Ce qui est apparu chez les annélides. Annélides : caractéristiques générales du type. Système d'alimentation des vers

Type Annélides (Annelida)

Faisons connaissance avec un groupe d'animaux très intéressant, dont la structure et le comportement n'ont même pas laissé Charles Darwin indifférent. Il a consacré beaucoup de temps à l'étude des annélides et a écrit plusieurs articles scientifiques à leur sujet.

Parmi les vers, ce sont les annélides qui sont considérés comme le groupe le plus progressif. Cette conclusion est faite principalement sur la base de la structure des animaux.

Type Annélides comprend les animaux deutérés, dont le corps est constitué de segments répétitifs ou d'anneaux. Les annélides ont système circulatoire fermé .

Cavité corporelle secondaire , ou en général (du grec. koïlome- "approfondissement", "cavité"), se développe dans l'embryon à partir de la couche mésodermique. C'est l'espace entre la paroi du corps et les organes internes. Contrairement à la cavité corporelle primaire, la cavité secondaire est tapissée de son propre épithélium interne. La cavité secondaire du corps est remplie de liquide, ce qui crée une constance de l'environnement interne du corps. Ce fluide est impliqué dans le métabolisme et assure l'activité des systèmes digestif, circulatoire, excréteur et autres organes.

Les annélides ont une structure corporelle segmentée, c'est-à-dire que leur corps est divisé en segments successifs -segments , ou anneaux (d'où le nom - annélides). Les individus d'espèces différentes peuvent avoir plusieurs ou des centaines de ces segments. La cavité corporelle est divisée en segments par des cloisons transversales.

Chaque segment est dans une certaine mesure un compartiment indépendant, car il contient des nœuds du système nerveux, des organes excréteurs ( néphridies appariées) et les glandes sexuelles. Chaque segment peut avoir des excroissances latérales avec des membres primitifs - des parapodes armés de soies.

La cavité secondaire du corps, ou l'ensemble, est remplie de fluide dont la pression maintient la forme du corps du ver et sert de support pendant le mouvement, c'est-à-dire qu'elle sert dans son ensemblehydrosquelette . Le liquide cœlomique transporte des nutriments, accumule et élimine les substances nocives pour le corps, ainsi que les produits de reproduction.

La musculature est constituée de plusieurs couches de muscles longitudinaux et circulaires. La respiration se fait par la peau. Le système nerveux est constitué du "cerveau", formé de ganglions appariés, et de la chaîne nerveuse ventrale.

Le système circulatoire fermé comprend les vaisseaux abdominaux et dorsaux reliés dans chaque segment par de petits vaisseaux annulaires. Plusieurs des vaisseaux les plus épais de la partie antérieure du corps ont des parois musculaires épaisses et agissent comme des "cœurs". Dans chaque segment, les vaisseaux sanguins se ramifient, formant un réseau capillaire dense.

Certains annélides sont hermaphrodites, tandis que d'autres ont des mâles et des femelles différents. Le développement est direct ou avec métamorphose. La reproduction asexuée (bourgeonnement) se produit également.

Leurs tailles vont de quelques millimètres à 3 m.Au total, il existe 7 000 espèces d'annélides.

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Vers annelés - progressif un groupe de vers. Leur corps est composé de nombreux segments annulaires. Par La cavité du corps est divisé par interne clôtures selon le nombre segments. Les vers annelés ont divers systèmes d'organes. Ils ont le système circulatoire apparaît organes de mouvement appariés - le prototype des futurs membres .

Les principaux traits caractéristiques des annélides sont :

Cavité corporelle secondaire ou coelomique;

L'apparition des systèmes circulatoire et respiratoire;

Système excréteur sous forme de métanéphridie.

une brève description de

Habitat

Animaux marins et d'eau douce, terrestres et souterrains

morphologie du corps

Le corps est une structure métamérique allongée, semblable à un ver. Symétrie bilatérale. Trois couches. Les polychètes ont des parapodes

téguments du corps

Cuticule. Chaque segment a 8 soies ou plus pour la locomotion. Il existe de nombreuses glandes dans la peau. Dans le sac cutanéo-musculaire, les muscles longitudinaux et transversaux

cavité corporelle

La cavité secondaire du corps - dans son ensemble, est remplie d'un liquide qui agit comme un hydrosquelette

Système digestif

Bouche, pharynx, œsophage, goitre, estomac, intestins, anus

Système respiratoire

Respirer avec toute la surface du corps. Les polychètes ont des branchies externes.

Système circulatoire

fermé. Un cercle de circulation sanguine. Il n'y a pas de cœur. rouge sang

excréteursystème

Une paire de tubules dans chaque métamère - métanéphridie

Système nerveux

Anneau nerveux péripharyngé, cordon nerveux abdominal de type échelle

organes sensoriels

Cellules tactiles et photosensibles, les polychètes ont des yeux

Système reproducteur et développement

Hermaphrodites. Fertilisation croisée. Développement sans métamorphose. La fécondation est interne. Polychète dioïque, fécondation externe, développement avec métamorphose

Les principales classes du type sont les petites soies, les polychètes et les sangsues.

A. G. Lebedev "Préparation à l'examen de biologie"

Aromorphoses de base :

1. L'apparition d'une cavité secondaire du corps-coelome.

2. Structure métomérique du corps.

3. L'émergence d'un système circulatoire fermé.

4. Le système excréteur est de type méthonéphridial.

5. Système nerveux et organes sensoriels plus hautement organisés.

6. L'émergence du système respiratoire.

7. L'émergence des organes du mouvement.

Caractéristiques générales des annélides.

Un vaste groupe d'animaux, comprenant environ 12 000 espèces.

Ils vivent principalement dans les mers, ainsi que dans les eaux douces et sur terre.

Ils se caractérisent par les caractéristiques suivantes de l'organisation:

1. Métamyrie (répétition correcte d'organes similaires les uns aux autres le long de l'axe du corps de l'animal). Extérieurement, cela se traduit par le fait que tout le corps du ver est divisé par des constrictions en segments séparés (anneaux). Par conséquent, les annélides sont également appelés teignes. Parallèlement à l'externe, il existe une segmentation interne, qui se traduit par la répétition de nombreux organes internes.

En conséquence, chaque segment représente dans une certaine mesure une unité indépendante d'un système complet.

La métamyrie peut être homonome (tous les segments sont identiques) et hétéronome (si les segments diffèrent les uns des autres). Les annélides se caractérisent principalement par une segmentation homogène.

La métamyrie est née du besoin d'augmenter la mobilité en développant les muscles et la masse musculaire en longueur. Cependant, cela pose un nouveau problème : gérer et augmenter le nombre d'organes pour assurer une vie bien remplie.

