Convolutions du cortex cérébral. Sillons et gyrus de la surface supérolatérale du cerveau. Collections de ressources partagées

Chacun des hémisphères cérébraux a lobes : frontal, pariétal, temporal, occipital et limbique. Ils recouvrent les structures du diencéphale et du tronc cérébral et du cervelet situés sous le manteau cérébelleux (en sous-tentoriel).

La surface des hémisphères cérébraux est pliée, présente de nombreuses dépressions - sillons (sulci cérébral) et situé entre eux circonvolutions (gyri cerebri). Le cortex cérébral couvre toute la surface des circonvolutions et des sillons (d'où son autre nom est pallium - un manteau), tout en pénétrant parfois très profondément dans la substance du cerveau.

Surface latérale supérieure (convexe) des hémisphères(Fig. 14.1a). Le plus grand et le plus profond latéral sillon (sillon latéral),ou sylvien sillon, - sépare les parties frontale et antérieure du lobe pariétal du lobe temporal situé en dessous. Les lobes frontal et pariétal sont séparés central, ou Roland, sillon(sillon central), qui traverse le bord supérieur de l'hémisphère et descend et avance le long de sa surface convexe, légèrement en deçà de la rainure latérale. Le lobe pariétal est séparé du lobe occipital situé derrière lui en passant le long surface médiale hémisphère pariéto-occipital et sillons transversaux occipitaux.

Dans le lobe frontal devant le gyrus central et parallèlement à celui-ci se trouve le précentral (gyrus précentralis), ou antéro-central, gyrus, qui est délimité en avant par le sillon précentral (sulcus précentral). Les rainures frontales supérieures et inférieures partent en avant du sillon précentral, divisant la surface convexe des sections antérieures du lobe frontal en trois gyrus frontaux - supérieur, moyen et inférieur (gyri frontales supérieur, média et inférieur).

La section antérieure de la surface convexe du lobe pariétal est située derrière le sillon central postcentral (gyrus post-centralis), ou centrale postérieure, gyrus. Derrière, il est bordé par le sillon post-central, à partir duquel s'étend le sillon intrapariétal. (sulcus intrapariétal), séparant les lobules pariétaux supérieur et inférieur (lobules pariétaux supérieurs et inférieurs). Dans le lobule pariétal inférieur, à son tour, le gyrus supramarginal se distingue (gyrus supramarginalis), entourant la partie postérieure de la rainure latérale (sylvienne) et le gyrus angulaire (girus angularis), bordant l'arrière du gyrus temporal supérieur.

Sur la surface convexe du lobe occipital du cerveau, les sillons sont peu profonds et peuvent varier considérablement, de sorte que la nature des circonvolutions situées entre eux est également variable.

La surface convexe du lobe temporal est divisée par les sillons temporaux supérieur et inférieur, qui sont presque parallèles au sillon latéral (sylvien), divisant la surface convexe du lobe temporal en gyri temporal supérieur, moyen et inférieur. (gyri temporales supérieur, média et inférieur). Le gyrus temporal supérieur forme la lèvre inférieure du sillon latéral (sylvien). Sur sa surface, face au sillon latéral, il y a plusieurs petits sillons transversaux, mettant en évidence de petites circonvolutions transversales sur celui-ci. (gyrus de Geschl), qui ne se voit qu'en écartant les bords du sillon latéral.

La partie antérieure de la rainure latérale (sylvienne) est une dépression à fond large, formant le soi-disant île (insule) ou lobe insulaire (lubus insularis). Le bord supérieur du sillon latéral recouvrant cet îlot est appelé pneu (opercule).

La surface interne (médiale) de l'hémisphère. partie centrale surface intérieure l'hémisphère est étroitement lié aux structures du diencéphale, dont il est délimité par celles liées au gros cerveau sauter (fornix) et corps calleux (corps calleux). Ce dernier est bordé à l'extérieur par un sillon du corps calleux (sulcus corporis callosi), en commençant par l'avant - le bec (tribune) et se terminant à son extrémité arrière épaissie (splénium). Ici, le sulcus du corps calleux passe dans le sulcus hippocampique profond (sulcus hippocampi), qui pénètre profondément dans la substance de l'hémisphère, le pressant dans la cavité de la corne inférieure ventricule latéral, entraînant la formation de la corne dite d'ammonium.

Un peu à l'écart du sillon du corps calleux et du sillon de l'hippocampe, on trouve le corps calleux, les sillons sous-pariétaux et nasaux, qui se prolongent les uns les autres. Ces rainures délimitent l'extérieur de la partie arquée de la face médiale de l'hémisphère cérébral, appelée lobe limbique(lobe limbique). Il y a deux circonvolutions dans le lobe limbique. La partie supérieure du lobe limbique est le limbique supérieur (marginal supérieur), ou ceinture, gyrus (girus cinguli), la partie inférieure est formée par le gyrus limbique inférieur, ou gyrus hippocampe (girus hippocampe), ou gyrus parahippocampique (girus parahypocampalis), devant lequel il y a un crochet (uncus).

Autour du lobe limbique du cerveau se trouvent les formations de la surface interne des lobes frontal, pariétal, occipital et temporal. La majeure partie de la surface interne du lobe frontal est occupée par la face médiale du gyrus frontal supérieur. À la frontière entre les lobes frontal et pariétal de l'hémisphère cérébral se trouve lobule paracentral (lobulis paracentralis), qui est, pour ainsi dire, une continuation des gyri centraux antérieur et postérieur sur la surface médiale de l'hémisphère. À la frontière entre les lobes pariétal et occipital, le sillon pariétal-occipital est clairement visible. (sulcus pariétooccipital). Du fond de celui-ci repart sillon d'éperon (sulcus calcarinus). Entre ces rainures profondes se trouve un gyrus triangulaire, connu sous le nom de coin. (cunéus). Devant le coin se trouve un gyrus quadrangulaire, lié au lobe pariétal du cerveau, le précuneus.

Face inférieure de l'hémisphère. La surface inférieure de l'hémisphère cérébral est constituée de formations frontales, temporales et lobe occipital e. La partie du lobe frontal adjacente à la ligne médiane est le gyrus direct (girus droit). A l'extérieur, il est délimité par le sillon olfactif (sulcus olfactif),à laquelle les formations de l'analyseur olfactif sont adjacentes par le bas: le bulbe olfactif et le tractus olfactif. Latéralement, jusqu'à la rainure latérale (sylvienne), qui s'étend jusqu'à la surface inférieure du lobe frontal, il y a de petits gyri orbitaux (gyri orbitale). Les sections latérales de la surface inférieure de l'hémisphère derrière le sillon latéral sont occupées par le gyrus temporal inférieur. En dedans se trouve le gyrus temporo-occipital latéral. (gyrus occipitotemporalis lateralis), ou sillon fusiforme. Avant de-

ses parties internes bordent le gyrus de l'hippocampe et les parties postérieures - sur la langue (gyrus lingualis) ou gyrus temporoccipital médial (gyrus occipitotemporalis medialis). Ce dernier, avec son extrémité postérieure, est adjacent à la rainure de l'éperon. Les sections antérieures des circonvolutions fusiformes et linguales appartiennent au lobe temporal et les sections postérieures au lobe occipital du cerveau.

