Un chien avec une poigne de fer. Les chiens ont les mâchoires les plus fortes. Meilleures races. Chow-chow : une chose en soi

Si soudain un animal à quatre pattes s'avère n'être pas un ami, mais une source de problèmes, ce n'est pas lui qui est à blâmer, mais la personne

Mais il est peu probable qu'un des propriétaires de Dicks et Rex affirme qu'il est plus facile de trouver une approche pour certaines races, tandis que d'autres ne peuvent être traitées sans formation spéciale. Bien sûr, nous en aimons toutes sortes, et les cours aussi, mais nous avons décidé de vérifier auprès des propriétaires quels sont les coûts auxquels ils doivent faire face. Pourquoi ont-ils proposé à l'enseignant de Saint-Pétersbourg de commenter les problèmes fréquemment rencontrés académie vétérinaire, auteur du manuel « Psychologie appliquée du chien », zoopsychologue Natalia KRIVOLAPCHUK.

Akita Inu : la menace cachée

Margarita, l'ancienne propriétaire de Yucca :

Nous avons rendu le chien après qu'il ait attaqué les enfants. J’avoue qu’il y a eu nos erreurs, mais je ne m’attendais pas à ce que notre chien soit si différent du célèbre Hachiko. Désolé, je l'ai découvert trop tard la vraie raison« dévotion surhumaine » : Hachiko marchait simplement où il voulait. Et c’est ce que sont les Akitas.

Psychologue animalier :

L'Akita Inu est une petite race et possède donc un pool génétique limité. Avec des accouplements étroitement liés, c'est l'Akita Inu qui ne transmet systématiquement pas les meilleures qualités.

Bouledogue anglais : tête en acier

Ivan, le propriétaire de Samantha :

Si j’avais su combien d’argent serait dépensé pour les vétérinaires, j’aurais difficilement eu un « Anglais ». Pendant trois ans, nous avons subi une intervention chirurgicale pour retirer un adénome. paupière supérieure, plusieurs exacerbations cystite chronique, coup de chaleur et césarienne: Les femelles ne peuvent pas donner naissance seules à des chiots à tête énorme. De plus, Samantha souffre de dysplasie des membres.

Psychologue animalier :

Le Bulldog Anglais est une race bovine, son museau peut résister au coup de sabot d'un taureau. On ne peut pas forcer un bouledogue à faire quelque chose qui ne lui plaît pas. L'"Anglais" m'a déchiré, et c'était le seul cas dans mes 67 ans, quand ils ont appelé une ambulance pour moi.

Lévrier afghan : l'âme du voleur

Danila, propriétaire de Mireille :

Psychologue animalier :

L’une des spécialisations historiques des Afghans est le vol de viande dans les bazars. Pour nous, il s'ensuit qu'ils ont tendance à voler de la nourriture, à fouiller dans les buissons plus souvent que les autres races et, par conséquent, sont susceptibles d'être empoisonnés.

Basset Hound : Les oreilles sont en désordre

Olga, la propriétaire de Benjamin :

La maison sent toujours le chien. Ajoutez à cela un ventre toujours sale après une promenade, qui bave partout, des oreilles qu'il faut attacher pour qu'elles ne tombent pas dans une assiette de porridge et un nettoyage après chaque repas. De temps en temps, notre Benya devient sourd et il refuse de vous entendre du tout.

Psychologue animalier :

Basset est un limier mutant. Lorsque les chiens de cette race naissaient avec des pattes courtes, ils étaient sélectionnés et élevés. Autrement dit, le Basset est le même limier, mais sans la capacité de réaliser ses instincts en raison de limitations physiques. Le résultat d’un conflit interne peut être un comportement provocateur. Cela se manifeste par le stress et dépressions nerveuses chiens.

Bull Terrier : emprise mortelle

Sergueï, propriétaire de Tagir :

Tagir est un chien doux et dévoué, il tolère docilement lorsque les enfants veulent le câliner. Mais moi seul peux marcher avec lui. Il y a eu un cas où Tagir a attaqué les chiens qui le harcelaient. Il est difficile d'arracher un taureau enragé : son passé de combattant l'a doté d'une poigne mortelle et l'a rendu insensible à la douleur.

Psychologue animalier :

Les intimidateurs s'adaptent bien au fait d'être un chien de famille. Mais la douceur dans l’élevage de cette race est inacceptable. Si le propriétaire suit l'exemple du bull terrier, des problèmes sont probables.

Jack Russell Terrier : caractère explosif

Tatiana, la propriétaire de Neil :

Si vous aimez mettre à jour votre intérieur, le chien du film « The Mask » est votre option. Nous avons déjà remplacé deux canapés et je pense que ce n'est pas la limite. Avec l'âge, le Russell ne devient pas plus calme - au fond, c'est un éternel chiot au tempérament italien.

Psychologue animalier :

Les terriers aiment les règles et les rituels et sont prêts à les suivre si le propriétaire ne se contredit pas : aujourd'hui il vous laisse monter sur le canapé, demain il ne le fait pas. Si c’est interdit, alors c’est interdit pour toujours. Je ne qualifierais pas la mobilité du chien de désavantage. L'énergie accumulée doit trouver une issue.

