Will et ses principales caractéristiques. Régulation volontaire du comportement. Développement de la volonté - Résumé. Résumé Concept général de volonté. Théories de la volonté

Idées sur les qualités volitives

Comme déjà mentionné, la volonté n'est qu'un concept généralisé derrière lequel se cachent de nombreux éléments psychologiques différents. Parlant des éléments constitutifs de la volonté, nous entendons leur totalité, leur quantité, leurs différences et leurs liens entre eux.

Les éléments (qualités) les plus couramment notés sont la détermination, la détermination, la persévérance, l'endurance, l'indépendance, le courage, la résilience, la maîtrise de soi et l'initiative. Les éléments de la volonté comprennent la criticité, la diligence et la confiance.

Tableau 1 Traits de personnalité volontaires (selon K. K. Platonov)

propriétés	et le désir	Possibilités			Mise en œuvre de la décision
	conscience Intensif poursuite	Suffisant	Justifié et vite	Raisonnable, avec intense désir
Persévérance	Loin, avec un désir intense	Normale
Entêtement	Objectivement- injustifié	Non déterminé considération objective de tous opportunités, mais biaisées	Déraisonnable, avec intense désir
Conformité	en changeant	Déterminé par le suggestif influence des autres	change	Divers
Suggestibilité	Absent	Donné de l'extérieur
Détermination	conscience Intensif poursuite	Suffisant excessif	Rapide, mais pas toujours justifié	durable
Indécision			Long terme	Absent ou souvent change	Absent
Faiblesse	Flou, avec un faible désir	Flou	Inachevé	aspirations mise en œuvre	Instable

Et Ts. Puni estime que "chez chaque personne, les qualités volitives agissent comme un système intégral unique, mais la structure des liens de ce système n'est pas la même pour différentes personnes. De plus, pour la même personne dans divers types activité, ça change. Par conséquent, l'ensemble des qualités volitives doit être considéré comme un système dynamique et en mouvement, dont les liens peuvent être différemment corrélés et connectés les uns aux autres » 11 Puni A.Ts. Fondements psychologiques formation volontaire dans le sport.-M., 1977. p. 23.

Structure et caractéristiques générales des qualités volitives.

P. A. Rudik (1962) note que « l'étude des caractéristiques structurelles des qualités volitives d'un individu aboutit à une justification psychologique scientifique des moyens et des méthodes permettant de nourrir ces qualités. En dehors d’une telle étude psychologique, la méthode d’éducation volontaire acquiert un caractère grossièrement empirique et conduit souvent à des résultats opposés aux objectifs que l’éducateur s’est fixés. » 22 Rudik P.A. Psychologie de la volonté d'un athlète.-M., 1973. p. 6

Comme tous les traits de personnalité, les qualités volitives ont une structure horizontale et verticale.

Structure horizontale des inclinaisons de forme dont le rôle est joué par les caractéristiques typologiques des propriétés système nerveux. Cependant, tout en reconnaissant cela, les psychologues commettent dans un certain nombre de cas des erreurs en posant cette question. Le fait est que certains auteurs, s'appuyant sur l'autorité d'I.P. Pavlov, estiment, comme lui, qu'il existe de bonnes et de mauvaises caractéristiques typologiques. Les bons incluent les nerfs forts (force, mobilité et équilibre des processus nerveux ; les mauvais incluent des caractéristiques typologiques opposées). Conformément à cela, jusqu'à récemment, de nombreux manuels affirmaient sans preuve que de bons résultats scolaires, des performances sportives élevées, etc. ne sont caractéristiques que des personnes dotées d'un système nerveux fort, mobile et équilibré. A.P. Rudik adhère au même point de vue, estimant que « les qualités volitives positives (courage, détermination, persévérance, etc.) sont généralement possédées par les athlètes dotés d'un système nerveux fort, équilibré et mobile, tandis que les qualités volitives négatives (indécision, faible volonté et la peur sont basées caractéristiques structurelles système nerveux faible" 11 P.A. Rudik Psychologie de la volonté d'un athlète.-M., 1968. p.14. Cette affirmation a peu à voir avec la réalité.

Il a été établi qu'un faible degré de courage (peur) est associé à un certain ensemble de caractéristiques typologiques : un système nerveux faible, une prédominance de l'inhibition selon l'équilibre « externe » et une mobilité de l'inhibition. Parmi les représentants des sports associés à l'expérience de la peur et du manque d'assurance (saut en parachute, saut à ski, plongée), il n'y a presque aucun athlète avec cette triade typologique.

Un haut degré de détermination est associé à la mobilité de l'excitation et à la prédominance de l'excitation selon l'équilibre « externe » et « interne » des processus nerveux, et dans Situation dangeureuse- et avec un système nerveux fort. De plus, un haut degré de détermination est observé chez les individus ayant niveau faible névrosisme 22 I.P. Petyaïkine Caractéristiques psychologiques caractère décisif.-M., 1978. p. 15.

Un haut degré de patience est associé à l'inertie de l'excitation, avec la prédominance de l'inhibition selon l'équilibre « externe » et de l'excitation selon l'équilibre « interne », avec un système nerveux fort. 33 EP. Ilyin Psychologie de la volonté.-SPb., 2000. p.132

Ainsi, chaque qualité volitive a sa propre structure psychophysiologique, qui, dans certaines composantes, peut coïncider dans différentes qualités volitives et dans d'autres, diverger. Par exemple, les personnes qui ont un haut degré de patience peuvent ne pas avoir un haut degré de détermination, puisque deux de leurs quatre caractéristiques typologiques sont opposées à celles qui : déterminent haut degré détermination. Même la force du système nerveux, que certains chercheurs ne considèrent pas à juste titre comme synonyme de « volonté », n'est pas associée à la détermination manifestée dans une situation ordinaire et non menaçante.

Structure verticale. Toutes les qualités volitives ont une structure verticale similaire. Cette similitude réside dans le fait que chaque qualité volontaire est comme un gâteau à trois étages. Ci-dessous se trouvent les inclinations naturelles - les caractéristiques neurodynamiques, sur lesquelles se superpose une deuxième couche - l'effort volontaire, qui est initié et stimulé par les facteurs sociaux et personnels qui forment la troisième couche - la sphère de motivation, principalement les principes moraux. Et le degré d’expression de chaque qualité volitive dépend en grande partie de la force des besoins et des désirs d’une personne, de son développement moral.

De plus, dans chaque qualité volitionnelle, le rôle des composantes verticales peut être différent. En étudiant le degré d'expression d'un certain nombre de qualités volontaires « liées » (patience, persévérance et persévérance), E. K. Feshchenko a révélé que la patience est largement déterminée par les inclinations naturelles - les caractéristiques typologiques des propriétés du système nerveux, et selon certaines données - par les caractéristiques biochimiques du fonctionnement de l'organisme, et la persévérance est largement motivée par la motivation, notamment par le besoin de réussite. La persévérance occupe une position intermédiaire et pour l'apparition de cette qualité volontaire, les deux sont tout aussi importantes 11 E.K. Feshchenko Caractéristiques d'âge et de sexe de l'estime de soi des qualités volitives - Saint-Pétersbourg, 1999. p. 32.

Ainsi, on peut parler des propriétés inhérentes à la volonté dans son ensemble : ampleur, force et stabilité. L'étendue ou l'étroitesse d'une qualité volitive est déterminée par elle à travers le nombre d'activités dans lesquelles elle se manifeste clairement. La force de la qualité volontaire est déterminée par le niveau de manifestation de l'effort volontaire visant à surmonter les difficultés. Le principal signe de la stabilité des qualités volontaires est le degré de constance dans la manifestation de l'effort volontaire dans des situations similaires. Le rapport de ces propriétés peut varier d'une personne à l'autre.

Essai
Dans la discipline "Psychologie"
Sur le thème de :
Concept généralà propos de la volonté. Théories de la volonté.