Ainsi, la signification biologique de la métamyrie dans son ensemble est :

a) résoudre le problème du contrôle du corps ;

b) tous les processus vitaux sont intensifiés, car les mêmes organes se répètent;

c) la marge de force biologique augmente;

d) en raison de la présence de métomère, les annélides sont capables de régénération.

D'un point de vue évolutif, la segmentation ouvre la voie à la spécialisation et à la différenciation des cellules, ce qui conduit à une réduction des coûts énergétiques. Et l'émergence d'une segmentation hétéronome. L'apparition d'une segmentation hétéronome est observée chez certains annélides, par exemple chez les néréides.

2. Pour la première fois dans les annuli, le processus de céfollisation est noté, c'est-à-dire la formation de la section de tête.

3. Le sac musculo-cutané est bien développé.

De ce fait, les annélides effectuent des mouvements ondulatoires et péristatiques complexes. Un rôle important est joué par les excroissances latérales du corps-paropodes, qui sont les organes du mouvement. Les parapodes sont un autre moyen d'augmenter la mobilité des annélides. Les paropodes sont mieux développés dans l'anneau polychète.

Chez les vers oligochètes et les sangsues, les paropodes ont subi, à un degré ou à un autre, une réduction.

4. Les annélides ont une cavité corporelle secondaire, le coelome. Contrairement à la cavité corporelle primaire du schizocèle, le coelome est tapissé d'un épithélium cœlomique spécial. En fait, c'est un organe interne et a ses propres murs.

L'ensemble, ainsi que tout le corps des annélides, est segmenté.

5. Le système digestif est bien différencié en sections.

Certaines espèces ont des glandes salivaires. Les intestins antérieur et postérieur sont d'origine ectodermique, le milieu d'origine endodermique.

6. Les principaux organes excréteurs sont les métanéphridies. Il s'agit d'un système excréteur ouvert associé à l'ensemble et assurant non seulement la fonction d'excrétion, mais également la régulation du régime hydrique.

Les métanéphridies sont disposées en segments. Dans ce cas, l'entonnoir métanéphridial est situé dans un segment et le canal excréteur s'ouvre dans le segment adjacent.

7. La plupart des annélides ont un système circulatoire fermé. Cela signifie que le sang ne circule que dans les vaisseaux et qu'il existe un réseau de capillaires entre les artères et les veines.

8. La respiration s'effectue à travers la peau, mais certains représentants ont de nouveaux organes respiratoires - les branchies.

La vrille des parapodes dorsales se transforme en branchie.

9. Le système nerveux est constitué de ganglions cérébraux dorsaux appariés et du cordon nerveux ventral.

Les paires dorsales le long du cerveau sont divisées en ganglions antérieur, moyen et postérieur. Ceci est différent des groupes de vers précédents.

10. Les organes sensoriels sont mieux développés que chez les vers plats et ronds.

Il y a des yeux capables d'hébergement dans de nombreux anneaux. Les organes du toucher, les organes de l'équilibre (statocystes), les organes du sens chimique, et chez certains aussi les organes de l'ouïe, disposés comme des localisateurs.

Les annélides sont pour la plupart dioïques, mais un hermaphrodisme est souvent observé. Le développement procède souvent par métamorphose. Une larve typique de l'anneau marin est appelée trochophora (portant des cils).

Ainsi, chez les annélides, des caractéristiques progressives d'organisation peuvent être tracées: présence d'un coelome, métamérisme de la structure, apparition d'un système circulatoire, méthonéphridie, système nerveux et organes sensoriels plus organisés. Parallèlement à ces caractéristiques, il existe des signes qui les rapprochent des vers inférieurs (signes primitifs : la larve trochophore a une cavité corporelle primaire, une protonifridie, un système nerveux orthogonal et, dans les premiers stades de développement, un intestin aveugle).

Ces caractéristiques se retrouvent également dans les anneaux d'adultes des groupes primitifs.

Le type comprend 3 classes :classe polychète ou vers polychètes, classe des olégochètes ou vers oligochètes, classe des sangsues.

Classe polychète (vers polychètes)

La classe centrale des annélides, caractérisée par le plus grand nombre d'espèces.

Certains annélides nagent librement dans l'eau, par exemple les néréides, d'autres s'enfouissent dans le sable, par exemple les vers de sable. Il existe des polychètes sessiles vivant dans des tuyaux calcaires, par exemple des serpulides et des Aphrodites rampant au fond.

Structure externe des polychètes.

Le corps se compose d'une section de tête, d'un tronc segmenté et d'un lobe anal (pegidia).

La section de la tête est formée par le lobe de la tête, le prostomium et le segment oral, le péristomium. De nombreux polychètes ont des ocelles et des appendices sensoriels sur la tête. Par exemple, une néréide a 2 paires d'yeux, des tentacules, des palpes à deux segments et des fosses olfactives. Sur le péristomium ci-dessous, il y a une bouche et sur les côtés, plusieurs paires d'antennes. Le corps est constitué de segments dont le nombre peut atteindre jusqu'à 800.

La segmentation homonomique est mieux exprimée chez les polychètes vagabonds libres. La segmentation hétéronomique est inhérente aux formes sessiles et partiellement fouisseuses.

Sur les segments du corps se trouvent des paropodes, à l'aide desquels les polychètes nagent, rampent ou s'enfouissent dans le sol. Chaque paropode est constitué d'une partie basale et de deux lobes : le dorsal (notopode) et le ventral (neuropode). À la base des paropodes, sur la face dorsale, il y a une antenne dorsale et sur la face ventrale, il y a une antenne ventrale. Chez certaines espèces, la balane dorsale du paropodium se développe en branchies plumeuses. Paropodes armés de touffes de soies composées de matière organique semblable à la chitine.

L'une des soies de chaque lobe est la plus développée et s'appelle un aciculum. Il s'agit d'un poil de base. Des muscles sont attachés à sa base, mettant l'ensemble du faisceau en mouvement. Chez certaines espèces menant un mode de vie fouisseur ou attaché, les paropodes sont réduits. Le lobe anal ne porte aucun appendice.

Sac peau-muscle.

Le corps des polychètes est recouvert d'un épithélium monosyllabique, qui expose une fine cuticule à la surface. L'épithélium peut être cilié. Il est riche en glandes unicellulaires qui sécrètent du mucus et des substances à partir desquelles de nombreux polychètes sessiles construisent leurs trompes. Sous l'épithélium se trouvent les muscles annulaires et longitudinaux. Les muscles longitudinaux forment 4 bandes très développées : 2 sur la face dorsale et 2 sur la face ventrale.

