Un sentiment intérieur inattendu de peur sans raison avec un accompagnement trouble autonome appelé une attaque de panique

Selon les statistiques, près de 5% de la population est vulnérable aux attaques. Les attaques peuvent survenir tous les quelques mois ou presque tous les jours. Cet état dure généralement quelques heures.

Les symptômes d'anxiété sont désagréables pour une personne, vous devez donc envisager des mesures pour prévenir vous-même les attaques. Avant de choisir un moyen de vous en débarrasser, vous devez comprendre les causes et les symptômes des troubles psychologiques.

Une attaque de panique peut survenir dans n'importe quel environnement, quel que soit l'emplacement de la personne et le nombre de personnes qui l'entourent. Faire face à une escalade de la réaction avec un certain nombre de symptômes associés est difficile.

Le plus souvent, ils apparaissent chez les personnes sujettes à, souffrant de maladies du cœur ou du système endocrinien.

Étapes d'une attaque d'attaque :

1. État inconfortable.
2. Horreur inexplicable sans raison précise.
3. Une montée d'adrénaline dans le corps.
4. Un vif sentiment de panique et de peur incontrôlable.
5. Une autre montée d'adrénaline plus forte.
6. Le début d'une grave panique.

Le début d'une attaque attaque

Classification

Selon la raison de l'origine des crises, plusieurs types d'attaques peuvent être distingués.

1. Un état de panique imprévisible qui se produit sans raison, lorsqu'une personne ressent soudainement un sentiment de terreur dans un environnement calme.
2. Attaques de panique survenues, en fonction de la situation et de l'environnement, par exemple, avec une forte excitation due à une situation inconfortable ou en relation avec des inquiétudes concernant un événement important à venir.
3. Troubles conditionnels caractérisés par des effets biologiques (consommation d'alcool ou changements dans le rapport des hormones).

Causes des attaques de panique

A l'heure actuelle, il est difficile de distinguer la logique générale de l'apparition de la maladie, puisque dans chaque situation les causes peuvent être représentées par une combinaison de plusieurs maladies. Les raisons peuvent être des situations stressantes, des influences biologiques ou des expériences psychologiques.

La première attaque de panique peut survenir pour les raisons suivantes :

• maladie grave;
• l'usage de drogues;
• état dépressif stressant;
• utilisation de médicaments.

Dans certains cas, les attaques peuvent être causées par une maladie dans l'un des systèmes du corps.

Groupe à risque

Pour comprendre la cause de la maladie, vous devez faire attention à l'état psychologique.

1. Les personnes émotives et profondément inquiètes sont plus susceptibles.
2. Une situation familiale ou communautaire stressante est souvent le principal facteur menant à une crise.
3. Selon la nature et le sexe de la personne, la susceptibilité à la maladie varie. Les plus sensibles aux femmes sont celles qui sont au centre de l'attention et aspirent à l'idéal.
4. Chez les hommes, on peut distinguer les trop inquiets émotionnellement du fait de leur moindre mal-être.
5. Les femmes enceintes sont très sensibles à l'apparition de la maladie.

Symptômes

Lorsqu'une personne a une attaque de panique, elle doit présenter au moins quatre des symptômes suivants.

Fig 1. Symptômes d'une attaque de panique

Ces symptômes sont les principaux dans l'apparition du trouble panique.

Dans des situations individuelles, il peut y avoir signes suivants: des convulsions se produisent, il est difficile pour une personne d'entendre ou de voir, le cycle de la miction et des selles change, des problèmes avec le système musculo-squelettique surviennent. Ces symptômes indiquent une attaque atypique.

Période d'interictalité

Entre les crises, une personne sensible à cette maladie a du mal à s'endormir, une anxiété accrue, qui augmente l'après-midi. La personne ne laisse pas le sentiment qu'une nouvelle attaque se produira dans un proche avenir, elle essaie donc d'éviter les situations embarrassantes et désagréables pour elle. Souvent, les personnes souffrant de trouble panique essaient de réduire leur activité physique et de ne pas quitter la maison sans personne accompagnante.

Attaques de panique comment se battre seul - méthodes d'auto-combat

Pour traiter la maladie, vous devriez consulter un médecin, mais dès les premières manifestations, vous devez commencer à combattre vous-même les attaques de panique.

L'utilisation des méthodes suivantes peut vous aider à vous débrouiller seul et à atténuer vos attaques de panique.

1. Changer d'attention. Si un état anxieux survient, une peur déraisonnable et qu'une personne commence à paniquer, vous devez concentrer votre attention des expériences internes sur des actions externes agréables. Par exemple, discuter avec des amis ou parler de souvenirs heureux et agréables peut aider à soulager les symptômes d'une crise ou à l'arrêter.
2. Respiration concentrée. Cette méthode basé sur les sensations internes de l'inhalation d'air. Lors de la respiration suivante, concentrez-vous sur la façon dont le souffle d'oxygène pénètre dans le corps par le nez. Imaginez qu'il y ait un tube transparent à l'intérieur du corps du nez au milieu du corps, couvrant tout le processus respiratoire. En expirant, imaginez comment air chaud quitte les poumons à travers le tube et monte, car il s'embue tubaà l'intérieur du corps. En expirant de l'air, le corps se détend et l'air expiré est dispersé. Besoin de répéter les données mouvements respiratoires jusqu'à ce qu'un sentiment de calme s'installe.
3. La méthode du "sac en papier". Le sac en papier doit être solidement attaché au visage afin que l'air ne pénètre que dans le sac. Continuez à respirer dans le sac jusqu'à la fin de l'attaque. Le résultat est obtenu en normalisant la quantité d'oxygène dans le corps.
4. Méditation, auto-entraînement. L'essence de la méthode réside dans la focalisation de la personne sur une certaine image fictive agréable ou un exercice relaxant qui libère la tension.
5. "Téléspectateur". Cette méthode est basée sur la perception de l'environnement et de l'ensemble de l'événement du trouble de l'extérieur. Essayez d'imaginer que vous êtes un étranger et que vous voulez juste observer la situation et étudier toute la séquence en détail. Ce comportement aidera à réduire l'importance réelle de la peur inquiétante.
6. Visualisation des images. Cette méthode aide à combattre à l'aide d'une incarnation visuelle. pensées dérangeantes... Le pouvoir de l'imagination lui-même créera une image pour raisons de panique... Ensuite, vous devez imaginer comment vous le réduisez, le battez de n'importe quelle manière imaginaire. Imaginez que vous avez brûlé ou noyé votre peur, qu'elle s'est dissipée ou s'est enfuie. Le sentiment de soulagement après la libération de la peur doit également être présenté comme une sorte de belle image visuelle. Essayez d'être dans cette image, étudiez-la et profitez de la tranquillité.
7. "Spirales"

   Imaginez à quoi ressemble votre source d'attaque. Imaginez toute l'horreur et la peur se transformer en spirale. Regardez dans quelle direction la spirale se déplace, essayez de changer la direction du mouvement ou la vitesse de torsion de la spirale. Essayez de voir comment cela change. Cela vous aidera à avoir un sentiment de contrôle sur votre peur. Changez la direction et l'apparence de la spirale jusqu'à ce qu'elle vous semble agréable et apaisante.

