La fois précédente, cela avait été entendu au Royaume-Uni, à Bristol, et les journaux en avaient longuement parlé. Et puis il est réapparu, cette fois en balayant la planète entière. En août 2011, 2012 et début 2013, il a été entendu au Brésil, aux États-Unis, au Canada, en Russie, en Ukraine, en Australie, en Europe et en Asie.
Sa principale caractéristique est qu’il provoque une panique sans cause chez les gens. Il est ce qu’on appelle le « gémissement » ou le « bourdonnement » de la Terre. Qu'est-ce que c'est - une hallucination sonore, le mouvement des plaques tectoniques, le bruit des ondes acoustiques-gravitaires, psychose de masse ou juste un canard de journal ? Essayons de le comprendre.
On entend des gémissements de partout
Doug Shafer, Ontario (Canada) :
- Ces sons étaient très intenses, il semblait que tout rugissait. C'est comme un immense océan.
Natalia et Marina Eroshenko, Rostov-sur-le-Don :
- Le bruit était si inhabituel qu’il ne pouvait même être comparé à rien. Il était puissant
et effrayant. Il y eut juste une sorte de rugissement, comme si un avion survolait la maison.
Tatiana Miteleva, Moscou :
- Cela semblait venir de la Terre, mais c'était partout. Et pour moi, c'était un peu incompréhensible et effrayant.
Ilya Bogomolov, Rostov-sur-le-Don :
- C'était comme s'il était partout, aux alentours. Si grave, assez effrayant, contrairement à tous les autres sons.
Roman et Gennady Ovchinnikov, Novokuznetsk :
- Il m'a réveillé la nuit. Un bourdonnement étrange qui pénètre même à travers une fenêtre fermée. Cela crée un sentiment de panique sans cause. Et vous ne savez même pas quoi faire en ce moment. J'ai vraiment eu peur, j'ai pensé qu'il fallait que je fasse mes valises, mon enfant, mes documents et que je coure quelque part. On ne savait pas d’où cela venait ; c’était comme si le son était enveloppant.
Il s'agit d'une compilation de nombreux programmes et vidéos Internet. La plus grande série de bruits de ce type a balayé la planète du 9 au 12 janvier 2012. Ces quatre jours, la Terre, selon les correspondants de différentes chaînes, a littéralement grondé. Des enregistrements audio et vidéo amateurs ont été réalisés sur tous les continents. Les médias ont assuré que personne n'avait jamais entendu ces sons auparavant.
Ce n'est pas tout à fait vrai. Depuis de nombreuses années, les habitants de la ville de Taos, dans l'État du Nouveau-Mexique, au sud-ouest des États-Unis, entendent un grondement basse fréquence venant du désert. Le phénomène s’appelait le « Taos Noise ». Le bruit est similaire au mouvement d'équipement lourd sur une autoroute, bien qu'il n'y ait pas de routes principales dans la zone de la petite colonie.
Ce son n'est entendu que par les résidents locaux et extrêmement rarement par les visiteurs.
Les scientifiques qui ont étudié ce bourdonnement n’ont jamais pu en trouver la source. Ils ont seulement suggéré que cela pourrait être causé par une grande ligne électrique passant à proximité de la ville. Entre-temps, un tel bruit est connu depuis longtemps et on l’appelle une anomalie sonore.
Il s'agit d'un nom général désignant un certain nombre de phénomènes associés à un bourdonnement constant ou périodique à basse fréquence qui n'est pas audible par tout le monde. Ces bruits sont enregistrés dans toutes les régions du globe. Dans certains cas, la source du son a été identifiée. Par exemple, le bruit à Hawaï, entendu à des dizaines de kilomètres, était une conséquence de l'activité volcanique.
Habituellement, le bruit est décrit par les témoins comme le bruit au ralenti d'un moteur diesel en marche. En règle générale, ils ne peuvent pas être enregistrés à l’aide d’un microphone et, surtout, la source ne peut pas être identifiée avec précision.
Cependant, il y a eu des cas où le son n'a pas été entendu seulement par une certaine partie de la population. Un exemple en est le « Bristol Rumble », qui aurait été entendu au Royaume-Uni dans les années 1970.
« Sons de l'apocalypse » ou « craquements de la Terre » est le nom donné à une anomalie sonore qui a été constatée dans différentes parties de la planète au cours des deux dernières années. Contrairement à d’autres phénomènes similaires, le bourdonnement était audible par la plupart des gens et il a été parfaitement enregistré par l’équipement.
VERSION APOCALYPTIQUE
Inutile de dire que même les plus incrédules ont commencé à parler de la fameuse fin du monde. Le fait est que différentes croyances disent la même chose : un certain son avertira les gens de l’apocalypse. Les Juifs croient que cela arrivera, et la trompette est un shofar, au son duquel Jéricho tomba autrefois. Beaucoup ont immédiatement commencé à expérimenter des enregistrements audio du « gémissement » de la Terre et, bien sûr, sont arrivés à la conclusion qu'il s'agissait du son des trompettes de Jéricho.
Heimdall. Manuscrit islandais "Petite Edda", 1760. Heimdall dans la mythologie scandinave est le gardien des dieux, vivant au bout du monde, propriétaire de la corne d'or Gjallarhorn, dont le son sera entendu aux quatre coins du monde. Le son de sa corne annoncera le début du Ragnarok.
Dans la mythologie germano-scandinave, le début de la fin du monde scandinave au joyeux nom de Ragnarok sera annoncé par la corne d'or du Gjallarhorn. Le craquement de la planète me le rappelle certainement. À Kiev, où la Terre a également « crié », on a commencé à parler des « trompettes d'Arkhangelsk » annonçant ce jour-là...
En fait, le « bruit de la Terre » est connu depuis très longtemps. Il y a des références à une certaine « voix de trompette » dans la Bible et dans le Coran. Les anciens Grecs expliquaient les gémissements souterrains par le fait que dans ses profondeurs étaient emprisonnés des géants à cent bras, précipités par les dieux dans le sein de la Terre. Si vous en croyez la mythologie, non seulement ils ont souffert, mais la Terre Mère a également « gémi » à cause d'eux.
VERSION TECHNOGÈNE
Le plus courant. Certains géologues, par exemple, associent le mystérieux bourdonnement de Novokuznetsk à l'exploitation du charbon à Kuzbass. L'énergie des explosions de roches s'accumule soi-disant dans la Terre et provoque soit des tremblements de terre d'origine humaine, soit des bruits mystérieux.
Une version similaire est partagée par des scientifiques de l'Akademgorodok de Novossibirsk. En 1982, lorsque les Américains sont arrivés dans la ville, l'un des professeurs de géologie, Alexeï Dmitriev, les aurait avertis que de graves catastrophes attendraient bientôt l'Amérique, notamment des tremblements de terre et du bruit provoqués par l'homme. Les Américains ne le croyaient pas alors, mais en 1984, des grondements géophysiques et de petits tremblements de terre ont balayé toute la côte Est des États-Unis.