De plus, il existe des muscles obliques qui s'étendent obliquement de la partie dorsale du sac cutané-musculaire à l'abdomen. La cavité secondaire du corps est le tout. En fait, il s'agit d'un sac rempli de liquide abdominal, qui est séparé de tous les tissus et organes par un épithélium coelomique d'origine mésodermique.

Ainsi, les muscles longitudinaux, les intestins et les organes internes sont recouverts d'une seule couche d'épithélium.

Une autre caractéristique du coelome chez les polychètes est sa structure métomérique.

Cela signifie que chaque segment du corps polychète a essentiellement sa propre cavité, complètement séparée des cavités des segments voisins par des cloisons spéciales constituées d'un épithélium à deux couches.

De plus, la cavité cœlomique de chaque segment est complètement divisée en moitiés droite et gauche par un septum longitudinal également à deux couches. À l'intérieur de ce septum passent les intestins, et au-dessus et au-dessous des intestins, également à l'intérieur de ce septum, se trouvent les vaisseaux sanguins dorsaux et abdominaux.

C'est-à-dire que dans chaque segment interne des polychètes, il y a 2 sacs coelomiques. Les parois épithéliales de ces sacs sont étroitement adjacentes d'un côté aux muscles du sac cutanéo-musculaire, et de l'autre aux intestins et entre elles, recouvrant l'intestin et les vaisseaux sanguins des deux côtés. Cette partie des parois des sacs cœlomiques est appelée mésentère ou mésentère dorsal et abdominal.

En général, il remplit plusieurs fonctions :

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1. Continuons à remplir le tableau.

2. Expliquons la déclaration ci-dessus.

Les annélides ont pour la première fois une cavité corporelle secondaire et une structure cellulaire de la peau. Le système circulatoire apparaît dans la structure interne. Le système excréteur est représenté par des métanéphridies plus développées. La plupart des anneaux vivent librement, certains ont un semblant de pattes - des parapodes. Tous sont à symétrie bilatérale. Il y a des organes sensoriels.

Écrivons sur la fonction protectrice des partitions.

Chaque segment d'annélides est séparé par un septum et possède un ensemble complet de nœuds nerveux, de néphridies, de vaisseaux annulaires et de gonades. Si l'intégrité d'un segment est rompue, cela affecte dans une faible mesure l'activité vitale du ver.

4. Énumérons les caractéristiques structurelles de l'anneau.

Certains types d'anneaux ont des parapodes et des soies pour la locomotion.

Les espèces qui n'ont pas de parapodes ont des poils ou leur corps est recouvert de mucus pour une meilleure glisse. Le système musculaire de tous les anneaux est représenté par des muscles annulaires et longitudinaux.

5. Finissons les schémas.
a) Système digestif des anneaux
b) Système nerveux des anneaux
c) Organes sensoriels des anneaux
6.

Écrivons sur la division du corps de l'anneau.

Une régénération peut se produire et le ver restaurera les pièces perdues. Autrement dit, une reproduction asexuée se produira.

7. Écrivons une réponse sur la formation d'une ceinture.

Peut-être. Chez certains vers polychètes vivant dans les mers et appartenant au type Annélides, la reproduction a lieu dans l'eau, la fécondation est externe.

Mais dans la plupart des anneaux, la reproduction se produit à l'aide d'une ceinture.

8. Expliquons la relation.

Il existe une relation directe entre le nombre d'œufs pondus et les soins apportés à la progéniture. Certains polychètes pondent peu d'œufs et la femelle les garde. Cela signifie que les annélides sont plus avancés que les types de vers précédents.

Nous énumérons les façons de nourrir les polychètes.

Parmi les vers polychètes, il y a des prédateurs qui se nourrissent de petits animaux marins. Il existe des omnivores qui filtrent l'eau et se nourrissent de plantes.

10. Finissons les phrases.

Le développement des polychètes se produit avec l'alternance des formes de vie.

Leurs larves ne ressemblent pas aux adultes. Chaque forme de vie remplit différentes fonctions : reproduction, réinstallation, auto-préservation. Chez certains polychètes, des soins à la progéniture sont observés.

11. Finissons le schéma.
La valeur des polychètes dans la nature

Filtrer l'eau.
2. Ce sont des aliments pour poissons.
3. Ils se nourrissent des restes d'animaux morts.

12. Écrivons les différences dans la nutrition de différents vers.

Les vers oligochètes se nourrissent de matière organique provenant des résidus végétaux du sol, et parmi les polychètes, il y a des prédateurs, des omnivores et des herbivores.

Écrivons les adaptations courantes des protozoaires et des oligochètes.

Pour supporter des conditions défavorables, de nombreux protozoaires forment un kyste et les oligochètes forment une capsule protectrice et tombent en diapause. Ces formations sont similaires dans leurs fonctions.

14. Indiquez la structure du ver de terre sur la figure. Faisons une conclusion.

Conclusion : La cavité primaire du corps est celle de support. Il contient un liquide qui donne de l'élasticité au corps du ver.

Nous énumérons les caractéristiques des sangsues.
1) Nombre constant de segments corporels (33)
2) La présence de ventouses pour la fixation au corps de la victime ou au substrat.
3) Absence de poils sur le corps.
4) Toutes les sangsues vivent dans le milieu aquatique.

16. Nommons les types de nutrition des sangsues.

17. Définissez le type et la classe des vers.

Expliquons la particularité des sangsues.

Chez les sangsues, le système nerveux est mieux développé.

19. Expliquons l'énoncé.

L'énoncé n'est pas correct. Les sangsues sont très sensibles à la pureté de l'eau et meurent lorsqu'elle est contaminée. Les oligochètes, quant à eux, supportent la pollution de l'eau et peuvent vivre longtemps dans de tels réservoirs.

Rédigez une réponse sur les hirudias.

L'hirudine est nécessaire pour empêcher la coagulation du sang sur la plaie de la victime et dans l'estomac de la sangsue elle-même. S'il n'est pas produit, la sangsue ne pourra pas se nourrir, car le sang coagulera.

21. Citons le rôle des sangsues en médecine.

Les sangsues sont utilisées en médecine pour réduire la pression artérielle dans l'hypertension et la menace d'hémorragie, d'accident vasculaire cérébral.

Indiquons les caractéristiques des classes d'Annélides.
Des classes comme les Annélides.

A-1, 2, 8, 10, 16
B-4, 6, 11, 12, 17
B-3, 5, 7, 9, 14, 15

Écrivons les réponses au mot croisé numéro 1.

Réponses:
1. Capsule
2. Ceinture
3. Polychètes
4. Cavité
5. Chaîne
6. Oligochètes
7. Chaîne
8.

