A partir du moment de la naissance, on montre que le bébé est vacciné. Certaines vaccinations sont effectuées de manière complexe, de sorte que le DTC et la polio sont administrés au bébé en même temps. Mais il arrive aussi que bébé arrive calendrier de vaccination distinct. Les experts notent que si ces vaccinations sont effectuées ensemble, alors le corps des enfants obtenir une immunité plus rapidement. À médecine moderne des préparations complexes sont utilisées (Pentaxim, Infanrix Hexa, etc.) ou le vaccin est administré avec deux vaccins différents (Infanrix + Imovax).

En ce qui concerne la vaccination conjointe, le pédiatre doit avertir les parents que le fardeau des vaccinations sera élevé, surtout s'ils sont administrés en même temps. Par conséquent, chacun doit décider par lui-même s'il faut vacciner progressivement ou utiliser des préparations complexes.

Ce vaccin aide à développer une immunité contre la coqueluche, la diphtérie et le tétanos. Chacune de ces maladies a son propre danger:

1. Diphtérie. Cette maladie provient d'une infection qui pénètre dans l'organisme par Compagnies aériennes. Un enfant malade s'empoisonne avec des toxines, il développe une pathologie du système nerveux et du système cardio-vasculaire et les reins sont également gravement touchés. Cette maladie se transmet par des gouttelettes en suspension dans l'air.
2. Tétanos. Cela affecte le système nerveux et si l'aide n'est pas fournie en temps opportun, cela entraînera un arrêt respiratoire et cardiaque. L'infection peut être transmise par contact avec blessure ouverte. Les micro-organismes pathogènes vivent dans la terre et le sable, il est donc important que les parents contrôlent que leur enfant ne touche à rien dans ce cas, les mains des enfants doivent être soigneusement lavées avec du savon, de préférence du savon ménager. Le groupe à risque est composé d'enfants constamment blessés. Statistiquement, des épidémies de tétanos ont été observées dans des zones où des catastrophes ou des urgences récentes se sont produites.
3. Coqueluche. Cette maladie est provoquée par une infection dans le corps de l'enfant. Au début, l'enfant commence à tousser de façon rauque, mais avec la progression de la maladie (qui arrive très rapidement), un spasme est possible système respiratoire, à cause de quoi le bébé arrête simplement de respirer. La coqueluche peut être transmise par voie aérienne. Si l'enfant a eu cette maladie, alors, malheureusement, l'immunité n'est toujours pas formée, mais avec une infection répétée, l'évolution de la maladie sera un peu plus facile.

Les trois maladies menacent la vie de l'enfant, c'est pourquoi les médecins recommandent toujours fortement de se faire vacciner avec le DTC afin de s'en assurer. Bien sûr, dans une vie, une personne peut ne pas rencontrer de tels maux, mais ayant une immunité vaccinée, il sera plus sûr de vivre.

Le vaccin adsorbé coqueluche-diphtérie-tétanos est administré en 4 temps. Une telle vaccination se fait par voie intramusculaire par injection. La première vaccination est effectuée à 3 mois, la seconde - à 4-5 mois, la troisième vaccination - à six mois, la quatrième - à 1,5 ans. Si vous passez par les 4 étapes, le bébé recevra une immunité fiable contre la coqueluche, la diphtérie et le tétanos.

Lorsque le bébé grandit, il doit être revacciné. Cela aide à maintenir le système immunitaire à la hauteur. L'âge des revaccinations est de 7 à 14 ans, et il est important de savoir quelle a été la réaction à la revaccination.

Une nouvelle revaccination est répétée tous les 10 ans. Il arrive que le bébé dans l'enfance ait bien toléré le vaccin, mais dans adolescence il y a eu une réaction à la vaccination. Et encore une fois, il vaut la peine d'examiner l'ampleur de ces manifestations afin de fournir une assistance en temps opportun.

Les vaccinations ne se font pas par hasard. Le fait est que chaque vaccin peut provoquer une réaction indésirable ou des complications. Pour éviter une telle situation, vous devez savoir qu'il est strictement interdit de vacciner dans les conditions suivantes du bébé:

1. Si l'enfant est malade ou vient d'avoir une maladie respiratoire aiguë. Le vaccin est administré au plus tôt une semaine après la guérison du bébé.
2. La présence de réactions allergiques aux composants constitutifs du vaccin.
3. L'immunodéficience est également une contre-indication aux vaccinations.
4. Le DPT est interdit si le bébé a des antécédents de pathologie système nerveux pendant qu'ils progressent.
5. Présence de convulsions.
6. Les néoplasmes de nature maligne ne permettent pas une telle vaccination.