Dans les hémisphères cérébraux se trouvent les centres de la parole, de la mémoire, de la pensée, de l'ouïe, de la vision, de la sensibilité musculo-squelettique, du goût et de l'odorat et du mouvement. L'activité de chaque organe est sous le contrôle du cortex.

que la région occipitale du cortex est étroitement liée à l'analyseur visuel, la région temporale - avec l'auditif (gyrus de Geshl), l'analyseur de goût, le gyrus central antérieur - avec le moteur, le gyrus central postérieur - avec l'analyseur musculo-squelettique. On peut considérer conditionnellement que ces départements sont associés au premier type d'activité corticale et fournissent les formes les plus simples de gnose et de praxis. Dans la formation de fonctions gnostiques-pratiques plus complexes, les régions corticales situées dans la région pariéto-temporale-occipitale jouent un rôle actif. La défaite de ces zones conduit à des formes plus complexes de troubles. Le centre de la parole gnostique de Wernicke est situé dans le lobe temporal de l'hémisphère gauche. Le centre moteur de la parole est situé un peu en avant du tiers inférieur du gyrus central antérieur (centre de Broc). Outre les centres de la parole orale, il existe des centres sensoriels et moteurs de la parole écrite et un certain nombre d'autres formations, d'une manière ou d'une autre, liées à la parole. La région pariéto-temporale-occipitale, où les voies provenant de divers analyseurs sont fermées, est d'une grande importance pour la formation des fonctions mentales supérieures. Les scientifiques appellent cette zone le cortex d'interprétation. Dans ce domaine, il existe aussi des formations qui participent aux mécanismes de la mémoire. Une importance particulière est également attachée à la région frontale.

Le lobe frontal est séparé du pariétal par une profonde sillon central, sulcus centralis. Il commence sur la surface médiale de l'hémisphère, passe à sa partie supérieure, le longe un peu obliquement, d'arrière en avant, et n'atteint généralement pas le cerveau (voir Fig.,).

Approximativement parallèle au sillon central sillon précentral, sulcus precentralis, mais il n'atteint pas le bord supérieur de l'hémisphère. Le sillon précentral borde devant gyrus précentral, gyrus précentralis.

Sulci frontal supérieur et inférieur, sulci frontales supérieur et inférieur, sont dirigées du sillon précentral vers l'avant. Ils divisent le lobe frontal en gyrus frontal supérieur, gyrus frontalis supérieur, qui est situé au-dessus du sillon frontal supérieur et s'étend jusqu'aux hémisphères ; gyrus frontal moyen, gyrus frontalis medius, qui est limité par les rainures frontales supérieure et inférieure. Le segment orbital de ce gyrus passe au lobe frontal. Dans les sections antérieures du gyrus frontal moyen, les parties supérieure et inférieure sont distinguées. Gyrus frontal inférieur, gyrus frontal inférieur, se situe entre le sillon frontal inférieur et le sillon latéral du cerveau et les branches du sillon latéral du cerveau sont divisés en plusieurs parties (voir ci-dessous).

Sillon latéral, sulcus lateralis, est l'un des sillons les plus profonds du cerveau. Il sépare le lobe temporal du frontal et du pariétal. Le sillon latéral se trouve sur chaque hémisphère et va de haut en bas et en avant. Au fond de ce sillon se trouve une dépression - fosse latérale, fossa lateralis cerebri, dont le fond est la surface extérieure de l'île.

De petits sillons, appelés branches, partent vers le haut du sillon latéral. Les plus permanents d'entre eux sont branche ascendante, ramus ascendens, et branche antérieure, branche antérieure; la partie postérieure supérieure du sillon est appelée branche postérieure, branche postérieure(voir fig.,).

Le gyrus frontal inférieur, dans lequel passent les branches ascendantes et antérieures, est divisé par ces branches en trois parties (voir Fig.): postérieur - partie de pneu, pars opercularis, délimité en avant par la branche ascendante ; milieu - partie triangulaire, pars triangularis, située entre les branches ascendante et antérieure, et la branche antérieure - partie orbitale, pars orbitalis, situé entre la branche horizontale et le bord inférolatéral du lobe frontal.

lobe pariétal(Voir Fig.,) se trouve en arrière du sillon central, qui le sépare du lobe frontal. Du lobe temporal, le lobe pariétal est délimité par le sillon latéral du cerveau, du lobe occipital - par partie sulcus pariétal-occipital, sulcus parietooccipitalis.

Parallèle au gyrus précentral gyrus post-central, gyrus postcentralis délimité derrière poste, sulcus postcentralis. De là en arrière, presque parallèle à la fissure longitudinale grand cerveau, se rend sillon intrapariétal, sillon intrapariétal, divisant les parties postéro-supérieures du lobe pariétal en deux gyrus : lobule pariétal supérieur, lobulus parietalis supérieur, située au-dessus du sillon intrapariétal, et lobule pariétal inférieur, lobulus parietalis inférieur situé en bas du sillon intrapariétal. Dans le lobule pariétal inférieur, on distingue deux circonvolutions relativement petites : gyrus supramarginal, gyrus supramarginalis, située en avant et fermant les sections postérieures de la rainure latérale, et située en arrière de la précédente gyrus angulaire, gyrus angularis, qui ferme le sillon temporal supérieur.

Entre la branche ascendante et la branche postérieure du sillon latéral du cerveau se trouve une section du cortex, désignée par pneu fronto-pariétal, opercule frontoparietale. Il comprend la partie postérieure du gyrus frontal inférieur, les parties inférieures des gyri précentral et postcentral et la partie inférieure de la partie antérieure du lobe pariétal.

Lobe occipital(Voir Fig.,) sur la surface convexe n'a pas de frontières le séparant des lobes pariétaux et temporaux, à l'exception de division supérieure sulcus pariétal-occipital, qui est situé sur la surface médiale de l'hémisphère et sépare le lobe occipital du pariétal. Les trois surfaces du lobe occipital: latérale convexe, médiale plate et inférieure concave, situées sur le cervelet, présentent un certain nombre de sillons et de circonvolutions.

Les sillons et circonvolutions de la surface latérale convexe du lobe occipital sont instables et souvent inégaux dans les deux hémisphères.

Le plus grand des sillons - sillon occipital transverse, sulcus occipital transversus. Parfois, il s'agit d'une continuation du sillon intrapariétal postérieur et dans la section postérieure passe dans un non-permanent sillon semi-lunaire, sulcus lunatus.

Environ 5 cm en avant du pôle du lobe occipital sur le bord inférieur de la surface latérale supérieure de l'hémisphère, il y a une dépression - encoche préoccipitale, incisura preoccipitalis.

lobe temporal(voir Fig.,) a les limites les plus prononcées. Il distingue une surface latérale convexe et une surface inférieure concave. Le pôle obtus du lobe temporal est tourné vers l'avant et légèrement vers le bas. Le sillon latéral du gros cerveau délimite nettement le lobe temporal du lobe frontal.