Alexeï Dmitriev affirme qu'il n'était pas difficile de les prévoir, puisque plus d'une douzaine de lignes électriques à haute tension à forte consommation d'énergie s'étendent le long de la côte atlantique est des États-Unis. La fréquence du courant transmis dans le système d’alimentation électrique américain est de 60 Hz. Et comme elle correspond à la fréquence des courants naturels de la lithosphère, un « court-circuit » s’est produit…
La version artificielle ne présente que deux inconvénients. Si la cause du bruit était un facteur de « production », alors comment expliquer que le son ait été entendu presque simultanément dans différentes parties de la planète ? Le deuxième inconvénient est que si l'on en croit encore une fois les mêmes témoins oculaires, alors les lignes électriques, les centrales thermiques, les usines, les chantiers de construction et autres installations techniques n'étaient pas toujours situés à proximité de l'endroit où le « gémissement » a été entendu.
VERSION GÉOPHYSIQUE
Arthur Conan Doyle a une histoire intitulée « Quand la Terre a crié ». Le héros de l’histoire, le professeur Challenger, décide de découvrir si la Terre est « vivante ». Pour ce faire, il y perce un trou géant. Et lorsque la foreuse a pénétré très profondément dans les couches terrestres, la planète... a crié.
Dans cette histoire, seule la fin est fantastique. À d'autres égards, les géophysiciens sont d'accord avec l'écrivain : la Terre est effectivement « vivante » et elle « crie » vraiment.
Dans les profondeurs de notre planète, la convection, le mouvement des flux de magma et le déplacement des plaques lithosphériques se produisent constamment. Cela conduit la Terre à faire du bruit. Et les scientifiques ont appris à enregistrer ses « voix » il y a longtemps. Pour ce faire, ils se rendent dans des puits forés à des fins techniques ou scientifiques et y plongent des microphones ultra-sensibles. Normale oreille humaine dans la plupart des cas, il est impossible d'entendre ce son.
Mais il y a aussi des exceptions. Ils peuvent se produire, par exemple, lors d'un tremblement de terre, juste avant les secousses. Cependant, cela n'est pas surprenant : lors des tremblements de terre, les plaques lithosphériques se déplacent, donc le processus peut bien sûr s'accompagner d'un bruit fort.
On a remarqué qu'avant un tremblement de terre majeur, le niveau de bruit terrestre augmente fortement. La terre semble avertir d'un tremblement de terre imminent et donne aux gens la possibilité d'évaluer à l'avance sa force et de localiser l'épicentre.
En fait, dans les profondeurs de la Terre, les tremblements de terre ne s’arrêtent jamais. Mais il est presque impossible de prédire à l’avance lesquels d’entre eux « éclateront » à la surface. Le chercheur en chef de l'Institut Schmidt de physique du globe de l'Académie des sciences de Russie, Alexeï Lyubushine, y est parvenu un jour. Il avait prédit le tremblement de terre majeur du Tohoku (Japon), survenu en 2011 et qui avait fait au moins 16 000 morts, trois ans à l'avance.
Le fait que les bruits terrestres près du Japon aient commencé à se synchroniser (selon l'hypothèse du scientifique, il s'agit du premier signe de l'imminence d'un puissant tremblement de terre) Lyubushin l'a remarqué en 2008 et a publié plusieurs avertissements à ce sujet.
Les Japonais n'y croyaient pas. Le plus désagréable est que même après la catastrophe, la synchronisation du bruit basse fréquence a été préservée. Alexey Lyubushin estime que le Japon sera confronté à un autre tremblement de terre, non moins dévastateur, et que son épicentre devrait être situé près de la capitale du pays, Tokyo. C'est pourquoi le bruit de la Terre peut et doit être étudié. Avec leur aide, la planète signale non seulement les tremblements de terre, mais aide également, par exemple, à rechercher du pétrole et d'autres minéraux.
Mais, hélas, tous les « cris » de la Terre ne peuvent pas être expliqués par des tremblements de terre imminents. Après tout, là où ils auraient été entendus au cours des deux dernières années, il n’y a eu aucun événement sismique ! ce n’était pas possible – il s’agissait souvent de domaines dans lesquels ils n’existent pas en principe.
VERSION MÉTÉO
Certains scientifiques suggèrent que les craquements de la planète sont associés aux conditions météorologiques : brouillard, humidité et pluie. Lorsque la glace fond, certaines liaisons hydrogène entre les molécules d’eau sont rompues. Chacune de ces ruptures libère de l’énergie et peut produire un léger clic audible. Ainsi, selon l'hypothèse de ces scientifiques, si un bruit se fait entendre pendant le brouillard ou lorsqu'il y a des nuages dans le ciel, il s'agit du « chant de l'eau », qui peut être accompagné d'un bourdonnement. Bien sûr, un flocon de neige ne fait qu’un petit bruit, mais lorsque de grandes quantités de glace fondent, tout le monde entend le son.
Malheureusement, la version ne répond pas à la question de savoir pourquoi des bruits se font entendre en été, par temps clair.
VERSION HÉLIOCENTRIQUE ET AUTRES
Il est soutenu par le professeur, docteur en sciences géologiques et minéralogiques, président du conseil d'administration du Comité international sur les changements globaux en géologie et en minéralogie. environnement, président du Réseau mondial de prévision des tremblements de terre (GNFE) Elchin Khalilov. Il a étudié des enregistrements audio de bruits terrestres réalisés dans différentes parties de la planète et a découvert qu'ils étaient tous remarquablement similaires. Il en conclut que le bruit est une conséquence de cataclysmes sur le Soleil.
Lorsque des flux d'énergie solaire, après l'émission suivante, se précipitent vers la Terre et s'écrasent sur la magnétosphère, cela conduit à l'émergence d'ondes acoustiques spéciales, qui se précipitent ensuite vers la surface de la Terre. Ces ondes ne peuvent être entendues qu'avec appareils spéciaux. Cependant, certaines personnes sont également capables de les entendre si le son se superpose au bruit urbain basse fréquence. L'onde basse fréquence modifie le spectre du bruit de la ville, et une personne peut alors entendre un «gémissement» menaçant similaire.
Sur les enregistrements audio, vous pouvez entendre que le bourdonnement est en effet similaire au bruit ordinaire de la ville - une grue, un avion, du matériel de construction - mais amplifié plusieurs fois. Elchin Khalilov explique que ce son provoque souvent un sentiment de panique chez les témoins oculaires en raison de sa basse fréquence. On sait que les basses fréquences, bien que non reconnaissables à l'oreille, ont un effet néfaste sur le psychisme humain. Un exemple en est la célèbre recherche du professeur français Gavreau, qui a établi exactement quelles fréquences d'infrasons provoquent une rupture des tympans, une hémorragie cérébrale et même la mort chez l'homme lorsqu'il est exposé à des fréquences d'infrasons.
L'impact négatif des infrasons sur le psychisme a été récemment démontré par le Dr Richard Lord et le professeur de psychologie Richard Wiseman, qui ont organisé un concert inhabituel de musique d'orgue dans la cathédrale de Liverpool. Les sons d'un orgue de 7 mètres, spécialement construit pour l'expérience, ont été ajoutés à deux des quatre compositions. La particularité de l'instrument géant est que les sons qu'il émet ont une fréquence inférieure à 20 kHz, de sorte que l'oreille humaine est tout simplement incapable de les entendre.
Ainsi, les bénévoles qui écoutaient le concert ne savaient même pas quand exactement l'orgue commençait à jouer. Les scientifiques ont pu établir que parmi les sentiments négatifs ressentis par les gens lorsqu'ils jouaient de l'orgue figuraient la peur, la perte de force et d'humeur et la tristesse. Beaucoup de gens avaient la chair de poule.
