Vous ne comprenez pas comment vous pouvez vivre dans un monde où sévit le SIDA - Syndrome d'Immunodéficience Acquise. Comment ne pas être infecté ? L'infection vous semble omniprésente et envahissante. Comment communiquer avec les gens ? Ils peuvent être porteurs du SIDA et vous infecter volontairement ou involontairement... On vous dit que ce peur obsessionnelle SIDA, qu'il n'y a aucune raison de s'inquiéter. Mais peut-on lui faire confiance ?
Qu'est-ce que le SIDA
SIDA - Syndrome
l'immunodéficience acquise est une maladie infectieuse grave. Elle est causée par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Le VIH frappe système immunitaire Humain,
l'affaiblit progressivement. Cela conduit
à une diminution progressive de la résistance de l'organisme aux infections, aux tumeurs et aux
d'autres maladies. Lorsque l'immunité chute de manière critique, les médecins diagnostiquent
Le SIDA est la dernière étape du développement de l'infection par le VIH. Sans traitement, une personne peut rapidement
mourir, car à ce stade, en raison d'une diminution de l'immunité, le corps ne résiste pas bien aux maladies.
Cependant, maintenant
il existe des médicaments pour le traitement du SIDA, les soi-disant "médicaments ARV"
(médicaments antirétroviraux), qui empêchent le virus de se multiplier dans
le corps humain, c'est pourquoi l'immunité est restaurée au fil du temps, et dans
le corps a de nouveau la force de combattre les maladies. Grâce à la thérapie ARV, les personnes infectées par le VIH
l'homme peut vivre longtemps et vie pleine accoucher et élever en bonne santé
enfants.
Ce qui s'est passé
speedophobie
La speedophobie est
peur du sida. Cela se produit lorsqu'une personne, pour une raison quelconque, parmi toutes
connu de lui maladies infectieuses juste peur de ça. Craintes
toute situation associée à un risque infectieux, imaginaire ou réel. De peur d'un éventuel contact avec le sang de quelqu'un d'autre, tout manipulations médicales en relation
avec du sang et des perforations de la peau. Peur que « des personnes infectées par le VIH marchent dans la rue
personnes », dont le contact peut être dangereux. Peur que son sexe
partenaires peuvent cacher le fait qu'ils sont infectés par le VIH.
Comment se manifeste-t-il
speedophobie
L'homme fantasme
sur le risque d'infection dans divers fantastiques, du point de vue des spécialistes en
Situations d'infection par le VIH. Par exemple : "J'ai pris une douche à l'auberge après la fille,
qui est dit séropositif. Aurais-je pu être infecté ? Ou "pourrait
Puis-je être infecté si je suis piqué par un moustique qui vient de me piquer
Personne séropositive ?
Penser une situation
possible infection par le VIH, une personne commence à rechercher des symptômes de la maladie. Quelconque
les écarts par rapport à l'état habituel sont perçus comme des signes d'infection
VIH : mal de gorge - VIH, diarrhée - également VIH, ganglion lymphatique enflé, température 37,
1, agité dormir la nuit sont tous séropositifs.
Il est clair ce qui est
la condition est désagréable et vous voulez vous en débarrasser, de préférence vous-même.
Les causes de la speedophobie
Désapprobation sociale du sida
La plupart des gens pensent qu'ils ont le SIDA
seulement les gays, les prostituées et les toxicomanes. Par conséquent, les gens ont souvent peur du SIDA,
actes commis au hasard et désapprouvés par la société : mariage
tricherie, relations sexuelles occasionnelles avec un partenaire au hasard, relations sexuelles avec un partenaire du même sexe,
« tester » des drogues avec des amis, etc. - Sentiments de culpabilité pour avoir commis du « mauvais »
l'acte se transforme en une peur sérieuse de tomber malade.
Manque d'externe
manifestations
Infection par le VIH -
maladie cachée. Cela peut durer des années presque asymptomatiquement. Avant le début
Le stade du SIDA ne peut être détecté que par des tests sanguins. Il n'y a pas
symptômes fiables par lesquels il serait possible de déterminer si une personne a le VIH
ou non. Une personne peut être infectée et ne pas le savoir avant
testé pour le VIH.
L'ignorance de
voies de transmission
Le VIH pénètre dans
le corps humain de trois manières seulement : par rapports sexuels non protégés, à travers le sang
sang infecté entrant dans une plaie ou dans la circulation sanguine, et de la mère à l'enfant pendant
pendant la grossesse, l'accouchement et l'allaitement. À d'autres égards, le VIH ne peut pas
entrer dans le corps, cela est dû à la structure du virus.