Souffle
Mot-clé : anneaux

Type Annélides

Aromorphoses du type :

1) la présence d'organes de mouvement;

2) l'apparition d'organes respiratoires et d'un système circulatoire fermé ;

3) cavité corporelle secondaire.

Le type des annélides couvre environ 8000 espèces de vers supérieurs, qui ont une organisation beaucoup plus complexe que les types précédents.

Les principales caractéristiques du type:

Le corps des vers est composé d'un lobe principal (prostomium), d'un tronc segmenté et d'un lobe anal postérieur (pygidium). Les organes sensoriels sont situés sur le lobe de la tête.

Il existe un sac cutanéo-musculaire bien développé.

3. Chez les annélides, pour la première fois, une cavité corporelle secondaire ou coelome apparaît (l'espace entre la paroi corporelle et les organes internes avec son propre revêtement épithélial, qui sépare le liquide de la cavité de tous les tissus et organes environnants). Il est divisé en chambres selon la segmentation externe.

4. L'ouverture de la bouche se trouve sur la face ventrale du premier segment du corps.

Le système digestif se compose de la cavité buccale, du pharynx, de l'intestin moyen et de l'intestin postérieur, qui s'ouvre par un anus à l'extrémité du lobe anal.

5. La plupart ont un système circulatoire fermé bien développé.

6. Les fonctions d'excrétion sont assurées par les métanéphridies.

Les métanéphridies sont appelées organes excréteurs ouverts, contrairement aux protonéphridies fermées.

La métanéphridie commence par un entonnoir plus ou moins élargi - néphrostomie, assis avec des cils et s'ouvrant dans la cavité du segment. À partir de la néphrostomie, le canal néphridial commence, qui passe dans le segment suivant. Ici, le canal forme un enchevêtrement complexe et s'ouvre par une ouverture excrétrice vers l'extérieur.

Le système nerveux est constitué de ganglions supra- et sous-pharyngés appariés associés à l'anneau nerveux péripharyngé et au cordon nerveux ventral. Ce dernier est une paire de troncs approximés longitudinalement, formant des nœuds nerveux dans chaque segment.

Les annélides les plus primitifs sont dioïques ; certains ont secondairement de l'hermaphrodisme.

9. L'écrasement de l'œuf est de type spirale.

10. Chez les représentants inférieurs du type, le développement se poursuit par métamorphose, une larve typique est un trochophore.

Selon l'opinion la plus courante, les annélides descendent de vers inférieurs non segmentés.

Le type est divisé en trois classes - Petits poils (représentant du ver de terre), Polychètes (nereis, ver des sables) et Sangsues.

On pense qu'au cours de l'évolution, les polychètes ont donné naissance aux arthropodes.

1. Vers plats :

a) animaux à deux couches;

b) animaux à trois couches.

Précisez les organes d'excrétion chez le ténia bovin :

a) protonéphridie ;

b) métanéphridie;

3. Hôte intermédiaire de la douve du foie :

a) une vache

b) petit escargot de bassin;

c) une personne.

4. La complication des vers ronds par rapport aux vers plats est associée à l'apparition de :

a) structure à trois couches du corps;

b) système nerveux ;

c) hermaphrodisme;

d) par le système digestif.

a) vers ronds de type ;

b) classe Ténias ;

c) Classe Flukes ?

Combien de couches de muscles les vers ronds ont-ils ?

un; b) deux ; à trois heures.

7. Combien de segments le corps d'un ver de terre a-t-il ?

a) 20-30 ; 6)250 ; c) jusqu'à 180 ; d) 50.

8. Parmi les annélides, seuls :

a) les oligochètes ; b) polychètes ; c) sangsues.

Les polychètes sont caractérisés par (-en; -o):

a) dichotomie ;

b) hermaphrodisme;

c) bourgeonnant.

10. Quelle est la cavité corporelle d'une néréide :

a) intestinal ; b) primaire ;

c) secondaire ; d) rempli de parenchyme

Littérature

R.G. Zayats, I.V. Rachkovskaya et autres Biologie pour les participants. Minsk, Unipress, 2009, p. 129-177.

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Le type des annélides, réunissant environ 12 000 espèces, est en quelque sorte un nœud de l'arbre généalogique du monde animal. Selon les théories existantes, les annélides seraient issus d'anciens vers ciliaires (théorie turbellarienne) ou de formes proches des cténophores (théorie des trochophores). À leur tour, les arthropodes sont issus des annélides au cours du processus d'évolution progressive. Enfin, à leur origine, les annélides sont liés par un ancêtre commun aux mollusques. Tout cela montre la grande importance que revêt le type considéré pour la compréhension de la phylogénie du monde animal. Médicalement, les annélides ont une valeur limitée. Seules les sangsues présentent un certain intérêt.

Caractéristiques générales du type

Le corps des annélides se compose d'un lobe principal, d'un corps segmenté et d'un lobe postérieur. Des segments du tronc sur presque tout le corps ont des appendices externes similaires les uns aux autres et une structure interne similaire. Ainsi, l'organisation des annélides est caractérisée par une répétabilité structurale, ou métamérisme.

Sur les côtés du corps, chaque segment présente généralement des appendices externes sous forme d'excroissances musculaires munies de soies - parapodes - ou sous forme de soies. Ces appendices sont importants dans le mouvement du ver. Les parapodes en cours de phylogenèse ont donné naissance aux membres des arthropodes. À la tête du corps, il y a des appendices spéciaux - tentacules et palygs.

Un sac cutanéo-musculaire est développé, qui se compose d'une cuticule, d'une couche de cellules cutanées sous-jacentes et de plusieurs couches de muscles (voir tableau 1) et d'une cavité corporelle secondaire, ou coelome, dans laquelle se trouvent les organes internes. L'ensemble est tapissé d'épithélium péritonéal et divisé par des cloisons en chambres séparées. Dans le même temps, chaque segment du corps possède une paire de sacs coelomiques (seuls la tête et les lobes postérieurs sont dépourvus de coelome).

Les sacs coelomiques de chaque segment sont placés entre l'intestin et la paroi corporelle et sont remplis d'un liquide aqueux dans lequel flottent les cellules amiboïdes.

En général, il remplit une fonction de support. De plus, les nutriments des intestins pénètrent dans le liquide cœlomique, qui sont ensuite distribués dans tout le corps. En général, des produits métaboliques nocifs s'accumulent, qui sont éliminés par les organes excréteurs. Les gonades mâles et femelles se développent dans les parois du coelome.