Doberman et Rottweiler : la bombe est à fleur de peau

Tatiana, l'ancienne propriétaire de Zelda, et Nikita, la propriétaire de Nash :

Nous avons dû abandonner Zelda, six ans, après qu'elle, apparemment dans un accès de jalousie, ait mordu ma fille d'un an. On dit que si un Rottweiler se met en colère contre une personne au moins une fois, il répétera ce tour.

Et quand Nash est apparu, les invités ont cessé de venir chez nous. C'est ennuyeux lorsque vous vous penchez pour ramasser une fourchette tombée et qu'ils vous grognent de manière expressive. Oui il excellent agent de sécurité. Mais c'est lui qui décide quand le propriétaire est en danger.

Psychologue animalier :

Le Rottweiler est connu comme le « chien du boucher » : il protégeait les magasins des marchands des voleurs sans tenter de voler des steaks. Il démarre lentement, mais une fois lancé, il est difficile de l'arrêter. Quant au Doberman, on ne sait pas quels bâtards l'éleveur amateur a utilisé Carl Louis Dauberman, lorsqu’il a élevé un « chien pour un voyageur de commerce ». Et cela crée des problèmes. À la moindre erreur de dressage, le chien devient extrêmement nerveux.

Carlin : le paresseux susceptible

Galina, propriétaire de Pudik :

Pudik est crédule et facile à emmener. Et aussi susceptible : s'il cesse d'être au centre de l'attention, il devient follement jaloux. Il ne maîtrisait que quelques commandes. Si vous insistez, cela pourrait disparaître complètement. Pudik est aussi terriblement paresseux. Si vous êtes fatigué en marchant, vous pouvez vous allonger et vous allonger. Dans son sommeil, il ronfle comme un grand homme. En raison de sa tendance aux allergies et à l’obésité, nous le maintenons au régime.

Psychologue animalier :

Violations peau, en règle générale, ne proviennent pas de la nourriture, mais d'une tension interne. La gourmandise est aussi souvent associée à l’anxiété.

Teckel : chien de musaraigne

Natalya, la propriétaire de Bella :

Premièrement, le teckel adore mâcher des chaussures, des fils, des pieds de tables et de chaises. Deuxièmement, elle adore creuser. Surtout les canapés et les fauteuils - notre Bella est sûre qu'il y a un trou caché sous le rembourrage. Troisièmement, des incidents de « toilettes » arrivent au teckel lorsque, sans raison apparente, il commence à chier dans la maison. Quatrièmement, notre beauté est incroyablement gourmande et sujette à l'obésité. Elle est aussi diablement vindicative.

Psychologue animalier :

Le mauvais caractère du teckel est le résultat de charges insuffisantes et incorrectes. Cette race est un chasseur sérieux d'animaux fouisseurs, il n'est pas surprenant qu'ils « creusent ». Les teckels ont certainement leurs propres blagues. Ils adorent jouer à « Allez, emporte-le ! » avec le propriétaire. ou glissez vos pantoufles sous votre chaise et regardez-les chercher partout.

Husky : Sturm et Drang

Inna, maîtresse de la Rune :

Ne soyez pas charmé par ceux-ci yeux bleus. La place d'un husky est dans un harnais à côté de ses proches. Quand Runa est venue nous voir, j'ai dû quitter le travail pendant un moment, car notre fille pouvait détruire l'appartement seule. Toute la famille a arrêté de porter des pantoufles à la maison parce que Runa les mangeait. Vous ne pouvez marcher avec elle qu'en laisse - elle intimide les autres chiens, se jette sur les chats, adore se rouler à la poubelle et essaie constamment de s'enfuir quelque part. La nuit, notre bébé hurle. Et elle aime aussi faire des « entailles » - vous pouvez tomber sur des os non consommés dans le placard ou sous l'oreiller.

Psychologue animalier :

Les huskies de traîneau ont besoin d'une aide sérieuse pour développer leur intelligence jeune âge. Quant à la destruction de l'appartement, ce n'est pas une propriété de la race, mais une maladie - la névrose de solitude. Les chiens ont tendance à fuir les endroits où ils se sentent mal.

Chow-chow : une chose en soi

Dina, la propriétaire de Charlot :

Nous espérions trouver vrai ami, mais hélas. Le chien vit simplement avec nous, et tant que tout lui convient, il ne grogne même pas. Charlot et moi marchons généralement dans des directions opposées. En entendant l’ordre « viens à moi », elle prétend qu’elle n’a jamais entendu parler d’une telle chose. Comme toutes les autres équipes.

Psychologue animalier :

Dans l’histoire de la race, il n’y a aucune expérience d’interaction étroite avec les humains. Dans leur pays d'origine en Chine, les Chow Chows étaient élevés pour leur viande et leur laine. Vous pouvez voir chez d’autres races, comme le berger allemand, ce qu’elle pense. Mais c’est difficile de comprendre le chow-chow. Elle ne fait pas partie de celles qui suivront son maître partout. Vous pouvez l'éduquer, mais votre relation restera probablement cool.

Shar Pei : troll stupide

Konstantin, propriétaire de Shani :

On dit que le Shar Pei est une aubaine pour un médecin. L'inflammation des yeux et des oreilles est le problème le plus courant ; des plis excessifs sur la tête blessent souvent la cornée. Dans la lutte contre les allergies, on a déjà tout traversé nourriture pour chien. Shanya aime aussi se retourner contre les gens stupides, troller littéralement le propriétaire.