Deux sillons situés sur la face latérale supérieure : sulcus temporal supérieur, sulcus temporalis supérieur, et sillon temporal inférieur, sulcus temporalis inférieur, suivant presque parallèlement au sillon latéral du cerveau, divisent le lobe en trois gyrus temporaux : haut, milieu et inférieur, gyri temporales supérieur, médius et inférieur.

Les parties du lobe temporal, qui, avec leur surface externe, sont dirigées vers le sillon latéral du cerveau, sont en retrait avec de courtes rainures temporales transversales, sulci temporales transversi. Entre ces sillons se trouvent 2-3 courtes gyri temporal transverse, gyri temporales transversi associée aux circonvolutions du lobe temporal et de l'insula.

lobe insulaire(île) (voir fig.) se trouve au fond fosse latérale du cerveau, fossa lateralis cerebri.

C'est une pyramide à trois côtés, tournée par son sommet - le pôle de l'île - vers l'avant et vers l'extérieur, vers la rainure latérale. De la périphérie, l'îlot est entouré par les lobes frontal, pariétal et temporal, qui sont impliqués dans la formation des parois du sillon latéral du cerveau.

La base de l'île est entourée sur trois côtés rainure circulaire de l'île, sulcus circularis insulae, qui disparaît progressivement près de la surface inférieure de l'île. À cet endroit, il y a un petit épaississement - seuil d'îlot, limen insulae, située à la frontière avec la face inférieure du cerveau, entre l'îlot et la substance perforée antérieure.

La surface de l'île est profondément entaillée sulcus central de l'îlot, sulcus centralis insulae. Ce sillon divise l'îlot en parties antérieures, plus grandes et postérieures, plus petites.

À la surface de l'île, un nombre important de petites gyri insulaire, gyri insulae. L'avant a plusieurs gyri insulaire court, gyri breves insulae, dos - plus souvent un long gyrus insulaire, gyrus longus insulae.


Le cortex des hémisphères est couvert de sillons et de gyrus. Parmi eux, on distingue les sillons formés primaires les plus profonds, divisant les hémisphères du cerveau en lobes. Le sulcus sylvien sépare le lobe de la région frontale de la région temporale, celui de Roland est la frontière entre les lobes frontal et pariétal.

Le sillon de la région pariéto-occipitale est situé sur le plan médian de l'hémisphère cérébral et divise la région occipitale avec la région pariétale. Le plan supérolatéral n'a pas une telle frontière et n'est pas divisé en lobes.

Le plan médian a un sillon cingulaire sur lui-même, qui passe dans le sillon de l'hippocampe, délimitant ainsi le cerveau, conçu pour remplir la fonction d'odorat, des autres lobes.

Les sillons secondaires dans leur structure, par rapport aux primaires, sont destinés à diviser les lobes en parties - le gyrus, qui sont situés à l'extérieur de ce type de gyrus.

Je distingue le troisième type de sillons - tertiaires ou, comme on les appelle aussi, sans nom. Ils sont conçus pour donner une forme concrète aux circonvolutions, tout en augmentant la surface du cortex.

En profondeur, dans la partie inférieure du renfoncement latéral, il y a une part de l'îlot. Il est entouré de tous côtés par un sillon circulaire, et sa zone est complètement criblée de plis et de dépressions. Dans ses fonctions, l'insula est reliée au cerveau de l'odorat.

Ainsi, chaque hémisphère a trois types de surface : médiale, inférieure, supérieure-patérale.

La plus grande dépression à la surface de ce type est le sillon latéral. Un adulte a une dépression très profonde et large dans les lobes du cerveau, la soi-disant insula. Ce sillon commence à la base du cerveau, dès qu'il atteint la face supéro-patérale, il commence à se diviser en une branche profonde et courte qui monte, et une longue branche arrière qui se divise à la fin de la descendante et rameaux ascendants. Ce complexe ramifié sépare le lobe temporal en avant du frontal et en arrière de la région pariétale.

L'îlot qui forme le fond de cet évidement présente une protubérance qui pointe vers le bas. Cette caractéristique de la structure s'appelle le pôle. De l'avant, du haut, de l'arrière, l'île est séparée par une profonde rainure annulaire des régions frontale, pariétale et temporale qui la bordent. Ils forment à leur tour un pneu divisé en fronto-pariétal, temporal et suprafrontal.

La couverture de l'insula est divisée par le renfoncement principal, qui s'étend obliquement au centre, dans les lobes antérieur et postérieur. Le lobe antérieur de l'insula devant le sillon principal est traversé par le sillon précentral. Ces rainures et gyrus sont appelés gyrus central antérieur de l'insula.

De la partie antérieure de l'emplacement du gyrus central antérieur du cerveau, deux ou trois gyrus courts divergent, séparés les uns des autres par de petites rainures de l'insula. Son lobe postérieur est légèrement plus petit que le antérieur, il est divisé par un sillon en plusieurs longs plis, situés derrière la dépression centrale. La partie inférieure de l'île crée le pôle de l'île, ou le sillon polaire. À la base du cerveau, le gyrus polaire descend jusqu'au seuil de l'insula, après quoi il va plus loin vers la partie frontale, devenant plus étroit que le sillon frontal inférieur.

Il y a un autre sillon situé dans la partie supérieure-patérale de l'hémisphère - c'est le gyrus central (principal). Il traverse la partie supérieure de l'hémisphère en arrière, affectant légèrement la zone médiale. Puis elle s'étire vers le bas et un peu vers l'avant, sans toucher le bas, séparant ainsi la zone frontale du lobe pariétal. A l'arrière de la tête, la région pariétale est en contact avec la région occipitale.

La distinction entre eux est les deux circonvolutions formées et les sillons du cerveau - d'en haut - le sillon de la région pariéto-occipitale, qui ne touche pas complètement sa surface latérale supérieure. En général, il est situé sur sa section médiale, en dessous - le gyrus occipital, qui s'étend verticalement, se connecte au gyrus interpariétal adjacent à un angle de quatre-vingt-dix degrés.

La zone frontale est représentée par le gyrus central à l'arrière et le latéral par le bas. La partie antérieure forme le pôle du lobe frontal. De la partie antérieure du gyrus principal, une paire de sillons précentraux lui est parallèle: d'en haut - le supérieur, d'en bas - l'inférieur. Ils sont assez éloignés les uns des autres, mais à certains endroits, ils se croisent. Ce gyrus, situé entre le sillon principal et le sillon précentral, est appelé "gyrus précentral".

À la base, il se transforme en pneu, après quoi il se connecte au sillon transcentral. Cela est dû au fait que le gyrus central ne touche pas le fond du sillon latéral. Il existe également une connexion avec le gyrus transcentral dans la partie supérieure, mais uniquement dans la zone médiale, sur le lobule paracentral.

A partir des deux circonvolutions précentrales, les sillons du lobe frontal, qui ont une forme arquée, divergent presque à un angle de 90 degrés.

