Quand et où est apparu le premier homme ? Dans divers endroits de la Terre, les scientifiques ont trouvé et trouvent les ossements de peuples anciens. Les fouilles dans la vallée proche du village de Neander (Allemagne) sont largement connues. Plus tard, des restes d'êtres humains, rappelant ceux trouvés précédemment chez Néander,

Quand le premier homme noir est-il apparu en Amérique ? Vous avez probablement entendu dire que les seuls vrais Américains sont les Indiens. Tous les autres ont des ancêtres venus d’autres pays. Des Noirs sont également venus ici d'autres pays. Mais la plupart des gens ne le font pas

Quand le dé à coudre est-il apparu ? L'histoire de l'humanité est une histoire de découvertes, d'inventions, de trouvailles. Tout ce qui nous entoure, que nous utilisons constamment, a été découvert, trouvé, construit, fabriqué par quelqu'un pour la première fois. Les noms de la grande majorité de ces inventeurs sont tombés dans l’oubli.

Comment est apparu le premier revolver ? Longtemps armuriers différents pays a essayé de créer des armes de poing à plusieurs coups. Ils ont proposé de nombreux modèles, mais le plus réussi d'entre eux était le revolver, inventé par le designer américain S. Colt.

Quand est apparue la commande des premières dames ? Sous Pierre Ier, plusieurs ordres furent créés, mais l'un d'eux devint le premier prix féminin en Empire russe. Il reçut le nom d'Ordre de la Sainte Grande Martyre Catherine, même s'il s'appelait à l'origine Ordre de la Libération.

Quand est apparu le premier magazine « épais » en Russie ? Le premier magazine de divertissement est considéré comme « Bibliothèque pour la lecture », un magazine mensuel publié à Saint-Pétersbourg de 1834 à 1865. L'initiateur de la publication fut le célèbre libraire A. Smirdin. En 1833, il invita

AFRICAN AMERICANS (noirs des États-Unis), communauté ethnoraciale d'Américains, population noire des États-Unis. Population 36,4 millions d'habitants (recensement de 2000). Plus de 55 % des Afro-Américains vivent dans les États du sud des États-Unis. Ils parlent la version américaine de l'anglais, le dialecte des noirs du sud (« Black English ») est également conservé, 60 % des croyants sont baptistes, plus de 20 % sont méthodistes, il y a des pentecôtistes, des adventistes, des adeptes de cultes spiritualistes, des catholiques, des musulmans. (« Musulmans noirs »), Juifs (« Juifs noirs »), etc.

Les Afro-Américains sont les descendants d'esclaves africains amenés en Amérique du Nord entre le XVIIe et le XIXe siècle. Malgré les lois interdisant strictement le mariage interracial et les relations extraconjugales, au milieu du XIXe siècle, plus de 30 % des Afro-Américains libres et 10 % des esclaves étaient des mulâtres ; dans les années 1930, les mulâtres représentaient 75 % des Afro-Américains. La position sociale des mulâtres n'était pratiquement pas différente de celle des Noirs. Les Afro-Américains ont participé au mouvement abolitionniste (D. Douglas, G. Tubman, etc.). L’abolition de l’esclavage aux États-Unis à la suite de la guerre civile américaine de 1861-1865 a accéléré l’intégration des Afro-Américains dans la société américaine et les processus de stratification sociale. Au début du XXe siècle, le prolétariat industriel et agricole noir, l’agriculture, la bourgeoisie et l’intelligentsia s’étaient formés. Cependant, les constitutions adoptées dans les États du Sud entre 1890 et 1910 ont légalisé la discrimination raciale et la ségrégation des Afro-Américains – le système Jim Crow. Avec les migrations massives d'Afro-Américains vers les villes et du Sud (où vivaient 85,3 % des Afro-Américains en 1910) vers le Nord et l'Ouest, le système s'est répandu dans tout le pays (en 1940, le mariage interracial était strictement interdit par la loi dans 31 États). .

Le concept de « Nègre » aux États-Unis est conditionnel, puisque la définition de la race avait une signification socio-politique et ethnoculturelle et était appliquée différemment selon les États ; depuis 1977, il a été remplacé par le concept de « noir ». Lors du recensement de la population (2000), pour la première fois, il a été demandé aux personnes interrogées de déterminer leur identité raciale. La conscience d'eux-mêmes des Afro-Américains est double : le désir d'une pleine intégration se conjugue avec une tendance à s'identifier comme une communauté ethnoraciale particulière, exprimée dans diverses formes de nationalisme « noir » et de séparatisme (le mouvement des partisans de M. Garvey « Retour en Afrique ! », etc.), l’afrocentrisme, le « racisme noir », l’idéologie de la « Nation de l’Islam » de L. Farrahap, etc. Au début du 20e siècle, les premières grandes organisations d'Afro-Américains sont apparues - la National Association for the Advancement of Colored People et la Urban League, au milieu du 20e siècle - la Southern Christian Leadership Conference dirigée par M. L. King et d'autres. À la suite de la lutte des Afro-Américains pour les droits civiques dans les années 1950-60, une série de lois interdisant la discrimination raciale et la ségrégation ont été adoptées : abrogation de l'interdiction du mariage interracial dans les années 1940-67, interdiction de la ségrégation raciale dans les écoles. Cour suprêmeÉtats-Unis en 1954, Civil Rights Acts de 1964, 1965 et 1968. Ces mesures ont conduit à une augmentation du niveau éducatif et professionnel des Afro-Américains, à une représentation dans les sphères politique, gouvernementale et militaire ; cependant, les inégalités sociales entre Afro-Américains et Blancs persistent. Les Afro-Américains constituent le groupe d’Américains le plus urbanisé : plus de la moitié d’entre eux vivent dans les grandes villes, y compris dans les quartiers noirs pauvres (« ghettos noirs »). Parmi eux, plus que parmi les Américains blancs, il y a du chômage, des personnes sans l'enseignement supérieur, à faibles revenus et pauvres.

Le folklore et les pratiques religieuses des Afro-Américains conservent l'influence des traditions africaines. Les Afro-Américains ont apporté des contributions significatives à la culture américaine : musique, littérature (W. E. B. Du Bois, R. Wright, J. Baldwin, L. Hughes, R. Ellison, etc.), sports (J. B. Louis, Ali Muhammad, J. Owens, V. (Rudolph, M. Tyson, etc.).

Musique. Depuis les années 1860, la popularité de la musique noire a considérablement augmenté aux États-Unis. À partir de la fin du XIXe siècle, les styles du blues et du ragtime se développent ; au tournant des XIXe et XXe siècles, le jazz se forme en fusionnant divers styles et genres. Les principaux types de musique religieuse sont les spirituals et le gospel. Parmi les plus grands musiciens de jazz figurent L. Armstrong, Duke Ellington, E. Fitzgerald, et parmi les chanteurs classiques de classe mondiale figurent M. Anderson (le premier Afro-Américain à se produire sur la scène du Metropolitan Opera), J. Norman.

