion de 10 km).
En effet, ces territoires n'ont pas de périmètre de sécurité et il est relativement facile d'y organiser une visite - mais pas "en toute sécurité". Ainsi, en 2008, quatre harceleurs ont été arrêtés par les gardes de la zone d'exclusion. Les détenus ont été jugés.
Début 2009, un harceleur a également été arrêté.
La seconde caste est idéologique. Une catégorie assez unique de frères harceleurs. Les représentants de cette catégorie pénètrent dans la zone des trente kilomètres et entrent occasionnellement dans le top dix. Les idéologiques effectuent de longues visites dans la zone, qui durent généralement plusieurs jours et, dans certains cas, atteignent une semaine.
Photo - visiteurs de la zone
Il est clair que la pénétration dans les profondeurs de la zone nécessite les compétences d'un seul voyage et une certaine préparation. Vivre, même pour quelques jours, en mode complètement déconnecté n'est pas aussi simple qu'il n'y paraît. Par exemple, pour un voyage de deux jours, vous n'avez besoin que d'une seule eau d'au moins 4-5 litres ...
De plus, être dans la zone d'exclusion dans le statut d'intrus devrait causer (et cause) un certain malaise moral. Volontairement est dans de telles conditions "inconfortables" ne peut pas tout le monde.
Qu'est-ce qui motive les « idéologiques » et quels sont leurs objectifs pour visiter la zone ? L'un des harceleurs a donné la réponse la plus significative à cette question:
«... Il est difficile de décrire avec des mots tous les sentiments qui me remplissent lors de ma visite dans la zone, et parfois je crains sérieusement qu'il y ait des indices d'une sorte de diagnostic là-dedans. Espérons que ce n'est pas significatif. C'est juste que c'est l'endroit le plus unique de toute la planète, un immense territoire d'où tout le monde est parti instantanément. C'est très intéressant de visiter tous ces villages et villes, mais d'un autre côté tout semble sinistrement vide… Mais le principal c'est que je m'y sens vivant. Là, je suis une personne qui ne dépend que de lui-même, c'est peut-être la principale raison de la popularité de la zone parmi tous ceux qui s'y rendent illégalement, seuls ou en petits groupes. Je ne sais pas exactement ce que visent le reste des gens, ceux qui brûlent les maisons, mettent le bazar dans les maisons encore intactes... ma règle numéro 1 est de ne rien changer dans la zone, pas de déchets et de souvenirs comme un souvenir.... ”
Photo de harceleur de la ville de Pripyat
Photo de la zone de Tchernobyl et de la ville de Pripyat - "Zone à travers les yeux d'un harceleur".
(Photo de chauve-souris)
La dernière différence entre ces catégories de harceleurs est le nombre. Il est difficile de trouver des chiffres fiables, mais selon les signes indirects de harceleurs "idéologiques", il n'y en a pas plus de deux douzaines. Le nombre de "joueurs" est d'un ordre de grandeur supérieur à celui des "idéologiques".
Il convient de mentionner le troisième groupe de personnes visitant la zone d'exclusion, des personnes immensément éloignées des jeux informatiques et de la souffrance mentale de l'ère urbaine. Des personnes pour qui la pénétration de la zone d'exclusion est un événement courant dans leur vie quotidienne. Il s'agit de la population des villages et villages proches des territoires aliénés. Il est difficile d'imaginer qu'à notre époque de misère, alors que l'État est en train de commettre un génocide du village et que la population rurale est majoritairement mendiante, les gens ne l'utiliseraient pas comme source gratuite de matériaux de construction, de métal et d'autres choses qui pourraient donner au moins un revenu.
Par conséquent, les harceleurs autochtones n'ont pas été pris en compte par nous dans ce document. Bien qu'il convient de noter que leur vie nécessite une attention publique complète.