Dans les années 1960 du siècle dernier, dans le contexte d'un essor général de l'économie, de la science et de la culture dans notre pays, des scientifiques soviétiques ont conçu un projet grandiose : forer un puits d'une profondeur sans précédent de 15 km. Ce projet était censé marquer une nouvelle victoire « psychologique » sur les États-Unis. La victoire de la science a été d’en apprendre davantage sur la structure de la Terre.
Les Américains ont également réfléchi à la possibilité de forer de tels puits ultra profond, mais après avoir pesé le pour et le contre, nous avons décidé qu'il serait plus facile de voler vers la lune. Mais les Russes, comme d’habitude, n’ont pas abandonné.
Et puis un puits d'un peu plus de 12 km de profondeur est apparu sur la péninsule de Kola. Les scientifiques soviétiques n'ont pas atteint le niveau déclaré, mais ils ont battu le record du monde et sont entrés dans le Livre Guinness des records. Ces tests ont « miné » au propre comme au figuré toutes les théories qui existaient jusque-là sur la structure de la Terre. Il s'est avéré, par exemple, qu'il y a de l'eau même dans les couches les plus profondes de notre planète, et la température aux grandes profondeurs s'est avérée pas du tout aussi élevée qu'on le pensait auparavant. À propos Kola bien il y a beaucoup d'histoires qui circulent. L'un d'eux raconte qu'une fois, les géophysiciens y ont baissé un microphone et ont clairement entendu des cris humains, confirmant que l'enfer existe réellement.
On sait depuis longtemps que les infrasons accompagnent inévitablement de nombreuses phénomène naturel: ouragans, tsunamis, rafales de vent, bruit des vagues, éruptions volcaniques, coups de tonnerre, changements brusques de pression, etc. Une mauvaise santé lors des fluctuations de la pression atmosphérique est associée, entre autres, aux infrasons, qui se forment dans l'atmosphère.
Selon une version, le bourdonnement mystérieux serait associé au changement des pôles magnétiques qui se produit actuellement sur notre planète. Et le psychologue Neil Johnson de l'Université de Chicago estime que le bruit de la Terre est associé à caractéristiques psychologiques ces gens qui l'entendent.
Les chercheurs d'Earthscope USArray ont détecté une série de bruits infrasonores produits lorsque deux vagues océaniques entrent en collision. Le son résultant de telles collisions peut, en principe, se propager à travers le globe, de sorte que la cause du bourdonnement n'est peut-être pas la terre, mais l'eau.
Il existe également une version selon laquelle les « sons de l’apocalypse » ne sont qu’un canular massif, un canular de journal à grande échelle utilisant de fausses vidéos pour promouvoir des films tels que « Red State » ou « Alien Invasion : Battle of Los Angeles 2 ». Les premières de ces films ont eu lieu en 2011, presque immédiatement après que les Terriens aient entendu le « cri de la planète ». Cependant, on sait aussi capacité humaine les vœux pieux, et une caractéristique de nombreux médias sont les vœux pieux en tant que sensationnalisme.
Un tel nombre d'hypothèses confond une personne qui veut trouver la seule explication correcte du son de la planète. Par au moins, Au revoir. Peut-être que le gémissement de la Terre est véritablement un phénomène multifactoriel, lié d'une manière ou d'une autre à chacune de ces versions.
SCIENCE NUE janvier 2014
On peut affirmer pendant des siècles que notre planète est un organisme vivant. Défendez votre point de vue jusqu’à ce que vous soyez enroué et que vous restiez complètement ignorant. C'est ainsi que l'homme est créé. Si vous ne l’avez pas vraiment vu, ne l’avez pas ressenti avec votre peau, c’est que vous n’étiez pas convaincu du fait même de l’existence de tel ou tel phénomène. Cependant, si vous avez déjà entendu, et plus encore vu, cela ne fait plus aucun doute.
Depuis le début de l'année 2012, partout sur Terre, les gens observent un phénomène très étrange : ils entendent des sons ou un bourdonnement, comme s'ils venaient du sous-sol ou venant d'en haut, du ciel, que personne n'est capable d'expliquer.
Ce qui est surprenant, c'est qu'à certains endroits, le bruit ressemble au grincement de plaques de métal géantes frottant les unes contre les autres, à d'autres, il ressemble au rugissement d'un énorme moteur à réaction, et à certains endroits, il ressemble au fort cliquetis des roues d'un fret qui passe. former. Cependant, il n'y a pas de chemin de fer à proximité.
Néanmoins, ce phénomène dure depuis plus d'un an et il n'est plus possible de l'ignorer, tout comme il est impossible de dire aux gens qu'il ne s'agit que de bruits d'engins de chantier en marche, comme ont tenté de le présenter les correspondants de la télévision locale. à Kiev.
Dans un petit village du comté britannique de Durham, les habitants n'ont pas dormi pendant deux mois à cause d'un fort grondement qui se produisait chaque nuit à une certaine heure. Le son était si fort qu’il causait de grands désagréments et suscitait une vague anxiété.
Des bruits similaires ont été et sont entendus en Nouvelle-Zélande, à Zurich, dans le nord du continent européen, aux États-Unis et en Russie. Le son émis à Woodland a été entendu par toutes les personnes situées sur son territoire, contrairement à Kiev, où le grondement n'a été entendu que par certains, et d'autres témoins oculaires ont complètement nié la présence de tels sons.
Les habitants de Woodland disent que le son était plus fort dans certaines régions. Il semblait qu'il pénétrait de partout, comme s'il pénétrait l'espace environnant et les murs des maisons. Cela pourrait être qualifié de contexte ou physiologique, surgissant dans la tête des gens. Mais ce n’est pas le cas, car cela disparaît dès que l’on ferme les oreilles.
Des versions inimaginables surgissent, les unes plus fantastiques les unes que les autres, mais aucune d’elles ne peut expliquer la nature de l’origine de ce bourdonnement. Quel genre de sons notre Terre produit-elle ? Qu'essaye-t-elle de nous dire ? Depuis une année entière, notre planète tremble et est fébrile comme jamais auparavant. Il suffit de rappeler le tremblement de terre au Japon. Qu’en est-il des événements météorologiques anormaux ? N’est-ce pas une conséquence du fait que des changements arrivent bientôt ? Selon une version proposée par les scientifiques, ce son serait le signe avant-coureur d’un changement dans les pôles magnétiques terrestres.
Le professeur Martin Stanville, académicien et membre de l'Académie internationale des problèmes géologiques et tectoniques profonds, estime que de tels sons pourraient se produire lors d'une éventuelle inversion des pôles de la planète. Cependant, il ajoute qu'en fait, personne ne sait ce qui peut arriver avec un tel changement global sur la Terre, quels peuvent être les signes des processus sous-jacents qui se produisent.
Sur ce moment un modèle mathématique général du changement de pôles est à l'étude, qui suppose leur déplacement instantané, et les sons ne sont qu'une partie de la période préparatoire. Cependant, ce n'est qu'une théorie. En fait, la nature peut réagir différemment. Au moins, aucune description d'un phénomène similaire ou analogue n'a jamais été trouvée dans les manuscrits anciens, c'est-à-dire que la science officielle ne dispose d'aucune information à ce sujet et qu'aujourd'hui elle n'a pas encore résolu la nature du bourdonnement terrestre.