Danse. Le folklore noir est entré dans la culture de la danse aux États-Unis comme l’un des phénomènes déterminants. Dans les profondeurs du théâtre de ménestrels au XIXe siècle, est né un style chorégraphique mêlant traditions européennes et nègres. Gigue, claquettes, Buck and Wing, Clog, Break, etc. préparent l'émergence de la danse jazz au XXe siècle. L’époque de ce qu’on appelle la Renaissance de Harlem dans les années 1920-1950, avec ses « revues noires », le dancing Savoy, le Cotton club, etc., a eu une influence significative sur le développement de l’art de la danse aux États-Unis et dans le monde. Des stars de la claquette telles que B. Robinson, les frères Berry, les frères Nicholas et d'autres se sont produits ici et ont amené leur art sur les scènes des écrans de Broadway et d'Hollywood. À la fin du XIXe siècle, le folklore nègre donne une puissante impulsion au développement des danses de salon (de salon), qui se généralisent ensuite en Europe (cake walk, Charleston, shimmy, etc.). La tradition afro-américaine a joué un rôle important dans l'évolution de la danse moderne. Dans les années 1940, les pionniers du « nouveau style noir » étaient K. Dunham (« Tropics and Hot Jazz - from Haiti to Harlem », 1940) et P. Primus (« African Ceremonial », 1943). Dans la 2e moitié du 20e siècle, cette tendance se poursuit dans les œuvres de T. Beatty, D. McKayle et surtout dans les représentations de l'American Dance Theatre d'A. Ailey. Dans les années 1960, pour la première fois, un Afro-Américain, A. Mitchell, occupe le poste de leader en tant que danseur classique de la plus grande troupe américaine, le New York City Ballet. En 1971, il organise la troupe de ballet noir Dance Theatre of Harlem. La tradition africaine a nourri la sous-culture de la jeunesse née dans les années 1970 dans les quartiers new-yorkais du Bronx, appelée « hip-hop » et a donné naissance à de nouveaux styles de danse : break, smurf, hip, etc.

Théâtre. Afro-Américains aux États-Unis pendant longtemps n'étaient pas autorisés à monter sur scène. Le premier acteur afro-américain remarquable fut A. Aldridge, devenu célèbre en Europe au XIXe siècle. La croissance du sentiment abolitionniste a contribué à l'émergence de ce qu'on appelle le drame de protestation (le plus célèbre et le plus réussi fut la dramatisation de 1852 de La Case de l'oncle Tom de H. Beecher Stowe). Après 1865, les Afro-Américains organisèrent leurs propres troupes de ménestrels (Lew Johnson's Plantation Minstrel Company, Georgia Minstrels, etc.). Dans les années 1920, des acteurs tels que P. Robson, C. Gilpin et R. McClendon sont devenus célèbres dans les pièces de Yu. O'Neill, P. Green et d'autres. Cependant, ce n'est qu'à la fin des années 1950 et au début des années 1960 que les dramaturges afro-américains ont eu accès à Broadway, où les pièces « A Raisin in the Sun » de L. Hansberry (1959) et « Blues for Mister Charlie » de J. Baldwin ( 1964) ). Dans les années 1960, avec la croissance de la conscience nationale des Afro-Américains, de nombreux théâtres noirs apparaissent (Negro Ensemble, New Lafayette Theatre, etc.). Des contributions significatives à l'art théâtral des États-Unis ont été apportées par les acteurs J. E. Jones, O. Davis, R. Dee, S. Poitier et les metteurs en scène D. T. Ward, D. Macbeth, D. O'Neill, O. Scott.

Film. La problématique et l’esthétique du mouvement noir aux États-Unis sont assez rapidement passées de la périphérie au centre de l’attention des cinéastes, puisque les Afro-Américains constituaient une partie importante, et à certaines périodes, prédominante du public du cinéma. Initialement, le rôle des personnages noirs était réduit aux images d'esclaves (en particulier, dans plusieurs premières adaptations cinématographiques de « La Case de l'oncle Tom » de H. Beecher Stowe), et les rôles principaux étaient joués par des acteurs blancs « repeints » (les ainsi -appelé blackface). Dans la production hollywoodienne, le sens du thème afro-américain a considérablement évolué. À la fin des années 1920-1930, plusieurs chefs-d'œuvre basés sur le folklore noir et interprétés par des acteurs afro-américains sortent : « Hallelujah » de K. Vidor (1929), « The Emperor Jones » de D. Murphy (1933, rôle principal de P. Vidor). Robson), « Green Pastures » de W. Keighley (1936), en 1943 - deux comédies musicales : « Stormy Weather » de E. Stone et « Cabin in the Sky » de V. Minnelli. Après la Seconde Guerre mondiale, des films antiracistes individuels sont sortis et de sérieux acteurs dramatiques afro-américains sont apparus. Le plus célèbre d’entre eux, S. Poitier, devient une « star » hollywoodienne (« Devinez qui vient dîner » de S. Kramer, 1967, etc.). Dans les années 1970, il y a eu une vague croissante de « blaxploitation » - des films à succès commercial sur les surhommes noirs, à commencer par le détective « Shaft » de G. Parks (1971). En 1977, l’adaptation télévisée du roman « Roots » de A. Haley (réalisé par M. Chomsky), qui racontait l’histoire de la grandeur de l’Amérique noire à une échelle épique, connut un succès sensationnel. Depuis lors, les films avec deux héros - en noir et blanc - sont devenus les plus populaires. Parmi les acteurs de cinéma afro-américains notables du tournant des XXe et XXIe siècles figurent E. Murphy, W. Smith, L. Fishburne, D. Washington, H. Berry, V. Goldberg, S. Jackson et d'autres. réalisateurs, le plus célèbre est S. Lee. Ses films vibrants et fougueux, qui se déroulent généralement parmi des Afro-Américains, suscitent de vives controverses et remportent du succès dans les festivals (She's Gotta Have It, 1986 ; Do the Right Thing, 1989 ; Malcolm X, 1992, etc.).