Psychologue animalier :

Le Shar Pei est difficile à comprendre - comme le Chow Chow, il ne transmet pas ses intentions à travers des expressions faciales ou une posture. pattes postérieures, la position de sa queue et de ses oreilles est également fixe. Les Shar Peis étaient autrefois exposés lors de combats de chiens. Et bien que le chien ne soit pas très convaincant à ce titre, préparez-vous à son agressivité accrue. Il est conseillé d'adopter un chiot dans votre famille avant l'âge de deux mois.

Dessins de l'artiste Ekaterina GANDRABURA

Selon la plupart des maîtres-chiens, l'agressivité chez un chien n'est pas innée, mais se forme au cours d'un processus d'éducation ou d'un entraînement inapproprié. N'importe quel chien, comme le Dalmatien, le Chow Chow ou le Husky, a été inclus à plusieurs reprises dans le classement des races les plus dangereuses, même si, avec un traitement approprié, ces races sont des exemples de tendresse et de loyauté sans précédent. Cependant, il existe un certain nombre d'espèces plus sujettes aux manifestations spontanées de colère, et si un tel chien n'est pas maîtrisé dès l'enfance, les conséquences pour le propriétaire et pour son entourage peuvent être tristes. Contrairement aux représentants du royaume canin comme Golden retriever ou le Saint-Bernard, où le caractère équilibré et convivial est trait distinctif race, pour d’autres, une telle caractéristique sera l’exception plutôt que la règle. Nous vous présentons le top 10 des plus chiens dangereux, lors d'une rencontre avec qui il vaut mieux garder les yeux ouverts pour éviter les ennuis.

Les poissons sont des vertébrés aquatiques et sont l'un des plus beaux représentants de la faune. En même temps, beaucoup d'entre eux peuvent être appelés les plus...

10. Dogo Canario ou Perro di Presa Canario

Ce chien grand (jusqu'à 65 kg) et musclé est originaire des îles de Tenerife. La race a été élevée à l’origine comme chien de garde et de berger, mais sa forte constitution et son apparence redoutable ont incité de nombreuses personnes à utiliser ce chien comme garde personnelle. Bien que le Dogo Canario ne soit pas agressif au point d'attaquer sans prévenir, il se méfie beaucoup de tout le monde sauf de son propriétaire. Ces chiens sont infiniment loyaux et sûrs d’eux, et la moindre menace peut les décourager. En Australie et en Nouvelle-Zélande, l'importation et l'élevage de Presa Canario sont interdits, ce qui est tout à fait raisonnable après deux cas dans lesquels le chien a mutilé à mort ses propriétaires aux États-Unis.

9. Berger allemand

La race a été élevée en Allemagne et était destinée aux activités de service et d'enquête et au rassemblement de grands bétail. C'est l'une des races les plus répandues au monde et occupe une honorable troisième place en termes d'intelligence parmi ses frères. La popularité du berger allemand est associée à de nombreux longs métrages, dans lesquels les représentants de cette race étaient les personnages principaux. "K-9: Dog Work", "Come to Me, Mukhtar!", "Border Dog Scarlet", "Commissioner Rex" et environ 50 autres œuvres cinématographiques et séries télévisées où Berger allemand, agissant en tant que détective, garde du corps et compagnon. Cependant, même un chiot n'est pas toujours prêt à obéir et peut réagir de manière agressive à tel ou tel ordre, et si vous ajoutez à cela des mâchoires massives, vous comprenez que les blagues avec ce chien sont parfois mauvaises.

8. Staffordshire Terrier américain

Les autres noms sont American Bull Terrier ou Yankee Terrier. L'histoire de l'élevage de la race a commencé en 1800, même si beaucoup pensent que ces chiens sont apparus relativement récemment. Les Amstaffs sont universels : ils peuvent également être des chiens de chasse, de service, de garde, de compagnie, de garde du corps ou de concours. Extérieurement, les représentants de cette race semblent musclés, puissants et trapus. De plus, le chien a une excellente réaction et des mâchoires bien développées, qui ne lâcheront pas la proie capturée (ce n'est pas pour rien que les ours et les sangliers ont été chassés avec eux). Pour quelqu'un qui acquiert un animal de compagnie pour la première fois, l'Amstaff n'est certainement pas adapté, car cette race nécessite attention particulière, une main ferme et un rappel constant de qui est le véritable leader du peloton.

7. Dobermann Pinscher

La race a été élevée en Allemagne et existe officiellement depuis 1890. Extérieurement, le Doberman est plutôt grand chien(pesant jusqu'à 45 kg), aux cheveux courts, fins et forts, avec une bouche en forme de coin. Idéalement, le Doberman allie élégance et puissance, mais si vous mettez ce chien en colère, vous oublierez immédiatement toute élégance. Initialement, le chien était utilisé comme limier en raison de son excellent odorat et de son endurance. Aujourd'hui, la race a fait ses preuves en tant que compagnon et gardien. Trait négatif Le caractère du Doberman peut être qualifié d'imprévisibilité et de tempérament explosif, qui en cas de danger peut se manifester de manière peu agréable.