Le système nerveux central est représenté par le ganglion supra-oesophagien et le cordon nerveux ventral. Les nerfs des organes sensoriels passent au nœud supraglottique : yeux, organes de l'équilibre, tentacules et palpes. Le cordon nerveux abdominal est constitué de nœuds (une paire dans chaque segment du corps) et de troncs qui relient les nœuds les uns aux autres. Chaque nœud innerve tous les organes de ce segment.

Le système digestif comprend l'intestin antérieur, moyen et postérieur. L'intestin antérieur est généralement divisé en plusieurs sections : le pharynx, l'œsophage, le jabot et le gésier. La bouche est sur la face ventrale du premier segment du corps. L'intestin postérieur s'ouvre par un anus sur le lobe postérieur. Dans la paroi de l'intestin, il y a une musculature qui assure le mouvement des aliments.

Les organes d'excrétion - les métanéphridies - sont des organes tubulaires appariés, répétés métamériquement dans les segments du corps. Contrairement aux protonéphridies, ils ont un canal excréteur traversant. Ce dernier commence par un entonnoir qui s'ouvre dans la cavité corporelle. Le fluide de la cavité pénètre dans le néphridie par l'entonnoir. Un tubule de néphridium part de l'entonnoir, s'ouvrant parfois vers l'extérieur. En traversant le tubule, le liquide change de composition ; il concentre les produits finaux de la dissimilation, qui sont éjectés du corps par le pore externe du néphridium.

Pour la première fois dans la phylogenèse du règne animal, les annélides possèdent un système circulatoire. Les principaux vaisseaux sanguins courent le long des côtés dorsal et ventral. Dans les segments antérieurs, ils sont reliés par des vaisseaux transversaux. Les vaisseaux annulaires dorsaux et antérieurs sont capables de se contracter rythmiquement et remplissent la fonction du cœur. Chez la plupart des espèces, le système circulatoire est fermé : le sang circule dans un système de vaisseaux, nulle part interrompu par des cavités, des lacunes ou des sinus. Chez certaines espèces, le sang est incolore, chez d'autres il est rouge en raison de la présence d'hémoglobine.

La plupart des espèces d'annélides respirent à travers une peau riche en capillaires sanguins. Un certain nombre de formes marines ont des organes respiratoires spécialisés - des branchies. Ils se développent généralement sur les parapodes ou sur les palpes. Les vaisseaux transportant le sang veineux s'approchent des branchies; il est saturé d'oxygène et pénètre dans le corps du ver sous forme de sang artériel. Parmi les annélides, il existe des espèces dioïques et hermaphrodites. Les glandes sexuelles sont situées dans la cavité corporelle.

Les annélides ont la plus grande organisation par rapport aux autres types de vers (voir tableau 1); pour la première fois, ils ont une cavité corporelle secondaire, un système circulatoire, des organes respiratoires et un système nerveux plus hautement organisé.

Tableau 1. Caractéristiques des différents types de vers
Taper Sac cutanéo-musculaire Système digestif Système circulatoire système reproducteur Système nerveux cavité corporelle
vers platsComprend des couches de muscles longitudinaux et circulaires, ainsi que des faisceaux de muscles dorso-abdominaux et diagonauxDe l'intestin antérieur ectodermique et de l'intestin moyen endodermiquepas développéhermaphroditeGanglion cérébral apparié et plusieurs paires de troncs nerveuxAbsent, rempli de parenchyme
vers rondsSeuls les muscles longitudinauxDe l'intestin antérieur et postérieur ectodermique et de l'intestin moyen endodermiqueMêmeDioïqueAnneau nerveux péripharyngé et 6 troncs longitudinauxPrimaire
Des muscles circulaires externes et longitudinaux internesDe l'intestin antérieur et postérieur ectodermique et de l'intestin moyen endodermiqueBien développé, ferméDioïques ou hermaphroditesGanglion cérébral apparié, anneau nerveux péripharyngien, cordon nerveux ventralSecondaire

Les animaux appartenant au type des annélides, ou annélides, sont caractérisés par :

  1. trois couches, c'est-à-dire le développement de l'ecto-, de l'ento- et du mésoderme chez les embryons ;
  2. cavité corporelle secondaire (cœlomique);
  3. sac peau-musculaire;
  4. symétrie bilatérale;
  5. métamérisme ou segmentation homonome externe et interne (équivalent) du corps;
  6. la présence des principaux systèmes organiques : digestif, respiratoire, excréteur, circulatoire, nerveux, sexuel ;
  7. système circulatoire fermé;
  8. système excréteur sous forme de métanéphridie;
  9. le système nerveux, composé du ganglion supra-oesophagien, des commissures péripharyngées et d'un cordon nerveux ventral apparié ou non ;
  10. la présence d'organes primitifs de locomotion (parapodes)

Les vers annelés vivent dans les eaux douces et marines, ainsi que dans le sol. Plusieurs espèces vivent dans l'air. Les principales classes du type d'annélides sont:

  • polychètes (Polychètes)
  • oligochète (oligochète)
  • sangsues (Hirudinea)

Anneaux polychètes de classe

Du point de vue de la phylogenèse du monde animal, les polychètes constituent le groupe d'annélides le plus important, car l'émergence de groupes supérieurs d'invertébrés est associée à leur développement progressif. Le corps des polychètes est segmenté. Il y a des parapodes, constitués de branches dorsales et ventrales, chacune portant une vrille. La paroi musculaire des parapodes a des soies de soutien épaisses et des touffes de soies fines dépassent de l'apex des deux branches. La fonction des parapodes est différente. Ce sont généralement des organes locomoteurs impliqués dans le mouvement du ver. Parfois, la balane dorsale grandit et se transforme en branchie. Le système circulatoire des polychètes est bien développé et toujours fermé. Il existe des espèces à respiration cutanée et branchiale. Les polychètes sont des vers dioïques. Ils vivent dans les mers, principalement dans la zone côtière.

Néréide (Nereis pelagica) peut servir de représentant caractéristique de la classe. On le trouve en abondance dans les mers de notre pays ; mène un mode de vie inférieur, étant un prédateur, capture des proies avec ses mâchoires. Un autre représentant - sandworm (Arenicola marina) - vit dans les mers, creuse des trous. Il se nourrit en faisant passer du limon marin dans son tube digestif. Respirez avec des branchies.

Anneaux à poils bas de classe

Les oligochètes descendent des polychètes. Les appendices externes du corps sont des soies, qui reposent directement dans la paroi du corps; pas de parapodes. Le système circulatoire est fermé; respiration cutanée. Les anneaux à petites soies sont hermaphrodites. La grande majorité des espèces sont des habitants de l'eau douce et du sol.