Tenue de harceleur
L'équipement est un élément important d'un harceleur. Il existe des différences dans l'équipement et l'équipement des groupes de harceleurs. Les "joueurs" utilisent majoritairement des vêtements pour randonner en forêt, et parfois de simples tenues de sport. Les fonds (dans la plupart) n'utilisent pas. Bien que parfois, par courage, ils emportent des masques à gaz avec eux pour prendre une photo spectaculaire sur fond d'une sorte de panneau de sécurité radiologique ou d'une ferme délabrée.
Carte des harceleurs de la zone d'exclusion
Presque tous les harceleurs « idéologiques » savent bien où ils vont. Ils sont bien préparés théoriquement et possèdent des compétences pratiques en radioprotection. Tous les répondants utilisent des dosimètres (très souvent ils emportent même plusieurs appareils en randonnée) et des équipements de protection respiratoire. Il est assez courant d'utiliser des brûleurs à gaz et à alcool pour cuisiner. Le régime lui-même semble réfléchi et se compose généralement d'aliments en conserve.
Détail curieux. "Idéologiques" ne laissent pas derrière eux des ordures. Les boîtes de conserve, les emballages, etc. sont emportés avec vous.
Dans les pénétrations de groupe, les talkies-walkies sont souvent utilisés.
Certains utilisent des moyens de protection physique - le ballon "Strike".
"Idéologique" à coup sûr avoir une trousse de premiers soins. Voici une petite liste de la trousse de secours du harceleur "Un bandage élastique (on comprend pourquoi, il y a un risque d'entorses et de luxations, on peut même tomber sous le sol dans de nombreuses maisons), un pansement stérile, du peroxyde, de l'iode, des analgésiques (ketanov - le plus efficace, mais assez agressif)."
La voie de pénétration du harceleur dans la zone réglementée
Les harceleurs hésitent à parler des lieux de pénétration dans la zone. On a l'impression que chacun des "joueurs" croit que son parcours est en quelque sorte unique. Les harceleurs "idéologiques" gardent les "trous" secrets en raison de la popularité croissante des pénétrations dans la zone de Tchernobyl. Ils sont également silencieux sur les "trous" dans le périmètre de sécurité de la ville de Pripyat. Il semble que chacun ait sa propre route "secrète".
En même temps, pour ceux qui connaissent la zone d'exclusion, il est assez facile de déterminer les lieux probables de pénétration à partir de photographies postées en abondance sur le net.
Nous ne publierons pas de cartes détaillées des itinéraires des harceleurs dans la zone d'exclusion de Tchernobyl. Vous trouverez ci-dessous une carte schématique des zones de pénétration des différentes catégories de harceleurs, établie sur la base des résultats de l'analyse des rapports et des photographies.
Vous trouverez ci-dessous plusieurs cartes schématiques compilées par des harceleurs de joueurs. Publié avec la permission des auteurs de la carte.
Carte des harceleurs de la zone d'exclusion
Carte de harceleur
Stalker - comme moyen de protéger la zone
La connaissance de la correspondance avec les harceleurs, qui a eu lieu lors de l'analyse de leurs rapports, conduit à plusieurs pensées contradictoires. Le premier problème qui se pose à la surface est la nécessité de renforcer les mesures de sécurité, de renforcer le contrôle et la punition. Avec un degré élevé de certitude, nous pouvons dire que cette approche ne résoudra probablement pas le problème. Étant donné que les harceleurs expérimentés ont déjà établi des contacts avec les habitants (indigènes) et connaissent tous les modes de patrouille du périmètre de la zone de Tchernobyl. Le resserrement des contrôles est susceptible d'être temporaire, mais à mesure que la crise financière progresse, il est probable qu'il n'y aura aucun impact.
La deuxième approche est la possibilité d'impliquer les harceleurs dans le travail de protection et d'entretien de la zone d'exclusion de Tchernobyl. Légalisation. L'approche n'est pas sans défauts - mais avec une approche réfléchie, les jeunes pourraient, sur une base volontaire, se connecter au travail des forestiers et d'autres services importants de la zone d'exclusion, qui, par la nature de leurs activités, sont associés à la soin et contrôle de l'état de 2600 kilomètres carrés de la zone de catastrophe écologique.