Histoire de
cabinet de conseil
Jeune femme mariée
mère de deux enfants, avait terriblement peur de la saleté, des maladies infectieuses, et surtout
infections à VIH. J'ai demandé de l'aide avec la peur pensées intrusives Et
actes liés à possibilité d'infection Le VIH dans la rue, au travail, chez les enfants
aires de jeux et dans le parc lors de promenades en contact avec des personnes et avec des objets étrangers.
Le client était bien au courant des modes de transmission du VIH, mais d'un point de vue ne faisant pas autorité.
la source. De profession, elle était ingénieure en communication gazière, engagée dans
disposition des gazoducs dans les immeubles d'habitation. Cela m'a poussé à
métaphore qui aidait le client à « digérer » et "apprendre" informations sur le chemin
transmission du VIH. J'ai demandé à mon client si le gaz serait fourni aux appartements si
le gazoduc n'est pas relié aux cuisinières à gaz. La réponse était évidente. Par analogie, si
les voies de transmission du VIH n'ont pas été "résumées" à ma cliente, elle n'a pas été infectée par le VIH
pouvait.
Comment se débarrasser de
peur du sida seul
1) Trouver
et apprendre des informations fiables sur la façon dont le VIH se transmet. Tel
des informations peuvent être obtenues auprès de médecins spécialistes des maladies infectieuses, lues dans les informations
brochures au centre de lutte contre le sida, d'un consultant d'organisations de services VIH en ligne.
3) Comprendre
Qu'est-ce qui t'effraie: menace réelle ou vos fantasmes sur le VIH. Si tu es vraiment
risque, vous devriez réfléchir à la manière de modifier votre comportement pour éviter le risque.
Si vous avez peur des situations inexistantes, arrêtez de les inventer.
5) Essayez-le
ris de ta peur. Par exemple, comme ceci : « Je me souviens très bien que le VIH
transmis par le sexe, mais j'ai oublié quand j'ai eu des relations sexuelles !
Vous vous demandez comment gérer la peur du sida ? Toi
Vous pouvez écouter des histoires de ma pratique de conseil sur la façon dont mes clients
débarrassez-vous de cette peur et trouvez plus informations utilesà son sujet dans la vidéo "Speedophobia".
Assez la plupart de questions n'est pas liée à l'infection par le VIH elle-même, mais à des peurs à son sujet, en d'autres termes, à la phobie du sida
J'ai été dans le conseil par les pairs pendant de nombreuses années. Et chaque jour, je réponds à des dizaines de questions que les gens se posent sur l'infection par le VIH. Les questions sont différentes, mais la plupart d'entre elles sont assez similaires et ne nécessitent aucune approche particulièrement créative pour y répondre. Mais j'aime les autres questions, pour répondre auxquelles vous devez rechercher vous-même les informations nécessaires, réfléchir à la formulation, collecter des faits et faire l'une ou l'autre analyse basée sur eux.
Une bonne partie des questions n'est pas liée à l'infection par le VIH elle-même, mais aux peurs à son sujet, en d'autres termes, à la phobie du sida. Je souhaite analyser en détail l'une de ces questions générales et montrer les erreurs que commet souvent une personne qui passe beaucoup de temps sur les ressources de conseil en matière de VIH et lit un fil d'actualité au format question-réponse au lieu de Tolstoï et Dostoïevski.
« Expliquez-nous pourquoi tant de personnes après un rapport sexuel commencent à ressentir des symptômes incompréhensibles qui correspondent à la description des symptômes de l'infection par le VIH ? Et pourquoi n'ont-ils pas le VIH ? Peut-être que le VIH peut encore longue durée pas déterminé par des tests? Et pourquoi dites-vous à chaque fois que ces symptômes n'ont rien à voir avec le VIH ? Peut-être que vous ne faites que calmer tout le monde, mais en fait tout le monde a le SIDA et tout le monde va mourir ?
Première erreur : un échantillon statistique non représentatif.
Qui (principalement) voyons-nous sur les ressources de conseil sur le VIH ? Les personnes qui, pour une raison quelconque, soupçonnent d'être infectées par le VIH. Beaucoup de gens ont des relations sexuelles, beaucoup ont une sorte de symptomatologie incompréhensible, mais nous ne voyons que ceux qui ont associé leurs symptômes à un contact sexuel récent et ont décidé de poser des questions sur leurs soupçons. Et il peut sembler qu'il y ait vraiment beaucoup de telles personnes, et cela ne peut pas être juste une coïncidence, mais en fait c'est une autre conspiration mondiale. Mais en fait, tirer une telle conclusion revient à se trouver, par exemple, dans un hôpital pour tuberculeux et à observer ses patients, pour conclure que la tuberculose est la maladie la plus répandue sur la planète et que la plupart des gens en souffrent. L'analogie n'est peut-être pas la plus réussie, mais elle est justifiée du point de vue de l'erreur statistique commise.