Du haut - le frontal supérieur, du bas - le frontal inférieur. Ces sillons et circonvolutions du cerveau séparent les trois circonvolutions du lobe frontal. Le supérieur est situé au-dessus par rapport au sillon frontal et touche la partie médiale de l'hémisphère. Le sillon moyen dans la partie antérieure se confond avec le sillon fronto-marginal.


Légèrement au-dessus de ce gyrus, la partie antérieure de l'hémisphère est traversée par des sillons orbitaux, qui se jettent dans la surface médiale de l'hémisphère dans un sillon appelé le cingulaire. Frontal, situé sous la rainure inférieure frontale, est divisé en trois:

  • operculaire (situé entre le bord inférieur du sillon inférieur du cerveau et la branche du gyrus latéral ascendant);
  • triangulaire (situé entre les branches ascendante et extrême du gyrus latéral);
  • orbital (situé à l'avant du cerveau);

Le sillon frontal supérieur, situé dans le gyrus frontal supérieur, se compose de trois parties :

  • partie de couverture. Cela indique l'emplacement entre la branche ascendante dans la partie antérieure de l'évidement latéral et la surface inférieure de la rainure de la destination précentrale ;
  • partie triangulaire. Il est situé entre les branches ascendantes et horizontales du sillon de destination latérale;
  • partie ophtalmique. Il est situé légèrement plus bas que la branche horizontale du sillon latéral ;

Le plan inférieur dans sa structure contient plusieurs circonvolutions de petite taille. Le long des bords de la lumière médiale se trouvent des circonvolutions droites. De plus, ils sont rejoints par des sillons destinés à l'odorat, petits sillons de la partie orbitaire, gyrus.

Le lobe de la partie pariétale présente un sillon central en partie antérieure, un sillon latéral en partie inférieure et un sillon pariéto-occipital et occipital transversal en arrière.

À côté du sillon central, près de sa partie postérieure, il y a un sillon post-central, généralement divisé en un gyrus inférieur et supérieur. Dans la partie inférieure, comme le gyrus précentral, il se transforme en pneu et dans la partie supérieure - dans le lobe paracentral.

Les sillons transcentraux et principaux et les circonvolutions de la région pariétale se confondent souvent dans le sillon interpariétal. Il est arqué, remonte, parallèle à la partie supérieure de l'hémisphère. Le sillon interpariétal se termine à la délimitation du lobe occipital, tout en s'écoulant largement dans le sillon transversal de la partie occipitale. Le gyrus interpariétal divise la région pariétale en lobules supérieurs et inférieurs.

La région temporale de la région supérieure est séparée par une formation latérale et la région postérieure est délimitée par une ligne qui relie la surface marginale postérieure de ce cerveau du sulcus au bord sous-jacent du sulcus transversal de la région occipitale. La frontière de la région temporale est séparée par une ligne qui relie deux régions : les encoches occipito-pariétales et pré-occipitales. La surface externe de la région temporale présente des formations plissées longitudinalement temporelles, qui sont situées parallèlement à la latérale.


Le gyrus supérieur temporal dans la partie postérieure, cependant, comme le latéral, se termine par une divergence en plusieurs branches, libérant deux principales - montante et descendante. La branche, dite ascendante, se jette dans la partie inférieure du lobule pariétal et est entourée d'un gyrus, situé en biais. Le pli médian du lobe temporal est constitué de plusieurs segments successifs.

Le gyrus inférieur de la région temporale, à son tour, est situé sur la partie inférieure de l'hémisphère. Les sillons temporaux du cerveau distinguent trois plis temporaux situés longitudinalement. La formation temporale plissée, située au sommet, est située entre la région temporale et la région latérale des sillons. Celui du milieu est situé entre les évidements du milieu et du haut.

L'inférieur est posé entre la rainure inférieure et celle du milieu, une petite partie de celle-ci est située sur la surface externe de la région temporale, le reste va dans la base. La paroi inférieure de l'évidement latéral est formée par la partie supérieure du gyrus temporal, qui, à son tour, est divisé en parties: la partie operculaire, qui est recouverte par l'opercule de la partie fronto-pariétale, et la plus petite, la partie antérieure, recouvrant l'insula.

La partie operculaire se présente sous la forme d'un triangle, dans sa zone les plis transversaux du lobe temporal divergent comme un éventail, qui sont séparés par des évidements transversaux. L'une des circonvolutions transversales n'est pas interrompue, tandis que les autres se forment sous la forme de circonvolutions de transition et conduisent aux plans supérieur et inférieur de la partie temporale.

La région occipitale se termine par un pôle, de face elle est délimitée par le lobe pariétal avec les sillons transversaux pariétal et occipital. Il n'a pas de frontière claire avec la région temporale et la frontière entre elles est conditionnelle. Il passe approximativement par ordre décroissant à la partie inférieure de la rainure transversale de l'occiput, se dirigeant vers l'encoche de la région préoccipitale, qui se présente comme une dépression au site de la transformation du plan latéral supérieur en son plan inférieur. Les canaux de la région occipitale sur le plan supéro-latéral de l'hémisphère cérébral sont très instables, tant en nombre qu'en direction.

La majeure partie est encore représentée par un certain nombre de circonvolutions latérales de l'occiput, parmi lesquelles la plus grande, inchangée et constante est considérée comme le gyrus qui longe la partie supérieure de la région occipitale, en passant par le sillon interocciput. Ce gyrus est un prolongement de l'approfondissement interpariétal. Le pont, qui est répertorié comme la transition de la région pariétale à la région occipitale, présente plusieurs circonvolutions de la transition reliant les deux régions.

Médian

Les principaux sur le plan médian sont deux sillons, concentrés autour du corps calleux. L'un de ces sillons, qui est le plus étroitement adjacent au corps calleux, est appelé le "sillon du corps calleux".

De l'arrière, il passe doucement dans un sillon portant le nom "hippocampe". Cette rainure abaisse profondément la paroi du cerveau, la faisant saillir dans l'espace de la corne du ventricule sous la forme d'une corne. D'où le nom d'hippocampe. Une autre rainure s'étend sur l'approfondissement du corps calleux du cerveau, qui a une forme arquée et s'appelle le cingulaire. Le suivant, allant vers l'arrière, est le sillon de la partie sous-thème.

Dans l'espace intérieur cavité temporale le sillon rhinal s'étend parallèlement au sillon hippocampique. Les trois sillons sont à leur manière une bordure avec une région arquée qui se détache sur tout le fond en raison des fonctions générales du lobe marginal.


Sa partie supérieure, située entre l'approfondissement du corps calleux, les sillons, est appelée gyrus cingulaire, ou gyrus limbique supérieur. Sa partie inférieure, située entre deux sillons - appelés hippocampe et rhinal, est appelée limbique, ou encore gyrus parahippocampique.

Ces deux circonvolutions sont reliées à l'arrière du corps calleux au moyen de l'isthme du gyrus appelé le cingulaire. Le gyrus limbique dans son plan antérieur forme une courbure qui se prolonge vers l'arrière, ayant l'aspect d'un crochet. Sa petite extrémité forme le gyrus intralimbique.