Le bourdonnement de la Terre et les zones anormales
Valery Moskalev, chercheur en zones anormales, personne dotée du don de médium, est venu à zone anormaleà l'invitation de l'organisation Cosmopoisk. Cette zone, pleine de secrets et de mystères étonnants, est située dans la région de Volgograd. Après quelques nuits passées dans la ville de tentes, Valéry a remarqué un grondement venant du sous-sol. On l'entendait très clairement le soir et la nuit.
L’espace environnant semblait saturé d’un léger bourdonnement. Vers une heure du matin, le bruit avait cessé. Il semblait que quelque part dans les profondeurs souterraines, des mécanismes inconnus s'activaient. Cela n'avait aucun sens d'associer ce bourdonnement à la route locale, puisque le camping se trouvait à vingt kilomètres.
Au milieu des années 90, des tunnels ont été découverts dans la crête de Medveditskaya, que personne n'avait construits - il n'y a aucune preuve que des constructions aient été effectuées ici. Les tentatives pour pénétrer dans les tunnels se soldaient toujours par un échec. L’impression est que quelqu’un ne laisse tout simplement pas entrer les gens.
Le nombre de rapports de témoins oculaires d'un phénomène à la fois intéressant et alarmant ne diminue pas, mais au contraire, il augmente, mais le mystère des sons de la Terre n'est pas encore résolu. Il ne reste plus qu'à spéculer et émettre des hypothèses.
Des phénomènes que les géophysiciens appellent « anomalies sonores » se produisent constamment sur notre planète. Ce concept signifie un bruit stationnaire constant ou périodique à basse fréquence, que tout le monde ne peut pas distinguer (et parfois sans instruments spéciaux, il est impossible de le détecter du tout).
C’est précisément cette anomalie sonore que les chercheurs « captent » depuis plusieurs décennies. Il s’agit d’un bruit inhabituel : dans les milieux scientifiques, il est connu sous le nom de « bourdonnement de la Terre ».
Les chercheurs tentent de le « documenter » et d’en découvrir la source depuis 1959, mais seulement 40 ans plus tard, ils y sont parvenus. En 1998, les scientifiques ont enregistré et décrit le phénomène pour la première fois. Certes, il n'a pas été possible de trouver la source du « bourdonnement de la Terre ».
Mais les géologues ont appris que, d'une part, ces bruits de basse fréquence peuvent être détectés même avec une activité sismique nulle, et d'autre part, leur audibilité est des milliers de fois inférieure au seuil minimum de perception de l'oreille humaine. Ainsi, les experts ont conclu que le « bourdonnement de la Terre » est ce qu’on appelle un signal de vibration de fond.
Depuis vingt ans, les géophysiciens n’ont pas renoncé à « décrypter le message » de notre planète. Et maintenant, ils ont enfin réalisé ce qu’ils voulaient.
Les experts de l’American Geophysical Union rapportent que toutes les recherches précédentes allaient tout simplement dans la mauvaise direction. Les scientifiques ont recherché les vibrations à l’aide des données de sismomètres situés à terre. Mais il fallait s’intéresser à la colonne d’eau.
DANS Dernièrement De plus en plus de stations apparaissent au fond des océans dans le monde entier pour collecter des signaux sismiques et acoustiques. Mais les sismomètres conventionnels détectent principalement les mouvements. De plus, le signal du bruit lié aux anomalies sonores est extrêmement faible.
En tenant compte de ces caractéristiques, une équipe internationale de géophysiciens a analysé les données obtenues au cours des 11 derniers mois auprès de 57 stations sismométriques. Tous ont été installés au fond de l’océan Indien.
Les chercheurs ont sélectionné deux stations offrant la plus haute qualité de données, situées à des profondeurs de 4 540 et 4 260 mètres. Lors du traitement des enregistrements, ils ont supprimé toutes les interférences provenant de sources identifiées (il peut s'agir d'ondes d'infragravité, de courants marins, de problèmes électroniques, etc.).
A la sortie, les spécialistes ont reçu des enregistrements du « bourdonnement de la Terre ». Après les avoir comparés aux données des stations au sol, les chercheurs ont réalisé que les deux signaux avaient une amplitude similaire. Ils ont déterminé que les ondes sonores constantes détectées avaient une fréquence de 2,9 à 4,5 millihertz (le seuil auditif chez l'homme commence à environ 20 hertz).
Quant aux sources du « bourdonnement terrestre », il existe plusieurs hypothèses à ce sujet. Certains scientifiques pensent que le bruit est associé aux impacts constants des vagues sur les fonds marins durs. D'autres pensent que les vibrations proviennent de la résonance acoustique entre l'atmosphère et la croûte terrestre.
Les habitants de Rostov-sur-le-Don n'oublieront pas de sitôt mars 2013. Sans raison apparente, un étrange bourdonnement se fit entendre littéralement partout. Cela semblait venir à la fois du sous-sol et des airs. Les gens se sont figés en prévision d'un terrible tremblement de terre ou d'une tornade sur le point de se produire. Mais le désastre n’a pas eu lieu. On aurait pu oublier ce phénomène incompréhensible s'il ne s'était pas répété avec une régularité enviable.
Les scientifiques ont commencé à parler de ce bruit mystérieux relativement récemment. Depuis 2011, on entend ici et là un bourdonnement d'origine inconnue. Après qu'une vague de bruits inhabituels d'une nature inconnue ait balayé le monde, effrayant les habitants de la planète, beaucoup ont commencé à soupçonner que quelque chose n'allait pas. Nous nous sommes tournés vers des manuscrits anciens - en effet, non seulement nous, mais aussi nos lointains ancêtres avons pu entendre quelque chose de similaire.
Par exemple, dans la Bible, il y a une indication d'un certain bruit, qui y est appelé le son d'une trompette. Et cette voix n’est rien d’autre qu’un signe avant-coureur de l’apocalypse. Peut-être que le bruit du sous-sol signifie l’approche de cataclysmes ? Ou peut-être que la Terre a sa propre voix ?
Gul à Rostov en mars 2013
Il n'y a pas si longtemps, des chercheurs ont découvert que notre planète, comme d'autres objets système solaire, peux chanter. De plus, chaque objet spatial sonne différemment : le bruit d’un pulsar (une étoile à neutrons avec un champ magnétique) ressemble au bruit d’un moteur d’hélicoptère en marche, les protubérances solaires bourdonnent, l’un des satellites de Saturne chuchote presque humainement.
Cependant, Saturne lui-même n'est pas opposé à la pratique du chant. Lors de son exploration de cette planète, la sonde Cassini a identifié des sources radio au-dessus de sa surface, se déplaçant librement dans son champ magnétique et « encombrées » aux pôles. Les astrophysiciens sont arrivés à la conclusion qu'il s'agit de particules chargées entrées accidentellement dans l'atmosphère. corps céleste. Mais c'est précisément cet accident qui a conduit Saturne à se mettre soudainement à pleurer.