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comportement humain

Concept général de volonté.
La volonté est présente dans de nombreux actes du comportement humain, aidant à surmonter la résistance, ainsi que d'autres désirs et besoins sur le chemin vers l'objectif visé. Si, par exemple, une personne ne veut pas boire de médicament amer, mais sait que cela est extrêmement nécessaire pour sa santé, alors, réprimant sa réticence par la volonté, elle se force à effectuer systématiquement le traitement prescrit. Autre exemple : un étudiant veut aller en discothèque, mais ses devoirs ne sont pas encore prêts test d'ici demain. Surmontant un désir momentané par un effort de volonté, l'étudiant s'oblige à travailler, se fixant l'objectif de la réussite de demain. On observe également la manifestation de la volonté dans diverses situations de communication. Par exemple, une personne nous est désagréable, mais notre avancement ultérieur dépend objectivement d'elle, c'est pourquoi, par un effort de volonté, nous retenons notre hostilité et mettons un masque psychologique adapté à la situation donnée ; et ainsi nous atteignons notre objectif.
Le plus souvent, une personne montre sa volonté dans les situations typiques suivantes :
il est nécessaire de faire un choix entre deux ou plusieurs pensées, objectifs, sentiments également attrayants, mais nécessitant des actions opposées et incompatibles les uns avec les autres ;
Quoi qu'il en soit, il est nécessaire d'avancer délibérément vers l'objectif visé ;
Sur le chemin de l’activité pratique d’une personne, surgissent des obstacles internes (peur, incertitude, doutes) ou externes (circonstances objectives) qu’il faut surmonter.
Autrement dit, la volonté (sa présence ou son absence) se manifeste dans toutes les situations liées au choix et à la prise de décision. La volonté est
le dépassement conscient par une personne des difficultés sur le chemin de l’action.
Les principales fonctions du testament sont :
choix des motivations et des objectifs ;
régulation de l'impulsion à agir en cas de motivation insuffisante ou excessive ;
organisation des processus mentaux en un système adapté à l'activité exercée par une personne ;
mobilisation des capacités physiques et mentales pour atteindre les objectifs fixés dans une situation de dépassement des obstacles.
La volonté, en tant que phénomène de la psyché humaine, a attiré l'attention des penseurs de l'Antiquité. Aristote a introduit le concept de volonté dans le système de catégories de la science de l'âme afin d'expliquer comment le comportement humain est réalisé conformément à une connaissance, qui en elle-même est dépourvue de pouvoir motivant. La volonté d'Aristote a agi comme un facteur, avec le désir, capable de changer le cours d'un comportement : l'initier, l'arrêter, changer de direction et de rythme. Cependant, les penseurs de l’Antiquité, et plus tard du Moyen Âge, n’ont pas interprété la volonté dans sa compréhension personnelle moderne. Ainsi, dans l’Antiquité, la notion de volonté était absorbée par la notion de logique ; Selon Aristote, par exemple, toute action découle avant tout d’une conclusion logique.
Au Moyen Âge, il existait un rituel d’exoris – exorcisme du diable. L'homme à cette époque n'était perçu que comme un principe passif, dans lequel la volonté se manifestait sous la forme d'esprits bons et mauvais (parfois même personnifiés). Cette compréhension de la volonté était due au fait que la société traditionnelle niait en réalité un comportement indépendant. SI. Rogov* note que la personnalité n'y apparaît que comme un genre, comme un programme selon lequel vivaient les ancêtres. Le droit de s'écarter n'était reconnu qu'à certains membres de la société, par exemple un chaman - une personne qui communique avec les esprits des ancêtres ; un forgeron - une personne qui possède le pouvoir du feu et du métal ; voleur - un criminel qui s'est opposé à une société donnée.
Le concept de volonté semble renaître à l'époque moderne avec l'émergence du concept de personnalité, dont l'une des principales valeurs est le libre arbitre. Une nouvelle vision du monde émerge : l'existentialisme, une philosophie de l'existence selon laquelle la liberté est absolue, le libre arbitre. M. Heidegger, K. Jaspers, J.-P. Sartre et A. Camus croyaient que toute personne est essentiellement volontaire et irresponsable, et que toute norme sociale est une suppression de l'essence humaine.
En Russie, une interprétation intéressante de la volonté a été présentée par I.P. Pavlov, considérant la volonté comme un instinct (réflexe) de liberté. En tant qu'instinct de liberté, la volonté n'est pas moins un stimulant au comportement que les instincts de faim ou de danger.
De nombreuses controverses ont surgi et surgissent sur la question de l'origine consciente ou inconsciente du concept de volonté.
Les partisans des vues idéalistes interprètent comme un phénomène de volonté la capacité humaine inhérente à choix indépendant objectifs et moyens d’y parvenir. Ils ont interprété la capacité de prendre des décisions exprimant des attitudes et des croyances personnelles comme le résultat des actions d’une force irrationnelle derrière ces actes.
À une certaine époque, les philosophes allemands A. Schopenhauer et E. Hartmann ont absolutisé la volonté, la déclarant force cosmique, principe inconscient aveugle, dont les dérivés sont toutes des manifestations mentales de l'homme.
La psychologie psychanalytique représentait la volonté humaine comme une sorte d'énergie des actions humaines. Les partisans de la psychanalyse croyaient que les actions humaines sont contrôlées par une certaine énergie biologique humaine, convertie en énergie mentale. Freud a identifié cette énergie avec l'énergie psychosexuelle du désir sexuel - la libido inconsciente, expliquant ainsi le comportement humain d'abord par les manifestations cultivées de cette force d'affirmation de la vie (Eros), puis par sa lutte avec le désir humain de mort tout aussi subconscient (Thantos). ).
Les partisans de la théorie de la volonté en tant que force surnaturelle spéciale qui sous-tend la psyché et l'existence en général étaient des psychologues aussi célèbres que W. Wundt et W. James.
L'interprétation théologique de la volonté est que la volonté est identifiée au principe divin dans le monde : Dieu est le propriétaire exclusif du libre arbitre, le dotant des personnes à sa propre discrétion.
Les matérialistes interprètent la volonté comme un aspect de la psyché qui a une base matérielle sous la forme de processus nerveux cérébraux. Les actions volontaires ou volontaires se développent sur la base de mouvements et d'actions involontaires. Les actions involontaires les plus simples sont les actions réflexes. Ce type comprend également les actions impulsives, inconscientes, non subordonnées à l'objectif général de la réaction. Contrairement aux actions involontaires, les actions conscientes d’une personne visent à atteindre son objectif, ce qui est caractéristique du comportement volontaire.
La base matérielle des mouvements volontaires est l'activité de cellules pyramidales géantes situées dans l'une des couches du cortex cérébral dans la région du gyrus central antérieur. Des impulsions de mouvement sont générées dans ces cellules. Les scientifiques sont arrivés à cette conclusion en étudiant les causes de l'aboulie (manque douloureux de volonté), qui se développe en raison de pathologie cérébrale et appraxie (altération de la régulation volontaire des mouvements et des actions qui rendent impossible l'accomplissement d'un acte volontaire), résultant d'une lésion lobes frontaux cerveau.
La doctrine du deuxième système de signalisation I.P. Pavlova a considérablement complété le concept matérialiste, prouvant l'essence réflexe conditionnée de la volonté.
Les recherches modernes sur la volonté en psychologie sont menées dans différentes directions scientifiques : dans la science comportementale, certaines formes de comportement sont étudiées ; dans la psychologie de la motivation, l'accent est mis sur les conflits intrapersonnels et les moyens de les surmonter ; dans la psychologie de la personnalité, la l'attention principale est portée sur l'identification et l'étude des caractéristiques volitives correspondantes de l'individu. En même temps psychologie moderne s'efforce de donner à la science de la volonté un caractère intégrateur.

Théories de la volonté
1. Les théories hétéronomes réduisent les actions volontaires à des processus mentaux complexes de nature non volontaire - processus associatifs et intellectuels. Ebbinghaus : la volonté est un instinct qui naît sur la base de la réversibilité des associations ou sur la base de ce qu'on appelle « l'instinct voyant », conscient de son but. I. Herbart : l'action volontaire est associée à une combinaison complexe de capacités intellectuelles processus mentaux® d'abord, un comportement impulsif apparaît, puis, sur cette base, une action développée sur la base de l'habitude est mise à jour, et après cela, une action contrôlée par l'esprit, c'est-à-dire action volontaire. Selon ce point de vue, tout acte est volontaire, car chaque action est raisonnable. Positif : inclusion du facteur déterminisme dans l'explication de la volonté (s'éloignant du spiritualisme). Inconvénients : le testament n'est pas substantiel, n'a pas de contenu propre et ne s'actualise qu'en cas de nécessité ; n'expliquez pas les phénomènes d'arbitraire des actions, le phénomène de liberté interne, les mécanismes de formation de l'action volontaire à partir du non-volontaire.

2. Théorie affective de la volonté par W. Wundt. Wundt s'est vivement opposé aux tentatives visant à faire dériver l'impulsion de l'action volontaire des processus intellectuels. Il explique la volonté en utilisant le concept d'affect. La chose la plus essentielle à l'émergence d'un processus volitionnel est l'activité d'action externe, qui est directement liée aux expériences internes. Dans le plus simple acte de volonté Wundt distingue deux aspects : l’affect et l’action qui lui est associée. Les actions externes visent à atteindre le résultat final et les actions internes visent à modifier d'autres processus mentaux, y compris émotionnels. Le processus volitionnel est un affect (sentiment complexe), un processus émotionnel associé à une action qui peut arrêter ce processus. Les processus volitionnels sont des processus mentaux ordinaires lorsqu'ils sont contrôlés et représentés dans la conscience. Deux aspects du processus volitionnel : objectif (lié au sujet) et subjectif (lié à l'attitude envers le contenu). Le contenu objectif du processus volitionnel est son motif. L’aspect subjectif est le moteur du motif. Les processus qui n'ont qu'un seul motif - impulsif, sont exécutés sans délai. S'il y a plusieurs motifs, alors cette action est arbitraire. La volonté est le problème de l'arbitraire de l'action, le problème de la lutte des motivations.

3. Les théories de l'autonomie expliqueront ce phénomène mental en se basant sur les lois inhérentes à l'action volitive elle-même. Toutes les théories de la volonté autonome peuvent être divisées en trois groupes :

1) approche motivationnelle : la volonté, d'une manière ou d'une autre, s'explique à l'aide des catégories de la psychologie de la motivation. À son tour, il est divisé en :

Ô théories qui considèrent la volonté comme une force mondiale surhumaine (E. Hartmann et A. Schopenhauer) La volonté est une impulsion complètement irrationnelle, aveugle, inconsciente, sans but et, de plus, sans fin ou affaiblissante. Elle est universelle et constitue la base de tout ce qui existe : elle donne naissance à tout (par le processus d’objectivation) et gouverne tout. Ce n'est qu'en créant le monde et en le regardant comme dans un miroir qu'elle a l'opportunité de se rendre compte avant tout qu'elle est la volonté de vivre. La volonté qui existe en chaque personne n’est qu’une objectivation de la volonté du monde. G.I. Chelpanov croyait que l'âme avait son propre pouvoir de faire des choix et de motiver l'action. Dans l'acte de volonté, il distinguait l'aspiration, le désir et l'effort ; plus tard, il commença à relier la volonté à la lutte des motifs.