Si les parents négligent l'un de ces moments et que le médecin néglige l'état de l'enfant, le vaccin peut se transformer en une réaction extrêmement désagréable, voire la mort. Habituellement, la composante coqueluche est exclue du vaccin afin de ne pas aggraver l'état de l'enfant. La prise de tout médicament doit être convenue avec le médecin, car l'interaction de diverses substances peut provoquer une réaction négative du corps.

Le DTC, la poliomyélite et l'hépatite, comme les autres vaccins, ont leurs propres effets secondaires potentiels. S'ils se manifestent par une réaction "légère", c'est alors un signal que le corps entame sa restructuration, ce qui signifie que vous ne devez pas vous inquiéter. Mais en même temps, lorsque les effets secondaires ne se manifestent d'aucune façon, vous ne devriez pas non plus vous inquiéter. Cela signifie que l'enfant prend bien le vaccin.

À l'endroit où l'injection a été faite, la peau peut légèrement rougir et gonfler, et au toucher une telle zone du corps devient un peu plus dense. Le DTP a souvent les effets secondaires suivants :

• la température corporelle peut augmenter (pas plus de 38-38,5 ° C);
• l'enfant peut se sentir mal, jusqu'à vomir;
• la diarrhée apparaît;
• en raison de l'irritabilité, l'enfant peut commencer à refuser de manger;
• le rythme du sommeil est perturbé, tandis qu'à l'état de veille, on observe une léthargie,
• apathie et somnolence.

De telles manifestations ne sont considérées comme normales que si elles ne durent pas plus de 2 à 3 jours après la vaccination. Mais si une telle réaction dure plus longtemps et que l'état s'aggrave progressivement, il est alors nécessaire de prendre des mesures urgentes: allez chez le pédiatre ou appelez une ambulance. La rapidité avec laquelle les parents réagissent déterminera les conséquences que le vaccin aura sur l'enfant.

Les complications après DTC peuvent se manifester par une réaction allergique ordinaire (urticaire) et un choc anaphylactique. Cette situation peut être provoquée par plusieurs points :

• l'enfant n'a pas été correctement préparé pour la vaccination;
• le vaccin est périmé ;
• le vaccin n'a pas été correctement stocké ;
• la quantité de substances de ballast dans la préparation est supérieure ou inférieure à ce qu'elle devrait être ;
• intolérance individuelle aux composants actifs;
• caractéristiques du corps de l'enfant.

En pédiatrie moderne, les vaccins DTC et polio sont administrés ensemble. Mais s'il y a des contre-indications, la vaccination peut être divisée en deux doses différentes. Dans ce cas, les types de médicaments suivants peuvent être utilisés:

1. Vaccin inactivé - Imovax polio et Poliorix. Le premier outil est produit par la Belgique, il comprend 3 types de poliovirus inactivés. Usage ce médicament fournit un effet doux sur le corps des enfants, il peut donc être utilisé pour la catégorie d'âge la plus jeune. Il se marie bien avec d'autres médicaments, sans donner presque aucune réaction indésirable. Poliorix est un remède français qui, dans son action et sa composition, est similaire au premier.
2. Complexe. Les plus populaires en médecine sont Pentaxim, Infanrix Hexa et Tetrakok. D'abord et derniers préparatifs produit par la France et l'autre par la Belgique. Pentaxim et Tetrakok sont considérés comme sûrs, car ils ont un effet complexe, alors qu'ils ne contiennent pas de conservateurs. Quant à Infanrix Hex, il existe un composant coquelucheux sous la forme de 2 antigènes, c'est pourquoi ces vaccinations infantiles peuvent se manifester comme un effet indésirable.
3. vaccin vivant. Malgré le fait que les médicaments importés sont plus souvent utilisés, une telle vaccination est également applicable. Il contient 3 souches du virus et du chlorure de magnésium, qui est un stabilisant.

Que faire exactement de l'enfant, chaque parent doit décider par lui-même. Mais sans consulter un médecin, insister sur tel ou tel médicament n'en vaut pas la peine, car le spécialiste est plus compétent en la matière, ce qui signifie qu'il sait mieux ce qui convient exactement dans un cas particulier.

Concernant effets indésirables, puis après avoir été vacciné, l'enfant peut rencontrer les conditions suivantes :

• le bébé devient excitable, irritable et nerveux;
• rougeur locale de la peau;
• légère augmentation de la température (jusqu'à 38,5°C).