8. "Ficelle d'or"

   La technique est réalisée en position debout. Il faut imaginer comment un fil d'or traverse tout le corps : de la tête aux pieds et s'efforce jusqu'au centre de la planète. Après cela, l'énergie de la planète revient le long de la ficelle et traverse plusieurs fois tout le corps, unissant le cœur de la planète, votre corps et le ciel.

9. " Pot de peinture "

   Les pensées dérangeantes sont placées visuellement dans un pot de peinture. En remuant la peinture dans le pot, les pensées désagréables se dissolvent progressivement et disparaissent complètement dans le pot.

10. "Ajourner la peur"

    La méthode de Reid Wilson vous permet de gérer votre propre panique. Pour ce faire, vous devez faire face au problème et vous y attarder pendant un certain temps.

    La méthode est basée sur un accord en soi que l'attaque ne commencera pas tout de suite, mais après un certain événement ou après un certain temps. Lorsque ce moment arrive, vous pouvez à nouveau reporter à un autre moment plus éloigné.

    Ainsi, une personne pourra réduire indépendamment l'impact d'une attaque, la prendre sous son propre contrôle.

11. « Emotion au quotidien »

    Une autre façon de R. Wilson est la prise de conscience et la gestion de l'anxiété. Le patient doit provoquer la panique plusieurs fois par jour pendant plusieurs minutes. Cette procédure doit être répétée pendant au moins une semaine. Au moment où vous êtes sur le point de créer la peur, mettez toutes vos affaires de côté et essayez de vous sentir mal à l'aise, concentrez-vous sur votre anxiété. Après quelques minutes avec exercices de respiration retour à la normale.

S'il est trop difficile de contrôler l'apparition des crises de panique et que le patient ne peut pas y faire face seul, obligatoire combiner la maîtrise de soi avec des séances de psychothérapie.

Dans cette vidéo, la psychologue partage comment elle a pu surmonter les peurs virtuelles, l'anxiété et le complexe d'attaques de panique qui la tourmentaient. de longues annéesà partir de l'enfance.

Attaques de panique - Comment se battre seul ?

- Comment la névrose de panique et l'agoraphobie affectent-elles le mode de vie ?
— 6 moyens simples auto-combat contre PA
— Méthodes traditionnelles faire face aux attaques de panique
- Comment se débarrasser soi-même des attaques de panique. Instructions
- Conclusion

Les crises d'angoisse et l'agoraphobie provoquent coup écrasant le mode de vie habituel. L'anxiété obsessionnelle et le désir non moins obsessionnel de l'éviter interfèrent avec le travail, l'école, les relations avec la famille, les amis et simplement la communication.

La peur constante d'une autre attaque engendre de sombres pressentiments, tensions et anxiétés, obligeant une personne à regarder autour d'elle avec effroi, la privant de sa force mentale (et parfois physique), réduisant toute sa vie à un seul désir : plus jamais, plus jamais éprouver ces terribles sensations. Et il n'est pas du tout surprenant que la souffrance névrose de panique et l'agoraphobie tombent souvent dans la dépression.

Les crises d'anxiété peuvent bouleverser les relations d'une personne au sein de la famille et de la société. Après tout, ces attaques surviennent souvent lorsque vous êtes hors de la maison. Il est tout à fait naturel qu'une personne avec qui une attaque s'est produite dans un film ou dans un restaurant se souvienne de cet endroit avec horreur et essaie de l'éviter non seulement, mais, éventuellement, d'autres endroits similaires. Les patients, sous n'importe quel prétexte, répugnent à toute "sortie dans le monde", surtout au moindre soupçon qu'il peut y avoir un motif de panique qui les attend.

Certains amis et membres de la famille sont offensés et contrariés lorsque leurs invitations sont rejetées sans cesse. D'autres, au contraire, sont déçus lorsqu'ils, qui risquaient de se confier à leurs proches, ne sont pas pris au sérieux et, avec un doux sourire, se voient proposer des conseils « sages » « pour se ressaisir » ou « faire preuve de courage ».

Une telle réaction peut sembler être une manifestation d'insensibilité, mais il faut se rappeler que "le bien nourri ne comprend pas l'affamé" et que le bien portant a une mauvaise idée de ce que c'est - une attaque de panique et d'agoraphobie , et combien il est difficile de surmonter ce malheur. Après tout, les gens ont tendance à croire : puisque tout le monde éprouve de la peur, il n'y a rien pour en faire un problème. Il suffit de faire un effort de volonté - c'est tout pour peu de temps, et tout passera.

La peur accablante détruit et relations de famille... Le patient devient irritable, anxieux, immergé en lui-même, ou a constamment besoin de réconfort, d'encouragement. La dépendance la plus forte du ménage à l'égard d'un conjoint ou d'un amant peut survenir: le patient ne peut sortir dans la rue - au magasin, à la banque ou pour récupérer les enfants - que lorsqu'il est accompagné. Dans le même temps, il est tout à fait clair pour lui que le conjoint n'a pas été imprégné du problème et qu'il est donc à son tour confus, bouleversé et impuissant. C'est ainsi cercle vicieux malentendu.

- 6 façons simples d'auto-combattre l'AP

1) Changer d'attention.
Lorsque l'anxiété, une forte peur déraisonnable « couvre » ou la panique a déjà commencé, il est nécessaire de détourner l'attention en la reportant sur des objets du monde extérieur. Appeler un ami, regarder un film (comédie), lire un magazine humoristique ou garder de bons souvenirs peuvent prévenir ou réduire la gravité d'une crise de panique.

Vous devez trouver votre « ancre », qui deviendra un point d'appui lors d'une attaque. Cela peut être un comptage ordinaire, chanter une chanson amusante sur votre PA, planifier les choses pour demain, résoudre les mots croisés des enfants. L'essentiel est d'émerger de votre monde intérieur "profond" vers l'extérieur, pas de parler d'un trouble psychosomatique. Après tout, vous seul êtes le commandant de votre corps. Vous donnez des ordres et contrôlez le parcours.

2) Respiration concentrée.
Vous pouvez arrêter une attaque de panique en vous concentrant sur le processus de respiration. Inspirez par le nez en vous sentant comme sueur froide l'air passe par vos narines. Imaginez que votre trachée est un tube transparent atteignant votre abdomen. L'air y coule, dilatant l'abdomen lorsque vous inspirez profondément. En expirant lentement, sentez la vapeur se condenser sur les parois de votre tube de verre. En sortant d'une bouche détendue, l'air s'évapore lentement. Répétez encore et encore, atteignant une relaxation complète et augmentant les sensations agréables plusieurs fois.

En général, avec l'AP, la respiration devient beaucoup plus fréquente en raison de la libération d'adrénaline. Tout techniques de respiration basé sur le casting de ce processus de vie dans un canal calme normal. Vous pouvez pratiquer une respiration "correcte" même en dehors des crises, en faisant attention à une inspiration et une expiration lentes chaque jour pendant 3 à 5 minutes.