O théories qui considèrent la volonté comme le moment initial de motivation à l'action de T. Hobbes, T. Ribot, elle peut non seulement encourager l'action, mais aussi inhiber certaines actions indésirables. K. Levin Il s'agit d'une tension interne causée par une action inachevée. Mise en œuvre comportement volontaire consiste à soulager les tensions par certaines actions - mouvements dans l'environnement psychologique (locomotion et communications) ; la volonté a la capacité d'induire des actions.

Ô théories qui comprennent la volonté comme la capacité de surmonter les obstacles. Yu. Kul relie la régulation volontaire à la présence de difficultés dans la mise en œuvre des intentions. Il fait la distinction entre l'intention et le désir (motivation). La régulation intentionnelle active est activée au moment où un obstacle ou des tendances concurrentes surgissent sur le chemin du désir. H. Heckhausen identifie quatre étapes de motivation à l'action, qui impliquent différents mécanismes - motivationnels et volitionnels. La première étape correspond à la motivation avant de prendre une décision, la deuxième à l'effort volontaire, la troisième à la mise en œuvre d'actions et la quatrième à l'évaluation des résultats du comportement. La motivation détermine le choix de l'action, et la volonté détermine son renforcement et son initiation. D.N. Uznadze met en corrélation la formation de la volonté avec des activités visant à créer des valeurs indépendantes des besoins humains réels. Le comportement volontaire diffère du comportement impulsif en ce sens qu'il comporte une période précédant l'acte de prise de décision. Le comportement ne devient volontaire que grâce à un motif qui modifie le comportement de telle manière que celui-ci devient acceptable pour le sujet. Il y a deux faces à un acte volontaire : phénoménologique et dynamique. La phénoménologie comprend des moments tels que 1) un sentiment de tension (moment figuratif), 2) déterminer le but d'une action et sa relation avec les moyens (objectif), 3) effectuer une action interne (réelle), 4) éprouver des difficultés, faire un effort (état moment) . Le côté dynamique d'un acte volontaire réside dans la mise en œuvre, l'incarnation d'une action motivée (volontaire). L.S. Vygotsky surmonte les obstacles comme l'un des signes de volonté. Comme mécanisme de renforcement de l'impulsion à l'action, il définit l'opération d'introduction d'un motif auxiliaire (moyen). Un tel motif supplémentaire peut être un tirage au sort, un comptage par un, deux, trois, etc.

2) l'approche du libre choix : la relation des processus volitionnels avec le problème du choix (I. Kant, W. James) la fonction principale de la volonté est de prendre une décision sur l'action en présence de deux ou plusieurs idées Dans une telle situation, la principale prouesse de la volonté est de diriger la conscience vers un objet attractif, S. L. Rubinstein Le choix est l'une des fonctions de la volonté ;

3) approche réglementaire : la relation entre la volonté et la fonction d'exercice de contrôle, de gestion et d'autorégulation. M.Ya. Basov comprenait la volonté comme un mécanisme mental par lequel une personne régule ses fonctions mentales. L’effort volontaire est défini comme l’expression subjective de la fonction volontaire régulatrice. La volonté est privée de la capacité de générer des actions mentales ou autres, mais elle les régule, se révélant dans l'attention.

Régulation volontaire du comportement humain
La volonté et sa force se manifestent dans des actions volontaires (actions humaines). Les actions volontaires, comme toute activité mentale, selon I.P. Pavlov, sont associés au fonctionnement du cerveau. Les lobes frontaux du cerveau jouent un rôle important dans la mise en œuvre des actions volontaires, dans lesquels, comme le montrent les recherches, le résultat obtenu à chaque fois est comparé à un programme d'objectifs préalablement établi.
La volonté assure deux fonctions interdépendantes - incitative et inhibitrice, se manifestant en elles sous la forme d'une action volontaire. À cet égard, la volonté est divisée en activatrice (motivante, stimulante) et inhibitrice. La fonction incitative favorise l'activité humaine non pas en fait (en tant que fonction réactive), mais sur la base des spécificités des états internes qui se révèlent au moment de l'action elle-même. La fonction inhibitrice de la volonté se manifeste par la restriction des manifestations indésirables de l'activité. Les fonctions d'incitation et d'inhibition constituent la base du contenu du processus de régulation volontaire.
La régulation volontaire du comportement humain dans sa forme la plus développée est le contrôle conscient de ses propres pensées, sentiments, désirs et comportement.
Parmi les niveaux de régulation mentale, on distingue :
régulation involontaire (réactions involontaires pré-psychiques ; régulation figurative (sensorielle) et perceptuelle) ;
régulation volontaire (niveau de régulation parole-mentale) ;
régulation volontaire (le niveau le plus élevé de régulation volontaire de l'activité, garantissant le dépassement des difficultés pour atteindre l'objectif).
À la suite d'une régulation volontaire, un acte volontaire se produit. Un acte élémentaire de volonté se produit uniquement lorsqu’une autre pensée n’apparaît pas dans la tête d’une personne en même temps que l’idée d’accomplir une action, interférant avec sa mise en œuvre. Un tel acte peut, par exemple, être considéré comme un acte idéomoteur : la capacité d’une pensée sur le mouvement à provoquer le mouvement elle-même. Un acte de volonté plus complexe est associé au dépassement de l'idée dite concurrente, en présence de laquelle une personne a un sentiment spécifique de l'effort déployé, qui est associé à la manifestation de la volonté.
L’acte de volonté le plus complexe est celui dans lequel, en surmontant les résistances internes et externes, la décision est consciemment acceptée puis mise en œuvre. Des actes de volonté complexes incluent, par exemple, l’abandon des mauvaises habitudes (tabagisme, alcoolisme) et de la mauvaise compagnie. Un acte volontaire complexe ne s'exécute pas instantanément en temps réel ; il nécessite parfois l'application d'une volonté maximale pour le réaliser. Les actes de volonté complexes sont l'indicateur le plus élevé d'une personne volontaire. Une autre différence entre une personne volontaire et une personne habituée est la présence de qualités volontaires développées chez la première.
Les qualités volontaires sont divisées en trois catégories : les qualités volontaires primaires (volonté, persévérance, endurance) ; qualités volontaires secondaires ou dérivées (décision, courage, maîtrise de soi, confiance) ; qualités volontaires tertiaires (responsabilité, discipline, engagement, intégrité, efficacité, initiative).
Les qualités volontaires sont une catégorie dynamique, c'est-à-dire capable de changement et de développement tout au long de la vie. Les qualités volitionnelles visent souvent non pas tant à maîtriser les circonstances et à les surmonter, mais à se dépasser soi-même. Cela s'applique particulièrement aux personnes de type impulsif, déséquilibrées et émotionnellement excitables, lorsqu'elles doivent agir contrairement à leurs données naturelles ou caractéristiques.
Toutes les réalisations de l'homme et de l'humanité dans son ensemble ne peuvent être réalisées sans la participation de la volonté et la régulation volontaire du comportement. Tous les processus volitionnels qui composent le mécanisme de régulation comportent plusieurs phases essentielles :
1) l'émergence de la motivation et de la fixation d'objectifs ;
2) étape de discussion et de lutte des motifs ;
3) prise de décision ;
4) exécution.
Les concepts clés des phases 1 à 3 sont l'attraction et le désir. L'attraction est un besoin inconscient, et le désir est un besoin conscient, prêt à se transformer d'abord en motif puis en objectif de comportement. Cependant, tous les désirs ne peuvent pas être réalisés immédiatement, car une personne peut avoir plusieurs désirs non coordonnés en même temps, donnant ainsi lieu à une lutte de motivations. La lutte des motivations s'accompagne souvent de fortes tensions internes, surtout si les désirs sont polaires. En psychologie traditionnelle, la lutte des motivations est considérée comme le noyau d’un acte volontaire. Surmonter les conflits internes ne se produit que grâce à la prise de conscience de la signification réelle et de la corrélation des motivations, de leur importance pour une personne et des conséquences résultant d'une action volontaire.
La prise de décision est le moment final de la lutte des motivations, donnant lieu à un sentiment de responsabilité pour l'action propre à un acte de volonté. Le processus de prise de décision est assez complexe et sa rapidité dépend en grande partie d'une catégorie telle que la détermination d'une personne, dont le degré dépend des facteurs suivants :
la présence de motifs raisonnables pour accomplir un acte volontaire ;
la dynamique et la force des circonstances extérieures qui déterminent l'ampleur des motivations ;
tempérament et caractéristiques caractérologiques de la personne qui prend la décision.
La phase finale du processus volontaire est l’exécution. La phase d’exécution a une structure interne complexe : prendre une décision ne signifie pas l’exécuter immédiatement.
L'exécution d'une décision est très étroitement liée à une catégorie telle que le temps. Si l'exécution est retardée pendant une période significative, nous parlons alors d'intention, qui, à son tour, doit être soigneusement planifiée, ce qui déterminera le succès et la rapidité de l'exécution. Pour la prise de décision finale et l’exécution, un effort volontaire est requis.
L'effort volontaire est une forme stress émotionnel, mobilisant les ressources internes d’une personne et créant des motivations supplémentaires pour agir pour atteindre un objectif. La volonté dépend des facteurs suivants :
vision du monde de l'individu;
stabilité morale;
la présence d'une signification sociale des objectifs ;
attitudes envers l'action;
niveau d'auto-organisation de la personnalité.
En d’autres termes, la volonté est un reflet unique de la structure de la personnalité et de ses caractéristiques internes. L'action volontaire de chaque personne est unique.
La connaissance des mécanismes de régulation volontaire et des méthodes de développement de la volonté est nécessaire pour toute personne qui s'efforce de se développer de manière systématique et réussie et d'atteindre ses objectifs de vie.