L'art des Afro-Américains n'a conservé un lien évident avec leurs racines africaines que dans les produits décoratifs et appliqués, suivant par ailleurs complètement les tendances de la « culture blanche » (par exemple, au 19e et au début du 20e siècle, R. S. Duncanson a peint des paysages romantiques dans l'esprit de la « Hudson River School », et le style de H. O. Tanner est proche du symbolisme). Cependant, dans les années 1920, le mouvement des « New Negroes », ou Harlem Renaissance (voir Harlem School), accélère la montée de la conscience nationale, qui se reflète dans l’art, où commencent à dominer des tendances autonomes, mêlant afro-américains historiques et modernes. des thèmes aux traits de l'art naïf (X . Pippin), ainsi que de l'expressionnisme social et du régionalisme. Ce processus est devenu particulièrement intense et diversifié dans la seconde moitié du XXe siècle, lorsqu'un certain nombre de peintres afro-américains sont apparus sur le devant de la scène culturelle américaine (comme R. Bearden et J. Lawrence avec leurs images « néo-expressionnistes ») et les formes de groupe de créativité néo-avant-gardiste se sont répandues, y compris celles associées au mouvement mural. À la fin du XXe siècle, les contacts entre les branches nord-américaines, africaines et caribéennes de la culture artistique noire se sont également renforcés.

Lit. : Nitoburg E. L. Noirs des USA, XVII - début XX siècles : Essai historique et ethnographique. M., 1979 ; alias. Église afro-américaine aux États-Unis. M., 1995 ; Landry V. La nouvelle classe moyenne noire. Berk., 1987 ; Héritage ancestral de l’art noir. Dallas, 1989 ; Patton S.F. Art afro-américain. Oxf.; New York, 1998 ; Igoe L. M. 250 ans d'art afro-américain : une bibliographie annotée. New York, 1981.

EL Nitoburg ; N. E. Zvenigorodskaya (danse) ; T. V. Butrova (théâtre) ; KE Razlogov (film); M.N. Sokolov (art).

Citation:
Après avoir montré la situation de la population blanche en Afrique du Sud et en Europe, il est temps de se tourner vers l’Amérique lointaine, berceau de la démocratie moderne, où a gagné le mouvement en faveur des droits de l’homme, que les dirigeants américains propagent dans le monde entier.

La proportion de Blancs aux États-Unis diminue rapidement. Aujourd'hui, compte tenu de l'afflux massif de migrants illégaux en provenance Amérique du Sud, les Blancs représentent environ 66 % de tous les résidents (selon statistiques officielles 75%, mais cela ne prend pas en compte les 4 millions de migrants de couleur du sud qui traversent chaque année la frontière mexicaine sous le couvert de l'obscurité). Il y a 30 ans, les Blancs représentaient 90 %. Ainsi, il y a constamment 210 millions de Blancs aux États-Unis, et le nombre de non-Blancs ne cesse de croître et approche aujourd'hui les 90 millions. Cela inclut les Noirs, les Latino-Américains, les Arabes, les Juifs, les Chinois, etc. Bref, un melting pot époustouflant. Le plus grand problème pour l’existence de la population blanche des États-Unis est représenté par les deux groupes les plus agressifs : les Noirs et les Latino-Américains. Nous les considérerons (en plus des magnats juifs qui sont à l'origine de l'effondrement de l'Amérique, mais à leur sujet dans un article séparé).

Les Noirs
Les Noirs d’Amérique, comme du reste du monde, se distinguent par une extrême propension à la violence et une incapacité presque totale à apprendre quoi que ce soit. 90 % des Noirs ruinent la réputation des 10 % restants. Selon les recherches du raciste américain Jerold Taylor, basées par exemple sur les chiffres officiels de la criminalité publiés dans les rapports du FBI, le taux de meurtres parmi les Noirs est de 45 pour 100 000 habitants ; et parmi les Américains blancs, 5 pour 100 000. Le nombre moyen de meurtres pour l’ensemble de la population américaine est de 9,5 pour 100 000. En Europe, ce chiffre magique se situe entre 3 et 7, selon les pays. C’est ce chiffre de 9,5 que les médias mondiaux utilisent pour montrer que les Américains se distinguent par une sorte d’agressivité accrue au niveau quotidien par rapport à l’Europe. Mais si vous pointez du doigt les éléments officiels des statistiques de la criminalité, alors vous serez certainement accusé de racisme, et ils trouveront des liens dans votre passé avec le Ku Klux Klan, ils vous jetteront de la boue et vous enduiront le visage sur l'asphalte. Par conséquent, tout le monde reste silencieux dans les conditions du pays le plus libre du monde, où la liberté d’expression et d’autres merveilleuses libertés s’épanouissent tout simplement. (La couleur du crime. Race, crime et justice en Amérique. Jerold Taylor. 2005.)

Sur les 770 000 000 attaques interraciales annuelles aux États-Unis entre blancs et noirs, les noirs commettent 85 % de ces attaques et les blancs 15 %.

Comme cette vidéo où des noirs tabassent des filles blanches dans leur voiture. Leur culpabilité est d’être blancs et d’avoir déménagé dans une zone noire, et dans une démocratie florissante, c’est du racisme :
http://video.google.com/videoplay?do...16056758&hl=fr

Mais si quelqu'un dit qu'il ne s'agit que de hooliganisme et que les Noirs n'ont pas d'objectifs ambitieux pour exterminer les Blancs, alors il sera très déçu après avoir regardé ce court extrait d'un journal télévisé en direct sur l'une des principales chaînes de télévision d'Amérique, C -PORTÉE. La vidéo présente le professeur Kamau Kambon, qui enseigne dans l'une des universités :
http://video.google.com/videoplay?do...22252982&hl=fr

Ses paroles n’ont provoqué absolument aucune tempête d’indignation juste de la part du public progressiste et personne n’a fouillé dans son passé pour rechercher des liens avec l’organisation Black Panther ou la Nation islamique. D'une manière ou d'une autre, cela est passé inaperçu.
Voici la transcription, pour ceux qui n’ont pas saisi les subtiles tournures de phrases du professeur en anglais :
Il n’y a qu’un seul négro sur la planète qui pollue l’eau, l’air, exploite les peuples et les ressources. Et ce négro - blanc Et femme blanche. Chez nos enfants, ce ne sont pas des nègres, nous pouvons les voir pour les nègres. Dans mes recherches, je suis arrivé à une seule conclusion, à savoir que nous devons exterminer les Blancs de la surface de la terre pour résoudre ce problème. Nous devons résoudre ce problème. Parce qu'ils vont nous tuer. Et je vais en rester là. Nous devons créer notre propre système, arrêter de jouer à des jeux, prendre cette question au sérieux et ne pas nous laisser égarer dans la résolution de ce problème. Et le problème sur la planète, ce sont les Blancs.

Une personne normale demandera ce qu’il en est des Blancs, pourquoi ne se défendent-ils pas ?
Ils se défendent, mais ils sont hantés par le fantôme du Sud esclavagiste, tout comme les Allemands en Allemagne sont hantés par le fantôme du Troisième Reich, et il n’est donc pas difficile pour les médias juifs de présenter un quelconque acte d’opposition à La tyrannie noire comme le racisme, et empêche donc les Blancs d'unir leurs forces. Par conséquent, en Amérique, depuis les années 1970, il y a eu ce qu’on appelle « l’exode blanc » des villes, c’est-à-dire la fuite des Américains blancs vers les banlieues pour tenter de sauver leur vie et celle de leurs enfants de la tyrannie noire rampante, soutenue par les avocats juifs et les médias.