3) La méthode du "sac en papier".
Souvent, vous pouvez soulager une attaque de panique avec un sac en papier qui est bien appliqué sur votre visage. Inspirez et expirez lentement dans le sac jusqu'à ce que l'attaque s'arrête. La méthode est basée sur l'abaissement des niveaux d'oxygène et l'augmentation gaz carbonique, grâce à quoi l'équilibre gazeux est rétabli. S'il n'y a pas de paquet au moment des attaques, utilisez de mes propres mains- pliez-les dans un bateau et commencez à respirer selon le schéma "inspiration lente - expiration lente".

4) Méditation, auto-formation.
La méditation est une pilule psychothérapeutique pour toute nervosité. Existe grande quantité techniques et exercices méditatifs pour l'auto-entraînement. La concentration de la conscience sur n'importe quelle image abstraite dans un état de relaxation profonde aide à renforcer le système nerveux, à éliminer les tensions et à atteindre un état de paix. La vraie méditation n'est pas du tout des chakras, pas astral, mais une technique de relaxation professionnelle avec un fort effet antidépresseur.

5) "spectateur".
Observez le développement de votre PA de l'extérieur. Notez chaque symptôme, chaque nuance de peur, comme si vous étiez un spectateur ou un chercheur extérieur qui enregistre scrupuleusement les phénomènes observés. Le résultat d'un tel comportement est la dévalorisation des peurs, l'habitude de s'y habituer, la reconnaissance de leur vraie nature.

6) Visualisation d'images.
Essayez d'imaginer à quoi ressemble votre peur ou votre anxiété. Ne créez pas une image exprès, déléguez ce processus à votre imagination ou à votre subconscient. Ensuite, «détruisez» l'image de quelque manière que ce soit - brûlez-la au feu, lavez-la avec les eaux de l'océan, transformez l'image de la peur en un nuage qui disparaît au-delà de l'horizon. L'état de paix et d'harmonie qui vous couvrira après le départ de la peur, vous habille également d'une robe figurative. Imaginez à quoi ressemble votre tranquillité d'esprit. Considérez-le attentivement, en profitant de la paix.

- Méthodes traditionnelles de traitement des attaques de panique

- Comment se débarrasser soi-même des attaques de panique. Instructions

1) La peur n'est pas la réalité, c'est une illusion.
Nous, et nous seuls, sommes les créateurs de nos propres cauchemars. On a trop peur, on fantasme trop, on ne sait pas contrôler ses pensées.

Rappelez-vous juste à quoi vous ressembliez film d'horreur, puis j'ai imaginé ce que vous feriez à la place du personnage principal. C'est ainsi que vous nourrissez votre peur en la rendant réelle !

Laissez-le à sa place : dans le monde de l'illusion !

2) Visualisez votre cauchemar de telle manière qu'il puisse être facilement vaincu.
Rappelez-vous comment dans l'un des livres de Harry Potter, le professeur a appris aux héros à combattre une créature maléfique qui a pris la forme de leur phobie.

Votre plus grand cauchemar devait être présenté de manière amusante : fabriquer une araignée en patins à roulettes, habiller un méchant professeur de Potions en costume de vieille dame, etc. Vous pouvez aussi imaginer votre peur bulle de savon qui éclate de votre contact ou venez avec quelque chose de votre propre.

3) Travaillez avec votre souffle.
Apprenez à le contrôler pour qu'aucun crise de panique ne pouvait pas vous empêcher de respirer profondément.

Faites des exercices de respiration quotidiennement (vous pouvez prendre une technique développée pour les femmes en travail). Dès que vous ressentez les premiers symptômes d'une crise, concentrez-vous sur la respiration : profonde respiration- expiration profonde.

4) Vous devez avoir votre propre endroit sûr.
Que ce soit réel ou fictif n'a pas d'importance. Réfléchissez aux détails, apprenez à vous y déplacer mentalement instantanément. Dès que vous sentez l'approche d'une attaque, transférez-vous là où rien ne vous menace.

5) Plus activité physique.
Lors d'une attaque de panique, il y a une gigantesque montée d'adrénaline. Certains experts pensent que cela se produit lorsqu'il y en a un excès dans votre corps. Engager espèces actives du sport au moins 3 fois par semaine !

- Conclusion

La prévalence des attaques de panique est très élevée. Elle touche environ 8 % de la population. Caractéristique principale de ces attaques est qu'elles s'accompagnent non seulement de symptômes psychologiques mais aussi corporels. Le patient peut avoir une élévation de la pression, une perte de respiration, des tremblements des mains. Et ce ne sont que de petits signes de PA.

Heureusement, l'AP, comme toute maladie, peut être guérie à la fois indépendamment et avec l'aide d'un spécialiste. Cet article décrit uniquement petite partie des modalités d'un tel traitement. Si aucun d'entre eux ne vous convient, vous pouvez toujours en trouver un plus adapté sur Internet.

Le matériel a été préparé par Dilyara spécialement pour le site

Attaques de panique : causes, symptômes, comment y faire face et traiter

Qu'est-ce qu'une attaque de panique ? Les personnes de l'ancienne génération, qui ont enduré les épreuves de la guerre et de la restauration de l'économie nationale d'après-guerre, ne connaissaient généralement pas un tel terme, sauf que les psychothérapeutes l'utilisaient dans leurs conversations. Mais l'homme moderne souvent « devient déprimé ». Quelle est la raison pour ça?

L'informatisation omniprésente, les bureaux étouffants, le rythme de vie "fou" et le désir d'être à tout prix conscient des événements qui les entourent fatiguent souvent tellement une personne que son psychisme commence à refuser de travailler dans de telles conditions et vitesses et répond avec crises de peur, d'anxiété, d'inconfort interne. La situation environnementale et les événements sur la scène internationale ne font qu'aggraver la situation.

Les attaques de panique, dont l'émergence est la vie moderne, sont elles-mêmes souvent la cause et la manifestation de diverses problèmes psychologiques vaincre le futur patient des médecins psychiatres. Probablement, notre siècle high-tech, "avancé" à tous égards, contribue-t-il en quelque sorte au développement de nouveaux syndromes qui sont du ressort des spécialistes étudiant le système nerveux central et son activité ? C'est probablement vrai et ça vaut la peine d'en parler.

Émotions et végétation

Pourquoi les attaques de panique se produisent-elles ? Probablement, afin de comprendre l'origine de la pathologie, compte tenu de sa polyvalence, il est préférable de diviser les causes de son apparition en deux groupes: prédisposant et provoquant.

Aux prérequis qui provoquent l'apparition d'attaques de panique, comprennent:

Liste des facteurs provoquant et formant des peurs paniques, comprend :

1. Circonstances psycho-traumatiques, stress émotionnel.
2. Activité physique excessive, activité sexuelle élevée.
3. Grand stress mental, long séjour dans l'espace virtuel, passe-temps excessif pour les jeux informatiques.
4. Défaut air frais, sédentarité, carence en vitamines et minéraux, malnutrition.
5. Conditions climatiques qui ne conviennent pas à une personne en particulier niveau élevé rayonnement de fond et la situation environnementale en général.
6. Infections chroniques.
7. Maladies respiratoires tube digestif, maladie cardiovasculaire, Déséquilibre hormonal, maladies nerveuses.
8. Lésion cérébrale traumatique.
9. Consommation excessive d'alcool, drogues psychotropes de leur propre initiative, toxicomanie, dépendance aux boissons contenant de la caféine.