Développement de la volonté humaine
La volonté est l’une des qualités humaines potentiellement inhérentes avant la naissance et qui, en même temps, peuvent se développer tout au long de la vie. La portée d’une volonté forte est aussi grande que celle d’une volonté faible. Le désir de renforcer sa volonté et d’élargir le champ d’application de l’action volontaire surgit le plus souvent chez les personnes ayant une localisation interne du contrôle. La localisation du contrôle est la tendance d'une personne à attribuer la responsabilité des résultats d'une action à des forces externes ou internes. Les internes se sentent le plus souvent personnellement responsables de leurs actes, les expliquant par leurs caractéristiques personnelles, ils s'efforcent donc de travailler sur eux-mêmes, de s'améliorer, notamment en développant leur volonté. Les externes tentent de tout expliquer par des circonstances extérieures, s'exonérant de toute responsabilité et réduisant ainsi la pertinence de l'activité volontaire et de la formation volontaire.
Une personne qui veut se contrôler elle-même et contrôler sa situation, qui veut surmonter ses émotions et ses qualités destructrices (par exemple la peur et la paresse), peut, grâce à l'entraînement, renforcer sa volonté et augmenter l'éventail de ses capacités.
Lorsque vous travaillez sur le développement de la volonté, vous pouvez vous appuyer sur les recommandations données par L.I. Ruvinsky et S.I. Khokhlov*. Jetons un coup d'œil à ces recommandations.
Il vaut mieux ne pas prendre de décisions plutôt que de les prendre et de ne pas les mettre en œuvre. La décision prise doit être mise en œuvre.
L’objectif doit être utile, socialement significatif et attractif.
L’objectif que vous vous fixez doit être soigneusement réfléchi. Vous ne pouvez pas vous fixer d'objectifs et prendre des décisions lorsque vous êtes dans un état de forte excitation émotionnelle, de colère ou lorsque les circonstances les plus importantes liées à la mise en œuvre de votre décision ne peuvent être prises en compte.
L'objectif que vous vous fixez doit correspondre à vos capacités. Il sera atteint si :
la volonté nécessaire pour exécuter la décision ;
les connaissances et compétences spécifiques nécessaires pour mettre en œuvre la décision ;
développé l'une ou l'autre qualité de volonté (endurance, persévérance, assiduité, courage, détermination) ;
le temps et les fonds nécessaires à la mise en œuvre de la décision.
L'objectif doit être absolument précis :
la date exacte du début de la mise en œuvre de la décision est indiquée ;
la quantité minimale de travail quotidien prévu est clairement définie ;
la durée totale du travail sur quelque chose est indiquée ;
le résultat attendu est clairement indiqué ;
les moyens de mise en œuvre de la décision sont indiqués.
L'objectif principal doit être divisé en un certain nombre d'objectifs intermédiaires. Une condition nécessaire à l'efficacité de la définition d'objectifs est la capacité de les rendre réalisables, attrayants et de les inclure comme partie intégrante de motivations qui ont du sens pour nous et qui fonctionnent réellement.
Ainsi, son pouvoir motivant dépend de la conscience de l'importance de l'objectif, de son choix correct et de la combinaison des perspectives à court, moyen et long terme.
Pour mettre en œuvre avec succès nos plans, une activité interne est nécessaire. Elle doit être ciblée et réalisée avec compétence, avec une compréhension de l'essence des processus mentaux qui se produisent en nous. Apprendre à gérer ses émotions et troubles mentaux, nous recevons un double bénéfice : nous développons et renforçons les traits de caractère nécessaires (maîtrise de soi, endurance), et induisons également les états mentaux nécessaires qui nous aident à atteindre nos objectifs.
Un niveau suffisant de développement de la volonté est une base et une condition nécessaires à la mise en œuvre d'un programme d'auto-éducation. C'est pourquoi l'auto-éducation de la volonté n'est pas seulement le but du développement de l'une des qualités de la personnalité, mais est également nécessaire à sa formation dans son ensemble.

Conclusion:
La volonté est la liberté de choix. Les approches décrites pour comprendre l'essence de refléteront ses divers aspects et indiqueront diverses fonctions. La volonté est un mécanisme psychologique qui permet à une personne de contrôler consciemment son comportement, exprimé dans la capacité de voir et de surmonter les obstacles internes et externes à des actions et des actions délibérées. Les motivations des actions volontaires se développent et résultent de l’interaction active d’une personne avec le monde extérieur, et principalement avec la société. Le libre arbitre ne signifie pas la négation des lois universelles de la nature et de la société, mais présuppose leur connaissance et le choix d'un comportement adéquat. La fonction de la régulation volontaire est d'augmenter l'efficacité de l'activité correspondante, et l'action volontaire apparaît comme une action consciente et intentionnelle d'une personne pour surmonter les obstacles externes et internes à l'aide d'efforts volontaires. Au niveau personnel, la volonté se manifeste par des propriétés telles que la volonté, l'énergie, la persévérance, l'endurance, etc. Elles peuvent être considérées comme des qualités volitives primaires ou fondamentales d'une personne. Une personne volontaire se distingue par sa détermination, son courage, sa maîtrise de soi et sa confiance en soi. Il existe également des qualités associées aux orientations morales et aux valeurs : responsabilité, discipline, intégrité, engagement ; Cela inclut également les qualités dans lesquelles apparaissent simultanément la volonté d'une personne et son attitude envers le travail : efficacité, initiative. La régulation volontaire est nécessaire pour maintenir longtemps dans le champ de conscience l'objet auquel une personne pense et maintenir l'attention concentrée sur lui. La volonté participe à la régulation des fonctions mentales : sensations, perception, imagination, mémoire, pensée et parole. Le développement de ces processus cognitifs du niveau inférieur au niveau supérieur signifie qu'une personne acquiert un contrôle volontaire sur eux.
Bibliographie:

La psychologie considère le concept de « volonté » de manière ambiguë et, au cours des différentes époques historiques, il a signifié différents phénomènes.

Dans la plupart Plan général la volonté peut être perçue comme une propriété d'une personne qui lui permet de contrôler consciemment ses pensées et ses actions. Sur la base de cette compréhension, elle peut être considérée comme l’une des propriétés les plus importantes dont la psyché humaine est capable de se manifester : ne trace-t-elle pas la ligne de démarcation la plus frappante entre un animal et une personne ? Si les premiers sont motivés par leurs instincts, les seconds sont capables de les réprimer grâce à la volonté.

Ainsi, comme nous l’avons déjà exprimé, il existe plusieurs modèles pour comprendre la volonté. La psychologie moderne adhère au fait que la volonté d'une personne se manifeste dans la capacité d'atteindre consciemment son objectif, et parmi les principales qualités de sa manifestation figurent le courage, la détermination, la persévérance, la maîtrise de soi, l'indépendance, etc.

Afin de comprendre la volonté, vous devez bien comprendre ce qu’est la liberté, car ces concepts sont étroitement liés.

La volonté en psychologie est un concept avec une histoire unique, car dans le cadre de cette science, il a été révisé à trois reprises, ce qui a donné lieu à trois définitions différentes.

Au début, la volonté était comprise comme un mécanisme particulier d'actions exécutées par une personne contrairement à ses désirs, mais néanmoins motivées par la raison. Ensuite, la volonté a commencé à être perçue comme une lutte de motivations, ce qui la rapproche du thème du problème du choix.

Et au stade final de l'évolution de la compréhension de la volonté, elle a été définie comme un moyen de surmonter les obstacles qui empêchent d'atteindre un objectif. Cette définition donne une idée assez superficielle de la volonté, car elle n'éclaire qu'une seule facette de sa manifestation, mais en réalité il y en a plus : par exemple, avec l'aide de la volonté, une personne peut se vaincre elle-même, ses désirs, ses instincts naturels. besoins, même si ce n’est pas l’objectif. Il existe des cas où des personnes ont sauvé la vie d'autrui, en sacrifiant délibérément la leur, et caractériser l'une de ces situations comme « surmonter les difficultés pour atteindre un objectif » serait incorrect et incomplet.

AVEC langue latine on le traduit par « volonté » et dans ce mouvement philosophique on lui a attribué le rôle de principe fondamental, le principe le plus élevé de l'être.

En comprenant la volonté comme la psychologie du comportement « malgré », la partie la plus intéressante de cette capacité mentale d'une personne se révèle ; nous voyons qu'une personne sait comment ne pas accepter les circonstances telles qu'elles sont. La donation peut être évaluée négativement par de nombreuses personnes, mais vous devez en avoir suffisamment volonté développée décider de changer ce qui est donné. Antoine de Saint-Exupéry, dans un de ses livres, raconte l'histoire de gazelles apprivoisées qui ont grandi dans un enclos. À mesure que les animaux grandissaient, ils commençaient à s'efforcer de se libérer, mais ils ne faisaient que se tenir près de la clôture et regarder les espaces ouverts. Il s’agit d’une histoire fictive, mais les animaux ont tendance à se comporter de cette façon : tôt ou tard, ils se résignent et renoncent à essayer d’agir à l’encontre de la situation. Essayer de sortir d'une cage par instinct et essayer de le faire par croyance en quelque chose sont d'une autre nature, où dans le second cas, le mot « malgré » est le mot clé, contrairement au premier.