6. Chien de berger du Caucase

La race s'est développée dans le Caucase et remonte à plus de deux mille ans. Le poids d'un mâle adulte peut atteindre 100 kg et le but direct de la race est de protéger le troupeau des loups. D'abord références écritesÔ Berger du Caucase permettons de dire qu'il a été utilisé sur le territoire état ancien Ourartu. Malgré l'apparence menaçante et forte croissance(jusqu'à 75 cm au garrot), ils sont bien dressés et cohabitent assez paisiblement avec les autres animaux et les enfants. En général, le Caucasien a une assez bonne maîtrise de soi, mais pour les étrangers et les invités non invités, il peut constituer une menace sérieuse.

Toute araignée possède une paire de crocs venimeux assez puissants qui injectent de la toxine dans le corps de la victime. Ce n'est pas seulement du poison, mais un suc digestif qui transforme...

5. Bullmastiff

La race a été développée en Grande-Bretagne en 1924 et est par définition un chien de garde. L'extérieur du bullmastiff inspire la peur, et son corps musclé et sa bouche immense ne sont pas propices à la communication. Les mâles peuvent atteindre 60 kg, donc pour y faire face chien adulte, il faut l'élever dès l'enfance dans la sévérité. Initialement, la race était plus agressive, mais même aujourd'hui, cette qualité n'est pas étrangère au bullmastiff. Enregistré dans le New Jersey la mort quand un chien a tué un adolescent. Dans une autre situation, un jeune homme a défendu une fille qui a été attaquée par un bullmastiff et a également payé de sa vie.

4. Boxeur allemand

La race a été créée en Allemagne en 1850 sur la base du bouledogue anglais et du représentant disparu des chiens - le Bullenbeiser. Les cynologues ont cherché à créer un chien combatif, mais en même temps rapide, résistant et équilibré. Et c'est ce qui s'est passé, et les premiers boxeurs ont été utilisés pour chasser les sangliers et les ours. Il existe des légendes selon lesquelles il y avait autrefois des combats impliquant des taureaux et plusieurs boxeurs, mais aujourd'hui, c'est difficile à croire. Boxeurs - d'excellents compagnons qui s'entendent bien avec les enfants et peuvent, si nécessaire, les défendre. Ces chiens sont très fidèles, joueurs et faciles à dresser, mais se méfient de tout le monde. Sauf les membres de la famille de son propriétaire. Leur réaction ultra-rapide rend ces chiens très dangereux pour les humains.

3. Bull-Terrier

La race a été développée en Grande-Bretagne en 1892 et se traduit par « taureau ». Les premiers représentants étaient exclusivement blanc, alors seulement ils ont ajouté le sang d'un Dalmatien, un bouledogue anglais, terrier blanc et donc la version moderne du bull terrier a de nombreuses couleurs en plus du blanc pur. L'apparence de ce chien, à vrai dire, est terrifiante, principalement en raison de sa tête et de ses mâchoires puissantes, dont la pression peut atteindre une douzaine d'atmosphères. La « poigne mortelle » du bull terrier est légendaire, c'est pourquoi cette race participe fréquemment à des combats de chiens illégaux. Malgré le fait que le Bull Terrier soit très facile à dresser, il a parfois des accès d'agression incontrôlable, au cours desquels il peut même attaquer son propriétaire. De plus, ces chiens ne s'entendent pas bien avec les autres animaux et il vaut donc mieux les attraper. à un maître-chien expérimenté ou une personne qui peut certainement gérer cette « machine à tuer ».

Nous nous considérons avec arrogance comme les rois de la nature. Mais en même temps, ils sont très vulnérables au monde des animaux sauvages. Rencontrer de nombreuses espèces d'animaux et même...

2. Rottweiler

Créé en Allemagne au milieu du XVIIIe siècle et constitue aujourd'hui l'un des plus races populaires dans le monde. Au départ, les Rottweilers étaient des chiens de garde en raison de leur courage, de leur assurance, de leur activité et de leur physique harmonieux. Les fortes mâchoires de ce chien peuvent déchirer une personne en quelques minutes et ses qualités protectrices ne peuvent être apprivoisées. Les rottweilers se méfient des étrangers et sont prêts à attaquer à la vitesse de l'éclair au premier danger. D'animal de compagnie doux et affectueux, ce chien peut en un clin d'oeil se transformer en un monstre agressif et vicieux, prêt à infliger des blessures incompatibles avec la vie.

1. Pitbull

La race a été élevée aux États-Unis spécifiquement pour les combats de chiens et le pitbull est donc le plus dangereux et le plus vicieux de la planète entière. Les informations sur le pitbull sont très contradictoires, certains prétendent que ces chiens sont extrêmement affectueux et doux et adorent les enfants, d'autres sont sûrs que cette race peut à juste titre être qualifiée de chien tueur. En réalité, les pitbulls sont un tas de muscles prêts à se battre en un instant et à faire tomber l’adversaire par tous les moyens nécessaires. Ce n'est pas pour rien que les pitbulls sont assimilés par la loi à des armes blanches, et dans certains pays de l'Union européenne, leur élevage est totalement interdit. Cependant, en Russie et aux États-Unis, les pitbulls sont utilisés comme chiens capables de trouver rapidement et avec précision des caches de drogue et d'armes.

Des mains aux pieds. Abonnez-vous à notre groupe

À mon avis, la manière dont s’effectue la morsure est l’une des principales caractéristiques d’un chien d’escorte.