Extrémité arrière le plan médian présente deux sillons très profonds : l'un est pariétal-occipital, le second est un éperon. Le premier pénètre dans la partie supérieure de l'hémisphère cérébral à l'endroit où passe la frontière de la région occipitale avec le pariétal. Sa sortie se termine sur le plan supéro-latéral.

Dans son avantage, il est situé sur le plan extérieur de la région médiale de l'hémisphère cérébral, après quoi il descend, tandis que la rainure de l'éperon monte vers lui. Entre les sillons des parties pariéto-occipitale et marginale de l'évidement cingulaire se trouve un gyrus, qui a la forme d'un quadrilatère. Il appartient à la région pariétale et s'appelle le précuneus.

La direction longitudinale est inhérente à la rainure de l'éperon, qui avance en s'éloignant du pôle occipital. La rainure de l'éperon diverge souvent en deux branches - supérieure et inférieure, puis se confond avec la rainure de la région pariéto-occipitale sous un certain angle. A la place, la corne du ventricule cérébral latéral, il y a un éperon d'oiseau, ce qui explique l'élévation de la rainure de l'éperon. Sa continuation vers l'avant à partir de l'endroit où il se connecte avec le sillon de la région pariéto-occipitale s'appelle le tronc.

L'extrémité du tronc est située à l'arrière du corps calleux, et à l'extrémité du bas et du haut, il a un rouleau - l'isthme. Il appartient au gyrus cingulaire. Entre l'éperon et l'évidement pariétal-occipital, il y a une formation pliée, qui se présente sous la forme d'un triangle et s'appelle un coin.

Le limbique, comme on l'appelle aussi, le pli cingulaire, s'enroule complètement autour du corps calleux, ou, pour être plus précis, de la commissure, qui sert de connexion pour les deux hémisphères. Vers la fin, ce gyrus se termine par un rouleau. Passant dessous, il est adjacent à son dos et a la forme d'un arc en arc. Sa partie inférieure se présente sous la forme d'une plaque choroïde.

Cette plaque est une partie dérivative du mur, mais à cet endroit elle est réduite au maximum. La zone qu'il couvre s'appelle le plexus choroïde, qui fait saillie dans l'espace des ventricules cérébraux latéraux, à la suite de quoi un sillon très précoce, selon les indicateurs ontogénétiques, se forme. Le triangle, qui est formé entre la colonne de l'arc et tourné vers le bas, a un cavalier transparent dans sa structure.


De l'endroit où la plaque rostrale touche la colonne du fornix, une plaque d'extrémité s'étend vers le bas et descend jusqu'à la décussation. Dans sa structure, il a une paroi antérieure de la vessie cérébrale, qui est située à l'avant, entre deux vessies saillantes du télencéphale et est la frontière avec la cavité du troisième ventricule.

À partir de la plaque d'extrémité, un gyrus quasi-terminal (sous-calleux) s'étend vers l'avant, situé parallèlement à la plaque.

La partie inférieure de l'hémisphère cérébral

La partie inférieure est représentée principalement par les parties inférieures des régions temporale, frontale et occipitale. Entre eux, il y a une bordure, qui est formée par un évidement émanant de la base, de type latéral. Sur le plan de la zone frontale, il y a un sillon d'odorat, qui a dans sa structure le bulbe de l'odorat et le tractus des fonctions olfactives.

Il s'étend profondément, à travers la partie antérieure, il dépasse les limites du bulbe olfactif et, dans la partie postérieure, il diverge en deux - dans les processus médial et latéral. Un pli droit s'étend entre l'approfondissement de l'odorat et la partie marginale du plan médian de l'hémisphère. Vers la partie externe, partant du sillon de l'odeur, la partie inférieure de la zone frontale est recouverte de canaux en retrait de forme et d'apparence très variables, qui se plient constamment en un «H» - une lettre en forme et sont appelés évidements orbitaux . La rainure, qui traverse transversalement le plan et forme un sautoir "H", est communément appelée l'orbitale transversale.

Les rainures de type longitudinal qui en partent sont appelées rainures orbitales médiales et latérales. Ils sont situés entre les creux du pli orbitaire et sont appelés sillons orbitaux.


La surface inférieure de la région temporale dans sa structure permet de voir le temporal qui, à certains endroits, pénètre dans le plan extérieur de l'hémisphère. Plus près de la partie profonde et approximativement parallèle à celle-ci, la rainure collatérale s'étend. En un endroit autour de la corne du ventricule cérébral, il correspond à une élévation dite collatérale. Le pli qui pénètre vers l'intérieur, à partir de l'emplacement du collatéral, situé entre cette formation et la rainure de l'éperon, est appelé roseau.

Chacune des circonvolutions est conçue pour remplir certaines fonctions. Tout facteur qui précède la perturbation de l'exécution des fonctions définies pour le gyrus doit être immédiatement identifié et éliminé, sinon il promet une perturbation du corps dans son ensemble.

Vidéo


Sillons et CERVEAU CONTINU : SURFACE SUPER-LATÉRALE
[ sulci et gyri du manteau cérébral : la surface superlatérale ]

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    Collections de ressources partagées

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  22. Dans la partie antérieure de chaque hémisphère du cerveau se trouve le lobe frontal, lobus frontalis. Il se termine en avant par le pôle frontal et est délimité en bas par le sillon latéral, sulcus lateralis (sillon sylvien), et en arrière par un profond sillon central (Fig. 124, 125). Le sillon central, sulcus centralis (sillon de Roland), est situé dans le plan frontal. Il commence dans la partie supérieure de la surface médiale de l'hémisphère cérébral, coupe son bord supérieur, descend sans interruption le long de la surface latérale supérieure de l'hémisphère et se termine, légèrement en deçà de la rainure latérale. En avant du sillon central, presque parallèlement à celui-ci, se trouve le sillon précentral, sulcus precentralis. Ce dernier se termine en bas, n'atteignant pas le sillon latéral. Le sillon précentral est souvent interrompu dans la partie médiane et se compose de deux sillons indépendants. A partir du sillon précentral, les sillons frontaux supérieur et inférieur, suici frontales supérieur et inférieur, avancent. Ils sont situés presque parallèlement les uns aux autres et divisent la surface latérale supérieure du lobe frontal en circonvolutions. Entre le sillon central à l'arrière et le sillon précentral à l'avant se trouve le gyrus précentral, gyrus precentralis (antérieur). Au-dessus du sillon frontal supérieur se trouve le gyrus frontal supérieur, gyrus frontalis supérieur, qui occupe la partie supérieure du lobe frontal. Entre les rainures frontales supérieure et inférieure se trouve le gyrus frontal moyen, gyrus frontalis medius. En bas du sillon frontal inférieur se trouve le gyrus frontal inférieur, gyrus frontalis inférieur. Les branches de la rainure latérale font saillie dans ce gyrus par le bas : la branche ascendante, ramus ascendens, et la branche antérieure, ramus anterior. Ces branches divisent la partie inférieure du lobe frontal, surplombant la partie antérieure du sillon latéral, en trois parties. La partie du pneu (pneu frontal), pars opercularis (operculum frontale), est située entre la branche ascendante et la partie inférieure du sillon précentral. Cette partie du lobe frontal tire son nom du fait qu'elle recouvre le lobe insulaire (îlot) situé profondément dans le sillon. La partie triangulaire, pars triangularis, est située entre la branche ascendante à l'arrière et la branche antérieure à l'avant. La partie orbitaire, pars orbitalis, se trouve vers le bas à partir de la branche antérieure, se poursuivant jusqu'à la surface inférieure du lobe frontal. À cet endroit, le sillon latéral se dilate et s'appelle donc la fosse latérale du cerveau, la fosse. lateralis (cerebraiis).