Maman doit se rappeler que le vaccin contre la poliomyélite ne ressemble pas à une injection, mais à des gouttes qui sont enfouies dans la bouche du bébé. Par conséquent, après une telle procédure, l'enfant ne doit ni boire ni manger pendant 2 à 3 heures supplémentaires.

La réponse à la poliomyélite peut varier d'un enfant à l'autre, car chaque organisme est différent, sans compter que différents médicaments peuvent être utilisés.

Préparation à l'introduction du vaccin

Il a déjà été noté ci-dessus qu'une réaction chez un enfant peut être observée si le bébé n'a pas été correctement préparé. Pour protéger l'enfant et en même temps augmenter l'efficacité du médicament, vous devez vous rappeler les points suivants:

1. Avant et après la vaccination, l'enfant doit être dans une pièce où il n'y a pas de personnes malades. Le fait est que quelques jours après la vaccination, le système immunitaire sera affaibli, ce qui signifie qu'il est beaucoup plus facile d'attraper n'importe quelle maladie.
2. Avant de vous rendre dans la salle d'injection, placez-vous à coup sûr consulter un pédiatre. Même une légère toux ou morve peut être une contre-indication à la vaccination. Cela ne peut être fait que si le bébé est en parfaite santé et qu'au moins une semaine s'est écoulée depuis la dernière maladie.
3. Si l'enfant est allergique ou souffre de maladies chroniques, on ne peut pas se passer de consulter un spécialiste. Un tel médecin, en fonction de l'état de l'enfant, établira un calendrier de vaccination individuel.
4. Les parents négligent souvent de faire des analyses de sang et d'urine. Mais cette procédure aidera à identifier problèmes potentiels avec vaccination.
5. Si le DTC, la poliomyélite, l'hépatite ou un autre vaccin est administré à un enfant qui vient de passer à des aliments complémentaires, alors 3-4 jours avant le moment «X», le bébé ne reçoit plus de nouveaux produits. Utilisez l'ancien menu.

Les vaccins vivants sont considérés comme plus sévères, ils ne sont donc pas donnés à tout le monde, préférant les médicaments inactivés.

Au début, les parents doivent être très attentifs à la condition de leur enfant.

Si la température dépasse 38,5 °C, que l'enfant vomit, qu'il a un gonflement du visage, des membres ou des problèmes respiratoires, il est urgent d'appeler une ambulance afin d'éviter le développement d'un choc anaphylactique.

Enfant après vaccination (Foire aux questions)

Merci

À ce jour vaccins sont utilisés pour lutter contre les maladies infectieuses graves dans tous les pays développés. La vaccination vous permet de développer une immunité contre la maladie, à la suite de quoi une personne devient immunisée contre cette infection. Malheureusement, il est impossible de créer une immunité contre plusieurs infections dangereuses en même temps, c'est-à-dire avec le même vaccin. Par conséquent, afin de développer une immunité à chaque maladie spécifique il est nécessaire de faire une vaccination spéciale dirigée contre une pathologie spécifique.

La liste des infections mortelles pour l'homme est très longue, mais les vaccinations ne sont faites que contre un nombre limité de maladies répandues dans une zone particulière. Par exemple, les personnes vivant dans des climats tempérés n'ont pas besoin d'être vaccinées contre fièvre jaune, qui n'est courant que dans les climats chauds et tropicaux.

Beaucoup de gens pensent que les Russes n'ont pas besoin d'être vaccinés contre la variole, qui est également très rare dans notre pays, situé dans une région plutôt froide zone climatique. Cependant, il s'agit d'une opinion erronée, car c'est sur le territoire de la Russie que se trouvent les plus grands réservoirs naturels de variole noire et d'anthrax au monde, situés dans Sibérie orientale. Les agents responsables de ces infections extrêmement dangereuses peuvent survivre très longtemps dans des conditions défavorables - les spores vivent jusqu'à cent ans. Par conséquent, dès qu'un microbe pénètre dans un "organisme non vacciné", il provoque maladie mortelle. L'infection est très contagieuse, le risque d'épidémie est donc énorme.