La plupart des problèmes qui surviennent lors du dressage d'un tel chien ont relation directeà l'emprise : tactiques de combat faibles, attaques d'objets substitués, incapacité à neutraliser rapidement l'ennemi.

Pour moi, le mode de préhension est encore plus caractéristique importante, que le lieu de la première prise.

Ce n'est pas un hasard si dans la littérature russe jusqu'aux années 80, 3 types de préhension étaient envisagés :

1) faible ;

2) fort ;

3) « mort ».

De plus, la « poigne de la mort » était considérée comme vicieuse.

Essayons de comprendre ce problème en détail.

Considérons le cas le plus courant. Le propriétaire est attaqué et le chien attaque l'ennemi. Attaques à l'avant-bras avec une poigne mortelle.

Si l'adversaire n'est pas préparé, il sera probablement en mesure de choc douloureux, et il ne reste qu'un seul problème à résoudre : retirer le chien. Cependant, la même chose se produira dans le cas d’une adhérence forte et parfois faible.

Si l'attaque est dirigée contre la partie supérieure torse et visage, alors si une personne est légèrement habillée (vêtements d'été), le résultat sera même trop « sanglant ».

La seule réserve concerne le poids du chien, car, en principe, un lancer haut d'un chien léger peut être évité.

Mais tout devient beaucoup plus compliqué si une personne porte une veste d'hiver et est plus ou moins prête à rencontrer un chien.

Dans ce cas, la première attaque sera très probablement inefficace, à moins que l'ennemi ne soit renversé dès le premier lancer. Mais quel avantage y aura-t-il à « tuer » la veste avec une prise « mortelle » ?

Eh bien, que se passe-t-il si une personne tient un bâton ou un couteau dans sa main libre ?

L'issue du combat dans cette affaire est facile à prédire...

Exemple - après avoir sécurisé une main, «l'attaquant» la donne au chien et, de l'autre, lui inflige un coup fatal.

Même si l'attaque est concentrée sur le visage ou l'aine, l'adversaire a la possibilité de se couvrir avec sa main.

Dans notre Centre, nous avons adopté une classification conditionnelle des poignées.

1. « Fort – Rottweiler »

La force principale vise la compression. Si nécessaire, le chien est capable d'intercepter ou d'éviter un coup.

2. « Fort – Caucasien. »

L’effort principal vise à faire des secousses, c’est-à-dire à « se détacher ». Combinée à un poids suffisant du chien, cette prise est la plus efficace.

3-4. « Faible – Rottweiler », « faible – Caucasien ».

5. « Mort – Bull Terrier »

Efficace seulement dans certains cas.

L'option lorsque la prise mortelle est effectuée par un chien massif est particulièrement remarquable.

Dans deux cas cela s’avère très efficace :

1) si le chien renverse l'adversaire et le tient « fermement », sans affaiblir son emprise. Nous avons déjà considéré ce cas ci-dessus ;

2) le chien est entraîné selon une technique spéciale - ce qu'on appelle la « torsion derrière le dos ». Après avoir saisi (par exemple dans la main), le chien « passe » constamment dans le dos de l'adversaire, comme s'il le faisait tourner. Cela entraîne généralement une chute de l'adversaire sur le dos.

Ainsi, pour un garde du corps, une attaque haute avec coup puissant crocs et poitrine (à l'aide d'un collier de combat) et « bashing » actif, donnant la possibilité d'intercepter ou d'éviter instantanément une attaque de représailles (Fig. 23).

Riz. 23

Parlant du caractère unique du « travail avec les dents », il est nécessaire de noter un certain nombre de tendances et de nuances qui intéresseront le lecteur. Après les avoir analysés, vous pouvez tirer des conclusions intéressantes. Jugez par vous-même.

Poignée

Par « préhension », il est d'usage d'entendre l'utilisation des dents par un chien dans la lutte contre un ennemi ou une victime, caractérisée par deux positions : la force de compression des mâchoires et la durée (Fig. 24).

Ayant accepté cette définition, on arrive à une distinction fondamentale entre la préhension et la « morsure » elle-même, qui se caractérise par la force du coup avec les crocs (la « profondeur de la préhension » n'est pas prise en compte) et la force de la secousse de la tête (morsure) (Fig. 25).

Dans la nature, les prédateurs canins font preuve à la fois de morsure et de préhension. Essayons de comprendre quel est le but. La poignée est utilisée pour :

1) étranglement d'un ennemi ou d'une victime dans le but de le tuer ou de l'affaiblir (appliqué à la gorge) ;

2) immobilisation (avant et les membres postérieurs, garrot, dos, moins souvent - museau ou tête, si la taille de l'ennemi le permet) ;

3) retenir la proie (jusqu'à ce que le chasseur s'approche) ;

4) tuer de petites proies - « saisir et secouer ».

Le besoin de prise est dicté par le désir d'arracher la victime du sol.

La morsure est utilisée pour :

1) meurtres ( veine jugulaire et aine);

2) immobilisation (membre et tendon) ;

3) épuisement (saignement dû à de nombreuses morsures sur n'importe quelle partie du corps) ;

4) retenir un ennemi trop dangereux.

Riz. 24. Lévrier asiatique – Grip

Riz. 25. Saisie des jambes

L'adhérence et la morsure présentent tous deux certains inconvénients. Regardons-les.