Deuxième erreur : « post hoc ergo propter hoc » (lat).
De nombreuses personnes ont périodiquement des incompréhensibles (selon au moins, pour eux-mêmes) symptômes. Ceux-ci peuvent être des symptômes d'une maladie réelle, allant d'un SRAS banal à quelque chose de plus grave, ou il peut y avoir des symptômes d'origine psychosomatique. C'est naturel d'être sexy personnes actives pendant un certain temps avant l'apparition de ces symptômes eu des relations sexuelles. Mais la thèse «après signifie en conséquence» est erronée, et la symptomatologie apparue après un contact sexuel ne signifie pas qu'elle est apparue à la suite d'un contact. Cette erreur est analogue à l'argument selon lequel si tous les maniaques de l'enfance sont des concombres marinés, alors les concombres transforment les gens en maniaques. (Avertissement: bien sûr, il est possible que les symptômes soient vraiment le résultat d'une MST qu'une personne a reçue lors d'un rapport sexuel récent, mais en lien avec le sujet du VIH, je ne me souviens pas de tels cas dans ma pratique).
La même erreur est commise lorsqu'une personne, ayant réussi le diagnostic après le prochain contacts dangereux et ayant découvert plusieurs MST, il croit les avoir toutes contractées lors du dernier contact.
La troisième erreur : "Si A suit B, alors B suit A."
Cela s'applique aux symptômes notoires de l'infection par le VIH. DANS littérature médicale tout décrire symptômes possibles qui peuvent être observés à la suite d'une maladie particulière, même celles qui sont relativement rares. Par conséquent, les articles sur le VIH présentent souvent une longue liste de symptômes. Mais le fait qu'une maladie provoque un certain nombre de symptômes ne signifie pas du tout qu'en observant certains de ces symptômes en soi, on puisse "automatiquement" commencer à suspecter cette maladie en soi. Cela est particulièrement vrai pour les symptômes non spécifiques, qui peuvent être causés par des un grand nombre plus des raisons différentes. Exemples typiques- une augmentation de la température corporelle causes possibles- un chariot et une petite charrette) ou l'hypertrophie notoire des ganglions lymphatiques (tout processus infectieux dans le corps), que, d'ailleurs, les gens inventent souvent pour eux-mêmes.
Cet effet est aussi appelé "syndrome guide médical". Une personne qui commence à feuilleter du miel. ouvrage de référence, détecte immédiatement la plupart des maladies décrites. Et si une personne est caractérisée par l'hypocondrie, éteignez la lumière en général! Le diagnostic n'est souvent pas une chose facile (tout le monde, je pense, a regardé House). Mais cela n'empêche pas beaucoup de gens de température élevée et certaines sensations dans la région des ganglions lymphatiques commencent à suspecter une infection par le VIH en soi selon le principe: "Eh bien, qu'est-ce que cela pourrait être d'autre?".
La quatrième erreur : « si rien ne peut être dit sur l'infection à VIH par les symptômes, alors comment pouvez-vous dire que certains symptômes n'ont rien à voir avec le VIH ?
Premièrement, le fait que les symptômes ne soient pas liés au VIH ne signifie pas qu'une personne n'est pas infectée par le VIH. Cela signifie qu'il n'y a pas de relation causale entre l'infection par le VIH et les symptômes. Par conséquent, je ne me lasse pas de répéter que l'infection par le VIH n'est diagnostiquée ou exclue que par le résultat du test. Aucun symptôme ne peut être à la base d'une telle suspicion (à moins que le médecin ne le soupçonne), tout comme l'absence de symptômes ne peut pas être à la base de l'exclusion de l'infection par le VIH.
Mais le point ici est que le stade aigu de l'infection par le VIH peut encore présenter un certain nombre de symptômes non spécifiques, mais toujours assez précis, bien qu'il soit très souvent asymptomatique. Il est impossible de déterminer leur cause à partir de symptômes non spécifiques, mais il est tout à fait possible de dire quelle cause peut être exclue. C'est pourquoi, quand je vois que les symptômes décrits sont atypiques pour stade aigu Infection par le VIH, je réponds que les symptômes observés n'ont rien à voir avec le VIH.
Et le dernier. Oui, j'essaie souvent de calmer une personne avec mes réponses et de m'assurer qu'elle ne gaspille pas de nerfs supplémentaires sur des expériences insignifiantes. Mais je ne le fais jamais au détriment de la crédibilité de mes réponses. Après tout, je ne ligne directe soutien psychologique, mais juste un pair consultant sur les questions de VIH, et mon objectif principal est de fournir les informations les plus fiables.