Jupiter lui fait écho. De puissantes rafales de vent solaire, entrant en collision avec son ionosphère, donnent lieu aux sons retentissants d'un gong cosmique, qui sont remplacés par la mélodie d'un phare céleste. Les experts affirment que les anneaux de Jupiter - d'énormes accumulations de poussière fine - donnent à Jupiter un son particulier. Mais auparavant, on croyait qu’un aspirateur n’était pas capable de transmettre des sons. Cependant, le premier son a été enregistré par le vaisseau spatial américain Voyager. Et puis un disque est apparu, ou plutôt un disque avec de la musique du cosmos. Comment cela peut-il être expliqué?
MUSIQUE DES SPHÈRES
Les ondes sonores acoustiques ionisées sont répandues dans l'espace et apparaissent lors de l'interaction du vent solaire et de l'ionosphère des corps cosmiques. Les sons étonnants enregistrés par les avions sont transmis dans l’espace grâce aux vibrations. Les vibrations sonores des ions des planètes se produisent dans la plage de 20 à 20 000 Hz, ce qui permet à l'oreille humaine de percevoir cette musique étonnante.
Le médecin américain Jeffrey Thompson a découvert que les voix des planètes coïncident étrangement avec les sons émis par les planètes. corps humain- le rythme cardiaque et la respiration - et qui nous entourent dans la nature. Guérisseur et psychologue, Thompson n'a pas manqué d'utiliser les enregistrements de ces sons pour soigner les patients. Et qu'en penses-tu? J’ai obtenu des résultats incroyables !
Voix de trompette
Depuis 1981, il consulte et traite divers les troubles mentaux et des déviations utilisant les sons émis par les objets spatiaux, et non sans succès. Thompson a appelé ce cours de réadaptation psychologique « Musique des Sphères ». Son exemple s'est avéré être une science différente, et aujourd'hui sur Internet, vous pouvez trouver de nombreux enregistrements de planètes, de satellites et de comètes.
En fait, les scientifiques ont converti les impulsions en signaux accessibles à l'oreille humaine, ce qui a donné lieu à des bandes sonores rappelant la musique d'ambiance, le sifflement du vent, le bourdonnement d'une cloche et le gazouillis des oiseaux. Toutes ces chansons sont très appréciées des internautes.
LES AVIS SONT PARTAGÉS
Le bruit de la Terre est varié : à certains endroits, il ressemble à un bruit de grincement insupportable, comme si des plaques de métal frottaient les unes contre les autres, à d'autres endroits, il est décrit comme le rugissement d'un énorme mécanisme, d'un moteur d'hélicoptère ou quelque chose de similaire. Quelqu'un a entendu un bourdonnement, semblable à un murmure et à un sifflement, et quelqu'un a décrit un bruit rappelant le bruit des roues.
Ou peut-être que le problème est que chacun a interprété ce bruit à sa manière ? Quoi qu’il en soit, un fait est un fait, et son interprétation ainsi que son étude plus approfondie sont l’affaire des spécialistes. Jusqu'à présent, des bruits étranges ont été signalés en provenance d'Ukraine, de Belgique, de Grande-Bretagne, de Nouvelle-Zélande, d'Australie, de Terre de Feu et d'autres endroits.
Bien entendu, un phénomène aussi sensationnel ne pouvait passer inaperçu auprès des scientifiques. Cependant, même s'ils n'ont pas de réponse définitive à la question de savoir pourquoi la Terre chante, des versions sont proposées pour expliquer la nature possible de ce phénomène. Parmi celles-ci, deux sont considérées comme les plus plausibles, même si elles sont complètement opposées. Bien que du point de vue de la géophysique, ils s'expliquent assez logiquement.
La première hypothèse relie le bourdonnement de la Terre aux processus se produisant dans le noyau terrestre et à l'activité solaire.
Ainsi, en novembre 2011, le Système international de surveillance géodynamique a enregistré une libération d’énergie d’une force sans précédent émanant du noyau terrestre. Pourquoi est-ce arrivé? Professeur, docteur en sciences géologiques et minéralogiques, président du conseil d'administration du Comité international sur les changements globaux de l'environnement géologique GEOCHANGE Elchin Khalilov estime que les ondes acoustiques-gravitaires ne surgissent pas de nulle part, mais sont une conséquence de processus énergétiques à grande échelle. de diverses sortes.
Ils reposent par exemple sur la fréquence croissante des éruptions solaires, dont l'énergie gigantesque se précipite à la surface de la Terre et déstabilise diverses sphères terrestres. Compte tenu de ce fait, on peut supposer que le Soleil est le véritable coupable de cet étrange bourdonnement. Mais pour l’instant, ce n’est qu’une supposition. Le bourdonnement a été observé dans différents pays, V temps différent années, à différents indicateurs d'humidité, de température et autres.
Et pourtant, on découvre une relation entre le bourdonnement et l'activité du Soleil. Lorsque le bruit de la Terre a été enregistré pour la première fois le 25 février 2011, l'activité solaire, en particulier sa fréquence et sa force, éruptions solaires, a fortement augmenté. Il y a une forte probabilité que ce soit l’augmentation de l’activité solaire qui ait déclenché ce processus.
La deuxième version explique différemment le phénomène mystérieux. Comme vous le savez, les pôles magnétiques de la Terre changent. Cela suggère que les processus énergétiques se produisant dans le noyau terrestre et formant le champ magnétique se sont extrêmement intensifiés.
Comme déjà mentionné, en novembre 2011, une puissante impulsion gravitationnelle a été enregistrée simultanément par pratiquement toutes les stations géophysiques, alors que la distance qui les séparait était de plusieurs dizaines de milliers de kilomètres.
Un tel phénomène n’aurait pas été possible si la source de la puissante libération d’énergie n’avait pas été le noyau. Selon les experts, c'est ainsi que cela nous signale que la Terre entre dans une nouvelle phase : la phase d'activité. Les ondes sonores entendues par les personnes vivant dans différentes parties de la planète en sont une nouvelle confirmation.
Quelle que soit la véritable cause du grondement – la Terre ou le ciel – ni l’un ni l’autre n’augure rien de bon pour les gens. Les ondes acoustiques-gravitationnelles générées par une augmentation du niveau d'activité nucléaire ou solaire peuvent provoquer de nombreux cataclysmes sur notre planète.
(géologues V. Larin et N. Larin sur les causes du phénomène)
Récemment, Internet a été rempli de messages sur un étrange bourdonnement qui vient périodiquement des entrailles de la Terre. Ce phénomène mystérieux a été signalé dans de nombreuses régions du monde. Cela ne s’est jamais produit auparavant et à une telle échelle, et cela déstabilise les habitants de la planète.
Vous trouverez ci-dessous un de ces messages.
Ci-dessous, nous présentons (sous forme abstraite) certaines dispositions du concept mentionné, qui seront nécessaires pour comprendre les causes et les processus à l'origine de ce phénomène « mystérieux ».
Donc, selon le concept :
1. Le manteau terrestre n'a une composition de silicate-oxyde que dans le volume de la lithosphère, c'est-à-dire sous les continents jusqu'à une profondeur de 100 à 150 km, c'est un isolant électrique. En dessous, jusqu'au noyau, se trouve la sphère métallique, composée de composés intermétalliques et d'alliages à haute conductivité électrique.
2. Noyau interne La Terre est représentée par des hydrures métalliques ; dans le noyau externe, l'hydrogène est présent principalement sous forme dissoute.
3. La principale cause de l’activité tectono-magmatique de la planète est le dégazage de l’hydrogène du noyau, qui se produit par cycles, ce qui détermine la cyclicité de la tectogenèse et du magmatisme.