1) restriction de la mobilité (mobilité) du chien qui a effectué la prise - fixation de la tête ;

2) dépréciation de la poignée lorsque la saisie est imprécise ou que l'ennemi dispose d'une protection (suspension, sous-couche, équipement, vêtements d'hiver etc.); première attaque surévaluée ;

3) limitation par la taille (dimensions) de la zone du corps de l'ennemi qui doit être capturée - étroitesse d'application.

1) mobilité hypothétique de l'ennemi ;

2) dévalorisation des attaques répétées dans les zones protégées (vêtements d'hiver).

Mais en même temps, la morsure a un certain nombre de « moments » positifs :

1) liberté totale dans le choix du lieu de la première attaque et de toute attaque ultérieure ;

2) l'imprévisibilité du déroulement du combat pour tout ennemi (homme ou bête) ;

3) augmenter la capacité de combat du chien, c’est-à-dire augmenter son potentiel protecteur (défensif) en maintenant sa mobilité ;

4) si les caractéristiques physiques de l'ennemi (masse) permettent de l'immobiliser, de le renverser et de le clouer au sol, alors « l'arme » principale (les dents) reste libre, jouant le rôle d'une sorte de dernier vainqueur "atout".

Passons maintenant de la théorie à la pratique et considérons le comportement des chiens dans les situations les plus dramatiques et réelles - lors de la chasse, y compris les gros animaux, lorsque la « victime » est en même temps un ennemi mortel.

Quand et pourquoi les chiens utilisent-ils la préhension et la morsure ?

1. Chasse aux petits animaux.

La préhension et la morsure sont utilisées (avec la même efficacité).

2. Chasse au sanglier.

L'ennemi est extrêmement sérieux, mais limité en « armes » (uniquement des crocs). Ici, nous voyons déjà deux lignes principales de comportement (soit-ou), classiquement désignées par nous comme :

1) « bull terrier » : une prise de maintien sur le museau afin de neutraliser les crocs ;

2) « j'aime » : morsure-évasion (esquive) - morsure due à l'avantage en termes de rapidité et de dextérité. Notons au passage que dans la première version il y a plus haut niveau mortalité canine.

3. Un duel avec un loup.

Le style de travail du chien-loup est déjà le même : les morsures sont appliquées à la gorge (la cible est la veine jugulaire, plus facile à briser d'un coup sec) et à l'aine comme endroits les plus vulnérables des adversaires.

Ici on voit déjà l'envie de casser pattes postérieures, et écrasant l'ennemi de son propre poids, suivi de morsures mortelles. Ni tenir ni secouer ne sont plus utilisés.

Le seul bémol concerne le terme « étranglement » parfois utilisé.

Il est curieux que les lévriers fonctionnent de la même manière, seules les morsures multiples sont infligées non pas par un seul chien, mais par une meute : autant de chiens qu'il y a, autant de morsures. Cela résout le problème de la sécurité, puisqu'un lévrier seul ne peut pas résister à un loup.

4. Combattez avec un ours.

L'ennemi est trop fort, et ses armes sont très diverses : des dents, des griffes et un colossal force physique. Travailler "pour tenir" conduit à la mort instantanée - tout se décide au premier coup de patte. Souvenons-nous des chiens «coincés» - les plus condamnés de la tribu canine, leur sort est bien connu. Dans un tel combat, seules des « tactiques similaires » sont acceptables, ce qui est confirmé par la pratique.

Si l'on considère une personne comme un ennemi potentiel (« sanglier »), alors son arme est parfois encore plus dangereuse et variée et frappe à distance : un couteau, un morceau de tuyau augmente la force du coup jusqu'à des valeurs mortelles pour un chien.

Dans les exemples donnés, on voit un schéma clair : plus l'adversaire est dangereux, moins on voit souvent la technique de maintien avec prise.

Alors, quelle devrait être la tactique d’attaque lorsque l’on affronte une personne dans un duel ? Laissez chacun décider lui-même de donner ou non une chance au chien. Mais la conclusion s'impose : la morsure comme méthode de combat s'avère être une arme sans doute plus redoutable en situation réelle que la poigne. Ceci est confirmé par l'examinateur le plus sévère - Nature.

Des modèles intéressants peuvent également être identifiés en analysant les transformations des équipements de protection dans le cadre du hobby de renforcement de l’adhérence des chiens.

Un animal en peluche déguisé en humain - un homme en combinaison de protection - une combinaison de protection avec coussinets - une manche d'entraînement - un équipement caché sur l'avant-bras. Comme on le voit, une personne en bagarre avec un chien reste de plus en plus « déshabillée », ce qui indique clairement une diminution des capacités de combat des chiens. Et ceci, à son tour, est le résultat de la « gripmania » !

Le manchon d'entraînement lui-même a également été modifié à dessein.

Dans les deux séquences données, on détecte deux tendances.

1) La transformation du matériel d’entraînement a eu pour but de faciliter la « saisie » par le chien et ainsi de « fixer » la prise.

2) À mesure que la prise se renforce, la sécurité de la personne impliquée augmente ! Cela se voit clairement dans la « simplification » des équipements de protection.

Tout entraîneur en exercice connaît la situation dans laquelle un chien relâche son emprise. Cela signifie que le chien attaquera une zone non protégée.