Parmi l'immense liste des peurs phobiques liées aux maladies, la speedophobie n'est pas la dernière. La maladie se traduit par le fait qu'une personne a très peur d'être infecté par le SIDA. De plus, la speedophobie est une forme de trouble mental appelé hypocondrie. En règle générale, les personnes souffrant de ce trouble causent beaucoup de problèmes à tout le monde autour d'elles. Les amis et les proches se lassent de leurs plaintes incessantes selon lesquelles ils pourraient être gravement malades. En effet, dans de tels cas, il est tout à fait évident qu'une personne essaie de se convaincre de quelque chose qui n'existe pas dans la réalité. De plus, ces individus agacent constamment les médecins en se comportant de manière absurde et ridicule.
Le fait est que la speedophobie est en effet un problème ennuyeux et ennuyeux, mais chez certains patients, il devient état obsessionnel qui interfère avec la vie normale, prive une personne de la capacité de s'engager dans activité de travail, nuisant ainsi à l'état de santé. Même en tenant compte du fait que la peur est irrationnelle et qu'il n'y a pas de maladie, l'état d'anxiété ne lâche pas une personne, et à cause de cela, son comportement change, son attitude envers les autres change. Il est bien évident qu'il n'est pas facile de travailler de manière productive, en sentant constamment les ganglions lymphatiques et en mesurant la température. Et c'est exactement ainsi que se comportent les spidophobes. Mais, il convient de noter que les personnes souffrant de speedophobie ne sont pas du tout folles et qu'elles n'ont ni hallucinations ni des idées folles comme certains le pensent.
Ces personnes évaluent assez adéquatement la situation et, dans la plupart des cas, elles n'essaient pas de nier que leurs expériences sont absurdes et dénuées de fondement. Mais le principal problème se manifeste dans le fait que, que les spidophobes reconnaissent ou non l'irrationalité de leur peur, la situation ne change pas. Et même si les médecins les plus autorisés d'une prestigieuse clinique de renommée mondiale commencent à convaincre un spidophobe qu'il n'est pas infecté par le VIH, la panique ne disparaîtra pas et une personne ne pourra pas s'en débarrasser. De telles peurs sont très caractéristiques des hypocondriaques, les gens ont tendance à fixer leur attention sur les maladies qui ont des symptômes vagues, ainsi que sur celles qui sont répandues.
Les causes de cette phobie sont assez diverses, mais les experts notent que la maladie survient souvent chez les personnes qui ont connu maladie grave ou le décès d'un être cher. Par exemple, si quelqu'un proche de vous est mort du SIDA, il n'y a rien d'étrange à ce qu'une personne qui s'inquiète à ce sujet ait développé une phobie du SIDA. Mais il existe de nombreux cas où la raison n'est pas si évidente et est due à des racines psychologiques profondes. Il arrive souvent qu'un homme n'accepte pas sa propre homosexualité et, sur cette base, il éprouve une profonde phobie de la vitesse après chaque contact sexuel entre personnes du même sexe.
Si une personne se sent coupable envers sa femme, mais utilise toujours les services d'une entreprise du sexe, elle est en passe de développer une phobie de la vitesse, même si elle utilise constamment des préservatifs. Mais non seulement les rapports sexuels non protégés sont la raison de l'émergence de cette phobie. En règle générale, les hypocondriaques se caractérisent par une caractéristique telle qu'une sensibilité excessive à tout changement dans le corps. Si les gens ordinaires ne faites pas attention à certaines sensations, alors avec l'hypocondrie, même une bagatelle est perçue comme une douleur importante et une mauvaise santé. La plupart ne pensent même pas pourquoi il a piqué au côté, et l'hypocondriaque soupçonnera immédiatement au moins une cirrhose du foie.
Les conditions stressantes sont également la cause de la speedophobie. Mais il faut tenir compte du fait que le stress chronique a ses propres signes, tels que mal de tête, éruptions cutanées, douleur dans le ventre, mauvais rêve, Etc. Naturellement, si une personne souffre de phobie du SIDA, il ne fait aucun doute qu'il s'agit du SIDA. Sur la base des expériences, les symptômes peuvent s'intensifier, et cela tourne donc en rond. Les experts ont prouvé que le comportement d'un spidophobe vise toujours à se protéger de la maladie et de la mort. Le patient est sûr que s'il surveille sa santé, mesure constamment la pression ou la température, cela pourra empêcher le développement du SIDA.
Les scientifiques ont depuis longtemps confirmé que la speedophobie est bien traitée et qu'il n'est pas du tout nécessaire de supporter cette condition toute sa vie. De plus, pour certains, cela disparaît tout seul et si une personne reçoit à plusieurs reprises une réponse négative en passant un test de dépistage du sida, elle finit par se calmer et peut commencer à vivre. vie normale sans craintes infondées. Mais il existe de nombreux cas où aide professionnelle cependant, est une nécessité. Relativement récemment, les médecins ont découvert qu'un certain nombre peut aider à réduire les symptômes de la speedophobie. Réalisé essais cliniques a pleinement confirmé les hypothèses. En règle générale, dans de telles situations, des médicaments spéciaux sont prescrits, qui ne peuvent être prescrits que par un médecin expérimenté. De plus, la prise de médicaments n'est possible que sous la supervision d'un spécialiste.