4. Les atomes d'hydrogène lors de l'occlusion (lorsqu'ils pénètrent dans le volume métallique sans interaction chimique) se désintègrent en protons et en électrons et, par conséquent, se trouvent dans le réseau cristallin sous la forme d'un plasma d'hydrogène entièrement ionisé.
5. Dans le même temps, les métaux contenant 5 à 10 % d'hydrogène (atomique) présentent une fragilité anormalement élevée dans la plage de pression de 0 à 5 kbar, tandis qu'à des pressions plus élevées, ils deviennent très plastiques, et à des pressions de 10 à 12 kbar (et plus élevé) s'écoulent même à température ambiante, comme s'ils étaient fondus (établi expérimentalement).
6. Le taux de diffusion de l'hydrogène dans les métaux est plusieurs fois plus élevé que dans les silicates. Pour cette raison, sous la lithosphère externe de silicate, l'hydrogène s'accumule sous la forme d'une couche, créant ainsi une couche de haute plasticité - l'asthénosphère.
En bref sur l'essence de nos explications :
· La sismicité secoue la sphère métallique, qui possède une conductivité élevée.
· Les mouvements (oscillations) d'un conducteur dans le champ magnétique de la planète génèrent des ondes électromagnétiques basse fréquence.
· Ces ondes basse fréquence affectent les cristaux de magnétite dans les roches.
· La terre commence à bourdonner aux endroits où les fréquences des ondes coïncident avec la fréquence de résonance des blocs de la croûte terrestre.
Nous sommes désormais au début d’un nouveau cycle de dégazage de l’hydrogène de la planète, qui ne fait que se renforcer. Au cours des 20 dernières années, cela s’est traduit par une nette augmentation de la sismicité et du volcanisme. De plus, nos travaux de terrain (avec des analyseurs d'hydrogène gazeux) ont révélé un dégazage intense de l'hydrogène profond dans des régions tectoniquement calmes où il n'y a eu aucune activité volcanique depuis longtemps. Dans ce cas, le dégazage de l’hydrogène a un « caractère de jet », et à la sortie de ces jets à la surface terrestre, très structures caractéristiques trois types :
· structures d'affaissement en anneau (exemple sur la Fig. 1) ;
· dolines (exemple sur Fig. 3 et 4),
· cratères explosifs (comme ceux de Sasovsky).
Grâce au programme Google Earth, nous pouvons aujourd'hui observer ces structures très caractéristiques sur tous les continents et, par conséquent, nous pouvons dire que le dégazage de l'hydrogène est actuellement répandu à l'échelle mondiale.
Fig. 1. Région de Lipetsk. Les images satellite montrent clairement des structures de subsidence en forme d’anneau formées à la sortie des jets d’hydrogène. Les dimensions de ces structures varient de quelques centaines de mètres à plusieurs kilomètres. Leur formation s'accompagne du blanchissement des chernozems et de la mort des brise-vent forestiers. Cette dernière (la mort des rayures) indique clairement la formation très récente de ces structures.La longueur de la barre d'échelle est de 800 mètres (en bas à gauche).
Riz. 2. Photo du 19 juillet 2002, à 55 km à l'est du centre de Moscou. Juste une bonne forêt. La longueur de la barre d'échelle est de 124 mètres.
Riz. 3. Même endroit le 21 septembre 2004. Un trou karstique est apparu, qui est rempli de lisier des marais (marron), de « feutre » gris autour de l'anneau - ce sont des troncs arbres tombés. Bordure sombre en dessous - ombres de arbres debout. La zone du gouffre pourrait accueillir 6 terrains de football.
Riz. 4. Région de Moscou, à 22 km au NNW du périphérique de Moscou, entre les villages de Zhilino et Verevskoye. Au centre de la photo se trouve une structure en anneau (dimensions 450x350 m). L'ancienne forêt d'épicéas a été détruite, la structure a coulé, est devenue marécageuse et envahie par des pins dont la hauteur ne dépasse pas 5 à 6 mètres. Cependant, le comptage des cernes de croissance sur les traits de scie a montré que leur âge est d'environ 85 à 90 ans. Ces pins nains (ainsi que les pins normaux : airelles rouges, myrtilles, canneberges et genévriers) poussaient sur une « couverture de tourbe » qui flotte et ondule clairement en vagues si vous sautez vigoureusement dessus. L'écho du bas arrive au bout de 0,2 seconde (ils ont délibérément frappé une bûche avec une masse et capté l'écho avec un sismomètre). Ainsi, sous la « couverture de tourbe » au centre de la dépression, l'épaisseur de l'eau est de 150 mètres. Bien sûr, c’est un échec et elle a été créée il y a un peu plus de cent ans. Cependant, même maintenant, un dégazage intensif de l'hydrogène est observé à cet endroit. Dans 100 ans, l’échec illustré à la figure 1 sera le même. 3.
Internet et médias médias de masse sont littéralement inondés de rapports faisant état de gouffres soudains et de dolines qui ont récemment commencé à apparaître avec une fréquence alarmante sur tous les continents.
Dans la province centrale du Hunan, en Chine, 693 dolines sont apparues cette année. grande taille, et leur nombre ne cesse de croître. Selon le Département des ressources foncières de la ville d'Iyana, entre janvier et le 24 février de cette année (soit en 2 mois incomplets), 693 dolines ont été découvertes, dont 537 dans des terres agricoles, 150 dans des lits de rivières et de montagnes, 6 dans les réservoirs. 167 maisons ont été endommagées et plus de 1 200 personnes ont été blessées.
Selon les récits d'un des habitants du village de Yuejiaqiao, des phénomènes tels que les dolines se produisent depuis de nombreuses années, mais cette année, tout est beaucoup plus grave. Les échecs se multiplient chaque jour et leur ampleur augmente également. Les gens craignent que les maisons ne s'effondrent à tout moment, car plus de 200 maisons se sont déjà fissurées à cause de l'affaissement. Certaines familles ont été contraintes de s'installer dans les montagnes.
Ainsi, l’hydrogène est actuellement dégazé des zones profondes de la planète. Dans ce cas, l'hydrogène est collecté dans des jets. Par conséquent, sa concentration est quelque part plus élevée et ailleurs, elle est nettement inférieure. Ceci détermine les variations de plasticité de la sphère métallique : ainsi, en certains endroits, elle s'écoule, tandis qu'à proximité (le long des limites des jets et au-delà) les composés et alliages intermétalliques peuvent réagir à ces écoulements comme un milieu fragile (voir point 5 ci-dessus) en formant des fissures de clivage et glissant dessus. Et tout cela doit avoir un « caractère impulsion-onde » : accumulation de contrainte - écoulement - glissement, accumulation de contrainte - écoulement - glissement, etc.
En effet, la nature de la déformation du milieu (fragile ou plastique) dépend aussi de la vitesse d'application de la charge. Pour les lecteurs qui ne connaissent pas les problèmes abordés, expliquons cela avec un exemple figuratif : le bitume asphaltique à température ambiante peut être écrasé avec des coups violents, mais si le même bitume est pressé avec un poids et laissé toute la nuit, alors par le matin, il se répandra dans une flaque d'eau. A priori, on peut supposer que lors des mouvements dans les entrailles de la planète, la vitesse d'application de la charge est différente et, dans le langage des géophysiciens, « tous les processus de déformation sont caractérisés par une périodicité irrégulière multifréquence et les perturbations doivent avoir un caractère ondulatoire».