Un ver de terre (Lumbricus terrestris) peut servir de représentant caractéristique de la classe. Les vers de terre vivent dans le sol; pendant la journée, ils sont assis dans des trous et le soir, ils rampent souvent. Fouillant dans le sol, ils le font passer dans leurs intestins et se nourrissent des résidus végétaux qu'il contient. Les vers de terre jouent un rôle important dans les processus de formation du sol; ils ameublissent le sol et contribuent à son aération ; les feuilles sont traînées dans des trous, enrichissant le sol de substances organiques; ils extraient des couches profondes de sol à la surface, et les couches superficielles les transportent plus profondément.

La structure et la reproduction du ver de terre

Le ver de terre a un corps presque rond en coupe transversale, jusqu'à 30 cm de long; avoir 100-180 segments ou segments. Dans le tiers avant du corps du ver de terre, il y a un épaississement - une ceinture (ses cellules fonctionnent pendant la période de reproduction sexuée et de ponte). Sur les côtés de chaque segment, deux paires de soies élastiques courtes sont développées, ce qui aide l'animal à se déplacer dans le sol. Le corps est de couleur brun rougeâtre, plus clair sur la face ventrale plate et plus foncé sur la face dorsale convexe.

Une caractéristique de la structure interne est que les vers de terre ont développé de vrais tissus. À l'extérieur, le corps est recouvert d'une couche d'ectoderme dont les cellules forment le tissu tégumentaire. L'épithélium cutané est riche en cellules glandulaires muqueuses. Sous la peau, il y a une musculature bien développée, constituée d'une couche de muscles annulaires et d'une couche plus puissante de muscles longitudinaux situés en dessous. Avec la contraction des muscles circulaires, le corps de l'animal s'étire et s'amincit; avec la contraction des muscles longitudinaux, il s'épaissit et écarte les particules de sol.

Le système digestif commence à l'avant du corps par une ouverture buccale, à partir de laquelle la nourriture pénètre séquentiellement dans le pharynx, l'œsophage (chez les vers de terre, trois paires de glandes calcaires s'y déversent, la chaux provenant d'eux dans l'œsophage sert à neutraliser les acides des feuilles en décomposition dont se nourrissent les animaux). Ensuite, la nourriture passe dans un goitre élargi et un petit estomac musclé (les muscles de ses parois contribuent au broyage des aliments). De l'estomac presque à l'arrière du corps s'étend l'intestin moyen, dans lequel, sous l'action des enzymes, les aliments sont digérés et absorbés. Les résidus non digérés pénètrent dans l'intestin postérieur court et sont expulsés par l'anus. Les vers de terre se nourrissent de restes de plantes à moitié décomposés, qu'ils avalent avec la terre. Lors du passage dans les intestins, le sol se mélange bien à la matière organique. Les excréments de vers de terre contiennent cinq fois plus d'azote, sept fois plus de phosphore et onze fois plus de potassium qu'un sol ordinaire.

Le système circulatoire est fermé et se compose de vaisseaux sanguins. Le vaisseau dorsal s'étend sur tout le corps au-dessus des intestins et en dessous - celui de l'abdomen. Dans chaque segment, ils sont unis par un vaisseau annulaire. Dans les segments antérieurs, certains vaisseaux annulaires sont épaissis, leurs parois se contractent et vibrent rythmiquement, grâce à quoi le sang est distillé du vaisseau dorsal au vaisseau abdominal. La couleur rouge du sang est due à la présence d'hémoglobine dans le plasma. Pour la plupart des annélides, y compris les vers de terre, la respiration cutanée est caractéristique, presque tous les échanges gazeux sont assurés par la surface du corps, donc les vers de terre sont très sensibles à l'humidité du sol et ne se trouvent pas dans les sols sablonneux secs, où leur peau sèche rapidement et après les pluies , lorsqu'il y a beaucoup d'eau dans le sol, rampez à la surface.

Le système excréteur est représenté par les métanéphridies. Le métanéphridie commence dans la cavité corporelle par un entonnoir (néphrostome) à partir duquel s'étend un conduit - un mince tube incurvé en forme de boucle qui s'ouvre vers l'extérieur sous la forme d'un pore excréteur dans la paroi latérale du corps. Chaque segment du ver a une paire de métanéphridies - droite et gauche. L'entonnoir et le conduit sont équipés de cils qui provoquent le mouvement du liquide excréteur.

Le système nerveux a une structure typique des annélides (voir tableau 1), deux troncs nerveux ventraux, leurs nœuds sont interconnectés et forment une chaîne nerveuse ventrale. Les organes sensoriels sont très peu développés. Le ver de terre ne possède pas de véritables organes de vision, leur rôle est assuré par des cellules photosensibles individuelles situées dans la peau. Les récepteurs du toucher, du goût et de l'odorat y sont également situés. Comme l'hydre, les vers de terre sont capables de régénération.

La reproduction n'a lieu que par voie sexuelle. Les vers de terre sont des hermaphrodites. Devant leur corps se trouvent les testicules et les ovaires. La fertilisation des vers de terre est croisée. Pendant la copulation et la ponte, les cellules de la ceinture sur le segment 32-37 sécrètent du mucus, qui sert à former le cocon d'œuf, et un liquide protéique pour nourrir l'embryon en développement. Les sécrétions de la ceinture forment une sorte de manchon muqueux. Le ver en sort avec son extrémité arrière vers l'avant, pondant des œufs dans le mucus. Les bords du manchon se collent et un cocon se forme, qui reste dans le terrier de terre. Le développement embryonnaire des œufs se produit dans un cocon, de jeunes vers en émergent.

Les passages des vers de terre se situent principalement dans la couche superficielle du sol jusqu'à une profondeur de 1 m, pour l'hiver ils descendent jusqu'à une profondeur de 2 m. À travers les visons et les passages des vers de terre, l'air atmosphérique et l'eau pénètrent dans le sol, qui sont nécessaire aux racines des plantes et à l'activité vitale des micro-organismes du sol. Par ses intestins, le ver passe autant de terre par jour que son corps pèse (une moyenne de 4 à 5 g). Sur chaque hectare de terre, les vers de terre transforment quotidiennement en moyenne 0,25 tonne de sol et rejettent annuellement à la surface sous forme d'excréments de 10 à 30 tonnes de sol qu'ils ont traité. Au Japon, des races spécialement élevées de vers de terre à reproduction rapide sont élevées et leurs excréments sont utilisés pour la méthode biologique de travail du sol. Les légumes et les fruits cultivés sur un tel sol ont une teneur en sucre accrue. Charles Darwin a été le premier à souligner le rôle important des vers de terre dans les processus de formation des sols.