Le principe de la formation de l'immunité aux infections après la vaccination

Lorsqu'une personne est vaccinée contre une maladie, des particules ou des microbes entiers lui sont introduits - les agents responsables de cette infection, qui sont dans un état affaibli. Un agent pathogène microbien faible provoque une infection qui se produit très facilement. À la suite de l'inflammation, des anticorps spécifiques sont produits, capables de détruire ce microbe particulier. Le corps commence alors à produire des cellules mémoires qui vont circuler dans le sang pendant un certain temps dont la durée dépend du type d'infection. Les cellules mémoire contre certaines infections durent toute une vie, d'autres seulement quelques années. En conséquence, lorsqu'un agent microbien causal pénètre dans l'organisme greffé, les cellules mémoire le reconnaissent immédiatement et le détruisent - en conséquence, la personne ne tombe pas malade.

Étant donné que l'introduction du vaccin provoque une légère inflammation, le développement de diverses réactions du corps est naturel. Considérer diverses réactions sur les vaccinations, leur durée, leur gravité, et aussi dans quels cas elles deviennent des signes de troubles, ce qui nécessite une assistance médicale qualifiée.

Vaccinations pour les enfants après un an - calendrier

Les enfants âgés de un à 14 ans reçoivent les mêmes vaccins que les enfants de moins d'un an. Cette procédure est appelée revaccination. Il est nécessaire de développer une forte immunité contre les infections pendant une longue période. Le ministère de la Santé a approuvé le calendrier de vaccination suivant pour les enfants à partir de 1 an qui se trouvent en Russie :
1. 12 mois– Vaccinations contre la rougeole, la rubéole et les oreillons. La quatrième vaccination est contre l'hépatite B, si elle est effectuée selon le schéma 0 - 1 - 2 - 12 (le premier vaccin à la maternité, le deuxième - à 1 mois, le troisième - à 2 mois, le quatrième - à 12 mois).
2. 1,5 ans- Réintroduction du vaccin DTC (contre la coqueluche, la diphtérie et le tétanos) et les revaccinations contre la poliomyélite et Haemophilus influenzae.
3. 20 mois le troisième vaccin contre la poliomyélite.
4. 6 ans- deuxième vaccination contre la rougeole, la rubéole et les oreillons.
5. 6–7 ans – revaccination contre la diphtérie et le tétanos (ADS).
6. 7 ans- revaccination contre la tuberculose.
7. 14 ans- la troisième vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose.

Les enfants qui n'ont pas encore été vaccinés contre l'hépatite B peuvent commencer vaccinationà tout moment après avoir atteint l'âge de 1 an. Une vaccination annuelle contre la grippe est également disponible sur demande. De l'âge de 1 an à 18 ans, une vaccination contre la rubéole doit être effectuée, ce qui peut nuire à la capacité de concevoir chez les filles.

Comment se comporter immédiatement après une injection ?

Une fois l'enfant vacciné, habillez soigneusement le bébé. Si vous avez des questions, assurez-vous de demander à votre médecin ou infirmière et obtenir une réponse. Mémorisez ou notez toutes les recommandations sur la façon de se comporter à la maison avec votre enfant.

Après la vaccination, restez dans le bâtiment de l'établissement où l'injection a été administrée pendant au moins 20 à 30 minutes. Ceci est nécessaire pour savoir si une forte réaction allergique pour la vaccination. Si une telle réaction commence à se développer, l'enfant recevra immédiatement besoin d'aide, qui consiste à administration intraveineuse un certain nombre de médicaments.

Préparez à l'avance le jouet ou le traitement préféré de votre enfant et donnez-le-lui après avoir quitté la salle d'injection. Pour certains bébés, le sein aide à se calmer si la mère a du lait.

Comportement de l'enfant après la vaccination

Étant donné que le vaccin provoque une légère réponse immunitaire dans le corps de l'enfant, il peut s'inquiéter de :

• légers maux de tête;
• la faiblesse;
• malaise;
• augmentation de la température ;
• indigestion, etc...

De plus, la vaccination est un peu stressante pour la plupart des enfants, qui sont mal à l'aise avec les injections. Par conséquent, le comportement de l'enfant après la procédure peut changer. Les comportements les plus courants chez les enfants sont :

• l'enfant est méchant;
• pleurs ou cris prolongés;
• anxiété;
• manque de sommeil;
• refus de nourriture.

L'enfant est méchant. C'est une réaction tout à fait naturelle en réponse au malaise et au stress de l'injection. De plus, si un enfant ressent de légers symptômes désagréables, il ne comprend pas ce qui se passe, d'où cela vient - il est donc méchant.