On peut en observer un autre très processus caractéristique(au moins en prenant l'exemple de l'Allemagne) - renforcer les exigences limitant le travail de protection des chiens :

– attaque uniquement à la main ;

– des aboiements d'avertissement ;

– libération obligatoire sur commande ;

- libération indépendante obligatoire.

La prochaine exigence sera probablement un rituel dans lequel le chien s'excuse profondément pour la gêne occasionnée par la morsure de la manche.

Fait intéressant. Les races qui se distinguent par une forte emprise se caractérisent par des changements de comportement peu étudiés qui ne sont pas caractéristiques des représentants de la famille canine.

Le Pit Bull Terrier se distingue par sa violation de la loi la plus sévère - le tabou qui protège les chiennes et les chiots ; pour une raison quelconque, le Rottweiler attaque trop souvent... le chef-propriétaire ! N'est-ce pas quelque chose à penser ?

Notons également que les chiens les moins « d'usine » et l'un des plus agressifs et féroces sont les chiens de race blanche, outre le fait qu'ils ne souffrent d'aucune des déviations citées ci-dessus, ils le sont aussi (comme presque tous les grands bergers chiens) réputés pour leur réticence obstinée à « travailler » non seulement pour la tenue, mais aussi pour l'équipement en général ! Néanmoins, demandez à n'importe quel sanglier ou personne impliquée qui est le plus dangereux au travail : un Rottweiler ou un Caucasien ?

À cet égard, le problème de l'utilisation d'une muselière dans la préparation de chiens à protection spéciale est pertinent.

Nous basons notre engagement dans cette approche sur deux axiomes.

Axiome 1. Le chien domestique appartient à la famille des chiens, ou canidés (Canidae), de l'ordre des carnivores.

Axiome 2. Anatomiquement, les canines ne sont pas conçues pour tuer.

De l'axiome 1, il s'ensuit que tout chien sait mordre dès la naissance, mais mord d'une manière qui lui convient, et non à son propriétaire. Sinon, elle n'est qu'une infirme.

L'axiome 2 explique les « bizarreries » comportementales de la famille canine et, surtout, le « secouement » comme méthode de mise à mort. Rappelons par exemple le « meurtre rituel » d'un proche après inclusion d'un tabou social.

Ainsi, il faut affirmer que la « prise en main » est le fruit de :

1) dresser un chien par une personne ;

2) les efforts de sélection humaine.

Compte tenu de tout ce qui précède, nous pouvons dire qu'après s'être assuré que le chien est capable d'utiliser ses propres dents (à l'aide d'équipements cachés) dans une situation réelle, le problème de l'équipement peut être résolu en utilisant une muselière. .

Tout équipement a ses inconvénients, à savoir :

1. Robe et costume d’entraînement :

– distorsion fondamentale apparence personne;

– perte de coordination ;

– stéréotype du comportement « robe » ;

– l'odeur du matériel ;

- une réaction injustifiée face aux personnes portant des vêtements qui ressemblent à une « robe » - ouvriers, pêcheurs, etc.

2. Manchon d'entraînement :

- tout ce qui précède;

– allumage automatique inhibition sur les personnes ayant des « mains identiques » ;

– le chien s'engage à attaquer exactement la main que la personne a sécurisée.

3. Boucliers cachés :

– l'odeur du matériel ;

– stéréotype du comportement « sanglier » ;

– la connaissance par le chien de l'emplacement des boucliers, qui vient avec l'expérience (lequel des dresseurs ne connaît pas le désir de nombreux chiens de mordre au-delà des boucliers - la principale cause des blessures ?).

4. Combinaison de protection pour le contrôle :

– l'odeur du matériel ;

– fausses sensations quand mordu;

– un coût irréaliste pour la plupart des formateurs.

Une muselière, éliminant les inconvénients listés, permet également de :

– détendre complètement le « sanglier », se comporter naturellement ;

– voir réellement où le chien attaque ;

– apprendre au chien non seulement à utiliser ses dents, mais aussi à frapper avec son poitrail et ses pattes ;

– travailler directement sur le corps humain, y compris nu.

– la nécessité de s’habituer à une muselière, qui par contre est extrêmement utile ;

– augmenter les exigences en matière d’expérience du moniteur et les diminuer pour le « sanglier » ;

– une probable distorsion de certaines nuances comportementales, peu étudiées, du fait de l’incapacité à délivrer une morsure efficace.

Comme vous pouvez le constater, ce système présente plus d’avantages que d’inconvénients. Ceci est confirmé par l'utilisation des méthodes proposées par les forces spéciales de différents pays.

À notre avis, la combinaison du travail avec une muselière et une combinaison permet de dresser de véritables chiens.

On considère un vrai chien comme un chien capable de protéger son maître ou ses biens dans une situation réelle.

Nous considérons la situation réelle comme une situation dépourvue d'indices sur le chien. Il existe une infinité de situations réelles, et nous considérons comme des indices les suivantes :

1) connaissance du « sanglier » par le propriétaire du chien ;

2) un lieu ou un moment qui suggère au chien la possibilité d'une attaque ;

3) équipement « sanglier » ;

4) comportement de « sanglier » ;

5) mettre une muselière pour signaler le travail ;

6) présenter le chien au « sanglier ».

L'état interne du « sanglier » doit correspondre à la tâche à accomplir ; son comportement peut être de la nature suivante :

1) agressif ;

2) secret-agressif ;

3) passif ;

4) inattendu (astuces plastiques pour arrêter l'attaque).