À en juger par la sismicité profonde, des tectonogènes sont actuellement à l'œuvre ; en conséquence, de grandes masses de métalosphère s'enfoncent plus profondément dans la planète, ce qui provoque une diminution du « moment d'inertie » de la Terre. Preuve en est l’accélération de la rotation de la Terre observée après chaque séisme profond majeur (explications sur « le travail des tectonogènes"Voir dans le livre "Notre Terre"). Et cela oblige également la sphère métallique à circuler d'un endroit à l'autre.
De plus, l'asthénosphère, selon notre compréhension, est couche supérieure sphère métallique, dans laquelle l'hydrogène s'accumule (point 6). Le dégazage de l'hydrogène se produit par cycles entre lesquels il y a des pauses. Lors de ces pauses, l'afflux d'hydrogène par le bas s'arrête, mais il continue de s'infiltrer dans la lithosphère, et avec le temps l'asthénosphère semble « se dessécher », perd sa plasticité et cesse de remplir la fonction de nivellement isostatique. Cependant, l'érosion du relief et le dépôt de sédiments en surface se poursuivent. Cela crée des gradients de pression à la base de la lithosphère. Avec le début d'un nouveau cycle de dégazage, l'asthénosphère se rétablit, sa viscosité diminue fortement (voir point 5 ci-dessus) et elle commence à s'écouler de la zone de hautes pressions vers la zone basses pressions, effectuant une égalisation isostatique.
Nos expériences ont montré qu'à des pressions supérieures à 10 kbar, la compressibilité des métaux devrait augmenter lorsque de l'hydrogène y est dissous (augmentation par rapport aux métaux sans hydrogène). En conséquence, au sein des jets d'hydrogène, un compactage de la substance (réduction du volume) devrait se produire et l'asthénosphère s'écoulera pour compenser cette violation. En revanche, un jet d'hydrogène peut disparaître si un flux plus puissant l'a attiré ou intercepté sa zone d'alimentation en profondeur. Dans ce cas, le compactage à l'emplacement de l'ancien jet disparaîtra, le volume augmentera et la substance se déplacera à nouveau.
Ainsi, la substance de la sphère métallique se déplace. Mais il est représenté par des composés et alliages intermétalliques conducteurs, qui contiennent également par endroits du plasma d'hydrogène (voir point 4). Et tout cela est imprégné de lignes de force magnétiques. Autrement dit, les conducteurs se déplacent dans le champ magnétique terrestre. En raison de l'induction, ces conducteurs sont induits courants électriques, qui génèrent à leur tour leurs propres champs magnétiques. Et comme le mouvement, comme le disent les géophysiciens, « est caractérisé par une périodicité irrégulière multifréquence », la force des courants induits variera considérablement et l'intensité du rayonnement électromagnétique variera en conséquence. Donc en tension champ magnétique Sur Terre, il doit y avoir des variations locales provoquées par les mouvements de la substance métallosphérique.
La gamme de fréquences de notre audition va de 20 à 20 000 Hertz. Les géophysiciens ont découvert de telles variations à basse fréquence dans la force du champ magnétique terrestre qui se produisent périodiquement. Certains sont enclins à voir la cause de ce phénomène dans les déformations zones internes planètes, et on pense que leur apparition précède des événements sismiques majeurs, ce qui a été confirmé dans de nombreux cas dans la pratique. D'autres (qui sont majoritaires) pensent que ces variations sont associées à l'excitation de l'ionosphère de notre planète par les éruptions solaires. Selon toute vraisemblance, l'opinion de cette majorité repose sur version traditionnelle la structure des zones internes de la planète, dans lesquelles tout le manteau est composé de silicates secs. Les silicates n'ont pas de conductivité : ce sont des isolants, et un isolant, peu importe combien vous le secouez dans un champ magnétique, n'émettra aucune onde électromagnétique.
Cependant, « Notre Terre » est structurée de manière complètement différente (voir point 1), et si la sphère métallique conductrice est forcée de se déplacer dans un champ magnétique, elle émettra certainement des ondes électromagnétiques. Ainsi, le point de vue des géophysiciens qui voient dans ce phénomène une cause endogène (intra-terrestre) a le droit d'exister. Dans le même temps, l’impact des éruptions solaires sur la magnétosphère terrestre ne peut être nié. Apparemment, les géophysiciens devront encore déterminer quelles ondes électromagnétiques proviennent de l’intérieur de la planète et lesquelles sont produites par des perturbations dans l’ionosphère terrestre.
Rappelons maintenant le minéral ferreux - la magnétite (Fe3O4). Il possède une susceptibilité magnétique très élevée, c'est-à-dire il devient facilement magnétique dans un champ magnétique. Ses cristaux sont attirés par un aimant, tout comme la limaille de fer, et il peut lui-même être un aimant. Des inclusions de cristaux de magnétite en quantité de 2 à 5 % sont présentes dans presque toutes les roches et forment à certains endroits des accumulations monominérales, accompagnées d'épaisses anomalies magnétiques. Lorsqu'elle est abrasée, les propriétés magnétiques de la magnétite ne sont pas du tout perdues. Parmi les sables et grès clairs, les couches sombres ne sont pas si rares - et il s'agit le plus souvent de sables enrichis en grains de sable de magnétite.
Autrefois, quand matériaux modernes et les colles n'étaient pas encore connues, les chaussures n'étaient pas moulées, comme elles le sont aujourd'hui, mais étaient cousues en cuir, et les semelles à talons étaient clouées avec des clous en fer à chaussures, elles étaient fabriquées des tailles différentes et vendu dans les magasins de kérosène. Dans l'Oural, les gens croyaient qu'il ne fallait pas marcher dans des endroits où des minerais de fer magnétiques sortaient avec des bottes bordées de clous de fer, car vous perdriez les semelles et vous seriez « pieds nus ». Dans ces régions, ils essayaient de fabriquer des chaussures avec des clous en cuivre. Maintenant, je ne crois pas vraiment à cette observation populaire. Cependant, je devais tenir dans mes mains des morceaux de minerai de fer magnétique (provenant du mont Blagodat dans l'Oural), qui avaient des pôles nord et sud, marqués par des « hérissons » constitués de particules poussiéreuses du même minerai de fer. Ces échantillons ont attiré (et maintenus suspendus) des couteaux et des fourchettes en acier. Sur Internet, vous pouvez trouver un message indiquant que dans le musée des traditions locales de Nijni Tagil, il y a un lourd poids d'acier suspendu à un bloc de minerai de fer magnétique, et il serait suspendu depuis plusieurs décennies. Bref, la magnétite est véritablement un minéral hautement magnétique.
Les variations basse fréquence du champ magnétique affecteront nécessairement les grains cristallins de magnétite. Et la force de cet impact dépendra de l’intensité du rayonnement électromagnétique, qui est associée aux fluctuations de l’intensité du champ magnétique. L'intensité du rayonnement électromagnétique dépend de la distance à la source des ondes électromagnétiques perturbatrices. Question sur lieux possibles La localisation de ces sources peut être déterminée par des observations directes. Nous y reviendrons ci-dessous.