De plus, les peurs paniques peuvent être causées par des événements de longue date dans la vie d'une personne qui ont laissé une blessure mentale (séparation, trahison, trahison) ou des expériences nostalgiques.

schéma d'occurrence et de "bouclage" des attaques de panique

Phobies formées par raisons diverses(une chute de hauteur, un échec à un examen, un ascenseur à l'arrêt, un orage, etc.) laissent quelque part dans les profondeurs de la conscience un foyer d'attaques de panique, bien que le cas lui-même soit effacé de la mémoire. Par exemple, étant tombée dans l'enfance même d'une hauteur insignifiante, mais en même temps, étant très effrayée, une personne aura peur d'elle pour la vie. Coups de tonnerre, suivis d'un incendie vu au début enfance, appellera panique peur déjà avec l'apparition d'un nuage noir imminent.

L'échec aux examens entre aussi parfois dans cette catégorie de raisons. La panique commence avant même d'entrer dans l'auditorium, tout le matériel appris disparaît de la tête. Malheureusement, certaines personnes ne peuvent toujours pas se débarrasser de l'état de panique qui se produit à certaines périodes et elles arrêtent d'étudier dans des établissements d'enseignement supérieur, sans regarder les merveilleuses données naturelles.

Est-ce un symptôme, un syndrome ou une seule maladie ?

Que peut signifier "attaque de panique" - découle déjà du nom de ce concept : panique, peur, anxiété, survenant sporadiquement sans avertissement. C'est pourquoi il s'agit d'une attaque, afin de ne pas dépendre du désir d'une personne, mais de surgir spontanément, en commençant quelque part de l'intérieur, derrière le sternum ou dans la gorge. Crises de panique peut également se produire de manière situationnelle, lorsqu'une personne se trouve dans un environnement qui crée de l'inconfort, par exemple, dans une pièce sans fenêtre, dont elle veut s'échapper plus rapidement, car un sentiment soudain d'anxiété et de tension perturbe sa présence. Peut-être qu'après avoir lu sur les symptômes de l'attaque de panique, certains d'entre nous l'essayeront sur eux-mêmes.

Quand il n'y a aucune raison de s'inquiéter

Les attaques de panique commencent parfois (pas pour tout le monde, bien sûr). Et si cela s'est produit pour la première fois chez une personne confiante en sa santé, alors le sentiment d'inconfort lors d'une attaque incompréhensible est considéré par certains comme un épisode accidentel qui n'a rien à voir avec la pathologie. Certes, en répétant l'attaque, le patient déclare que "cela lui est déjà arrivé".

• Une attaque d'attaque de panique peut survenir, comme on dit, à l'improviste, mais il semble seulement être. Allongez-vous, disons, une personne regarde calmement la télévision avant d'aller au lit et tout à coup des pensées de problèmes récemment vécus se sont glissées ou une bagatelle a suscité des souvenirs d'antan. Mon cœur battait la chamade, serrait dans ma poitrine, une boule me montait à la gorge….
• La peur panique s'empare d'un coup : le pouls s'accélère, vomit de sueur, il est difficile de respirer, tout le corps tremble, des sueurs froides apparaissent, les vertiges peuvent cesser. Les acouphènes, le détachement de la réalité et sa perte, l'anxiété, la peur du résultat de ce qui s'est passé font sortir une personne du rythme de vie habituel, cependant, dans la plupart des cas, pas pour longtemps. Le plus souvent, cette condition est qualifiée, puisque la participation de végétaux système nerveux de toute évidence.
• Souvent, de tels états de panique surviennent chez les femmes après l'accouchement. La peur pour le bébé, surtout si une jeune mère est laissée seule pendant longtemps, conduit au point qu'elle commence à craindre pour ses actes ("l'enfant est sans défense, il est facile de le jeter par la fenêtre, de l'ébouillanter, de le noyer ..."). Bien sûr, ces pensées sont causées par la peur pour la vie du petit homme, la mère ne lui fera pas de mal, mais elle commence à paniquer par peur de perdre la tête et de perdre le contrôle d'elle-même. Soit dit en passant, la peur de la folie et de la perte de contrôle est assez souvent un compagnon d'un état de panique, donc elle poursuit non seulement les femmes dans congé maternité mais aussi des patients différentes sortes névroses.
• Certains patients ne peuvent pas tolérer un environnement spécifique : un ascenseur, un bus, une foule, un métro, c'est-à-dire des situations qui provoquent des phobies cachées, que le patient connaît généralement, et essaie donc de les éviter ou de se déclencher plus rapidement si elles sont causées par des circonstances imprévues. Dans d'autres conditions confortables pour eux-mêmes, ils se considèrent comme des personnes en parfaite santé.
• Trouble panique accompagné d'anxiété d'origine inconnue(comme tout est normal dans la vie ?), apparaît souvent la nuit. Une personne se réveille brusquement de peur et d'horreur, ce qui par la suite ne la laisse pas s'endormir longtemps, ou le matin, prévoyant la journée mauvaise humeur... La crise dure de quelques minutes à une heure, et même une fois relâché, le patient continue d'avoir peur et d'attendre la prochaine crise, qui est parfois assez fréquente.

Dans un état de panique, le patient est agité, inquiet, il dit qu'il prévoit une catastrophe imminente, cherche de l'aide et de la compréhension auprès de ses proches, mais au début (voire jamais du tout) ne se tourne pas vers la médecine, essayant de se battre son propre.

Le patient sait de quoi il a peur

Patients de cette catégorie, à l'exception des adolescents en âge changements hormonaux, personnes expérimentées. Ils savent exactement ce qu'ils attendent et de quoi ils ont peur. Dans de tels cas, il est très difficile de différencier une attaque de panique d'un trouble anxieux. Une personne ordinaire(et un médecin d'une autre profession), étant faible en psychiatrie, il est peu probable qu'il y ait une distinction entre ces concepts, car ils sont si similaires. Cependant, c'est l'affaire des spécialistes, et notre tâche est de reconnaître les symptômes d'une attaque de panique.