Cependant, au début du XXIe siècle, une deuxième vague de délocalisations a commencé, provoquée par le fait qu'en raison de l'afflux massif de migrants illégaux, même les banlieues commencent désormais à s'assombrir et les Blancs sont à nouveau contraints de chercher de nouveaux logements. à une plus grande distance (The Decline of Inner Suburbs: The New Suburban Gothic in the United States
Boussole géographique 1(3), 641-656).

Par exemple, la population blanche de Détroit, le centre de fabrication automobile américain, est passée de 1,5 million à moins de 90 000 personnes au cours des dernières décennies. Et cela n'a rien à voir avec le déclin de l'industrie automobile dans la ville elle-même, puisque dans le même temps le nombre de Noirs est passé de 150 000 à 800 000.

Détroit occupe la première place comme ville la plus détruite des États-Unis. En plus de l'exode massif de la population blanche, les Noirs ont lancé une tradition qui s'est étendue à d'autres villes : la « Nuit du Diable ». C'est une coutume d'incendier et de détruire certaines parties de la ville la veille d'Halloween.

Une énorme population non blanche, combinée aux incendies criminels annuels, à la faillite, à la criminalité et à la décadence, a réduit Détroit, autrefois le centre de l’industrie automobile américaine, à des ruines comparables aux ruines des civilisations anciennes. La raison est la même : remplacer la population blanche qui a construit les villes par une nouvelle population non blanche.

Le déclin de Détroit fait suite à un changement démographique qui a transformé Détroit d'une ville prospère. ville blancheà une ville noire criminelle et pauvre, vivant des subventions gouvernementales, de l’aide et des aumônes trompeuses de sociétés opérant dans un esprit d’expiation juste pour les péchés commis contre les Noirs.

Plus il y a de Noirs, plus la criminalité est élevée. Et, par conséquent, un exode massif de la population blanche de la ville. Les principaux facteurs qui ont contraint les Blancs à quitter leur foyer étaient la violence domestique dans les rues et dans les écoles où étudiaient leurs enfants. En raison de l’inculcation de la tolérance et de l’intégration, les Noirs ont commencé à être amenés des quartiers éloignés de la ville vers les quartiers et les écoles blancs, où ils ont attaqué les passants, tué, volé et battu les enfants blancs dans les écoles. Ils étaient autorisés et toute action de représailles des Blancs pour leur défense était considérée comme du racisme et était sévèrement punie par les tribunaux (Ruines de Détroit).

New York
Selon les données officielles du recensement de 2000, la population blanche de New York est de 44 %. La concentration de personnes de couleur est encore plus élevée dans le centre-ville. Les quartiers résidentiels de la ville avec une population non blanche sont cachés à la vue des touristes visitant les quartiers d'affaires chics avec leurs gratte-ciel et leurs boutiques chères. On n'en parle pas dans les brochures touristiques, et on ne les emmène pas en excursion.

En 1981, 6 500 vols ont été signalés rien qu’à Harlem.

Au début du XXIe siècle, la situation de la criminalité à Harlem ne s'est pas améliorée. Ainsi, en avril 2006, un étudiant blanc de l’université de New York a été tué à Harlem par des adolescents noirs qui le poursuivaient en criant « attrapez le blanc ».

Un autre foyer de crimes de couleur et de décadence à New York est le Bronx, juste de l’autre côté de la rivière Harlem. L'afflux illimité d'immigrants en provenance d'Amérique du Sud depuis le milieu des années 1960 a entraîné une augmentation de la criminalité, de la toxicomanie et des meurtres. La population blanche, comme dans d’autres villes, non protégée par le gouvernement, a quitté précipitamment ses foyers et ses quartiers habitables. Selon les données officielles du recensement de 2000, la population du Bronx est composée à 23 % de blancs.

Chicago
Selon le recensement de 2000, la population non blanche de Chicago s'élève à 68 %. La population blanche était concentrée dans les banlieues et la partie centrale et principale de la ville était laissée à la merci des Noirs et des autres personnes de couleur.

Lorsque, dans les années 1970, le gouvernement a commencé à construire des communautés noires et métis entières au cœur des quartiers blancs de la classe moyenne et que les enfants de couleur ont commencé à fréquenter les écoles, les Blancs ont commencé à se précipiter pour vendre leurs maisons en raison de la détérioration de la qualité de vie dans leurs communautés. et l'aggravation de la situation de la criminalité dans les écoles où étudiaient leurs enfants. Les prix de l’immobilier ont chuté, les Blancs sont partis et leur place a été prise par les Noirs. Tout cela s’est produit en quelques années seulement.

crême Philadelphia
Selon le recensement de 2000, la population non blanche de Philadelphie s'élève à 58 %. La population blanche s'est concentrée dans les banlieues et la partie centrale et principale de la ville, comme dans d'autres villes, a été abandonnée à la tyrannie des noirs et des autres personnes de couleur, et le déclin et la destruction se sont installés. La raison est toujours la même pour laquelle il ne reste que des ruines des civilisations anciennes : la disparition de la population blanche.

La partie nord de Philadelphie est presque entièrement colorée : noirs, portoricains, dominicains, pakistanais et arabes. La plupart des habitants de cette partie de la ville vivent en dessous du seuil de pauvreté et leurs quartiers sont en proie à la criminalité.

Aujourd'hui, ce qui reste de l'époque où cette ville était prospère se trouve dans un état de délabrement ou d'abandon. De ce qui reste, de nombreux bâtiments historiques s’effondrent, soit à cause de la négligence, soit du vandalisme. De plus en plus de bâtiments sont vides et leurs fenêtres sont condamnées. Seuls quelques-uns ont été placés sous la protection du gouvernement de la ville. Héritage historique. De vieilles églises luxueuses ont également été cédées aux populations locales de couleur pour être détruites.

Washington
Selon les données officielles du recensement de 2000, la population non blanche de Washington s'élève à 60 %.
La population blanche a été contrainte de se déplacer bien au-delà de la capitale américaine vers les États du Maryland et du nord de la Virginie. La nuit, le centre-ville est presque entièrement dépourvu de Blancs.

Derrière les paillettes de la Maison Blanche, du Capitole et des monuments se cache la réalité de la situation dans une ville aux deux tiers de la population non blanche : vols, toxicomanie, meurtres commis quotidiennement par des Noirs. Mais tout cela est passé sous silence dans les médias officiels afin de donner à Washington une apparence décente de capitale de l'État.