De plus, les solides ont la capacité de tomber dans un état de résonance sous une influence physique vibratoire de même très faible puissance, il suffit que la périodicité de cette influence coïncide avec la fréquence de résonance (naturelle) solide. Et puis ce corps, s'il est petit, chantera dans les aigus sur la note de sa fréquence, et s'il est grand, alors il bourdonnera dans les basses dans l'intestin. Ici, il faut tenir compte du fait que lors de la résonance, des ondes stationnaires sont générées dans le corps, qui sont des ondes transversales. Et pour qu’un corps « chante » à une certaine fréquence, il doit être dans ses dimensions pour s’adapter à au moins une demi-onde de cette fréquence.
Il faut surtout noter qu’il existe un grand nombre de ces cristaux. Si le diamètre moyen des grains de magnétite dans les roches est de 1 mm, alors dans chaque mètre cube La race de ces grains sera de 55 millions (à 5% - le poids de la teneur en magnétite). Et ils sont répartis assez uniformément dans tout le volume de la roche. Des dizaines de millions de cristaux, répartis uniformément dans chaque mètre cube et capables de vibrer de manière synchrone à partir d'ondes électromagnétiques, constituent une conception absolument idéale pour organiser le phénomène de résonance dans les blocs rocheux.
Notre oreille perçoit des fréquences de 20 à 20 000 Hertz. Déterminons la taille d'un bloc monolithique dont la fréquence propre est de 300 Hertz. Les vitesses des ondes de cisaillement dans les roches cristallines varient autour de 3 000 m/s. A cette vitesse, la longueur d'onde avec une fréquence de 300 Hertz est égale à 10 mètres, respectivement, la longueur de demi-onde sera de 5 M. Par conséquent, un bloc monolithique de cinq mètres (le long de l'axe long) chantera à une fréquence de 300 Hertz. À propos, en termes de ton, c'est le plus proche de la note « D » de la première octave.
Peu de gens savent que les blocs de pierre peuvent « chanter ». Nous l'avons découvert par hasard. Une fois au Kazakhstan, près de notre camp, nous sommes tombés sur un corps de gabbro qui, en surface, ressemblait à un effondrement de blocs monolithiques de forme elliptique. Les blocs supérieurs étaient complètement libres et certains d'entre eux touchèrent l'effondrement avec seulement trois points. Ces blocs « libres », frappés avec un marteau géologique, se mirent à bourdonner mélodieusement et longuement, chacun sur sa propre note. Ainsi, sur des blocs de dimensions de 3 à 6 mètres, il était possible de sélectionner toutes les notes de la première octave. Juste pour nous amuser, nous avons même choisi à l'oreille la phrase musicale immortelle - «chi-zhik py-zhik, où étais-tu», puis nous l'avons interprétée devant les invités avec des masses. Le succès fut assourdissant.
Cependant, les blocs monolithiques « chanteront-ils » à cause des variations du champ magnétique ? Nous ne savons pas si quelqu'un a essayé de vérifier cela. Peut-être que les militaires en sont conscients, mais la communication avec eux est semée d’embûches. Apparemment, tout dépend de l’intensité du rayonnement électromagnétique. Jusqu'à présent, la plupart des géophysiciens pensaient que les perturbations du champ magnétique étaient liées exclusivement avec les émissions du Soleil, qui « blessent » l'ionosphère et à partir de là, des tempêtes magnétiques se produisent sur Terre. Ce phénomène a été bien étudié et il serait insensé de douter de l’évidence. L'ampleur de ce phénomène suscite des doutes : ils sont tels que les orages magnétiques (qui proviennent du Soleil) capturent, sinon la planète entière, du moins un hémisphère, en totalité et d'un seul coup.
Parallèlement, le Rhum de Terre est observé en différents endroits, à différentes époques et très localement. Cela n’est en aucun cas cohérent avec l’échelle super-globale des orages magnétiques. Dans le même temps, « Notre Terre », dont le manteau conducteur commence par l'asthénosphère, suggère la présence sources ponctuelles perturbations électromagnétiques à faible profondeur dans le manteau supérieur. Ces indiquer(à l'échelle planétaire) sources peut être situé à une profondeur de 100 km des horizons supérieurs de la croûte, et même à certains endroits, car les diapirs du manteau conducteur peuvent pénétrer dans la croûte. Dans les zones de rift moderne, des langues et des crêtes individuelles sont établies à une profondeur de 3 à 5 km. Et ce n'est pas une affirmation sans fondement, mais le résultat de nos nombreuses années de recherche, confirmées par des sondages magnétotelluriques. À propos, sur ces zones, il y a des " merveilles géologiques», qui sont absolument impossibles à expliquer dans le cadre des idées traditionnelles sur la structure de la planète, et plus encore il était impossible de les prédire. Cependant, dans le cadre de notre concept, prédire ces « miracles » s'est avéré être une tâche quotidienne (nous en parlerons séparément).
Ainsi, si la planète est structurée à notre manière, alors, avec sa sismicité moderne, elle est obligée de créer des sources ponctuelles de rayonnement électromagnétique. Les ondes divergent de ces sources seront sphériques. L'intensité d'une onde sphérique diminue en proportion inverse du carré de la distance à la source. Ceci peut être enregistré avec des magnétomètres appropriés placés le long du profil dans un endroit approprié, par exemple là où le Earthly Rumble est devenu particulièrement ennuyeux. Et si une source ponctuelle se trouve à proximité immédiate du magnétomètre (à une distance de plusieurs dizaines de kilomètres), alors il est naturel de s'attendre à ce que l'intensité des ondes électromagnétiques soit d'un ordre de grandeur supérieure à l'intensité des ondes provenant de distances. de milliers de kilomètres.
Jusqu'à présent, les géophysiciens, essayant de découvrir la cause du grondement terrestre, utilisaient des sismomètres. En conséquence, ils découvrent un bruit microsismique légèrement accru dans les zones de bourdonnement, et ne peuvent en aucun cas comprendre comment des microséismes très faibles provoquent des effets sonores comparables à l'intensité sonore de haut-parleurs puissants.
Chers géophysiciens, ne faudrait-il pas essayer les magnétomètres en la matière ? Et si un rayonnement électromagnétique anormalement intense était découvert, coïncidant en lieu et en temps avec le grondement terrestre ? Et si une telle connexion est découverte, alors pourquoi ne pas essayer de trouver un bloc monolithique bourdonnant à partir d'un marteau (avec des inclusions de magnétite) et de l'irradier avec des ondes électromagnétiques de fréquence et d'intensité appropriées. Et si elle se mettait à chanter, puis peut-être même s'effondrer ?
Blague(au lieu de conclure)
Du point de vue de la thermodynamique, vous et moi, chers lecteurs, sommes des systèmes ouverts. Et, pour être honnête, nous émettons tous périodiquement des gaz - nous rejetons de l'entropie. C'est l'un des les conditions les plus importantes existence durable des systèmes ouverts. « Notre Terre » est également un système ouvert et émet également des gaz. Par conséquent, vous ne devriez pas avoir peur du « Earthly Rumble » et de la panique. C’est de quoi être plutôt heureux. Après tout, si notre ancienne planète est encore capable de « péter » de temps en temps, cela signifie qu'elle est toujours vivante et capable de maintenir les conditions de vie qui nous sont familières.
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