1. Les crises d'angoisse accompagnent souvent pathologie chronique différents systèmes : respiratoire ( l'asthme bronchique), endocrinien (, thyrotoxicose, tumeur du cortex surrénalien), digestif (syndrome du côlon irritable), nerveux et cardiovasculaire. (un large éventail de maladies). L'attente d'une rechute, une tension interne constante entraîne la survenue d'attaques de panique, qui dans une telle situation sont la seule plainte (et symptôme) de la maladie sous-jacente sans exacerbation.
2. De telles attaques sont très caractéristiques de la pathologie du système cardiovasculaire. Tout d'abord, les attaques de panique poursuivent des patients diagnostiqués, ce qui est tout à fait naturel et compréhensible. Pendant ce temps, ces maladies ont souvent pour compagnons l'anxiété et la peur panique, qui s'accompagnent des symptômes de la cardialgie. L'horreur, la panique, un sentiment de mort imminente ou de folie (différent pour chacun) sont assez symptômes désagréables attaques.
3. Les états transitoires d'anxiété et de peur sont très caractéristiques des adolescence ou climatère, qui est principalement due à l'influence des hormones. Attaques de tachycardie, vertiges, courses, étouffement, mauvaise humeur et sommeil perturbé - tout cela s'intègre dans les manifestations cliniques des paroxysmes végétatifs-vasculaires. Les plaintes formulées lors de la visite chez le médecin constituent la base d'un traitement approprié. Quant à l'attaque de panique, ses symptômes et son traitement individuel, ces problèmes sont rarement pris en compte, seulement dans cas sévères... Comme il peut être très difficile de faire la distinction entre ces conditions et que les médicaments prescrits par le thérapeute aident généralement, tout le monde n'est pas nommé à la consultation du psychothérapeute.
4. Les symptômes d'une attaque de panique acquièrent une couleur particulière, la plus frappante, chez les alcooliques abstinents. Les voilà réunis : tremblements, tachycardie, mélancolie, appréciation pessimiste de l'avenir, apitoiement sur soi, prémonition de la mort (« mon cœur est sur le point de s'arrêter ») et la ferme conviction que « si j'arrive à survivre, alors Je vais arrêter de boire ». Associé à un tel facteur de causalité Les attaques de panique passent rapidement, mais elles se répètent avec une nouvelle frénésie ou lorsque l'alcool a déjà causé des dommages importants à l'organisme, même si la personne s'est « attachée » à une mauvaise habitude.

Ainsi, les troubles autonomes (épisodes faiblesse générale, vertiges non systémiques, étourdissements, tremblements internes, douleur spastique dans l'estomac, et), ainsi que les symptômes émotionnels et affectifs d'une attaque de panique, qui se manifestent par la peur de la mort, la folie et la commission d'un acte irréfléchi sont des signes d'une pathologie, mais cela ne signifie pas qu'ils se manifesteront tous en même temps.

Un signe reliant différentes conditions psychopathologiques

De nombreux patients qui sont poursuivis par des attaques, des paniques et des peurs ont déjà un dossier sur la carte qu'ils ont (dystonie, névrose, trouble panique, ou syndrome dépressif... En général, il n'y a pas de frontière claire entre ces diagnostics, donc seuls les spécialistes dans ce domaine peuvent les séparer. Dans la classification américaine des maladies mentales, ces concepts sont résumés et sous le nom de « trouble panique » sont inclus dans la classe des « états d'anxiété ».

Parmi les répertoriés troubles pathologiques une attaque de panique apparaît souvent, qui est un syndrome que l'on appelle souvent crise sympatho-surrénale ou végétative, qui, cependant, ne reflète pas l'origine mentale du paroxysme. Ces patients sont dans la plupart des cas traités pour une MNT et ont besoin principalement correction émotionnelle... Cependant, les attaques de panique occasionnelles doivent toujours être distinguées des troubles paniques et états dépressifs, où l'attaque de panique est l'un des signes (symptômes) de la maladie, nécessitant une approche et un traitement strictement individuel par un psychothérapeute.

Trouble panique

Le trouble panique se caractérise par la concentration de l'attention du patient sur un seul problème, par exemple, ils craignent pour « leur cœur ». Cela arrive souvent après le report. Peur mort subite en raison d'une mise à disposition intempestive soins médicaux oblige une personne à être en tension tout le temps, à ne pas s'éloigner de chez elle et à surveiller constamment son état. En conséquence - panique, attaques de faiblesse, palpitations, suffocation, qui commencent vraiment à empoisonner la vie d'une personne.

La peur pour « votre intestin » est probablement la deuxième cause de trouble panique. Tout le monde sait que la fameuse « maladie de l'ours », destructrice de plans et mortelle, survient le sol nerveux, et sur la base de la "maladie de l'ours", il existe des peurs et des angoisses qui provoquent une indigestion. Cercle vicieux.

La cause de l'inquiétude est souvent la chirurgie subie sur les organes du tractus gastro-intestinal et leur conséquence - la maladie adhésive. Ecoute anxieusement tes sentiments, peur panique obstruction intestinale, la personne éprouve inconfort sévère et contribue ainsi involontairement au fait que les attaques deviennent encore plus fréquentes.

Le trouble panique accompagne assez souvent d'autres affections psychopathologiques (alcoolisme, prise de certains psychotropes, syndrome dépressif).

Conditions névrotiques

Sans l'accompagnement d'une attaque de panique, où elle est également un symptôme de la maladie sous-jacente, il est difficile d'imaginer un trouble psychogène tel que névrose... Similaire troubles névrotiques survenir sur la base de diverses situations psycho-traumatiques chez les personnes douées par la nature de certaines Traits de personnalité(psychotypique). Le pire, c'est que c'est votre propre caractère qui ne vous permet pas de surmonter ces situations. Formé dans de telles circonstances conflit personnel, se manifeste par une violation de la fonction de la sphère émotionnelle-végétative-somatique.

Collecteur manifestations cliniques les névroses compliquent souvent leur différenciation entre elles et une distinction nette avec une autre pathologie similaire.

La névrose est appelée module spécifique de réponse à divers événements de la vie., mais le fait que les troubles névrotiques de toute origine s'accompagnent de la survenue d'attaques de panique ne suscite aucun doute ni chez les psychiatres ni chez les spécialistes des professions apparentées. Le syndrome psychovégétatif dans ces cas est aussi une réponse au stress et à une situation traumatisante.

Dépression

Les attaques de panique ne partent pas même si états dépressifs... Les patients comprennent que leur mauvaise humeur n'est pas une tristesse ordinaire, car "l'âme fait tellement mal" qu'elle ne leur permet pas de dormir, de manger et de vivre pleinement. Réveils précoces avec un sentiment d'anxiété déjà fort, qui sont considérés comme un signe caractéristique de dépression, de découragement, d'irritabilité ou d'apathie, de perte d'appétit et donc de perte de poids, ainsi que de nombreux autres symptômes. Le patient (il ne s'endort pas sans somnifères), ses yeux ne se dessèchent pas des larmes, son visage exprime une douleur universelle, le présent et l'avenir se voient sur des tons sombres.

Avec une dépression sans thérapie, le patient perd rapidement tout intérêt pour la vie et le travail, se concentre sur ses problèmes, « se replie sur lui-même » et admet des pensées suicidaires. Noyade attaques fréquentes des douleurs mentales accidentellement apparues avec des médicaments, de l'alcool (ce qui est encore pire) ou, à Dieu ne plaise, des drogues, le patient ne fait qu'aggraver son état. De tels phénomènes nécessitent l'intervention obligatoire de spécialistes s'ils durent plus de deux semaines. Soit dit en passant, assez curieusement, mais les patients atteints de formes sévères de dépression répondent mieux au traitement que les personnes ayant un degré léger.

Comment gérer soi-même ses crises de panique ?