    lobe frontal. Dans la partie postérieure de la surface externe de ce lobe, le sulcus precentralis est presque parallèle à la direction du sulcus centralis. Deux sillons en partent dans le sens longitudinal : sulcus frontalis superior et sulcus frontalis lower. Pour cette raison, le lobe frontal est divisé en quatre circonvolutions - une verticale et trois horizontales. Le gyrus vertical, gyrus precentralis, est situé entre le sulcus centralis et le sulcus precentralis.

    Gyri horizontal du lobe frontal ce qui suit:
    1) frontal supérieur, gyrus frontalis supérieur qui va au-dessus sulcus frontalis supérieur, parallèle au bord supérieur de l'hémisphère, atteignant également sa face médiale ;
    2) gyrus frontal moyen, gyrus frontalis medius, s'étend entre les sillons frontaux supérieur et inférieur et
    3) gyrus frontal inférieur, gyrus frontal inférieur, est placé entre s ulcus frontal inférieur et sillon latéral.
    Les branches du sillon latéral, faisant saillie dans le gyrus frontal inférieur, divisent ce dernier en trois parties : pars opercularis située entre l'extrémité inférieure sulcus précentralis et ramus ascendens sulci lateralis, pars triangularis, situé entre les deux branches de la rainure latérale, et, enfin, pars orbitale, placé devant branche antérieure sulci lateralis.

Une caractéristique du cerveau humain est la taille incroyable du cortex et le pliage complexe. - la zone la plus développée du cerveau responsable de l'activité non réflexe (mémoire, perception, cognition, pensée, etc.).

La formation de structures cortico-sous-corticales se produit au cours du développement embryonnaire, offrant la possibilité de placer le cortex dans un volume limité du crâne. Des circonvolutions (poids) et des sillons (sillons) composent sa surface plissée. Des modifications pathologiques de la taille ou des plis du cortex entraînent un handicap mental grave et une épilepsie incurable. Par conséquent, l'expansion et le repliement corticaux sont considérés comme des processus clés de l'évolution du cerveau.

Sillons et gyrus : formation et fonctions

Les sulci et les gyri en neuroanatomie, qui donnent au cerveau une apparence ridée, remplissent deux fonctions importantes. Ils aident à augmenter la surface du cortex, ce qui permet de condenser davantage et d'améliorer la capacité du cerveau à traiter les informations. Les sillons et les circonvolutions du cerveau forment des divisions, créant des frontières entre les lobes du cerveau, le divisant en deux hémisphères.

Principaux sillons :

  1. La fissure interhémisphérique est une rainure profonde au centre du cerveau qui contient le corps calleux.
  2. La fissure sylvienne (sillon latéral) sépare les lobes pariétaux et frontaux.
  3. Fissure de Roland (sillon central) séparant le gyrus fusiforme et le gyrus hippocampique sur la face inférieure des lobes temporaux.
  4. Parieto-occipital - sépare les lobes pariétal et occipital.
  5. Fissure d'éperon (rainure en forme d'éperon ou fissure proéminente) - située dans les lobes occipitaux, divise le cortex visuel.

Principales circonvolutions du cerveau :

  1. Le gyrus angulaire du lobe pariétal facilite le traitement de la reconnaissance auditive et visuelle.
  2. Le gyrus de Broca (centre de Broca) est une zone du cerveau située dans le lobe frontal gauche chez la plupart des gens qui contrôle les fonctions associées à la reproduction de la parole.
  3. Le gyrus cingulaire est un pli arqué situé au-dessus corps calleux, est un composant du système limbique et traite les informations sensorielles concernant les émotions, régule le comportement agressif.
  4. Le gyrus fusiforme est situé dans les lobes temporaux et occipitaux et se compose de parties latérale et médiale. On pense qu'il joue un rôle dans la reconnaissance des mots et des visages.
  5. Le gyrus hippocampique se replie sur la surface interne du lobe temporal, qui borde l'hippocampe. Joue un rôle important dans la mémoire.
  6. Gyrus lingual dans le lobe occipital impliqué dans le traitement visuel. Elle est limitée par le sillon collatéral et la fissure de l'éperon. En avant, il entre en contact avec le gyrus parapopampal et, ensemble, ils forment la partie médiale du gyrus fusiforme.

Au fur et à mesure que l'embryon se développe, des circonvolutions et des sillons se forment avec l'apparition de dépressions à la surface. Toutes les circonvolutions ne se développent pas en même temps. La forme primaire se forme à partir de la 10ème semaine de grossesse (chez l'homme), puis se développent les secondaires et tertiaires. Le sillon le plus proéminent est le sillon latéral. Il est suivi du cortex central, séparant le cortex moteur (gyrus précentral) du cortex somatosensoriel (gyrus postcentral). La plupart des sillons corticaux et des circonvolutions cérébrales, dont l'anatomie commence à se dessiner entre 24 et 38 semaines de gestation, continuent de croître et de se développer après la naissance du nouveau-né.

L'état précoce du cerveau a une forte influence sur le niveau final de gyrification. En particulier, il existe une relation inverse entre l'épaisseur corticale et la gyrification. Les zones du cerveau avec une faible valeur d'épaisseur ont plus haut niveau gyrification. L'inverse est également vrai, que les zones du cerveau avec une valeur d'épaisseur élevée (par exemple, épaississement du cortex des gyri hippocampiques du cerveau) - un faible niveau de gyrification.

Lobes du cerveau et leurs fonctions

Chacun des hémisphères est divisé en quatre lobes : frontal, pariétal, temporal et occipital. La plupart des fonctions cérébrales reposent sur différentes zones du cerveau qui fonctionnent ensemble, mais chaque lobe joue un rôle majeur par rapport à certaines fonctions.

Le lobe frontal est situé dans la région la plus antérieure du cortex cérébral, séparé du lobe pariétal par le sillon central, et du lobe temporal par le latéral. En règle générale, les fonctions exécutives les plus importantes pour une personne sont concentrées dans la zone, y compris la régulation des émotions, la planification, le raisonnement, la résolution de problèmes.

Le lobe pariétal est responsable de l'intégration des informations sensorielles, notamment le contact, la température, la pression et la douleur. En raison du traitement se produisant dans le lobe pariétal, il est possible de distinguer le toucher de deux objets à des points proches (plutôt que comme un seul objet). Ce processus est appelé processus en deux points.