Saint Louis
Selon les données officielles du recensement de 2000, la population non blanche de Saint-Louis est de 57 %.
Comme d’autres villes américaines, Saint-Louis n’a pas pu éviter la perte de sa population blanche, qui a quitté les limites de la ville pour s’installer dans les banlieues dans la seconde moitié du XXe siècle. Cela était encore une fois dû à la croissance de la population noire et à l’augmentation de la criminalité et à la dévastation dans les zones résidentielles.

Un exemple significatif de racisme anti-blanc aux États-Unis est le meurtre d'un jeune couple, Shannon Christian et Chris Nusom, à Knoxville, Tennessee, en janvier 2007. Ils étaient à l'un de leurs premiers rendez-vous, montant dans une voiture sur le parking près de la maison, lorsqu'ils ont été attaqués par un groupe de noirs, emmenés dans l'appartement de l'un des noirs, où ils ont été torturés, violés et mutilés. organes génitaux. Comme cela a été établi plus tard, la jeune fille a été violée par voie orale, vaginale et anale. Le corps de l'homme, après avoir été abattu, a été enveloppé dans une couverture, incendié et jeté sur voies ferrées. Il s'est également avéré lors du procès qu'il avait été violé anale. Installations médias de masse n'étaient pas intéressés par ce crime parce que les victimes étaient blanches et les auteurs étaient noirs. Cela signifie qu’il n’y avait pas de racisme et qu’il n’y avait rien à discuter. Cependant, la brutalité du crime a agité les habitants de Knoxville et ils ont commencé à manifester devant les bâtiments administratifs de la ville et les bureaux des médias. Au début, les journalistes attribuaient tout cela aux machinations des extrémistes blancs, mais quand tout a commencé à être entraîné dans les manifestations plus de gens et il n'était plus possible de l'ignorer, les médias ont commencé à couvrir le crime à contrecœur, sans indiquer spécifiquement la race des tueurs. La nouvelle a finalement été diffusée à la télévision nationale, même si l'on a immédiatement déclaré que le meurtre n'était pas motivé par la haine raciale. Eh bien, les gens sensés comprennent que lorsqu'il est officiellement déclaré que le conflit n'a aucune connotation ethnique ou raciale, cela signifie que c'est le principal motif du crime (http://mylifeofcrime.wordpress.com/2007 ... is-newsom /).

Et dans cette vidéo, un homme noir bat une vieille femme à l'entrée de sa maison alors qu'elle revient avec des achats au magasin. Il vaut également mieux ne pas en parler à la télévision, sinon les Noirs seront offensés.

Un peu long, mais correct.

En substance, tout est correct (même s'il y a des excès). Pendant de nombreuses années, j'ai été consultant (tuteur) en mathématiques dans l'un des lycées de New York. Là, je discutais parfois avec une femme noire, professeur d'anglais. Elle m'a dit : « Je dis toujours à mes étudiants noirs qu'il faut faire deux fois plus que les étudiants blancs pour réussir dans la vie. Mais ils ne m'écoutent pas. C’est à peu près ce qu’on disait aux Juifs d’Union Soviétique. Mais ils ont suivi ces conseils. Le problème avec les communautés noires d’Amérique, c’est qu’il n’y a parmi elles aucun leader comme cet enseignant.

"Il n'y a pas de salut de l'esclave devenu roi" - Rudyard Kiplig. Traduit par Blumenfeld.

C'est la même chose dans les paraboles de Salomon.

Les Noirs en Amérique.

Comment se fait-il que depuis plus de 30 ans nous nous humiliions devant un peuple qui se trouve au niveau de développement le plus bas non seulement en Amérique, mais aussi sur la planète. Ci-dessous se trouvent uniquement les Bushmen et les Australiens indigènes.

Au fil des millénaires, ils n’ont pas créé ne serait-ce qu’un semblant de civilisation en Afrique.

Pas dans n’importe quel pays ! Avoir comme voisins des pays aussi développés dans l’Antiquité L'Egypte ancienne, Carthage, Judée, Perse et Grèce et Rome, ils n'en ont rien adopté ! Pas de technologie, pas de science, pas de législation. Aucune des tribus noires n'a encore de langue écrite et elles utilisent les langues et l'écriture des peuples européens, qui les gouvernaient autrefois bien et leur apprenaient au moins à se laver et à porter des pantalons. Je ne parle même pas des routes, de l'électricité et des médicaments.

Même au XXIe siècle, ils n’ont rien créé, étant diplômés par milliers des universités et écoles occidentales, et portent les fruits de la civilisation des Européens occidentaux, héritage de l’époque du colonialisme. En plein essor il y a 25 ans Afrique du Sud est mort dès que le pouvoir est passé des blancs aux noirs. Il est ruiné, tous ceux qui auraient pu quitter ce beau pays dans le passé et il est maintenant enseveli dans la boue, dans laquelle se dressent des villes et des fermes en ruine. Des villes sans électricité, sans transports, dangereuses même en plein jour. Peu de Blancs y vivent dans des villes fortifiées, derrière des murs de béton, des barbelés et des gardes armés 24 heures sur 24 !

En Amérique, la situation n’est pas meilleure.

Les quartiers noirs de nos villes sont également noyés sous la saleté, les maisons sont détruites et la population blanche a peur d’y regarder. Même la police n'y va pas ! À Denver, les maisons se vendent à des prix symboliques. Ils ont peur de les acheter ! La ville est en faillite. Le maire et 80 % de la population de la ville sont noirs. L’esclavage, aboli il y a 150 ans, n’a pas connu de véritable développement. Les efforts héroïques de l’Amérique blanche au cours des 50 dernières années ont également échoué. des résultats visibles en améliorant leur niveau culturel et leur bien-être. Encore même un diplôme lycée inaccessible à 75% des enfants noirs. Ils ne peuvent pas apprendre à lire et abandonnent tout simplement l'école à l'âge de 14-15 ans ! Selon l'intégrale, ces gens restent analphabètes, paresseux et stupides sur n'importe quel territoire, de l'Afrique à l'Amérique et aux îles de l'archipel des Caraïbes. Il convient de noter que tout autre enfant maîtrise la lecture avec l'aide de ses parents en deux à trois semaines et qu'à l'âge de sept ans, il lit déjà couramment dans sa langue maternelle.

Vous ne pouvez pas changer la nature. Leur retard est particulièrement visible du côté des Chinois, des Japonais, des Coréens et des autres peuples asiatiques. Ils développent leurs cultures et leurs technologies dans leur pays d’origine depuis des siècles et des millénaires. Et en Amérique, en termes de capacités et de réalisations, ils ne sont en aucun cas derrière les Américains blancs ! Et ils sont souvent en avance sur eux !