Les tentatives pour se débarrasser du syndrome d'attaque de panique, de ses symptômes et de ses manifestations par eux-mêmes, donnent des résultats chez 50% des patients. Dans 20% des cas, les attaques se poursuivent occasionnellement, mais il n'y a pas de changements particuliers dans l'état des patients. Cependant, 30% des personnes atteintes peuvent développer une dépression, qui n'est pas pressée de disparaître sans traitement. Dans le même temps, les crises d'anxiété ne quittent pas non plus la personne et la visitent toujours, mais déjà en tant que symptôme d'une autre maladie.

Souvent, une personne se tourne vers un médecin alors qu'elle s'est déjà diagnostiquée avec une dépression ou une névrose, en général, ce qu'elle sait et ce dont elle a entendu parler, mais cela ne peut être fait que par un psychothérapeute spécialisé. Malheureusement, l'orientation professionnelle du médecin fait souvent fuir les patients. En plus des peurs et des angoisses paniques soudaines, le patient peut avoir peur des médecins de ce profil. Mais en vain, car d'une attaque de panique, seulement en remarquant ses symptômes, vous pouvez vous en débarrasser en prenant un traitement approprié.

L'option idéale pour commencer le traitement des attaques de panique est toujours considérée comme la consultation d'un psychothérapeute. Compte tenu du problème sur le plan psychiatrique, vous pouvez rapidement réussir, car le médecin, après avoir désigné origine psychogène troubles, prescrira une thérapie en fonction du degré de troubles émotionnels autonomes.

Thérapie sans médicaments « sérieux »

Quand tout n'est pas allé très loin, un médecin réfléchi et expérimenté dans ce domaine essaiera de se passer de l'influence de puissants psychotropes, et s'il prescrit médicaments ils appartiendront alors au groupe des tranquillisants légers et des hypnotiques légers.

Le traitement initial des formes légères de trouble panique comprend :

• Psychothérapie, capable de faire ressortir la cause des crises d'anxiété et de panique et de changer l'attitude à leur égard.
• Aider a réglementation du régime de travail et de repos, la propagande façon saine la vie, exception mauvaises habitudes, en limitant l'utilisation de café et de thé forts.
• Entraînements automatiques : autorégulation des troubles psycho-émotionnels et autonomes, suppression des émotions négatives, relaxation mentale. L'élimination des troubles paniques est obtenue grâce à des exercices spéciaux pour détendre les muscles squelettiques, exercices de respiration régulariser le rythme des contractions cardiaques et circulation sanguine vasculaire, ainsi que des formules verbales prononcées dans un ordre strict.
• traditions ayurvédiques, dont la source est le yoga indien, bien sûr, sont bonnes, mais maîtriser les connaissances dans ce domaine est un exercice difficile et chronophage, il est donc peu probable qu'il soit possible de faire face aux attaques de panique par vous-même de cette manière. Cependant, si une personne « en sait beaucoup à ce sujet », alors pourquoi ne pas l'essayer ?
• La méditation transcendantale au idées modernes capable d'aider une personne à se débarrasser des peurs paniques, des anxiétés, à surmonter la fatigue et à retrouver une nouvelle santé. Pour ce faire, il vous suffit de trouver Bon enseignant(un gourou) qui a une connaissance approfondie et sait vraiment comment aider.
• Piscine, massages et divers soins de physiothérapie.
• Acupuncture- une merveilleuse méthode de gestion des émotions négatives et des troubles autonomes : calme, détend, améliore l'humeur.
• Traitement de Spa, pour décrire les mérites de ce qui n'a guère de sens, tout est déjà clair : une telle thérapie, en fait, peut changer la vie pour le mieux pendant longtemps.
• Sédatifs légers : collection de sédatifs (valériane, menthe poivrée, trèfle, cônes de houblon), teinture d'agripaume, valériane, comprimés de valériane, adaptol, afobazol, novo-passit et autres médicaments vendus sans ordonnance.

Le critère d'efficacité du traitement adopté est une diminution de la fréquence des attaques de panique et des crises végétatives, voire leur disparition complète.

Vidéo: exercices pour arrêter une attaque d'attaques de panique

Les médicaments nécessaires seront prescrits par un médecin

Tout en maintenant un sentiment d'anxiété et de peur (après la santé et interventions thérapeutiques) le besoin de traitement plus drogues fortes devient évident, cependant, dans dans ce cas le médecin va du moins au plus :

Les psychotropes puissants aux effets antidépresseurs ne sont pas destinés à traiter les crises de panique comme un syndrome isolé, ils sont utilisés en thérapie formes sévèresétats dépressifs. Nommé, démis de ses fonctions et annulé similaire médicamentsexclusivement psychothérapeute pendant que les patients prennent des médicaments longue durée selon le schéma, désigné par le médecin... Il convient de rappeler que ces médicaments ne sont pas faciles, ils ne tolèrent pas l'auto-activité, il est donc préférable que le patient lui-même n'essaye pas de les utiliser de sa propre initiative, car ils ont beaucoup de contre-indications, de restrictions et de précautions. .

Vidéo : l'avis d'un médecin sur les crises de panique

Toute personne ayant une crise anxiété panique, essaie de se débrouiller tout seul. Ce n'est pas facile à faire. La tension interne ne permet pas au patient de comprendre ce qui se passe. La peur fait des ravages.

Les signes de panique les plus frappants sont les palpitations, les tremblements, la transpiration, les frissons. L'essence du trouble est qu'une personne ne peut pas se ressaisir immédiatement. Beaucoup de gens prétendent qu'en ce moment ils sont sur le point de mourir. Il y a des cernes dans les yeux, du bruit dans les oreilles, il n'y a pas assez d'air. Terrifiés, ils essaient de se cacher de leur état. Après quelques secondes, l'humeur panique s'en va, tout autour devient différent, il ne reste qu'un sentiment de dévastation.

Signes et symptômes

Scientifiquement, la maladie caractérisée par la panique est appelée dysfonctionnement autonome. Les termes « attaque de panique » et « trouble de panique » ont été proposés par des psychiatres américains en 1980. Ce type de névrose est encore communément appelé partout dans le monde attaque de panique.

Il n'y a pas beaucoup de gens dans le monde qui souffrent périodiquement d'attaques de panique. Les scientifiques n'en ont dénombré que 2%. Mais il y a des patients qui ont très rarement des crises. En raison des particularités de la psyché, il y a plus de femmes dans le nombre de patients souffrant de cette maladie.

Les médecins disent que la panique peut envahir une personne en toutes circonstances, au moment le plus inattendu. Souvent, les attaques d'attaques de panique trouvent des personnes pendant les périodes de célébrations et de festivités. Cela peut se produire dans un grand magasin, dans un ascenseur fermé, dans une cafétéria, dans un bus ou dans un avion. L'attaque dure de 15 minutes à une heure.

Au moment d'une augmentation de l'anxiété, qui après quelques secondes se transformera en panique, une personne éprouve :

1. Inconfort psychologique entraîné par la peur.
2. Rythme cardiaque augmenté.
3. Faiblesse.
4. Frisson.
5. Transpiration.
6. Bouche sèche.
7. Une sensation d'oppression dans la poitrine.
8. Manque d'oxygène.
9. La nausée.
10. Brûlures d'estomac.
11. Vertiges.