Actuellement, ces phobies ont commencé à harceler un peu moins les gens. Il y avait de nombreuses raisons, et parmi elles la dépendance générale des gens aux attaques d'information. La psychose de masse est tombée dans les années 90 et les toutes premières années du 21e siècle. Puis le concept de "SIDA" est devenu une propriété de masse, et ils en ont parlé partout et partout. Les entreprises ont résolu plusieurs problèmes à la fois.
Premièrement, les ventes de préservatifs ont atteint un niveau record ; deuxièmement, une partie distincte le public ciblé pour la vente de médicaments douteux et chers contre le SIDA ; troisièmement, les citoyens du pays eux-mêmes sont passés de bâtisseurs d'un avenir radieux à des personnes uniquement préoccupées par les problèmes de nourriture et de sexe. Avec une fréquence incroyable, le SIDA a été diffusé à la télévision, parlé à la radio, écrit dans les journaux et même créé des publications distinctes comme AIDS Info.
Les attaques d'information ont été le début de la phobie du VIH
Avec le SIDA, nous avons une situation unique. Habituellement, le rôle des fonds médias de masse et l'art dans l'apparition des phobies est quelque peu exagéré. Ici, ils ont tracé signes clairs impact ciblé sur l'esprit de millions de personnes.
En pratique, la maladie elle-même s'est avérée douteuse, mais il est important qu'elle soit incurable. S'il existe, bien sûr. Cependant, le sujet de la virologie dépasse les limites de notre réflexion. Beaucoup plus important est le fait que les médias, y compris ceux d'importance fédérale, ont activement stimulé l'émergence de la phobie du VIH, mieux appelée speedophobie. Dans les années 90, on l'observait même chez des personnes au psychisme stable, capables d'évaluer de manière critique leurs actions.
Le travail scientifique et pédagogique dans ce contexte a causé et ne cause que l'effet inverse. Selon la version officielle, il existe une infection par le VIH, qui peut ensuite provoquer le SIDA. A cet égard, nous ne nous intéressons pas du tout à ce qui provoque réellement ou non un rétrovirus du genre lentivirus. Nous voyons des mots, des images, et notre « SIDA » mental ne se transmet que par des moyens ontologiques. La phobie du VIH est une peur irrationnelle de tomber malade maladie incurable ce qui n'est pas différent d'une phobie du cancer.
Propriétés "pratiques" des maladies réelles
Dans les deux cas, la maladie :
- pratiquement incurable, mais dans certaines circonstances, les patients peuvent vivre jusqu'à 90 ans;
- difficile à diagnostiquer;
- avoir large éventailévaluations subjectives par les patients eux-mêmes.
Ainsi, la phobie d'avoir un cancer et la phobie de la vitesse sont essentiellement la même névrose. Personne en lisant ces lignes ne pourra donner une garantie claire et absolue qu'il n'est pas atteint du cancer ou du SIDA. Le fait que le VIH soit transmis sexuellement ne sauve pas non plus la situation. Vous pouvez être infecté dans un hôpital ou chez un coiffeur. Pour la survenue d'une phobie, il n'est pas nécessaire d'être initialement prédisposé aux névroses et à la psychose par une personne. Si vous «bombardez» la conscience pendant longtemps à travers les médias, la phobie sera tracée chez tout le monde. Certains peuvent le contrôler et l'empêcher de prendre le dessus sur la conscience, tandis que quelqu'un aura une attaque de panique.
Théoriquement, le SIDA peut être contracté n'importe où
Les méfaits des phobies
Dire que la phobie du VIH présente certains symptômes n'est pas tout à fait approprié. Les symptômes dépendent du trouble qui prévaut ou non et de la façon dont il se manifestera. Il peut y avoir des signes de trouble obsessionnel-compulsif, d'hypocondrie, de dépression, de neurasthénie ou de sénestopathie. Certains patients ont des douleurs fantômes et peuvent montrer des signes de maladies somatiques. Le développement du TOC est le plus probable, en particulier avec la peur des infections à VIH.
Ce type de phobie est nocif à plusieurs niveaux.
- Il enchaîne la volonté, et tout ce qui arrive semble sans importance, puisqu'il mourra bientôt de toute façon. Le patient est capable de quitter son emploi ou il sera lui-même licencié en raison d'un handicap inexpliqué.