Si la société blanche américaine accepte normalement les succès des Chinois, des Coréens et des autres citoyens non blancs.

Si aucun de ces citoyens non blancs ne se plaint de racisme ou de harcèlement, alors le discours sur le racisme n’a aucun fondement ! Même notre président et notre procureur général sont noirs ! Et, hélas, le plus malchanceux de tous les hommes politiques américains.

Personne, même le libéral le plus enragé, ne peut réfuter ces vérités évidentes.

Tout cela est désormais largement couvert par les médias américains !

La seule chose qu’un libéral utilise dans de telles conversations est de crier au racisme, au fascisme ou, au mieux, d’insister sur le fait qu’aujourd’hui les Noirs sont encore à la traîne, mais que dans le futur ils ne seront pas pires que nous. Ils le disent même personnes intelligentes qui croient qu'une autre position est offensante pour eux et pour les Noirs.

Pas du tout! La situation actuelle est avant tout offensante pour nous, les Blancs, les créateurs de l’Amérique moderne et de la civilisation moderne sur la planète !

Après tout, pour des raisons de politiquement correct, nous ne devrions pas nous contenter de nous prosterner devant eux !

Une « théorie » populaire veut que nous soyons avec eux à différents stades de l’échelle générale du développement. Il nous suffit d'attendre et ils s'élèveront à l'avenir jusqu'à notre niveau. Mensonge!

Nous nous trouvons sur des marches différentes, et même une attente millénaire ne comblera pas cet écart, tout comme elle ne l'a pas raccourci jusqu'à présent ! Cet écart réside dans les capacités naturelles, que personne ne peut changer, et dans les attitudes de vie, élevées dès la naissance.

De quel genre d’avenir parlons-nous, je demande ?

Si en 4 à 5 000 ans les choses n’ont pas bougé d’un pas.

Si au cours de ces millénaires la race blanche est passée de l'absence de langue écrite à la physique quantique et les rovers martiens, alors combien de temps faudra-t-il aux Noirs pour au moins apprendre à lire et à écrire correctement ? Et parle souvent.

Et pourquoi, en attendant que cela se produise, les poussons-nous de force aux postes les plus élevés, jusqu'au gouvernement, où ils se montrent invariablement totalement inadaptés, et leur décernons-nous des diplômes d'universités prestigieuses.

Bon, d'accord, attendons qu'ils se développent et ensuite nous leur confierons les leviers de gouvernance du pays et de la culture. N'est-ce pas prématuré maintenant ?

Nous ne leur avons pas seulement donné des chances égales. Ce ne serait pas si mal. Ils vivent pour la plupart aux dépens de la société, oisifs, débauchés, se dupent avec la drogue et organisent des gangs qui terrorisent les villes. Ils détruisent et brûlent les quartiers des plus grandes villes du pays dès qu'il y a un quelconque mécontentement. Les Noirs américains perçoivent l'arrestation et, surtout, la condamnation d'un criminel noir comme une persécution raciale, puis ils pillent les magasins et les maisons sous nos yeux et se comportent effrontément dans les lieux publics.

Une mauvaise note à l’école ou à l’université entraîne un procès pour racisme !

Et on leur donne des high fives ! Nous les nourrissons, payons leur logement et ne permettons pas qu’ils soient critiqués. On ne peut pas les forcer à travailler selon leur niveau et non selon leurs exigences. Nous ne résistons pas, nous sommes à genoux devant eux depuis longtemps et eux, enhardis par la permissivité, se comportent comme des occupants d'un pays conquis. Si une épouse assez compétente du président dit devant des microphones qu'elle n'est tombée amoureuse de l'Amérique que lorsqu'elle est entrée à la Maison Blanche, alors les Noirs peuvent-ils être considérés comme des citoyens américains fiables ?

Plutôt des ennemis. Quel genre de famille avons-nous à la Maison Blanche ?

Les Américains blancs acquièrent désormais des armes en quantités sans précédent dans le passé. Il y a 80 millions d’armes enregistrées dans le pays et 8 millions de membres de l’Association américaine des propriétaires et passionnés d’armes. Pourquoi y en a-t-il autant dans un pays où il y a la police, garde national et l'armée ? Les armes ne sont pas bon marché. Pas moins cher en moyenne

600$ par unité. Pour 50 cartouches pour un pistolet ou un revolver standard, nous payons désormais entre 15 et 22 dollars. Pour être prêt à l’utiliser, il faut tirer régulièrement au stand de tir ! Former. Et on tire. Et le stand de tir n'est pas bon marché !

J'ai 80 ans. Ce n'est pas approprié de jouer aux soldats de plomb à mon âge. Pourquoi ai-je besoin de trois barils de calibre 0,38 pour 450 $ chacun ? Je ne suis pas un collectionneur d'armes. Pourquoi est-ce que je tire au stand de tir chaque semaine, en y consacrant de l'argent et du temps ? Parce que j'ai désormais peur de sortir dans la rue sans arme. J'ai peur de me coucher sans une arme sur ma table de nuit ! Les Américains n'achètent pas seulement des pistolets faibles comme le mien. Les mitrailleuses, les fusils de précision, les fusils de chasse lourds, les mitrailleuses et les mitrailleuses, et même les bazookas, ne sont pas achetés par milliers pour la chasse. C'est une arme de combat !

Pourquoi? La réponse est la même.

Nous avons peur des Noirs, du gouvernement aussi, et de leur faveur, et c'est en grande partie leur faveur. L’État ne nous protégera pas dans le conflit racial inévitablement imminent, qui se transformera rapidement en affrontements sanglants. Des appels à la guerre contre les Blancs sont récemment apparus sur les ondes télévisées et Internet américaines.

Comment en sommes-nous arrivés à ce point ?

Une analyse sérieuse est nécessaire. Jusqu’à présent, je n’ai pas de réponse, d’autant plus que personne n’ose faire une telle analyse et qu’il n’y a nulle part où lire ce que les autres en pensent. L’affaire est d’autant plus compliquée que la situation semble absolument absurde ! Un pays de 320 millions d’habitants NE VEUT PAS freiner seulement 35 millions de Noirs qui ouvrent la voie à la destruction du pays, mais s’arme jusqu’aux dents, comme une armée qui se bat contre un ennemi fort et dangereux !

Ne me demandez pas : « Que proposez-vous ? Ma tâche est de comprendre ce qui se passe. Comment avons-nous permis que tout cela se produise ! Dessinez une image vraie et montrez-la à toutes les personnes intéressées. Je parle en tant que sociologue, pas en tant que politicien. Laissez-les décider quoi faire. Et le plus tôt possible, sinon il sera trop tard.