Le lobe temporal contient également des zones impliquées dans le traitement des informations sensorielles, particulièrement importantes pour l'audition, la reconnaissance du langage et la formation de la mémoire. Le cortex auditif primaire reçoit les informations audio par les oreilles et les zones secondaires et traite les données afin que la personne comprenne ce qu'elle entend (mots, rires, pleurs, etc.). La partie médiale (plus proche du centre du cerveau) contient l'hippocampe, une zone importante pour la mémoire, l'apprentissage et la perception des émotions. Certaines zones du lobe temporal traitent des informations visuelles complexes, notamment des visages et des scènes.

Mécanismes cellulaires conduisant à l'expansion et au repliement du cortex cérébral

La structure du cerveau humain le distingue des autres mammifères, et pour cette raison peut expliquer ses capacités mentales uniques par rapport aux autres animaux. Le nombre de plis dans le cortex est peut-être en corrélation avec certaines capacités cognitives, sensorielles et motrices spécifiques. Bien qu'il n'y ait aucune explication claire de la façon dont se produit la division unique du cerveau humain en sillons et circonvolutions. Aujourd'hui, on progresse dans la compréhension de l'extrême processus complexes dans le cerveau dont le cortex est construit avec tant de sillons et de circonvolutions. Malgré le fait que toutes les cellules ont le même ADN, différentes cellules souches neurales se forment. C'est leur travail avec diverses propriétés crée la structure de base du cerveau, composée de neurones et de cellules gliales.

Neuroépithélium télencéphalique

La croissance cérébrale se produit à travers deux types de cellules souches - les cellules souches neurales et les progéniteurs neuraux. Ces deux formes forment les neurones qui deviennent permanents dans le cerveau, ainsi que des cellules intermédiaires qui fournissent les éléments de base pour la construction du cerveau. Quatre divers types les cellules souches déterminent la structure du cortex.

Au début du développement embryonnaire, l'expansion du domaine rostral du tube neural se traduit par l'apparition de deux vésicules télencéphaliques. La moitié dorsale de ces vésicules est définie moléculairement comme le rudiment du cortex cérébral. A ce stade, l'ébauche corticale est constituée exclusivement d'une monocouche de cellules progénitrices neuroépithéliales. Ils sont fortement polarisés et attachés les uns aux autres par des jonctions serrées au niveau du domaine apical (la surface interne de la vessie télencéphalique) et se déplacent noyau cellulaire entre le côté apical (apical) et basal (inférieur) du neuroépithélium conformément au cycle cellulaire.

  • mouvement dirigé vers la base pendant la phase G1 ;
  • position basale pendant la phase S ;
  • mouvement dirigé vers l'apex pendant la phase G2 ;
  • mitose sur la surface apicale.

Le mouvement cyclique est connu sous le nom de migration nucléaire intercinétique et est complètement asynchrone entre les cellules neuroépithéliales, donnant au neuroépithélium un aspect pseudostratifié. Les cellules ne subissent que des divisions auto-agressives symétriques, chaque division générant deux cellules filles, augmentant ainsi leur nombre de manière exponentielle. S'agissant des progéniteurs fondamentaux du cortex cérébral, la taille de leur association détermine le nombre de progéniteurs neurogènes dérivés et le nombre final de neurones corticaux, et a donc une influence fondamentale sur la taille du cortex mature. L'augmentation de la quantité entraîne une expansion de la surface et la formation de neuroépithélium.

Distribution et neurogenèse

Immédiatement avant le début de la neurogenèse, les cellules progénitrices neuroépithéliales commencent à perdre des jonctions serrées et à acquérir des caractéristiques typiques des cellules gliales (y compris l'expression de la protéine de liaison aux lipides du cerveau, de la vimentine et de Pax6), devenant ainsi des cellules gliales radiales apicales (ARGC). Ils subissent également une migration nucléaire intercinétique, se divisent à la surface apicale du cortex en développement et, à ce stade précoce, subissent également des divisions auto-renforcées.

Peu à peu, cependant, ils commencent à se diviser de manière asymétrique pour générer une cellule similaire plus une autre cellule. Ces nouvelles cellules s'accumulent dans la partie basale de l'ébauche corticale, tandis que les corps cellulaires des ARGC restent du côté apical, formant la zone ventriculaire (ZZ). Avec l'accumulation de cellules au-dessus du GI, le processus ARGC se prolonge tout en restant attaché à la plaque basale et est maintenant appelé glie radiale. Les divisions ARGC asymétriques génèrent un ARGC plus un neurone ou une cellule progénitrice intermédiaire. Les progéniteurs intermédiaires (progéniteurs secondaires sans polarité apico-basale) ne subissent pas de migration nucléaire intercinétique, se divisent en une couche située dans la région de la zone sous-ventriculaire ventriculaire (VZ) et expriment tous le facteur de transcription (Tbr2).


Riz. 22. Sillons et circonvolutions sur la face latérale supérieure.

1. sillon central (Rolandov)
2. sillon précentral et gyrus
3. sillon frontal supérieur et gyrus
4. gyrus frontal moyen
5. sillon frontal inférieur et gyrus
6. pneu
7. partie triangulaire
8. surface orbitale
9. bore post-central. et gyrus
10. sillon intrapariétal
11. lobule pariétal supérieur
12. lobule pariétal inférieur
13. gyrus supramarginal (supramarginal)
14. gyrus angulaire
15. sillon latéral (Silviev)
16. sillon temporal supérieur et gyrus
17. gyrus temporal moyen
18. sillon temporal inférieur et gyrus

Riz. 23. Sillons et circonvolutions sur la face médiale

19. corps calleux et son sillon
20. matière grise du corps calleux
21. champ sous-calcifié
22. gyrus paraterminal
23. ceinture de bore. et gyrus
24. isthme du gyrus cingulaire
25. sillon hippocampique (gyrus denté)
26. lobule paracentral
27. précuneus
28. coin
29. sillon pariétooccipital
30. sillon d'éperon
31. gyrus lingual
32. sulcus et gyrus parahippocampiques
33. crochet
34. sillon nasal
35. temporoccipital médial
36. gyrus temporoccipital latéral
37. sillon temporoccipital

Le cortex des hémisphères est couvert de sillons et de circonvolutions ( , , ). Distinguer les sillons primaires les plus profonds, qui divisent les hémisphères en lobes. Le sillon latéral (Sylvieva) sépare le lobe frontal du temporal, le sillon central (Roland) - le frontal du pariétal. Le sillon pariétal-occipital est situé sur la surface médiale de l'hémisphère et sépare les lobes pariétal et occipital ; il n'y a pas de frontière claire entre ces lobes sur la surface supérolatérale.

Sur la surface médiale, il y a un sillon cingulaire, qui passe dans le sillon hippocampique, qui limite le cerveau olfactif du reste des lobes.