Certains philosophes (B. Spinoza, J. Locke) ont tenté de comprendre la relation entre volonté et liberté de choix. J. Locke croyait que la liberté est la capacité d'agir ou de ne pas agir, et lors d'un acte de volonté, une personne est toujours soumise à la nécessité, et il partageait donc ces concepts. Benoît Spinoza, comme de nombreux penseurs anciens, s'est avéré plus proche de la vérité - il croyait que la liberté intérieure consiste à décider volontairement de surmonter la contradiction qui est apparue entre « je veux » et « je suis ».

Julius Kuhl a identifié plusieurs types de contrôle lors d'une impulsion volontaire, qui permettent de la réaliser :

1. Attention sélective. Il vise l'objectif à atteindre, tandis que tous les autres éléments de l'environnement sont éliminés.
2. Contrôle des émotions. Certaines émotions vous empêchent de réaliser votre aspiration, et personne volontaire les refuse.
3. Contrôle environnemental. Tout ce qui interfère avec la réalisation de l'objectif est éliminé de l'espace le plus proche.

Ainsi, la volonté est propriété incroyable une personne sans qui, probablement, notre chemin évolutif aurait eu une trajectoire complètement différente.

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dans la discipline académique "Psychologie Expérimentale Générale"

Théories psychologiques volonté

Introduction

1. Concept général de volonté

3. Théories de base de la volonté

Conclusion

Bibliographie

Application

Introduction

La volonté est la capacité d'un individu à réguler et contrôler consciemment et délibérément son comportement et ses activités, exprimée dans la capacité de mobiliser son mental et capacités physiques pour surmonter les difficultés et les obstacles qui vous empêchent d’atteindre votre objectif.

En accomplissant un acte de volonté, une personne agit arbitrairement et sans se soumettre aux actions de causes extérieures.

La volonté combine trois propriétés principales de la conscience : la cognition, l'attitude et l'expérience, étant les formes motivantes et administratives de leur régulation, remplissant des fonctions d'activation ou d'inhibition. Les états volitionnels se manifestent par l'activité - passivité, la retenue - le manque de retenue, la confiance - l'incertitude, la détermination - l'indécision.

La volonté est un élément de la conscience personnelle. Par conséquent, ce n’est pas une qualité innée, mais elle se forme et se développe au cours du processus de formation de la personnalité. Le développement de la volonté chez une personne est associé à la transformation de processus mentaux involontaires en processus volontaires, à l'acquisition par une personne du contrôle de son comportement, au développement des qualités volitives de l'individu en une forme complexe d'activité.

Le problème de la volonté, de la régulation volontaire et volitive du comportement et de l'activité humaine occupe depuis longtemps l'esprit des scientifiques, provoquant des débats et des discussions houleux. À ce jour, plusieurs directions scientifiques ont émergé qui interprètent le concept de « volonté » de différentes manières. ce travail est consacré à une revue de ces théories de la volonté.

Objectif du travail : Caractériser les théories psychologiques de la volonté

1. Considérez le concept général de volonté

2. Identifier la relation entre les composantes de la volonté dans les théories de la volonté

1. Concept général de volonté

La volonté est présente dans de nombreux actes du comportement humain, aidant à surmonter la résistance, ainsi que d'autres désirs et besoins sur le chemin vers l'objectif visé. Si, par exemple, une personne ne veut pas boire de médicament amer, mais sait que cela est extrêmement nécessaire pour sa santé, alors, réprimant sa réticence par la volonté, elle se force à effectuer systématiquement le traitement prescrit. Autre exemple : un étudiant veut aller en discothèque, mais son devoir n'est pas prêt pour demain. Surmontant un désir momentané par un effort de volonté, l'étudiant s'oblige à travailler, se fixant l'objectif de la réussite de demain. Nous observons la manifestation de la volonté dans différentes situations communication. Par exemple, une personne nous est désagréable, mais notre avancement ultérieur dépend objectivement d'elle, donc, par un effort de volonté, nous retenons notre hostilité, mettons un « masque » psychologique adapté à la situation donnée, et par conséquent nous atteindre notre objectif.

Le plus souvent, une personne montre sa volonté dans les situations typiques suivantes :

il est nécessaire de faire un choix entre deux ou plusieurs pensées, objectifs, sentiments également attrayants, mais nécessitant des actions opposées et incompatibles les uns avec les autres ;

Quoi qu'il en soit, il est nécessaire d'avancer délibérément vers l'objectif visé ;

Sur le chemin de l’activité pratique d’une personne, surgissent des obstacles internes (peur, incertitude, doutes) ou externes (circonstances objectives) qu’il faut surmonter.

Autrement dit, la volonté (sa présence ou son absence) se manifeste dans toutes les situations liées au choix et à la prise de décision.

Les principales fonctions du testament sont :

choix des motivations et des objectifs ;

régulation de l'impulsion à agir en cas de motivation insuffisante ou excessive ;

organisation des processus mentaux en un système adapté à l'activité exercée par une personne ;

mobilisation des capacités physiques et mentales pour atteindre les objectifs fixés dans une situation de dépassement des obstacles.

La volonté, en tant que phénomène de la psyché humaine, a attiré l'attention des penseurs de l'Antiquité. Aristote a introduit le concept de volonté dans le système de catégories de la science de l'âme afin d'expliquer comment le comportement humain est réalisé conformément à une connaissance, qui en elle-même est dépourvue de pouvoir motivant. La volonté d'Aristote a agi comme un facteur, avec le désir, capable de changer le cours d'un comportement : l'initier, l'arrêter, changer de direction et de rythme. Cependant, les penseurs de l’Antiquité, et plus tard du Moyen Âge, n’ont pas interprété la volonté dans sa compréhension personnelle moderne. Ainsi, dans l'Antiquité, le concept de « volonté » était absorbé par le concept de « logique ». Selon Aristote, par exemple, toute action découle avant tout d’une conclusion logique.

Au Moyen Âge, il existait un rituel d’exoris – exorcisme du diable. L'homme à cette époque n'était perçu que comme un principe passif, dans lequel la volonté se manifestait sous la forme de bons et de mauvais esprits. Cette compréhension de la volonté était due au fait que la société traditionnelle niait en réalité un comportement indépendant. SI. Rogov note que la personnalité n'apparaît en lui que comme un genre, comme un programme selon lequel vivaient les ancêtres. Le droit de s'écarter n'était reconnu qu'à certains membres de la société, par exemple un chaman - une personne qui communique avec les esprits des ancêtres ; un forgeron - une personne qui possède le pouvoir du feu et du métal ; voleur - un criminel qui s'est opposé à une société donnée.

Le concept de volonté semble renaître à l'époque moderne avec l'émergence du concept de personnalité, dont l'une des principales valeurs est le libre arbitre. Une nouvelle vision du monde émerge : l'existentialisme, la « philosophie de l'existence », selon laquelle la liberté est absolue, le libre arbitre. M. Heidegger, K. Jaspers, J.-P. Sartre et A. Camus croyaient que toute personne est essentiellement volontaire et irresponsable, et que toute norme sociale est une suppression de l'essence humaine.

En Russie, une interprétation intéressante de la volonté a été présentée par I.P. Pavlov, considérant la volonté comme un « instinct » (réflexe) de liberté. En tant qu'instinct de liberté, la volonté n'est pas moins un stimulant au comportement que les instincts de faim ou de danger.

De nombreuses controverses ont surgi et surgissent sur la question de l'origine consciente ou inconsciente du concept de « volonté ».

La psychologie psychanalytique représentait la volonté humaine comme une sorte d'énergie des actions humaines. Les partisans de la psychanalyse croyaient que les actions humaines sont contrôlées par une certaine énergie biologique humaine, convertie en énergie mentale. Freud a identifié cette énergie avec l'énergie psychosexuelle du désir sexuel - la libido inconsciente, expliquant ainsi le comportement humain d'abord par les manifestations « cultivées » de cette force d'affirmation de la vie (Eros), puis par sa lutte avec le désir de mort tout aussi inconscient d'une personne. (Thantos).

L'interprétation théologique de la volonté est que la volonté est identifiée au principe divin dans le monde : Dieu est le propriétaire exclusif du libre arbitre, le dotant des personnes à sa propre discrétion.

Les matérialistes interprètent la volonté comme un aspect de la psyché qui a une base matérielle sous la forme de processus nerveux cérébraux. Les actions volontaires ou volontaires se développent sur la base de mouvements et d'actions involontaires. Les actions involontaires les plus simples sont les actions réflexes. Ce type comprend également les actions impulsives, inconscientes, non subordonnées à l'objectif général de la réaction. Contrairement aux actions involontaires, les actions conscientes d’une personne visent à atteindre son objectif, ce qui est caractéristique du comportement volontaire.

La base matérielle des mouvements volontaires est l'activité de cellules pyramidales géantes situées dans l'une des couches du cortex cérébral dans la région du gyrus central antérieur. Des impulsions de mouvement sont générées dans ces cellules. Les scientifiques sont arrivés à cette conclusion en étudiant les causes de l'aboulie (manque douloureux de volonté), qui se développe sur la base d'une pathologie cérébrale et de l'appraxie (altération de la régulation volontaire des mouvements et des actions qui rendent impossible l'exécution d'un acte volontaire), résultant de dommages aux lobes frontaux du cerveau.