Il convient de souligner en particulier que je ne préconise pas du tout une restriction des droits des Noirs en Amérique par rapport aux autres races vivant dans le pays. Ce sont des citoyens américains, et on ne peut parler d'aucune restriction ! Mais la situation qui s’est développée sous mes yeux, et je vis en Amérique depuis près de 35 ans, est totalement intolérable. Les Noirs sont désormais autorisés à faire des choses auxquelles les autres races et peuples, y compris les Blancs, ne pensent pas et ne veulent même pas. Ils ont le droit de vivre sans travailler !

Et l’oisiveté est la mère de tous les crimes.

Aujourd’hui, le fils de Martin Luther King, tué il y a 50 ans alors qu’il était noir, apparaît à la télévision. dirigeant politique. Son père a appelé à une résolution pacifique du conflit racial qui existait alors réellement. Le conflit appartient au passé. L'Amérique a un président noir ! Et le fils de King crie (je ne trouve pas d'autre mot), essuie constamment la sueur de son visage, sur la lutte, sur les grèves contre les racistes, sur une guerre irréconciliable, sur les frappes de représailles, sur le fait que la guerre continue ! Et la foule, alimentée par de tels discours, est excitée, bruyante, agitant des drapeaux, la foule est majoritairement noire, prête à se lancer dans la bataille ! Et cela se précipitera si la situation actuelle n’est pas radicalement modifiée.

On ne peut pas envier les noirs américains. Leurs revenus sont bien inférieurs à ceux des Blancs, des Asiatiques et des autres personnes aux États-Unis. Un nombre disproportionné de jeunes sont en prison. L’incroyable majorité des meurtres et des vols sont leurs auteurs ! Environ 75 % des enfants noirs naissent hors mariage de leur mère avant d’atteindre l’âge adulte, et ils ne savent même pas qui est leur père.

Et curieusement, cela est dû au fait que pendant au moins quatre décennies, ils ont bénéficié de privilèges que personne d’autre n’a. Leurs enfants ont reçu un diplôme d'études secondaires sans apprendre à lire et ils ont été placés dans des universités sans tenir compte de leurs capacités. Ils ont été libérés à plusieurs reprises pour des « farces mineures », jusqu'à ce qu'ils soient arrêtés par de grandes. Une spécialisation absurde en études afro-américaines a été inventée pour eux afin qu'au moins l'un d'entre eux puisse obtenir un diplôme en histoire de la civilisation afro-américaine, qui n'existait pas et n'existe toujours pas.

Le pays a créé des services du personnel qui veillent à ce que le nombre de Noirs dans une entreprise ou une autre organisation ne soit pas inférieur à leur pourcentage dans l'ensemble du pays. Et pourtant, dans des domaines tels que les mathématiques, la physique, la chimie et la mécanique, je n'ai pas rencontré une seule personne de couleur au cours de mes 15 années de travail au département de physique et de mathématiques de l'Université de Houston. Et ce malgré le fait qu'à des fins scientifiques, j'ai visité plus d'une fois les meilleures universités du pays. On ne les trouve nulle part ! Ces disciplines leur sont incompréhensibles ! Dans un contexte de permissivité, d'absence totale de critique et de fonds publics pratiquement illimités pour les mères jeunes mais nombreuses, les Noirs américains voient avec surprise et une colère croissante que, quoi qu'il arrive, ils sont les personnes les moins prospères du pays. Et plus loin, moins. Ils ne veulent pas et ne comprennent même pas pourquoi !

Ne comprenant pas qu'un diplôme obtenu sans concours n'est pas un certificat de qualification ni même d'alphabétisation, occupant des postes correspondant aux diplômes, mais n'effectuant pas de travail correspondant au diplôme, ils imputent encore une fois leurs problèmes aux racistes ! Un peuple qui n'a pas de famille comme institution, qui a perdu le concept de décence, qui a élevé à la troisième génération des personnes avec un appétit exorbitant pour les privilèges et sécurité sociale et ceux qui préfèrent ne rien faire ne peuvent prétendre à un revenu égal à celui des peuples qui ne bénéficient pas de ces privilèges et de ces tendances néfastes et qui n'ont qu'un seul avantage : le travail acharné combiné à la capacité.

Nous devons honnêtement admettre que moralement et même physiquement, le Noir américain est tombé, à bien des égards, bien en dessous du niveau auquel il se trouvait il y a seulement 50 ans. Il faut admettre que tout cela est le résultat des privilèges dont ils bénéficient en quantité toujours plus grande. Un peuple protégé de la concurrence, de la critique, recevant des aides publiques pour l'oisiveté et la paresse, ne peut pas réussir ! Le taux de chômage des Noirs est deux fois supérieur à celui du reste du pays. Nous importons des millions de Mexicains pour des emplois qui ne nécessitent pas de diplôme universitaire ni même une bonne éducation scolaire. Les Noirs ne veulent pas et ne veulent pas occuper des emplois dits « non qualifiés ». Ils sont déjà pleins. Les Mexicains ramassent avec diligence les déchets, tondent les pelouses, construisent et réparent les maisons et les routes. Des milliers d’entre eux travaillent dans les champs et les jardins, s’occupant des animaux. Mais vous n’avez pas besoin d’un diplôme d’études secondaires pour cela. Oui, ils ne l'ont pas. Je n'ai jamais vu de Noirs occuper ces emplois. Et je ne le verrai pas s’ils continuent à vivre à mes dépens.

Je pense toujours aux Juifs lorsque je pense à ce sujet. Les Juifs ont été opprimés et persécutés partout dans le monde pendant 2000 ans. Les Noirs d’Amérique n’ont jamais rêvé des humiliations et des coups que les Juifs ont subis en Espagne, en France et en Allemagne au Moyen Âge et au-delà. Seulement dans fin XIX siècle, c'est-à-dire que bien plus tard que les Noirs, ils ont eu la possibilité d'étudier dans une école normale et dans une université. Ils ont eu la possibilité de travailler où ils voulaient et dans la spécialité qu'ils ont choisie. Et avec quelle résistance de la part de la société entière ils ont reçu toutes ces opportunités, auxquelles avaient droit tous les autres peuples des pays où ils vivaient.

Les Juifs n’exigeaient rien d’autre que le droit à l’égalité ! La seule chose qu'ils

Ils voulaient qu'on les laisse seuls. Grâce à un antisémitisme qui a atteint l’Holocauste, à un antisémitisme quotidien insupportable, ils ont réussi à se frayer un chemin jusqu’aux couches les plus instruites et les plus prospères de la société. Pas de privilèges, juste un travail acharné, juste le désir de subvenir aux besoins de vos enfants meilleure éducation! Ainsi, au milieu du XXe siècle, au moins 60 % Lauréats du prix Nobel derrière réalisations scientifiquesétaient d'origine juive. Et les Juifs ont réussi les examens comme s’ils n’avaient fait que s’y préparer pendant 2000 ans. C’est le moyen le plus efficace de lutter contre le racisme ! Il n’y a pas d’autre moyen et il ne peut pas y en avoir !