Tout flotte, la terre semble glisser sous nos pieds. Dans certains cas, une personne, en état de choc panique, s'évanouit. Avec l'anxiété panique, le patient éprouve un sentiment de mort imminente. Il lui semble qu'il traverse dernières minutes... Le patient a l'impression de s'obscurcir, il devient fou, suffoque d'horreur.

Les médecins n'attribuent pas les attaques de panique à désordre mental... Ce n'est pas non plus dangereux pour la vie, disent les psychiatres. La maladie, appelée névrose, survient si les rechutes sont assez fréquentes - jusqu'à 3 fois par semaine. Dans ce cas, les patients essaient d'éviter d'être dans une foule, des espaces confinés. Ils deviennent insociables et les passants qualifient le comportement de ces personnes d'étrange. Dans le contexte des troubles, différents types phobies, parmi lesquelles la peur des espaces fermés et ouverts, la peur des insectes et des serpents.

Causes d'anxiété

Les psychiatres incluent les sources suivantes d'anxiété panique :

1. Situations stressantes et stress mental associé.
2. Mauvaise façon de penser (crainte infondée que quelque chose soit sur le point de se produire).
3. Abus d'alcool, de drogues, de diverses boissons énergisantes - stimulants d'activité.
4. Ajournement de l'introspection, manque d'habitude de comprendre ce qui s'est passé, d'en déduire des chaînes logiques.
5. Manque chronique de sommeil.

La plupart des patients n'essaient même pas de gérer le sentiment d'anxiété qui s'est manifesté. D'autres ne voient pas l'intérêt de demander l'aide d'un médecin. La honte et la culpabilité injustifiée leur font souffrir de crises et de détresse.

Méthodes pour faire face à une attaque de panique

La névrose de panique peut être traitée avec succès, mais pour cela, vous devez être patient. Cela prendra plus d'un mois, et peut-être quelques années. Il est possible de se débarrasser soi-même des crises de panique si, au fil du temps, les médecins gardent le patient sous contrôle et qu'il apprend lui-même à gérer le stress, l'anxiété et d'autres manifestations de la maladie.

Pour être pleinement armé, une personne elle-même doit étudier tous ses signes avant-coureurs d'anxiété, caractéristiques d'une situation particulière. Prévenu est prévenu ! Lorsque les symptômes apparaissent, il est conseillé de vous assurer que le psychisme est prêt à toute tournure des événements et réactions. La tranquillité d'esprit doit être au premier plan.

Vous devez commencer le combat en régulant votre respiration. Il est conseillé de le contrôler tout au long de l'attaque. Prenez une courte respiration, puis peu de retard l'air dans les poumons et expirez doucement.

La pensée de sa retraite précoce aidera à faire face à une attaque de panique. Une personne qui s'est mise à l'écoute pour vaincre la maladie est sûre qu'elle reculera très rapidement. Cela vaut la peine de se détendre physiquement et mentalement.

Vous pouvez surmonter la peur à l'aide d'un contrôle total de votre comportement. Si cela ne fonctionne pas, il devrait toujours y avoir une instruction à portée de main avec une liste de règles de conduite lors du début d'une attaque :

1. Se concentrer sur.
2. Respirer.
3. Calmer.
4. Compte jusqu'à 10.
5. Se dire les réglages : "C'est en sécurité autour", "Tout va bien", etc.
6. Pensez à quelque chose de drôle ou de très agréable.

Peu importe comment gérer une attaque par vous-même, l'essentiel est de vaincre la panique. Il est déconseillé de se soigner soi-même lorsqu'il s'agit d'utiliser des médicaments spécialisés.

Le patient essaie d'éviter les situations dans lesquelles il peut tomber dans un état de panique. Mais cela ne vaut pas la peine de le faire.

D'un point de vue psychologique, vous devez essayer de ressentir l'émotion associée à un événement négatif, jusqu'à ce que la psyché commence à tout accepter tel qu'il est.

Les scientifiques sont convaincus que le principe de « dépendance » est déclenché dans ce cas, c'est-à-dire une personne s'habitue à l'idée qu'il ne se passe rien de spécial.

Au fil du temps, une personne comprendra qu'elle doit consulter un médecin. Il attendra également de l'aide de ses proches. Ils doivent être patients et apporter un soutien complet au patient.

Possibilités de médecine

Le traitement des patients atteints de dysfonctionnement autonome est effectué par des psychiatres à l'aide de médicaments et techniques psychologiques... Les médicaments, qui sont prescrits exclusivement selon une prescription stricte, soulagent l'état du patient. A l'accueil du psychothérapeute, vous devrez raconter tout ce qui dérange la personne, même s'il semble que certains points ne soient pas pertinents.

Dès que le patient commence à ressentir des sensations suspectes conduisant à un état de panique, il vaut la peine de consulter immédiatement un médecin. Le traitement doit être débuté sous la stricte surveillance d'un spécialiste le plus tôt possible. Si tout est fait correctement et en suivant les recommandations du médecin, paniquez et anxiété ne reviendra pas, et avec un stress mineur, une personne apprendra à se débrouiller toute seule.

Dans le cas où la thérapie est effectuée de manière incorrecte, le patient souffrira encore plus. La mauvaise intervention dans la conscience et les mauvais médicaments peuvent laisser une empreinte pour le reste de votre vie.

Il est nécessaire d'effectuer le traitement dans les cours. Les médecins ne recommandent pas de prendre la pilule en continu. Certains psychotropes sont connus pour être addictifs. Pour éviter cela, vous devez être sous surveillance médicale constante.

Il ne vaut pas la peine d'arrêter brusquement de prendre des médicaments ou de passer à de nouveaux médicaments. Un organisme non reconstruit est capable de réagir de la manière la plus défavorable. Des nausées peuvent commencer, des vomissements peuvent s'ouvrir. Les traits caractéristiques les réactions indésirables deviennent : insomnie, vertiges, maux de tête. Les attaques de peur reviennent souvent.

Les erreurs que font les alarmistes

Les gens qui souffrent attaques soudaines alarmisme avec toutes les conséquences qui en découlent, commencent souvent à prendre de l'alcool. Ils motivent leur action avec la possibilité de se détendre, de s'éloigner des problèmes urgents. Mais l'alcool ne peut qu'aggraver la situation et transformer de rares attaques en un cycle constant de panique.

Ne prenez pas d'alcool pendant le traitement. Tous les psychotropes sont contre-indiqués pour la consommation d'alcool en toute quantité, même en quantité insuffisante.

Une autre erreur des personnes qui souffrent périodiquement de signes de dysfonctionnement autonome est de refuser de consulter des spécialistes. L'état peut s'aggraver et amener les patients au suicide, disent les psychothérapeutes.

Vous ne devez pas vous attribuer sédatifs qui sont vendus librement en pharmacie. Un soulagement temporaire viendra, mais dans le cas d'une maladie évolutive, l'utilisation d'agripaume ou de teinture de valériane ne conduira pas à la guérison. Ne prenez pas non plus de médicaments pour le cœur.