Il est important qu'une telle approche, qui permet aux jeunes de participer au processus scientifique et de production des entreprises de la zone d'exclusion de Tchernobyl, ait également un puissant caractère éducatif et éducatif.
D'accord, aujourd'hui c'est très important pour notre société dégradante.
Les auteurs n'approuvent pas la pénétration des harceleurs dans la zone d'exclusion, car ces actions sont non seulement illégales, mais dangereuses pour les harceleurs eux-mêmes. Pour que les informations soient complètes lors de la prise de décision sur la pénétration, nous avons compilé une évaluation des dangers lors de la visite illégale de la zone. Lors de la construction de la cote, les auteurs ont utilisé plus de 10 ans d'expérience personnelle de travail sur le terrain dans la zone et l'expérience de collègues, des informations sur les incidents et les accidents. Les types de dangers sont classés en fonction de la probabilité croissante de leur mise en œuvre.
1. Animaux sauvages. Sur le territoire de la zone, il existe trois types de grands prédateurs qui peuvent potentiellement attaquer une personne - un lynx, un loup et, éventuellement, un ours. Concernant cette dernière espèce, il n'y a aucun signe fiable de sa présence, mais c'est plutôt un défaut des chercheurs, car elle existe dans la partie biélorusse de la zone. En plus de la menace d'attaque, les prédateurs peuvent être une source d'infection par la rage. Animaux venimeux - vipère commune et frelons. La vipère est assez nombreuse - cela est dû à l'abondance de ses habitats : marécages et forêts humides. Les frelons construisent des nids dans des espaces clos - creux, vides, pièces abandonnées. Malgré sa taille, c'est une créature plutôt dangereuse - l'un des auteurs a été témoin de la façon dont un frelon a "handicapé" un homme adulte pendant 4 heures, en 2008 un électricien est mort d'une morsure de frelon.
2. Sources de rayonnement. Le classement de la zone à 5 km, 10 km et 30 km selon le degré de danger et la charge de dose est tout à fait adéquat, mais donne plutôt une image générale. Vous n'êtes pas à l'abri de prendre une dose même dans les endroits les plus "propres". La raison en est peut-être des sources artificielles - une partie de l'équipement qui a participé à la liquidation, une pièce "sale" dans laquelle, en 1986, les liquidateurs gardaient des choses "sales".
3. Organismes chargés de l'application de la loi. Le service des organes de l'intérieur de la zone ne se limite pas à la protection du périmètre et des objets. Par conséquent, résoudre le problème du "contournement du point de contrôle" ne résout pas les problèmes. En plus de la sécurité, il existe des unités opérationnelles, attraper les visiteurs illégaux est leur travail. Pour un tel travail - raids et balayages - des unités "non locales" du profil de sécurité (forces spéciales et groupes d'intervention rapide) sont impliquées. Et si vous vous allumez, la chasse commencera. D'ailleurs, il s'allume très facilement. La zone semble seulement sans vie, en fait, "l'œil" suffit, et il est très facile pour une personne expérimentée de calculer le "non-natif" à la suite du séjour. Il n'y a qu'un seul résultat - une étape vers le tribunal de district d'Ivankovsky par l'intermédiaire du département du ministère de l'Intérieur à Tchernobyl. Outre la police, les services suivants peuvent chasser un harceleur - troupes frontalières, gardes forestiers, groupes opérationnels du VOKhR.