Les annélides jouent un rôle important dans la nutrition des poissons de fond, car dans certains endroits, les vers représentent jusqu'à 50 à 60 % de la biomasse des couches inférieures des masses d'eau. En 1939-1940. Le ver nereis a été déplacé de la mer d'Azov à la mer Caspienne, qui constitue désormais la base du régime alimentaire des esturgeons de la mer Caspienne.

Classe Sangsue

Le corps est segmenté. En plus du véritable métamérisme, il existe une fausse sonnerie - plusieurs anneaux dans un segment. Parapodes et soies absentes. La cavité corporelle secondaire a été réduite; au lieu de cela, il y a des sinus et des espaces entre les organes. Le système circulatoire n'est pas fermé; le sang, seule une partie de son trajet, traverse les vaisseaux et s'en déverse dans les sinus et les lacunes. Il n'y a pas d'organes respiratoires. Le système reproducteur est hermaphrodite.

Les sangsues médicales sont spécialement élevées puis envoyées dans les hôpitaux. Ils sont utilisés, par exemple, dans le traitement des maladies oculaires associées à une augmentation de la pression intraoculaire (glaucome), aux hémorragies cérébrales et à l'hypertension. Avec la thrombose et la thrombophlébite, l'hirudine réduit la coagulation sanguine et favorise la dissolution des caillots sanguins.

1. Les annélides ont d'abord un système circulatoire. 2. Le système circulatoire sert à transporter l'oxygène et les nutriments vers tous les organes de l'animal. 3. Les annélides ont deux vaisseaux sanguins principaux. À travers le vaisseau abdominal, le sang se déplace de l'extrémité antérieure du corps vers la partie postérieure. 4. À travers le vaisseau dorsal, le sang se déplace de l'extrémité postérieure du corps vers la partie antérieure. 5. Le vaisseau dorsal passe au-dessus de l'intestin, l'abdomen - en dessous. Dans chaque segment, les vaisseaux dorsaux et abdominaux sont reliés entre eux par des vaisseaux annulaires.

Système circulatoire 6. Les annélides n'ont pas de cœur. Plusieurs vaisseaux annulaires épais ont des parois musculaires, en raison de la contraction desquelles le sang se déplace. Les vaisseaux plus fins partent des vaisseaux principaux, se ramifiant ensuite dans les capillaires les plus fins. Les capillaires reçoivent l'oxygène de l'épithélium cutané et les nutriments des intestins. Et à partir d'autres capillaires similaires se ramifiant dans les muscles, il y a un retour de "déchets". Ainsi, le sang se déplace tout le temps à travers les vaisseaux et ne se mélange pas au liquide de la cavité. Un tel système circulatoire est appelé système fermé. 7. Dans le sang, protéine contenant du fer, proche de l'hémoglobine.

Le système circulatoire des annélides 1. Les annélides ont d'abord un système circulatoire. 2. Le système circulatoire est fermé 3. deux vaisseaux sanguins principaux : abdominaux et dorsaux. Ils sont reliés dans chaque segment par un vaisseau annulaire 4. Pas de cœur réel

Le système circulatoire des mollusques: Ouvert (le sang des vaisseaux pénètre dans la cavité corporelle) Un cœur est apparu, ce qui a augmenté le taux de circulation sanguine, ce qui a considérablement augmenté l'intensité des processus métaboliques. Cœur à trois ou deux chambres (1 ou 2 oreillettes et ventricule) l'aorte part du cœur, elle se ramifie en artères Le sang incolore est saturé d'oxygène dans les poumons (branchies) et revient au cœur par les veines Fonctions : sang transporte de l'oxygène et absorbe du dioxyde de carbone

Contrairement aux autres mollusques, les céphalopodes ont un système circulatoire presque fermé. Dans de nombreux endroits (peau, muscles), il existe des capillaires par lesquels les artères passent directement dans les veines. Un système circulatoire très développé permet aux céphalopodes d'atteindre des tailles gigantesques. Ce n'est qu'en présence d'un système de capillaires que l'existence de très gros animaux est possible, car ce n'est que dans ce cas que l'apport complet d'oxygène et de nutriments aux organes massifs est assuré. Le sang est conduit par trois cœurs. 1. Le principal, composé du ventricule et de deux oreillettes (le nautile a quatre oreillettes). Le cœur principal conduit le sang à travers le corps. 2. Et deux branchies. 3. Les contractions rythmiques des cœurs branchiaux poussent le sang veineux à travers les branchies, d'où il, enrichi en oxygène, pénètre dans l'oreillette du cœur principal. La fréquence cardiaque dépend de la température de l'eau. Par exemple, dans une pieuvre à une température de l'eau de 22 ° C, la fréquence cardiaque est de 40 à 50 battements par minute. 4. Il existe des vaisseaux spéciaux pour l'approvisionnement en sang de la tête. Le sang des céphalopodes a une couleur bleue due à la présence du pigment respiratoire hémocyanine, qui contient du cuivre. L'hémocyanine est produite dans des glandes branchiales spéciales.

Le système circulatoire chez les arthropodes n'est pas fermé et est représenté par le cœur et les gros vaisseaux, à partir desquels l'hémolymphe (un liquide, à bien des égards similaire au sang des vertébrés) se déverse dans la cavité corporelle, lave les organes internes et retourne au coeur à nouveau. 1. Le cœur est capable de contractions rythmiques. L'hémolymphe y pénètre depuis la cavité corporelle par les ouvertures latérales, les ostia, et lave les organes internes en leur fournissant des nutriments. 2. Chez les crustacés, l'hémolymphe remplit également une fonction respiratoire. Il contient des substances transportant l'oxygène - l'hémoglobine rouge ou l'hémocyanine bleue. Pour cela, il existe des vaisseaux branchiaux spéciaux.

Système circulatoire 1. Lorsque le cœur se contracte, les valves ostia se ferment. 2. Et le sang, se déplaçant dans les artères, pénètre dans la cavité corporelle. Ici, il donne de l'oxygène et des nutriments aux organes internes. 3. Saturé de dioxyde de carbone et de produits métaboliques. 4. Ensuite, le sang pénètre dans les branchies. 5. Des échanges gazeux s'y produisent et le sang, débarrassé du dioxyde de carbone, est à nouveau saturé d'oxygène. 6. Après cela, le sang pénètre dans le cœur détendu par les orifices ouverts.