Il est catégoriquement contre-indiqué de se diagnostiquer soi-même. Cela ne peut être fait que par un médecin qui non seulement interroge le patient, mais l'examine de manière approfondie. Parmi erreurs fréquentes et le désir de commencer une thérapie indépendante sur les conseils d'amis à qui le médecin a prescrit des médicaments. Tout est individuel. Chaque cas doit être examiné séparément par un médecin.

Conclusion

La dépendance d'une personne à la réaction à un état de stress, la panique est le domaine d'activité des médecins qualifiés. Vous ne devez pas combattre la maladie seul, mais vous pouvez y faire face, et plus tard par vous-même. Si le traitement nécessaire est terminé, vous pouvez dire adieu à la maladie pour toujours.

Parmi les principes et les règles qui doivent être adoptés par les patients, il y a la capacité de se concentrer, de contrôler la respiration au début d'une attaque, de compter jusqu'à 10, de se dire que tout va bien, que rien de grave ne se passe.

Le stress devenu un compagnon familier Vie moderne, s'est retrouvé hommes de main insidieux - attaques de panique. Ils peuvent vous dépasser partout - à la maison, lors d'une réunion importante, dans transport public... Et bien que les sensations dans une telle situation soient, pour le moins, inconfortables, tout le monde peut faire face à une attaque. L'essentiel est de ne pas le laisser prendre le dessus. le site vous dévoilera les secrets pour se débarrasser efficacement et le plus rapidement possible d'une attaque de panique.

Que sont les attaques de panique

Crises de panique- ce n'est pas fatal, mais très, très désagréable. Une personne est soudainement possédée par un sentiment de terrible, accompagné d'une peur de l'anxiété - un sentiment inexplicable et particulièrement douloureux. Combiné avec divers symptômes somatiques ces sensations pour une personne deviennent tout simplement insupportables, et si vous ne les réprimez pas au tout début, alors les choses peuvent même aboutir à l'apparition de phobies. Pour éviter que cela ne se produise, il est important d'apprendre à gérer les crises.

Les attaques de panique ne sont rien de plus qu'une réaction du corps à une défaillance de la communication du cerveau avec le corps. Ce malentendu, comme tout autre, peut être résolu en maîtrisant des secrets simples.

Avant de commencer un combat, cela vaut la peine d'étudier l'ennemi. Que sont les attaques de panique ? Il s'agit d'une crise qui dure de quelques minutes à plusieurs heures avec un sentiment d'anxiété et de peur intense. Pour faire simple : il s'agit d'un dysfonctionnement du système cérébral, qui se traduit par une sorte de fausse alerte avec libération d'adrénaline, ce qui met l'organisme en état d'alerte. Le corps réagit immédiatement au danger potentiel :

• rythme cardiaque et respiration s'accélèrent,
• la transpiration augmente,
• la pression artérielle augmente,
• des nausées apparaissent,
• tourmenté par l'insomnie.

Les problèmes respiratoires peuvent provoquer des étouffements, des étourdissements, des engourdissements dans les membres, voire des évanouissements. C'est là que la peur apparaît - un allié d'une attaque de panique. Il peut sembler à une personne qu'il devient fou, il a maladie incurable et il meurt. Naturellement, il commence à faire défiler toutes les options et l'anxiété s'accumule comme une boule de neige. Pour éviter que cela ne se produise, il est important d'arrêter l'attaque de panique au tout début - au stade de la montée d'adrénaline, en ne permettant pas à la boule de neige de se transformer en une avalanche pouvant vous couvrir la tête.

Alors c'est arrivé ! Il ne faut pas hésiter, mais il ne faut pas non plus s'embêter. Lisez ces conseils simples, et, peut-être, vous pourrez éteindre l'attaque de cette maladie.

1. Respirer. Respirez lentement dans un sac en papier (comme le font souvent les héros de films américains) ou avec vos paumes sur votre bouche pour rétablir le rythme de la respiration.
2. Buvez. Mais pas enivrant, bien au contraire : à petites gorgées eau froide(100-150 ml).
3. Lavage. L'eau fraîche vous amène à vos sens. Rincez-vous le visage en imaginant les causes de l'attaque de panique en train d'être emportées. Si vous avez une canette d'eau thermale, utilisez-la.
4. Parler. Entre amis, en famille au téléphone, avec des interlocuteurs virtuels sur le réseau, avec un agenda ou avec un compagnon de voyage au hasard, si vous êtes en difficulté, par exemple, dans le métro. Parlez de quelque chose d'agréable, d'excitant pour vous. S'il n'y a personne ou si vous ne voulez pas parler à des étrangers, parlez à... vous-même. Parlez, et à haute voix (si vous êtes à la maison), tout ce que vous faites. Trouvez pour vous-même, votre bien-aimé, des mots d'encouragement et de réconfort.
5. Loin. Réalisez que vos émotions sont de courte durée et vont bientôt s'évaporer. Alors laissez aller vos pensées et adoptez la position d'un observateur passif.

N'oubliez pas qu'une attaque de panique n'est pas un adversaire en match à mort. Par conséquent, ne vous engagez pas dans la bataille, ne vous disputez pas avec lui, sinon le niveau d'adrénaline augmentera, l'anxiété augmentera. "Reculez" mentalement et observez de côté comment ses pouvoirs s'épuisent.

1. Chanter. Si vous n'êtes pas dans lieu public, faites glisser une chanson amusante, en vous concentrant sur son contenu et en visualisant mentalement une séquence vidéo pour les mots.
2. Empruntez vos mains. Frottez vos paumes jusqu'à ce que vous sentiez de la chaleur en elles, rappelez-vous d'un extenseur ou d'un simple balle de caoutchouc, serrer la main.
3. Détendez votre corps. Idéalement, allongez-vous et jouez de la musique calme. Imaginez que vous êtes une plume qui flotte au-dessus d'une prairie fleurie respirant la paix.

1. Résoudre des problèmes. Peu importe lesquels : se souvenir d'un théorème, résoudre une grille de mots croisés, tracer un nouvel itinéraire pour se rendre au travail, jouer à un jeu téléchargé sur son téléphone, décrire sur une langue étrangère tout ce que vous voyez devant vous ... L'essentiel est de faire passer votre cerveau d'une attaque de panique à la résolution d'un problème.
2. Caressez la fourrure d'un chaton, d'un toutou, d'un hamster. Parlez à votre animal de compagnie. Si vous avez un aquarium à la maison, tant mieux ! Observez les mouvements fluides des poissons et dites-leur à quel point ils sont beaux, à quel point vous avez de la chance d'avoir des amis aussi silencieux.
3. Mâcher. Par exemple, chewing-gum... C'est bon si c'est du menthol.
4. Devenez un patron. Lorsque la peur commence à s'éloigner petit à petit, dites-vous : « Ici, je décide de tout, parce que c'est moi qui dirige. J'ai fermé le robinet d'adrénaline, alors calme-toi, mon corps ! Vous êtes en mon pouvoir. Et je vais bien!".

Averti est prévenu. Nous espérons que les conseils du site vous aideront à étouffer dans l'œuf un monstre appelé attaque de panique. Cependant, une visite chez le médecin sera très bénéfique!