- Une grande partie de l'argent est dépensée pour l'achat de médicaments. Parfois comme médicaments des compléments alimentaires ou des préparations homéopathiques sont achetés.
- Les patients essaient de "noyer" leur chagrin dans un verre et, avec une maladie fictive, acquièrent un alcoolisme bien réel.
- La speedophobie peut amener les gens à abandonner complètement tout contact avec le sexe opposé, et la peur du cancer, une phobie, réduit également considérablement l'activité sexuelle. C'est ainsi que les familles se désagrègent.
- Le comportement des patients est dominé par la méfiance envers eux-mêmes et le personnel médical institutions de diagnostic, où ils demandent à recevoir résultats positifs.
- À un moment donné, l'hystérie de masse autour du sida a provoqué une augmentation significative du nombre de suicides. Crainte de maladies mortelles- c'est l'une des formes de la peur générale de la mort, et la thanatophobie a été historiquement l'une des causes du suicide.
Problèmes de traitement et scénario possible
La difficulté réside dans le fait qu'il est très difficile d'appliquer les méthodes de thérapie cognitive et l'information habituelle du patient. Si une personne a peur d'être infectée par quelque chose d'abstrait et se précipite de temps en temps pour se laver les mains, il est logique de l'amener progressivement vers l'objet source de peur et de lui apprendre à répondre calmement au désir soudain de se laver les germes. Dans le cas du VIH ou du cancer, les choses sont beaucoup plus compliquées. Il n'y a tout simplement rien vers quoi l'amener, seulement vers des idées dans son propre esprit.
Même des contrôles constants ne convainquent pas une personne qu'elle n'a pas de maladie incurable.
Un certain effet peut être donné par le scénario suivant du travail d'un psychothérapeute avec un patient, ou même une personne souffrante seule avec elle-même.
- Réalisez que l'idée est venue avant que les résultats des analyses et d'autres choses ne soient reçus examen médical, si tel a jamais été effectué. Alors que les gens ressentent généralement une sorte de douleur ou d'inconfort, ils ne savent rien de ce qui leur est arrivé, ils se tournent vers les médecins et ce n'est qu'alors qu'ils reçoivent des informations et un diagnostic. De plus, les résultats positifs au test du VIH sont testés à plusieurs reprises.
- Trouvez le point d'ouverture. La tâche est difficile, mais tout à fait résoluble. Cela peut être quelques minutes après avoir regardé une émission médicale ou quelqu'un qui parle d'une personne en train de mourir d'un cancer. Ce point est toujours dans la période "après".
- Révélez votre propre réaction à la pensée Et si j'ai un cancer ?" ou " J'ai le sida". Quelles sensations corporelles l'accompagnaient ? Il pourrait être sueur froide, spasmes respiratoires, certains signes d'attaque de panique.
- Comprendre les prochaines étapes et leur nature. Dans le même temps, le patient doit parler et réfléchir le moins possible aux symptômes de maladies physiques réelles, mais donner un maximum d'informations sur le déroulement de la névrose, même du trouble schizoïde. Habituellement, ils lisent des articles et écoutent des conférences avec des exemples avec une grande attention, car ils y reconnaissent leur propre comportement.
La durée du traitement peut être très différente. Une ou deux séances et des doses minimales d'antidépresseurs pour la période d'admission la plus courte suffisent à quelqu'un, et quelqu'un sera têtu pendant très longtemps.
Une personne doit penser le moins possible aux symptômes du SIDA
Aussi étrange que cela puisse paraître, un faux sentiment de honte ne permet pas à certains de se calmer. Comment? Une personne aussi intelligente et éduquée et qui s'est soudainement menée, elle et sa famille, par le nez pendant si longtemps ? L'entêtement vient d'un complexe d'orgueil et de honte. Dans ce cas, la tâche du psychothérapeute est de convaincre le patient que personne n'est à l'abri des troubles mentaux - des scientifiques, des artistes et des politiciens en ont souffert et en souffrent. C'est mauvais, mais pas mortel. Le vrai cancer est bien pire.
Le patient doit être encouragé à utiliser la technique de l'honnêteté. Besoin de venir vous faire dépister pour le VIH ? Dans ce cas, il est tout à fait approprié de le dire aux médecins centre de diagnostic sur la phobie. Moi, dit-on, très hypocondriaque, j'ai décidé de vérifier. Ils regardent même ces personnes avec sympathie. De la même manière, vous devez vous comporter et, si nécessaire, établir s'il y a un cancer ou s'il s'agit d'une cancérophobie. La phrase "Docteur, je deviens fou, j'ai peur d'avoir un cancer" fonctionne à merveille. Les oncologues cessent de poser des questions inutiles, conduisent les examens plus sereinement. Ils sont bien conscients qu'une personne est tourmentée au sens moral et dans la grande majorité des cas, ils deviennent très fidèles.