Le système circulatoire est un système circulatoire ouvert. Chez les insectes, le sang ne participe pratiquement pas au transport de l'oxygène. le long cœur tubulaire des insectes est situé sur la face dorsale de l'abdomen, divisé en plusieurs chambres, chaque chambre a des ouvertures avec des valves - ostia. À travers eux, le sang de la cavité corporelle pénètre dans le cœur. les chambres adjacentes sont reliées les unes aux autres par des vannes qui ne s'ouvrent que vers l'avant. La contraction séquentielle des cavités cardiaques de l'arrière vers l'avant assure la circulation du sang.

Lancelet Système circulatoire : fermé ; pas de cœur ; les parois de l'aorte abdominale se contractent ; Fonction : le sang transporte l'oxygène et les nutriments dans tout le corps, élimine les produits de décomposition

Le système circulatoire du poisson Le système circulatoire est fermé, un cercle de circulation sanguine, le cœur est à deux chambres (il se compose d'une oreillette à paroi mince et d'un ventricule musculaire) Le sang veineux s'accumule d'abord dans le sinus veineux - une expansion qui s'accumule le sang des vaisseaux veineux, puis pénètre dans l'oreillette et est expulsé du ventricule Le sang veineux est expulsé du cœur entre dans l'aorte abdominale vers les branchies, le sang artériel est collecté dans l'aorte dorsale. De tous les organes, le sang veineux à travers les vaisseaux pénètre dans le sinus veineux commun.

Le système circulatoire d'un amphibien Le système circulatoire. Deux cercles de circulation sanguine (grand et petit). Depuis l'apparition des poumons, une (petite) circulation pulmonaire se produit. Le cœur amphibien devient à trois chambres (formé par deux oreillettes et un ventricule), trois paires d'arcs artériels en partent. Le métabolisme n'est pas encore très intense, les amphibiens sont des animaux poïkilothermes (à sang froid).

Le système circulatoire d'un amphibien Le sang artériel pénètre dans l'oreillette gauche à partir des poumons par les veines pulmonaires et le sang mélangé pénètre dans l'oreillette droite, car le sang veineux pénètre dans la veine cave à partir des organes internes et les veines cutanées apportent du sang artériel. Dans le ventricule, le sang ne se mélange que partiellement, en raison de la présence de mécanismes de division spéciaux (différentes excroissances et une valve en spirale du cône artériel).

Système circulatoire Circulation systémique. Du ventricule, le sang circule dans trois paires de vaisseaux artériels. Lorsque le ventricule se contracte, le sang veineux est d'abord expulsé, ce qui remplit les deux premières paires d'artères. Le sang avec une teneur maximale en oxygène pénètre dans la troisième paire d'artères, d'où partent les artères carotides, fournissant du sang au cerveau. Ensuite, le sang veineux (des organes internes par la veine cave) et artériel (par les veines cutanées) pénètrent dans l'oreillette droite.

Système circulatoire Petit cercle de circulation sanguine. Les artères pulmonaires transportent le sang appauvri en oxygène vers les poumons, où se produisent les échanges gazeux, puis le sang artériel pénètre dans l'oreillette gauche par les veines pulmonaires. De grandes branches partent de chaque artère pulmonaire - artères cutanées qui transportent le sang vers la peau, où il est oxydé, puis pénètrent dans l'oreillette droite. Les érythrocytes chez les amphibiens sont gros, biconvexes, ont un noyau. Le métabolisme est plus élevé que celui du poisson, mais pas assez élevé pour maintenir une température corporelle constante

Système circulatoire Il existe une séparation supplémentaire des flux sanguins artériel et veineux en raison de l'apparition d'un septum incomplet dans le ventricule du cœur. Le septum empêche partiellement le mélange du sang artériel et veineux. Trois vaisseaux partent indépendamment du ventricule : l'artère pulmonaire, qui transporte le sang veineux vers les poumons, les arcs aortiques droit et gauche.

Le système circulatoire La circulation systémique commence par les arcs aortiques. L'arc aortique droit émerge du côté gauche du ventricule et transporte le sang artériel oxygéné. Les artères carotides, qui transportent le sang vers le cerveau, et les artères sous-clavières, qui irriguent les membres antérieurs, en partent. L'arc aortique gauche provient de la partie médiane du ventricule et transporte du sang mélangé. Les deux arcs se fondent dans l'aorte dorsale, qui irrigue le reste des organes.

Le système circulatoire Le petit cercle commence par l'artère pulmonaire partant du côté droit du ventricule. Le sang veineux est acheminé vers les poumons, des échanges gazeux s'y produisent et le sang artériel retourne par les veines pulmonaires vers l'oreillette gauche. Bien que le système circulatoire soit plus parfait que celui des amphibiens, le métabolisme est insuffisant pour maintenir une température corporelle constante, les reptiles n'ont donc pas une température corporelle constante, ils sont poïkilothermes.

Système circulatoire. Le cœur devient à quatre chambres, le septum divise le cœur en deux parties - droite et gauche. Chaque partie du cœur est constituée d'une oreillette et d'un ventricule. Le sang veineux retourne dans la moitié droite du cœur par la veine cave (supérieure et inférieure) à partir de la circulation systémique. Petit cercle de circulation sanguine. Lorsque le ventricule droit se contracte, le sang veineux pénètre dans les poumons par les artères pulmonaires, où se produisent les échanges gazeux, et le sang artériel revient par les veines pulmonaires de la circulation pulmonaire vers l'oreillette gauche.

Système circulatoire Grand cercle. Le sang sort du ventricule gauche par l'arc aortique droit. Les artères carotides en sont séparées, transportant le sang vers la tête, la sous-clavière - vers les membres supérieurs. L'arc aortique droit passe dans l'aorte dorsale, fournissant du sang aux organes internes. Ensuite, le sang veineux est collecté dans la veine cave et pénètre dans l'oreillette droite. Contrairement au système circulatoire des reptiles, chez les oiseaux, le sang du cœur vers les organes dans un grand cercle ne circule pas à travers deux artères (arcs aortiques gauche et droit), mais uniquement à travers la droite. La capacité en oxygène du sang chez les oiseaux est 2 fois plus élevée que chez les reptiles. La température corporelle moyenne chez les oiseaux est d'environ 42 degrés.

Le système circulatoire dans la moitié droite du cœur est du sang veineux, dans la moitié gauche, il est artériel, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de mélange de sang. La circulation pulmonaire commence dans le ventricule droit, le sang veineux est amené aux poumons par les artères pulmonaires, où se produisent les échanges gazeux, et le sang artériel pénètre dans l'oreillette gauche par les veines pulmonaires. La circulation systémique commence dans le ventricule gauche, le sang est éjecté dans l'arc aortique gauche. Les artères irriguent tous les organes internes. Le sang veineux circule à travers les veines caves supérieure et inférieure dans l'oreillette droite.

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