La doctrine de la seconde système de signalisation I.P. Pavlova a considérablement complété le concept matérialiste, prouvant l'essence réflexe conditionnée de la volonté.

Les études modernes sur la volonté en psychologie sont menées de différentes manières. orientations scientifiques: dans la science comportementale, certaines formes de comportement sont étudiées ; dans la psychologie de la motivation, l'accent est mis sur les conflits intrapersonnels et les moyens de les surmonter ; dans la psychologie de la personnalité, l'attention principale est portée sur l'identification et l'étude des caractéristiques volontaires personnalité. Dans le même temps, la psychologie moderne s'efforce de donner à la science de la volonté un caractère intégrateur.

2. Caractéristiques générales des actions volontaires

Toute activité humaine s'accompagne toujours d'actions spécifiques, qui peuvent être divisées en deux grands groupes : volontaires et involontaires. La principale différence entre les actions volontaires est qu'elles sont réalisées sous le contrôle de la conscience et nécessitent certains efforts de la part de la personne visant à réaliser une chanson consciemment définie. Par exemple, imaginons un malade qui prend difficilement un verre d'eau dans sa main, le porte à sa bouche, l'incline, fait des mouvements avec sa bouche, c'est-à-dire effectue toute une série d'actions unies par un seul objectif : étancher sa soif. Toutes les actions individuelles, grâce aux efforts de la conscience visant à réguler le comportement, se fondent en un tout et la personne boit de l'eau. Ces efforts sont souvent appelés régulation volontaire, ou volonté.

Les actions volontaires ou volontaires se développent sur la base de mouvements et d'actions involontaires. Les mouvements involontaires les plus simples sont les mouvements réflexes : constriction et dilatation de la pupille, clignement des yeux, déglutition, éternuements, etc. Nos mouvements expressifs sont généralement de nature involontaire.

Le comportement, comme les actions, peut être involontaire ou volontaire. Le type de comportement involontaire comprend principalement des actions impulsives et inconscientes, non subordonnées à un objectif commun, des réactions, par exemple au bruit à l'extérieur de la fenêtre, à un objet pouvant satisfaire un besoin. Le comportement involontaire comprend également les réactions comportementales humaines observées dans des situations d'affect, lorsqu'une personne est sous l'influence d'un état émotionnel non contrôlé par la conscience.

Contrairement aux actions involontaires, les actions conscientes, plus caractéristiques du comportement humain, visent à atteindre un objectif fixé. C'est la conscience des actions qui caractérise le comportement volitionnel. Les actions volontaires diffèrent les unes des autres principalement par leur niveau de complexité.

Un de plus la caractéristique la plus importante le comportement volontaire est son lien avec le dépassement des obstacles, quel que soit le type de ces obstacles - internes ou externes. Les obstacles internes ou subjectifs sont les motivations d’une personne visant à ne pas accomplir de cette action ou pour effectuer des actions opposées à celle-ci.

Il convient de noter que toutes les actions visant à surmonter un obstacle ne sont pas volontaires. Par exemple, une personne fuyant un chien peut surmonter des obstacles très difficiles et même grimper sur un grand arbre, mais ces actions ne sont pas volontaires, car elles sont principalement causées par raisons externes, mais non installations internes personne. Ainsi, la caractéristique la plus importante les actions volontaires visant à surmonter les obstacles sont la conscience de l'importance de l'objectif pour lequel il faut se battre, la conscience de la nécessité de l'atteindre. Plus un objectif est important pour une personne, plus elle surmonte d'obstacles. Par conséquent, les actions volontaires peuvent différer non seulement par leur degré de complexité, mais également par leur degré de conscience.

Habituellement, nous sommes plus ou moins clairement conscients de la raison pour laquelle nous effectuons certaines actions, nous connaissons l'objectif que nous nous efforçons d'atteindre. Il y a des moments où une personne est consciente de ce qu’elle fait, mais ne peut pas expliquer pourquoi elle le fait. Le plus souvent, cela se produit lorsqu'une personne est submergée par certaines des sentiments forts, éprouve une excitation émotionnelle. De telles actions sont généralement qualifiées d’impulsives. Le degré de conscience de ces actions est considérablement réduit. Après avoir commis des actes irréfléchis, une personne se repent souvent de ce qu'elle a fait. Mais la volonté réside précisément dans le fait qu'une personne est capable de se retenir de commettre des actes irréfléchis lors d'explosions affectives. La volonté est donc liée à activité mentale et des sentiments.

La volonté implique la présence d’un but chez une personne, ce qui nécessite certains processus de pensée. La manifestation de la pensée s'exprime dans le choix conscient d'un objectif et la sélection des moyens pour l'atteindre. La réflexion est également nécessaire lors de l’exécution d’une action planifiée. En réalisant l'action que nous envisageons, nous rencontrons de nombreuses difficultés. Sans la participation de la pensée, les actions volontaires seraient dépourvues de conscience, c'est-à-dire qu'elles cesseraient d'être des actions volontaires.

Le lien entre la volonté et les sentiments s'exprime dans le fait que, en règle générale, nous prêtons attention aux objets et aux phénomènes qui évoquent en nous certains sentiments. Le désir de réaliser ou de réaliser quelque chose, tout comme d'éviter quelque chose de désagréable, est associé à nos sentiments. Ce qui nous est indifférent et n'évoque aucune émotion, en règle générale, ne constitue pas un objectif d'action. Cependant, c’est une erreur de croire que seuls les sentiments sont à l’origine d’actions volontaires. Nous sommes souvent confrontés à une situation où les sentiments, au contraire, constituent un obstacle à la réalisation de notre objectif. C’est pourquoi nous devons faire des efforts déterminés pour résister impact négatifémotions. Confirmation convaincante que les sentiments ne sont pas la seule source de nos actions sont des cas pathologiques de perte de la capacité d’éprouver des sentiments tout en conservant la capacité d’agir consciemment. Ainsi, les sources des actions volontaires sont très diverses. Avant de commencer à les considérer, nous devons nous familiariser avec les théories principales et les plus célèbres de la volonté et comment elles révèlent les raisons de l'émergence d'actions volitives chez l'homme.

3. Théories de base de la volonté

Comprendre la volonté en tant que véritable facteur de comportement a sa propre histoire. En même temps, quant à la nature de ce phénomène phénomène mental Deux aspects peuvent être distingués : philosophique, éthique et sciences naturelles. Ils sont étroitement liés et ne peuvent être considérés qu’en interaction les uns avec les autres.

Durant l’Antiquité et le Moyen Âge, le problème de la volonté n’était pas envisagé à partir des positions caractéristiques de sa compréhension moderne. Les philosophes anciens considéraient le comportement humain intentionnel ou conscient uniquement du point de vue de sa conformité aux normes généralement acceptées. Dans le monde antique, l'idéal du sage était principalement reconnu, c'est pourquoi les philosophes anciens croyaient que les règles du comportement humain devaient correspondre aux principes rationnels de la nature et de la vie, aux règles de la logique. Ainsi, selon Aristote, la nature de la volonté s'exprime dans la formation d'une conclusion logique. Par exemple, dans son « Éthique à Nicomaque », la prémisse « toutes les choses sucrées doivent être mangées » et la condition « ces pommes sont sucrées » n'impliquent pas l'injonction « cette pomme doit être mangée », mais une conclusion sur la nécessité d'un traitement spécifique. action - manger une pomme. La source de nos actions conscientes réside donc dans l’esprit humain.

Il convient de noter que de telles opinions sur la nature du testament sont tout à fait justifiées et continuent donc d'exister aujourd'hui. Par exemple, Sh.N. Chkhartishvili s'oppose à la nature particulière de la volonté, estimant que les concepts de but et de conscience sont des catégories comportement intellectuel, et, à son avis, il n'est pas nécessaire d'introduire ici de nouveaux termes. Ce point de vue est justifié par le fait que processus de pensée font partie intégrante des actions volontaires.

En fait, le problème de la volonté n’existait pas en tant que problème indépendant au Moyen Âge. L’homme était considéré par les philosophes médiévaux comme un principe exclusivement passif, comme un « champ » sur lequel se rencontrent des forces extérieures. De plus, très souvent au Moyen Âge, la volonté était dotée d'une existence indépendante et même personnifiée dans des forces spécifiques, se transformant en êtres bons ou mauvais. Cependant, dans cette interprétation, la volonté agissait comme une manifestation d'un certain esprit qui se fixait certains objectifs. La connaissance de ces forces - bonnes ou mauvaises, selon les philosophes médiévaux, ouvre la voie à la connaissance des « vraies » raisons des actions d'une personne particulière.

Par conséquent, la notion de volonté au Moyen Âge était davantage associée à certaines puissances supérieures. Cette compréhension de la volonté au Moyen Âge était due au fait que la société niait la possibilité d'un comportement indépendant, c'est-à-dire indépendant des traditions et de l'ordre établi, d'un membre particulier de la société. L'homme était considéré comme l'élément le plus simple de la société, et l'ensemble des caractéristiques que les scientifiques modernes mettaient dans le concept de « personnalité » agissait comme un programme selon lequel vivaient les ancêtres et selon lequel une personne devrait vivre. Le droit de s'écarter de ces normes n'était reconnu qu'à certains membres de la communauté, par exemple pour un forgeron - une personne soumise au pouvoir du feu et du métal, ou pour un voleur - un criminel qui s'opposait à un certain société, etc

Il est probable que le problème indépendant de la volonté s'est posé simultanément avec la formulation du problème de la personnalité. Cela s’est produit à la Renaissance, lorsque les gens ont commencé à reconnaître le droit à la créativité et même à l’erreur. L'opinion a commencé à prévaloir selon laquelle ce n'est qu'en s'écartant de la norme, en se démarquant de la masse générale des gens, qu'une personne pouvait devenir un individu. Dans le même temps, la liberté de volonté était considérée comme la valeur principale de l’individu.

en fonctionnement faits historiques, il faut noter que l'émergence du problème du libre arbitre n'était pas accidentelle. Les premiers chrétiens partaient du fait qu'une personne avait le libre arbitre, c'est-à-dire qu'elle pouvait agir conformément à sa conscience, elle pouvait choisir comment vivre, agir et quelles normes suivre. À la Renaissance, le libre arbitre commence généralement à être élevé au rang d’absolu.