4. Canaille illégale. Il y en a assez dans la Zone - des chasseurs de métaux et de matériaux de construction, des cueilleurs de champignons, des braconniers. On ne peut pas être misanthrope, mais cette catégorie de personnes est telle qu'il vaut mieux relire Arseniev : « Dans la taïga du Territoire d'Oussouri, il faut toujours compter sur la possibilité de rencontrer des animaux sauvages. Mais la chose la plus désagréable est de rencontrer une personne. La bête fuit un homme en fuyant, mais s'il se précipite, alors seulement lorsqu'il est poursuivi. Dans de tels cas, le chasseur et la bête - tout le monde sait quoi faire. Une autre chose est une personne. Dans la taïga, Dieu est le seul témoin, et donc la coutume a développé une compétence particulière. Une personne qui voit une autre personne doit d'abord se cacher et préparer un fusil. Ceux-ci peuvent vous livrer à la police ou vous priver de vos biens, de votre santé et de votre vie. La dernière option n'est pas très rare. Comme l'a expliqué un policier, "les braconniers ne sont pas aimés ici, non pas parce qu'ils exterminent les animaux, mais parce que tout tronc importé trouve souvent des cibles parmi les gens" (la négligence ou le meurtre n'est pas important).
5. Non-résident. Le territoire lui-même, sans tenir compte du facteur de rayonnement, est semé d'embûches. Les plus typiques sont les différents types de pénétration dans le sol : puits, puisards, sous-sols, etc. Depuis 20 ans, tout a tellement grandi qu’on ne le voit pas tout de suite. Un autre problème est celui des pièges, des boucles et des pièges - des outils de braconniers et d'auto-colons. L'abondance de marécages suggère la présence de tourbières. Vous pouvez énumérer et énumérer, mais tous ces dangers sont familiers à un touriste plus ou moins expérimenté. Cependant, c'est le plus gros problème. Si quelque chose se passe, alors un premier miel qualifié. l'aide ne peut être fournie que dans l'unité médicale spéciale de la ville de Tchernobyl ou à la centrale nucléaire de Tchernobyl, et cela peut être très loin ...
PS ISSUE DE SECOURS. Les arguments ci-dessus ne vous ont pas convaincu et vous allez visiter la zone. Nous ne conseillerons qu'une chose - élaborer la carte avant la pénétration, tracer un itinéraire, marquer par vous-même les points de "sortie de secours". Les points de "sortie de secours" sont des endroits où vous pouvez entrer en contact avec le personnel de la zone d'exclusion et obtenir de l'aide dans une situation où vous n'êtes pas complotiste. Points de "sortie de secours": 1. Centres de la Zone - Tchernobyl, ville. Poleskoe et Tchernobyl, Vilcha ; 2. Bases de services et entreprises avec séjour 24 heures sur 24 du personnel - bases de forestiers (Paryshev, Opachichi, Loubianka), points de contrôle (Lelev, Paryshev, Pripyat, Benevka), gare de Yanov. 3. Villages avec des colons autonomes - Teremtsy, Ladyzhichi, Paryshev, Ilintsy, Dibrova, Loubianka, Opachichi, Kupovatoe. 4. Casernes de pompiers des forestiers - tours (Korogod et Cherevach).
Sources photos -
Chauve souris
http://forum.anastasia.ru/
http://brutal-maniac.livejournal.com/
« Pendant que vous décidez quelles méthodes seront les plus utiles, les gens grimperont. Et ce n'est pas à vous de décider, mes chers autocollants ricaneurs, qui doit y aller. Je pense que ce sont d'abord les problèmes individuels de tous ceux qui vont dans la zone. Le fait que vous ayez du butin et des connexions ne signifie pas que tout le monde est un "utilisateur", qui est obligé de frapper. De plus, notre cher pays va, en plus, déshabiller le peuple à travers des excursions…»
Harceleur idéologique
“... Je lis votre site depuis longtemps, mais cet article était particulièrement touchant. Très bien écrit, personne ne l'a fait avant vous. Pour être honnête, je ne m'attendais pas à ce que la proposition de légalisation des harceleurs provienne de sources "officielles"..."
Chargement...