Une personne souffrant du SIDA ou de la phobie du cancer n'a pas besoin d'examens, mais de l'aide d'un psychothérapeute
Une des tâches du psychothérapeute et du patient lui-même est d'agir dans le cadre de la stratégie d'interruption. cercle vicieux. C'est le test, et c'est tout. Si le cancer, mais que Dieu nous aide, et sinon, alors oubliez et vivez une vie normale.
Il y a deux maladies qui font peur à tout le monde : le cancer et le sida. Les peurs sont absolument rationnelles et compréhensibles. Mais que faire lorsque la peur prend complètement le contrôle de votre vie ? Et si votre monde s'effondrait à cause de la peur de l'infection par le VIH ?
Avez-vous peur d'une infection potentielle ou avez-vous peur d'être déjà infecté - même avec plus d'un test négatif réussi ? Très probablement, vous êtes vraiment malade. Votre diagnostic est la phobie de l'infection par le VIH.
"La peur d'éprouver de la douleur est plus forte que la douleur elle-même." Sir Philippe Sidney
Malgré l'attention portée au sida, la peur de contracter le VIH est passée inaperçue. La peur est appelée différemment : phobie du SIDA, panique du SIDA, pseudo SIDA. Il s'agit de peurs infondées obsédées par cette maladie et de fausses croyances sur la façon dont le VIH se transmet. Une telle phobie encourage une personne à effectuer des actions étranges pour tenter d'éviter l'infection. Des psychiatres américains ont même proposé l'abréviation FRAIDS (fear of AIDS) ou la peur du SIDA.
Le terme pseudoSIDA est utilisé parce que les peurs du patient conduisent à l'anxiété et même à la dépression. En réponse à une telle troubles névrotiques des symptômes du SIDA tels qu'une perte de poids, des sueurs nocturnes abondantes, des malaises, une léthargie, une perte d'appétit et des maux de tête peuvent survenir. Ces caractéristiques renforcent la croyance erronée de la personne qu'elle est infectée.
La phobie du sida est une vraie maladie, mais il est aussi vrai que les gens peuvent contrôler leurs peurs.
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Il existe un autre aspect de la phobie du sida, parfois appelée épidémie silencieuse.
En raison de la peur accablante de contracter le VIH, certaines personnes prennent des mesures radicales pour éviter l'infection.
Un facteur de New York a refusé de livrer le courrier au bureau d'une organisation de santé publique de lutte contre le sida. La femme n'ose pas donner son sang par peur de l'infection. Une jeune fille a abandonné les cours de piano parce qu'elle était convaincue d'avoir vu du sang infecté sur le clavier. Le fait est que la femme de son mentor travaillait dans le service de transfusion sanguine. Un jeune homme trempe ses pieds et son pénis dans de l'eau de Javel non diluée après chaque visite aux toilettes publiques. Le clergé demande aux personnes atteintes du SIDA de rester à l'écart de l'église de peur d'infecter la congrégation. Un homme opère avec tous les articles ménagers à l'aide d'une pince à épiler stérile spéciale. Un autre a complètement cessé de manger et de boire de peur d'avaler le virus du VIH.
Et ça - histoires vraies. Dans ces exemples, les gens ont tellement peur de contracter le VIH qu'ils font des choses irrationnelles dans l'espoir de se protéger de la maladie.
Une étude menée auprès d'étudiants d'une université américaine a montré que 23% des personnes interrogées pensent que le VIH peut être attrapé en utilisant des sièges toilettes publiques. 14% étaient convaincus qu'on pouvait être infecté en essayant des vêtements dans un magasin, tandis que 10% pensaient qu'on pouvait devenir victime de la maladie en détenant de l'argent infecté dans ses mains.
Pourquoi une phobie de l'infection par le VIH se développe-t-elle ?
Les raisons pour lesquelles les gens développent des phobies ne sont pas entièrement claires. Le fait que le concept même de phobie soit défini comme quelque chose d'irrationnel en dit déjà long.
salut des ancêtres
Cependant, il existe différentes versions sur les raisons de leur apparition. Certains experts pensent que la génétique est à blâmer : la tendance à développer une phobie peut être cachée dans l'ensemble génétique.
Charge de l'expérience de quelqu'un d'autre
Selon une autre théorie, les gens peuvent développer des phobies à la suite des événements qu'ils ont vécus. La peur de l'eau, par exemple, peut survenir après qu'une personne se soit noyée dans la famille d'une personne ou parmi ses connaissances. De même, une phobie du SIDA peut se développer. Une personne peut avoir des connaissances avec un tel diagnostic et, bien sûr, une idée colorée de ce qu'est la vie avec le virus de l'immunodéficience.