Par la suite, l’absolutisation du libre arbitre a conduit à l’émergence de la vision du monde de l’existentialisme – la « philosophie de l’existence ». L'existentialisme (M. Heidegger, K. Jaspers, J.P. Sartre, A. Camus, etc.) considère la liberté comme un libre arbitre absolument conditionné par aucune circonstance sociale extérieure. Le point de départ de ce concept est une personne abstraite, prise en dehors des liens et des relations sociales, en dehors de l'environnement socioculturel. Une personne, selon les représentants de ce mouvement, ne peut en aucun cas être liée à la société, et plus encore, elle ne peut être liée par aucune obligation ou responsabilité morale. Une personne est libre et ne peut être responsable de rien. Pour lui, toute norme agit comme une suppression de son libre arbitre. Selon J.P. Sartre, seule une protestation spontanée et non motivée contre toute « socialité » peut être véritablement humaine, et non ordonnée d’aucune manière, non liée à aucun cadre d’organisations, de programmes, de partis, etc.

Cette interprétation de la volonté contredit idées modernesà propos d'un humain. Comme nous l'avons noté dans les premiers chapitres, la principale différence entre l'homme en tant que représentant de l'espèce Homo sapiens et le monde animal réside dans sa nature sociale. Un être humain, se développant en dehors de la société humaine, n'a qu'une ressemblance extérieure avec une personne et, dans son essence mentale, n'a rien de commun avec les gens.

L'absolutisation du libre arbitre a conduit les représentants de l'existentialisme à une interprétation erronée de la nature humaine. Leur erreur était de ne pas comprendre qu'une personne qui commet un certain acte visant à rejeter tout ce qui existe les normes sociales et valeurs, affirme certainement d'autres normes et valeurs. Après tout, pour rejeter quelque chose, il faut avoir une certaine alternative, sinon un tel déni se transforme au mieux en absurdité et au pire en folie.

L'une des premières interprétations scientifiques naturelles de la volonté appartient à I.P. Pavlov, qui y voyait un « instinct de liberté », comme une manifestation de l'activité d'un organisme vivant lorsqu'il rencontre des obstacles qui limitent cette activité. D'après I.P. Pavlov, la volonté en tant qu'« instinct de liberté » n'est pas moins un stimulant de comportement que les instincts de faim et de danger. « Sans lui, écrivait-il, le moindre obstacle qu’un animal rencontrerait sur son chemin interromprait complètement le cours de sa vie. » Pour l’action humaine, un tel obstacle peut être non seulement un obstacle extérieur qui limite activité motrice, mais aussi le contenu de sa propre conscience, ses intérêts, etc. Ainsi, la volonté dans l'interprétation d'I.P. Pavlova est de nature réflexive, c'est-à-dire qu'elle se manifeste sous la forme d'une réponse à un stimulus influent. Ce n'est donc pas un hasard si cette interprétation a trouvé la plus large diffusion parmi les représentants du behaviorisme et a reçu un soutien en réactologie (K.N. Kornilov) et en réflexologie (V.M. Bekhterev). Pendant ce temps, si nous acceptons cette interprétation de la volonté comme vraie, alors nous devons conclure que la volonté d'une personne dépend de conditions extérieures et, par conséquent, l'acte de volonté ne dépend pas entièrement de la personne.

Au cours des dernières décennies, il a gagné en force et a tout trouvé plus grand nombre les partisans ont un autre concept, selon lequel le comportement humain est compris comme initialement actif et la personne elle-même est considérée comme dotée de la capacité de choisir consciemment une forme de comportement. Ce point de vue est soutenu avec succès par les recherches dans le domaine de la physiologie menées par N.A. Bernstein et P.K. Anokhine. Selon le concept formé sur la base de ces études, la volonté est comprise comme la régulation consciente par une personne de son comportement. Cette régulation s'exprime dans la capacité de voir et de surmonter les obstacles internes et externes.

En plus de ces points de vue, il existe d'autres concepts de volonté. Ainsi, dans le cadre du concept psychanalytique, à toutes les étapes de son évolution de S. Freud à E. Fromm, des tentatives ont été faites à plusieurs reprises pour concrétiser l'idée de la volonté comme énergie unique des actions humaines. Pour les représentants de cette tendance, la source des actions des gens est en quelque sorte transformée en forme mentaleénergie biologique d'un organisme vivant. Freud lui-même croyait qu'il s'agissait de l'énergie psychosexuelle du désir sexuel.

L'évolution de ces idées dans les concepts des étudiants et disciples de Freud est très intéressante. Par exemple, K. Lorenz voit l'énergie de la volonté dans l'agressivité initiale d'une personne. Si cette agressivité ne se traduit pas par des formes d’activité autorisées et sanctionnées par la société, elle devient socialement dangereuse, car elle peut aboutir à des actions criminelles non motivées. A. Adler, K.G. Jung, K. Horney, E. Fromm associent la manifestation de la volonté à facteurs sociaux. Pour Jung, il s’agit d’archétypes universels de comportement et de pensée inhérents à chaque culture ; pour Adler, il s’agit du désir de pouvoir et de domination sociale, et pour Horney et Fromm, du désir de l’individu de s’épanouir dans la culture.

En fait, divers concepts de la psychanalyse représentent une absolutisation des besoins individuels, bien qu’essentiels, en tant que sources des actions humaines. Les objections ne sont pas tant soulevées par les exagérations elles-mêmes que par l'interprétation générale des forces motrices visant, selon les adeptes de la psychanalyse, à l'auto-préservation et au maintien de l'intégrité de l'individu humain. Dans la pratique, très souvent, la manifestation de la volonté est associée à la capacité de résister au besoin d'auto-préservation et de maintenir l'intégrité du corps humain. Cela confirme le comportement héroïque des gens des conditions extrêmes Avec menace réelle pour la vie.

En réalité, les motivations des actions volontaires se développent et résultent de l’interaction active d’une personne avec le monde extérieur, et principalement avec la société. Le libre arbitre ne signifie pas la négation des lois universelles de la nature et de la société, mais présuppose leur connaissance et le choix d'un comportement adéquat.

Conclusion

Dans ce travail, j'ai examiné les principales théories psychologiques de la volonté, et j'ai également identifié la relation entre les composantes de la volonté dans les théories de la volonté.

La volonté joue un rôle décisif dans la vie d'une personne ; grâce à elle, les désirs se réalisent. Ce n'est pas si souvent que les rêves Vie courante se réalisent d’eux-mêmes, il faut bien plus souvent faire un effort, voire faire quelque chose que l’on ne veut pas du tout faire. Les personnes ayant une faible volonté sont appelées faibles. D'une manière ou d'une autre, dans la vie de tous les jours, vous devez faire face à des difficultés et à des obstacles. Il faut les surmonter. Cela nécessite un effort volontaire.

Il n'est possible de comprendre ce qu'est la volonté que si nous pouvons rassembler points extrêmes vue, dont chacune absolutise l'un des côtés mentionnés de la volonté : obligation, prise pour volonté, dans un cas, ou liberté de choix, à laquelle la volonté se réduit, dans un autre cas. Les approches ci-dessus pour comprendre l'essence de la volonté reflètent ses divers aspects, indiquent ses diverses fonctions et ne se contredisent pas du tout. De plus, comprendre le phénomène de la volonté n'est possible que sur la base d'une synthèse de diverses théories, fondées sur la prise en compte de la multifonctionnalité de la volonté en tant que mécanisme psychologique qui permet à une personne de contrôler consciemment son comportement.

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9. Rubinshtein S.L. Fondamentaux de psychologie générale - Saint-Pétersbourg, 1999 - 720 p.

10. Heckhausen H., Motivation et activité. - Saint-Pétersbourg : Pierre ; M. : Smysl, 2003 - 860 p.

11. Chkhartishvili Sh.N. Le problème de la volonté en psychologie // Questions de psychologie. -- 1967. -- N° 4.

12. http://www.e-reading.org.ua « Théories psychologiques de base de la volonté ».

13. http://bibl.tikva.ru/base/B2/B2Chapter17-2.php « Théories de la volonté ».

14. http://zeeps.ru/node/3410 « Concept général de volonté. Théories de la volonté".

15. http://ru.wikipedia.org/ « Volonté ».

Annexe 1

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AGENCE FÉDÉRALE POUR L'ÉDUCATION

État établissement d'enseignement formation professionnelle supérieure

UNIVERSITÉ D'ÉTAT D'EXTREME-ORIENT

INSTITUT DE GESTION ET D'ENTREPRISE

FACULTÉ D'ÉCONOMIE

Will et ses principales caractéristiques. Théories de la volonté. Régulation volontaire du comportement. Développement de la volonté.

Essai

étudiants gr.