Il est également extrêmement important de vérifier les performances du chien dans une situation où le propriétaire-leader a adopté une position de soumission. Alors, résumons.

objectif principal entraînement spécial– élever un vrai chien. Il faut le tester en situation réelle. Les tactiques du chien doivent être aussi efficaces que possible et l'une des techniques de dressage doit être une muselière.

L’adhérence n’est pas l’objectif principal de l’entraînement, contrairement à l’entraînement sportif.

En général, un chien dans un rêve signifie un ami - bon ou mauvais - et est un symbole d'amour et de dévotion.

La voir dans un rêve laisse présager de recevoir des nouvelles d'un ami ou de le rencontrer.

Les petits chiens dans un rêve signifient des problèmes, des soucis, de la vanité.

Un chien noir dans un rêve signifie votre ami qui a commencé quelque chose contre vous.

Un chien blanc dans un rêve est votre ami proche.

UN chien rouge dans un rêve signifie très un bien aimé, mari, femme, amant.

La race et la taille d'un chien dans un rêve caractérisent vos amis.

Un caniche, un Spitz et d'autres chiens décoratifs dans un rêve sont un ami fidèle et doux.

Un Dogue Allemand dans un rêve est un ami grand et intelligent. Mais si, dans un rêve, il vous montre les dents, méfiez-vous de lui. Ce n'est plus un ami, mais un ennemi insidieux.

Les chiens et les races de chasse dans un rêve signifient des gens égoïstes qui n'hésiteront pas à gagner de l'argent avec vous ou à vous tromper dans un but lucratif. Mais si dans un rêve tu sais ce que tu as chiens de chasse, alors le rêve vous prédit de la chance ou du profit.

Si des chiens vous poursuivent dans un rêve, vous devez alors vous méfier des pièges préparés par des ennemis insidieux.

Chiens de garde- ce sont des amis fidèles, dévoués et forts qui sont prêts à vous protéger Temps dur.

Rencontrer un chien dans un rêve, c'est recevoir des nouvelles d'un proche ou d'un ami.

Un chien qui joue dans un rêve est le signe avant-coureur d'une rencontre joyeuse ou agréable.

Un chien affectueux signifie un ami dévoué. Cependant, si dans un rêve quelqu'un vous caresse chien inconnu, alors vous devez vous méfier de la tromperie ou de la trahison.

Caresser soi-même un chien dans un rêve est un signe que vous essayez de gagner les faveurs d'un être cher.

Un chien qui grogne, aboie, grogne et attaque dans un rêve prédit des querelles, des scandales et des insultes.

Si vous rêvez qu'un chien vous a mordu, vous ne devriez pas prêter d'argent à vos amis, afin de ne pas vous disputer avec eux plus tard à cause de cela.

Les chiens malades dans un rêve symbolisent un déclin des affaires ou la perte de certains biens.

Si, dans un rêve, vous voyez qu'un petit chien est malade, alors tristesse et déception vous attendent.

Un rêve dans lequel vous avez vu qu'un chien se cache de vous, vous évite ou vous fuit, laisse présager une rupture de votre relation avec un ami proche et son refroidissement envers vous.

Entendre un aboiement fort dans un rêve est un signe avant-coureur de succès en affaires. Si les aboiements vous ont fait peur dans un rêve, la nouvelle sera désagréable. Entendre plusieurs chiens aboyer dans un rêve signifie un gros scandale ou des problèmes.

Si vous rêvez qu'un gros chien rouge a eu un accident qui l'a entraîné dans sa mort, vous en apprendrez bientôt plus sur mort subite un proche décédé dans un accident similaire.

Ronger des chiens dans un rêve signifie une querelle avec un être cher.

Si vous rêvez que votre chien est enchaîné ou muni d'un collier, sachez que votre ami n'est libre de aucune obligation et que vous ne pouvez pas compter sur sa loyauté.

Si, dans un rêve, vous parvenez à décrocher la laisse et à retirer le collier du chien, alors le succès vous attend vie privée et la victoire sur les rivaux.

Beau chien blanc dans un rêve, prédit recevoir de bonnes nouvelles d'un être cher.

Sale, mouillé, négligé chien blanc dans un rêve - c'est votre ami proche qui, à cause de vous, s'est retrouvé dans une situation désagréable et a eu beaucoup de problèmes dans sa famille.

Les chiens en colère dans un rêve sont vos ennemis. Chien enragé dans un rêve - c'est votre féroce ennemi. Souvent, un tel rêve prédit que vous ressentirez de la honte ou de l'humiliation à cause d'accusations infondées.

Une niche dans un rêve est un signe avant-coureur du fait que vous vous retrouverez bientôt dans des circonstances exiguës et que vous serez obligé d'en tenir compte.

Monter un chien dans un rêve signifie la force de votre position et bonne chance dans les affaires.

Les chiens qui se battent entre eux sont des rivaux.

Marcher avec un chien dans un rêve est le signe d'un moment agréable avec votre proche.

Si, dans un rêve, un chien vous protège des ennemis, sachez que vous avez un ami sur qui vous pouvez compter sur l'aide. Voir interprétation : animaux.

Interprétation des rêves du Family Dream Book

Abonnez-vous à la chaîne Interprétation des rêves !

Abonnez-vous à la chaîne Interprétation des rêves !