Les sillons secondaires sont moins profonds, ils divisent les lobes en circonvolutions et se situent en dehors des circonvolutions du même nom. Les sillons tertiaires (sans nom) donnent aux circonvolutions une forme individuelle, augmentent la surface de leur cortex.

Dans la profondeur de la rainure latérale () se trouve le lobe insulaire. Il est entouré sur trois côtés par un sillon circulaire, sa surface est échancrée de sillons et de circonvolutions. Fonctionnellement, l'insula est associée à la moelle olfactive.

Fig.24. Sillons et circonvolutions de la face inférieure des hémisphères cérébraux


1. sillon olfactif
2. gyrus direct
3. sillons orbitaux
4. gyri orbital (variable)
5. sillon temporal inférieur
6. sillon parahippocampique (collatéral)
7. gyrus parahippocampique
8. sillon temporoccipital
9. sillon d'éperon

Toutes les possibilités d'un être vivant sont inextricablement liées au cerveau. En étudiant l'anatomie de cet organe unique, les scientifiques ne cessent de s'étonner de ses capacités.

À bien des égards, l'ensemble des fonctions est associé à la structure, dont la compréhension vous permet de diagnostiquer et de traiter correctement un certain nombre de maladies. Par conséquent, en examinant les sillons et les circonvolutions du cerveau, les experts tentent de noter les caractéristiques de leur structure, dont les écarts deviendront un signe de pathologie.

Qu'est-ce que c'est ça?

La topographie du contenu du crâne a montré que la surface responsable du fonctionnement corps humain l'organe est une série d'élévations et de dépressions qui s'accentuent avec l'âge. Ainsi, la zone du cerveau s'agrandit tout en maintenant le volume.

Les circonvolutions sont appelées plis qui caractérisent un organe au stade final de développement. Les scientifiques associent leur formation à différents indicateurs de tension dans les régions du cerveau pendant l'enfance.

Les sillons sont appelés canaux qui séparent le gyrus. Ils divisent les hémisphères en sections principales. Selon le moment de la formation, il existe des types primaires, secondaires et tertiaires. L'un d'eux se forme pendant la période prénatale du développement humain.

D'autres sont acquis à un âge plus avancé, restant inchangés. Les sillons tertiaires du cerveau ont la capacité de se transformer. Les différences peuvent concerner la forme, la direction et la taille.

Structure


Lors de la détermination des principaux éléments du cerveau, il est préférable d'utiliser un diagramme afin de mieux comprendre l'image globale. Les évidements primaires du cortex comprennent les rainures principales, divisant l'organe en deux grandes parties, appelées hémisphères, et délimitant également les sections principales :

  • entre les lobes temporaux et frontaux se trouve le sillon de Sylvius;
  • La dépression de Roland est située à la frontière entre les parties pariétale et frontale ;
  • La cavité pariéto-occipitale est formée à la jonction des zones occipitale et pariétale;
  • le long de la cavité de la ceinture, en passant dans l'hippocampe, ils trouvent le cerveau olfactif.

La formation du relief se produit toujours dans un certain ordre. Les sillons primaires apparaissent à partir de la dixième semaine de grossesse. D'abord, le latéral est formé, suivi du central et des autres.

Outre les sillons principaux, qui portent des noms distinctifs, un certain nombre de dépressions secondaires apparaissent entre 24 et 38 semaines de la période prénatale. Leur développement se poursuit après la naissance de l'enfant. En cours de route, des formations tertiaires se forment, dont le nombre est purement individuel. Les caractéristiques personnelles et le niveau intellectuel d'un adulte font partie des facteurs qui influent sur le relief d'un organe.

Formation et fonctions des circonvolutions du cerveau


Il a été révélé que les principales sections du contenu du crâne commencent à se former à partir du ventre de la mère. Et chacun d'eux est responsable d'un côté séparé personnalité humaine. Ainsi, la fonction du gyri temporal est associée à la perception de la parole écrite et orale.

Voici le centre de Wernicke, dont les dommages conduisent au fait qu'une personne cesse de comprendre ce qu'on lui dit. En même temps, il est conservé pour prononcer et écrire des mots. La maladie est appelée aphasie sensorielle.

Dans la région du gyrus pubien inférieur, il existe une formation responsable de la reproduction des mots, appelée centre de la parole de Broca. Si l'IRM révèle une atteinte de cette région cérébrale, on observe une aphasie motrice du patient. Cela signifie une compréhension complète de ce qui se passe, mais l'incapacité d'exprimer vos pensées et vos sentiments avec des mots.

Cela se produit lorsqu'il y a une violation de l'apport sanguin dans l'artère cérébrale.

Des dommages à tous les départements responsables de la parole peuvent provoquer une aphasie complète, dans laquelle une personne peut perdre le contact avec le monde extérieur en raison de son incapacité à communiquer avec les autres.

Le gyrus central antérieur est fonctionnellement différent des autres. Faisant partie du système pyramidal, il est responsable de l'exécution des mouvements conscients. Le fonctionnement de l'éminence centrale postérieure est inextricablement lié aux sens humains. Grâce à son travail, les gens ressentent la chaleur, le froid, la douleur ou le toucher.

Le gyrus angulaire est situé dans le lobe pariétal du cerveau. Son importance est liée à la reconnaissance visuelle des images résultantes. Il subit également des processus qui vous permettent de déchiffrer les sons. Le gyrus cingulaire au-dessus du corps calleux est un composant du système limbique.

Il est responsable des émotions et du contrôle des comportements agressifs.

La mémoire joue un rôle important dans la vie humaine. Elle joue un rôle important dans sa propre éducation et celle des nouvelles générations. Et la préservation des souvenirs serait impossible sans le gyrus hippocampique.

Les médecins qui étudient la neuropathologie notent que la défaite de l'une des régions du cerveau est plus fréquente que la maladie de l'organe entier. Dans ce dernier cas, le patient est diagnostiqué avec une atrophie, dans laquelle un grand nombre d'irrégularités sont lissées. Cette maladie est étroitement associée à de graves déficiences intellectuelles, psychologiques et mentales.

Lobes du cerveau et leurs fonctions


Grâce aux sillons et aux circonvolutions, l'organe à l'intérieur du crâne est divisé en plusieurs zones aux fonctions différentes. Ainsi, la partie frontale du cerveau, située dans le cortex antérieur, est associée à la capacité d'exprimer et de réguler les émotions, de faire des plans, de raisonner et de résoudre des problèmes.

Le degré de son développement détermine le niveau intellectuel et mental d'une personne.

Le lobe pariétal est responsable des informations sensorielles. Il vous permet également de séparer les contacts produits par plusieurs objets. La région temporelle contient tout le nécessaire pour traiter les informations visuelles et auditives reçues. La zone médiale est associée à l'apprentissage, à la perception des émotions et à la mémoire.

Le mésencéphale vous permet de maintenir le tonus musculaire, la réponse aux stimuli sonores et visuels. Le dos de l'organe est divisé en la partie oblongue, le pont et le cervelet. Le lobe dorsolatéral est responsable de la régulation de la respiration, de la digestion, de la mastication, de la déglutition et des réflexes protecteurs.

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