Vladivostok

1 Le testament et ses principales caractéristiques

La volonté est la régulation consciente par une personne de son comportement, associée au dépassement des obstacles internes et externes, qui présente un certain nombre de caractéristiques : la présence d'efforts et un plan bien pensé pour accomplir un acte de volonté particulier ; une attention accrue à de telles actions comportementales ; manque de plaisir direct reçu dans le processus et à la suite de son exécution ; un état de mobilisation optimale de l'individu, de concentration dans le bon sens.

La manifestation de la volonté se reflète dans les propriétés suivantes(qualités):

Volonté - le degré de volonté requis pour atteindre un objectif ;

La persévérance est la capacité d’une personne à se mobiliser pour surmonter les difficultés pendant une longue période ;

La maîtrise de soi est la capacité de retenir ses sentiments, ses pensées et ses actions ;

Esprit de décision – la capacité de mettre en œuvre les décisions rapidement et fermement ;

Courage – la capacité de mettre en œuvre les décisions rapidement et fermement ;

La maîtrise de soi est la capacité de se contrôler, de subordonner son comportement à la résolution des tâches assignées ;

La discipline est la subordination consciente de son comportement aux normes généralement acceptées et à l’ordre établi ;

Engagement - la capacité d'accomplir les tâches assignées à temps ;

Organisation – planification et ordonnancement rationnels de son travail, etc.

Il est nécessaire de faire un choix entre deux ou plusieurs pensées, objectifs, sentiments également attrayants, mais nécessitant des actions opposées et incompatibles les uns avec les autres ;

Quoi qu'il en soit, il est nécessaire d'avancer délibérément vers l'objectif visé ;

Sur le chemin de l’activité pratique d’une personne, surgissent des obstacles internes (peur, incertitude, doutes) ou externes (circonstances objectives) qu’il faut surmonter.

Autrement dit, la volonté (sa présence ou son absence) se manifeste dans toutes les situations liées au choix et à la prise de décision.

Les principales caractéristiques d'un acte volontaire :

a) faire des efforts pour accomplir un acte de volonté ;

b) la présence d'un plan bien pensé pour la mise en œuvre d'un acte comportemental ;

c) une attention accrue portée à un tel acte comportemental et l'absence de plaisir direct reçu dans le processus et à la suite de son exécution ;

d) souvent, les efforts de la volonté visent non seulement à vaincre les circonstances, mais aussi à se dépasser.

Les principales fonctions du testament sont :

Sélection de motivations et d'objectifs ;

Régulation de l'impulsion à l'action en cas de motivation insuffisante ou excessive ;

Organisation des processus mentaux en un système adapté à l'activité exercée par une personne ;

Mobilisation des capacités physiques et mentales pour atteindre les objectifs dans une situation de dépassement des obstacles.

La volonté présuppose la retenue, la retenue de certaines pulsions assez fortes, les subordonnant consciemment à d'autres objectifs plus significatifs et plus importants, et la capacité de supprimer les désirs et les impulsions qui surgissent directement dans une situation donnée. Sur Niveaux plus hauts Dans sa manifestation, la volonté présuppose le recours à des objectifs spirituels et à des valeurs morales, à des croyances et à des idéaux.

Un autre signe du caractère volontaire d'une action ou d'une activité réglementée par le testament est la présence d'un plan bien pensé pour sa mise en œuvre. Une action qui n'a pas de plan ou qui n'est pas réalisée selon un plan prédéterminé ne peut être considérée comme volontaire. L'action volontaire est une action consciente et déterminée par laquelle une personne atteint son objectif, subordonnant ses impulsions au contrôle conscient et modifiant la réalité environnante conformément à son plan.

Les signes essentiels d'une action volontaire sont une attention accrue portée à une telle action et l'absence de plaisir direct reçu dans le processus et à la suite de sa mise en œuvre. Cela signifie que l’action volontaire s’accompagne généralement d’un manque de satisfaction émotionnelle plutôt que morale. Au contraire, la réussite d'un acte volontaire est généralement associée à la satisfaction morale du fait qu'il a été possible de l'accomplir.

Souvent, les efforts de volonté d’une personne ne visent pas tant à gagner et à maîtriser les circonstances, mais à se dépasser. Ceci est particulièrement typique des personnes de type impulsif, déséquilibrées et émotionnellement excitables, lorsqu'elles doivent agir contrairement à leurs données naturelles ou caractéristiques.

Pas un seul problème plus ou moins complexe de la vie humaine ne peut être résolu sans la participation de la volonté. Personne sur Terre n’a jamais obtenu un succès exceptionnel sans posséder une volonté exceptionnelle. L'homme, tout d'abord, diffère de tous les autres êtres vivants en ce sens qu'en plus de la conscience et de l'intellect, il possède également une volonté, sans laquelle les capacités resteraient une phrase vide de sens.

2 Théories de la volonté

Actuellement en sciences psychologiques il n'existe pas de théorie unique de la volonté, bien que de nombreux scientifiques tentent de développer une doctrine holistique de la volonté avec sa certitude terminologique et son absence d'ambiguïté.

Traditionnellement, la volonté est définie comme la régulation consciente par une personne de son comportement et de ses activités, exprimée dans la capacité à surmonter les difficultés internes et externes lors de l'exécution d'actions et d'actes ciblés.

Parmi les directions les plus populaires dans l'étude du problème de la volonté figurent les théories de la volonté dites hétéronomes et autonomes (ou volontaristes).

Les théories hétéronomes réduisent les actions volontaires à des processus mentaux complexes de nature non volontaire - processus associatifs et intellectuels. G. Ebbinghaus donne un exemple : un enfant cherche instinctivement et involontairement de la nourriture, établissant un lien entre la nourriture et la satiété. La réversibilité de cette connexion repose sur le phénomène dans lequel, ayant ressenti la faim, il recherchera délibérément de la nourriture. Un exemple similaire peut être donné dans un autre domaine : la psychologie de la personnalité. Selon Ebbinghaus, la volonté est un instinct qui naît sur la base de la réversibilité des associations ou sur la base de ce qu'on appelle « l'instinct voyant », conscient de son but.

Pour d'autres théories hétéronomes, l'action volontaire est associée à une combinaison complexe de processus mentaux intellectuels (I. Herbart). On suppose qu'un comportement impulsif apparaît d'abord, puis sur cette base, une action développée sur la base de l'habitude est actualisée, et seulement après cela, une action contrôlée par l'esprit, c'est-à-dire action volontaire. Selon ce point de vue, tout acte est volontaire, car chaque action est raisonnable.

Les théories hétéronomes présentent des avantages et des inconvénients. Leur avantage est l'inclusion du facteur déterminisme dans l'explication de la volonté. Ainsi, ils opposent leur point de vue sur l'émergence des processus volitionnels avec le point de vue des théories spiritualistes, qui croient que la volonté est une sorte de force spirituelle qui ne se prête à aucune détermination. L'inconvénient de ces théories est l'affirmation selon laquelle la volonté n'est pas substantielle, n'a pas son propre contenu et ne s'actualise qu'en cas de nécessité. Les théories hétéronomes de la volonté n'expliquent pas les phénomènes d'arbitraire des actions, le phénomène de liberté interne, les mécanismes de formation de l'action volontaire à partir de l'action involontaire.

Une place intermédiaire entre les théories hétéronomes et autonomes de la volonté est occupée par la théorie affective de la volonté de W. Wundt. Wundt s'est vivement opposé aux tentatives visant à faire dériver l'impulsion de l'action volontaire des processus intellectuels. Il explique la volonté en utilisant le concept d'affect. La chose la plus essentielle à l'émergence d'un processus volitionnel est l'activité d'action externe, qui est directement liée aux expériences internes. Dans l’acte de volonté le plus simple, Wundt distingue deux moments : l’affect et l’action qui lui est associée. Les actions externes visent à atteindre le résultat final et les actions internes visent à modifier d'autres processus mentaux, y compris émotionnels.

Les théories de l'autonomie expliqueront ce phénomène mental en se basant sur les lois inhérentes à l'action volitive elle-même. Toutes les théories de la volonté autonome peuvent être divisées en trois groupes :

Approche motivationnelle ;

Approche de libre choix ;

Approche réglementaire.

Approche motivationnelle signifie que la volonté, d'une manière ou d'une autre, s'explique à l'aide des catégories de la psychologie de la motivation. À son tour, il est divisé en :

1) les théories qui comprennent la volonté comme une puissance mondiale surhumaine :

La volonté en tant que force mondiale incarnée dans l'homme a fait l'objet de recherches par E. Hartmann, A. Schopenhauer, G.I. Chelpanova. Schopenhauer croyait que l’essence de toute chose était la volonté du monde. C'est une impulsion complètement irrationnelle, aveugle, inconsciente, sans but et, de surcroît, incessante ou affaiblissante. Elle est universelle et constitue la base de tout ce qui existe : elle donne naissance à tout (par le processus d’objectivation) et gouverne tout. Ce n'est qu'en créant le monde et en le regardant comme dans un miroir qu'elle a l'opportunité de se rendre compte avant tout qu'elle est la volonté de vivre. La volonté qui existe en chaque personne n’est qu’une objectivation de la volonté du monde. Cela signifie que la doctrine de la volonté mondiale est primaire et que la doctrine de la volonté humaine est secondaire, dérivée. Schopenhauer présente différentes façons délivrance de la volonté du monde. Le point commun est que toutes les méthodes se réalisent à travers une activité spirituelle (cognitive, esthétique, morale). Il s’avère que la connaissance et la contemplation esthétique peuvent nous libérer de la nécessité de « servir » la volonté du monde. Il accorde une grande attention aux voies morales.