Punition céleste
Un autre facteur qui peut développer une telle phobie est la culpabilité.
Une personne commet des actes qu'elle-même considère comme répréhensibles et qui l'exposent à l'infection par le VIH. Ce sont généralement des contacts sexuels qu'une personne regrette.
Par exemple, un homme marié qui a des relations sexuelles avec une prostituée, commet un adultère ou a sa première expérience sexuelle avec un autre homme. Ces circonstances sont associées au risque d'infection par le VIH. Ajoutez à cela le sentiment de culpabilité, et le résultat est une phobie de contracter le VIH. Dans de telles conditions, les gens sont toujours obsédés par la peur même après plusieurs tests négatifs pour le VIH.
Malgré les résultats des tests, la personne trouve incroyable qu'elle n'ait pas été infectée. Selon eux, l'infection par le VIH est le résultat naturel d'un acte qu'ils perçoivent comme répréhensible. Ils ont le sentiment que le VIH est une punition pour leurs méfaits. Même si le test est négatif au départ, la personne pense qu'à terme le résultat va changer, car au final il faut forcément la "punir".
société malade
Enfin, de nombreuses personnes pensent que la culture moderne joue un rôle important dans le développement d'une phobie. Les croyances personnelles, la religion, l'environnement culturel peuvent favoriser les phobies du sida. Dans certaines sociétés, il existe des préjugés contre les personnes infectées par le VIH. Ils sont soumis à un traitement ignorant et même à une discrimination.
Le médecin va-t-il aider?
La phobie de l'infection par le VIH, comme toute phobie, est désordre mental, à savoir obsessionnel-compulsif, lorsqu'une personne est tourmentée par des pensées et des obsessions effrayantes.
Si l'auto-assistance ne fonctionne pas, toutes les exhortations, les techniques de respiration et l'hypnose ne retirent pas le voile de votre esprit, vous devez recourir à une aide médicale.
La plupart des gens ne sont pas capables de se débarrasser de leur peur par eux-mêmes. Le psychothérapeute peut proposer traitement médical, des thérapies comportementales ou une combinaison.
Sur tablettes
Les médicaments peuvent aider à contrôler l'anxiété et les crises de panique qui accompagnent la réflexion sur le syndrome d'immunodéficience.
- Bêta-bloquants. Ces médicaments agissent en bloquant l'effet de l'adrénaline dans le corps. L'utilisation de bêta-bloquants peut être efficace pour réduire les symptômes avant tout événement traumatique à venir. Par exemple, avant d'aller à l'hôpital, où vous devez faire une prise de sang.
- Antidépresseurs. Le plus souvent, ils sont utilisés dans le traitement des phobies. Les antidépresseurs ne fonctionnent pas tout de suite. Il faut 2 à 4 semaines avant que leur effet s'accumule et que les symptômes d'anxiété commencent à s'atténuer.
- sédatifs. Ces médicaments peuvent vous aider à vous détendre et à soulager votre anxiété. Il est important de les utiliser avec prudence - ils peuvent créer une dépendance. Ils doivent être évités en cas de dépendance à l'alcool ou à la drogue.
Psychothérapie
Parler à un professionnel de la santé mentale qualifié peut aider à gérer la phobie du sida.
La thérapie par contact vise à modifier la réponse au VIH ou la situation qui lui est associée. Une exposition répétée et progressive à la cause de la phobie aidera à apprendre à la personne à apprivoiser son anxiété.
La thérapie cognitivo-comportementale implique une interaction avec d'autres méthodes. Des idées alternatives sur la peur de l'infection par le virus de l'immunodéficience sont trouvées. L'impact qu'elle a sur la vie du patient est analysé. Attention particulière Il vise à apprendre à une personne à contrôler la situation et à gérer ses pensées et ses sentiments.
Comment vaincre la peur ?
La phobie de l'infection par le VIH peut être évitée si la cause de son apparition est identifiée et comprise. principe général transmission de l'infection à VIH d'une personne à l'autre. Comprendre ces choses vous aidera à faire face à la peur paralysante du SIDA et à vous débarrasser de la phobie.
Il faut garder à l'esprit que chez les humains, le virus de l'immunodéficience se transmet exclusivement par contact avec sang infecté, pertes vaginales ou de sperme, ainsi que lorsqu'il est consommé lait maternel femme infectée.
N'oubliez pas que par des contacts occasionnels, des baisers, des câlins et le partage d'articles ménagers, le virus de l'immunodéficience ne peut pas être transmis.
Sachez que vous pouvez vous protéger contre l'infection par le VIH en utilisant des préservatifs à chaque rapport sexuel.
Comprenez que les tests de dépistage du VIH d'aujourd'hui sont très précis et fournissent des résultats sur lesquels vous pouvez compter.
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