Qu’ont accompli les Noirs en étant libérés de l’esclavage, en ayant reçu toutes les opportunités dont les Juifs n’avaient jamais rêvé il y a à peine 70 ans ? Seulement des privilèges inouïs et rien de plus.

Même dans le sport, où ils n'avaient pas d'égal, ils commençaient à être sensiblement inférieurs aux Blancs. Mauvaises habitudes: La gourmandise de la nourriture gratuite, le tabac et la drogue, la débauche et la permissivité ont détruit cette race, grande dans le sport et très réussie dans le passé dans la danse et le jazz.

Même en boxe, dans les divisions des poids lourds et super-lourds, où les noirs n'ont pas eu les mêmes droits depuis 60 ans ou plus, les athlètes blancs dominent depuis au moins 10 ans. Parmi les Noirs, il n'y a pas un seul égal aux frères ukrainiens Klitschko et à plusieurs autres poids lourds russes.

Ne voulant pas se regarder eux-mêmes, ne voulant pas changer leur mode de vie vicieux, les Noirs américains sont plus agressifs qu’avant, exigeant de plus en plus de concessions. Ils sont devenus dangereux ! Ce chemin dangereux pour nous tous, pas seulement pour les Noirs. Aucune concession ne peut remplacer le travail acharné, les capacités et bonne vie. C'est la seule clé du succès. Nous, les Blancs, devons cesser de nous sentir coupables envers les Noirs et d’avoir pitié d’eux. Laissez-les s’apitoyer sur leur sort. Nous avons fait bien plus pour eux que nous n’aurions dû. Ils ont reçu de nous légalement plus que nous-mêmes ! Les femmes blanches américaines ne reçoivent pas d’argent pour chaque enfant qu’elles ont. Faites tourner - comme vous le souhaitez !

Si vous résumez les revendications des militants noirs, vous obtenez un ensemble absurde. Donnez-nous des postes bien rémunérés en nombre égal à celui des Blancs. N'osez pas fouiller les Noirs, même si la police a de bonnes raisons de le faire. C'est du racisme ! Donnez-nous les mêmes maisons et quartiers confortables dans lesquels vivent les Blancs, etc. Donnez-nous du travail pour que le taux de chômage soit le même pour nous et pour les Blancs.

Le fait que parmi les Noirs il y a au moins trois fois moins de personnes parfaitement alphabétisées que parmi les Blancs n'est pas pris en compte. Ce à quoi une personne analphabète ne peut pas prétendre Bon travail et le paiement n'est pas pris en compte. Le fait que les Noirs aient rendu inhabitables les zones qui leur ont été fournies par l’État n’est pratiquement pas discuté gratuitement. Donnez-nous tout sans nous rendre dignes de ces avantages ! Sans que nous les GAGNONS ! Nous ne voulons pas les gagner ! Gratuitement! Nous briserons les vitres des maisons où nous vivons, tirerons sur les lampes qui éclairent les routes et les entrées, jetterons des ordures dans les rues, tirerons avec des armes militaires dans toutes les directions et peindreons les maisons avec des graffitis obscènes. Et donnez-nous de nouvelles maisons et de nouveaux quartiers alors qu'il sera impossible de vivre dans les anciens. Et le cycle recommencera !

Il est intéressant de noter que leurs militants parlent peu anglais, sont analphabètes et que leur « travail » principal consiste à faire de l’agitation dans la rue et à opposer les Noirs aux Blancs. En pratique, leurs revendications se résument à une chose : « Donnez-nous gratuitement l’égalité de niveau de vie avec les citoyens blancs, mais n’exigez pas de nous ce que vous exigez de vous-même » ; ceux. travail acharné, éducation, respect de la loi et décence la vie de famille. L’État peut-il fournir cela à 35 millions de personnes sans risquer la faillite ? Aucune réponse n’est nécessaire, d’autant plus que nous sommes déjà au bord de la faillite.

Et nos Noirs ne sont jamais sortis de l’esclavage, mais maintenant ce n’est pas de notre faute. Il s'est avéré qu'ils n'avaient pas besoin de liberté, où ils devaient travailler dur, décider de leur propre destin et vivre en ne comptant que sur eux-mêmes. La plupart d’entre eux, encore jeunes, préfèrent une dépendance totale à l’égard de l’État, c’est-à-dire essentiellement l'esclavage, car une personne véritablement libre est dégoûtée par l'idée que sa vie dépend de son maître. Ils ne travaillent pas, n’étudient pas et se contentent encore des miettes qui leur tombent de la table du maître, mais ils réclament pour eux-mêmes tous les bénéfices obtenus par d’autres durs travaux ! Et malheur à nous et à eux s’ils cessent de se contenter de ce qu’on leur donne. Alors Guerre civile sous le slogan familier « enlevez tout et divisez-le ». Le rugissement de cette guerre à venir est déjà entendu par quelques Américains sensibles et pour la première fois, quoique timidement, ils ont commencé à en parler.

Et une dernière chose. Vous ne devriez pas penser que je considère n’importe quel Noir comme un retard mental par rapport aux autres. J'admets pleinement que parmi eux, il peut y avoir des personnes brillamment douées. Mais où sont-ils ? Pour toute l’histoire observable de l’humanité ! Après tout, même leurs plus ardents défenseurs ne peuvent nommer personne d’autre que Martin Luther King comme fierté nationale. Aucune de mes connaissances libérales américaines n’a pu me donner le nom d’un seul scientifique, ingénieur, médecin ou écrivain noir célèbre. Où sont leurs artistes, poètes, compositeurs ou sculpteurs ? Après tout, même un opéra basé sur la vie noire a été écrit par le talentueux juif Gershwin ! Où sont ces noms ? Personne sauf les athlètes et les anciens jazzmen célèbres, devant lesquels nous nous inclinons tous.

Ce serait bien que les Noirs abandonnent le mot même de racisme. Le racisme est l'oppression ou la destruction d'une race. Il n’y a rien de tel dans le monde civilisé depuis longtemps. L’accusation de racisme fait taire quiconque tente de dire la vérité sur la vie et le comportement des Noirs en Amérique. Seule une compréhension claire de leurs véritables problèmes, qui sont le résultat de leurs caractéristiques raciales et de notre connivence, permettra à la société américaine de résoudre ces problèmes. L'étude de ces caractéristiques devrait devenir légale. C'est de la sociologie, de la science, pas du racisme. Il est temps d’arrêter de considérer toutes les nations de la même façon. Il est absurde de considérer la population de la Terre comme un seul peuple. Nous sommes tous différents.

Mark Salzberg, Houston. Août 2013