L'enfant crie ou pleure. Ce phénomène est assez courant, surtout immédiatement après l'injection. Si l'enfant pleure ou crie longtemps, donnez-lui un médicament anti-inflammatoire et analgésique (par exemple, Nurofen). Prenez-le dans vos bras, secouez-le, parlez-lui doucement, calmez-le de toutes les manières possibles - cela portera ses fruits. Les pleurs et les pleurs peuvent également être dus à une augmentation de la pression intracrânienne, conséquence d'un traumatisme à la naissance.

Souvent, un enfant développe des coliques après la vaccination et l'alimentation, ou il est tourmenté par le gaziki. Donnez au bébé Espumizan ou effectuez d'autres manipulations qui aident à faire face à ces phénomènes. Des cris ou des pleurs prolongés pendant plus de trois heures d'affilée indiquent que vous devez consulter un médecin.

Enfant agité. C'est aussi une réaction naturelle à l'introduction d'un vaccin, au stress, à la visite d'une polyclinique où il y a beaucoup de monde, à un environnement inconnu, etc. De plus, les enfants sont extrêmement sensibles à l'excitation de leurs parents, ce qui peut entraîner de l'anxiété. Par conséquent, avant la vaccination, essayez de vous calmer, ne vous inquiétez pas et ne le montrez pas à l'enfant.

L'enfant ne dort pas. Le manque de sommeil d'un bébé après la vaccination peut également être dû à une combinaison de deux types de facteurs : une forte excitation due au stress ressenti et un léger malaise qui n'apparaît même pas extérieurement. L'anxiété des parents est également transmise au bébé, il commence à devenir nerveux et ne peut pas s'endormir. La douleur pendant l'injection peut rester dans l'esprit de l'enfant même quand elle est terminée. Essayez d'influencer les méthodes de psychothérapie - calmez l'enfant, donnez une vitamine sous le couvert d'un anesthésique, etc.

L'augmentation de la température peut survenir 3 heures après la vaccination et durer jusqu'à trois jours. Certains enfants présentent des dommages mineurs au système nerveux central, ce qui entraîne le développement de convulsions lorsque la température augmente. Ce phénomène n'est pas à craindre. Au contraire, la vaccination suivie d'une élévation de la température a permis de révéler les séquelles d'un traumatisme à la naissance, qui nécessitent une correction par un neuropathologiste. Après la chute de la température, assurez-vous de consulter un neurologue et de suivre un traitement.

Si votre enfant est sujet à des convulsions en réponse à une élévation de température, alors pour lui le seuil de sécurité pour la fièvre est au maximum de 37,5 o C. Pour les enfants qui n'ont pas tendance aux crampes, le seuil de sécurité pour l'augmentation de la température est de 38,5 oC.

Ainsi, lorsque la température augmente après la vaccination, ne la baissez pas si elle est inférieure à un seuil de sécurité. Si la température augmente fortement (au-dessus du seuil de sécurité), donnez à l'enfant un antipyrétique à base de paracétamol, ou insérez un suppositoire dans le rectum. N'utilisez jamais d'aspirine (acide acétylsalicylique). Pour soulager l'état de l'enfant après la vaccination dans le contexte d'une augmentation de la température, vous pouvez l'essuyer légèrement avec un chiffon imbibé de eau chaude(jamais froid). Ne nourrissez pas l'enfant abondamment, donnez-lui plus de boissons chaudes. N'essayez pas de l'envelopper - au contraire, habillez-vous légèrement, couvrez-le de couvertures ou de draps amples.

Démangeaison de la peau

Une éruption cutanée après la vaccination ne peut se développer que sur la zone du corps près du site d'injection ou sur toute la surface. Certains enfants peuvent développer une éruption cutanée en réaction au vaccin. Il disparaît généralement de lui-même en 2-3 jours. traitement supplémentaire. Cependant, si l'enfant est sujet aux allergies, il est préférable de consulter un médecin qui déterminera si l'éruption est causée par une crise d'allergie ou un vaccin.

Souvent, une éruption cutanée après la vaccination est causée par des erreurs alimentaires. Cela est dû au fait que l'enfant mange de force, que ses intestins fonctionnent mal et que tout allergène alimentaire peut entraîner le développement d'une éruption cutanée. À un tel potentiel produits dangereux comprennent les œufs, les fraises, les agrumes, la levure, etc.

Pour arrêter le développement d'une éruption cutanée, il est recommandé de prendre des antihistaminiques après la vaccination - Suprastin, Zirtek, Erius, Telfast, etc. Tous ces médicaments sont efficaces, mais Suprastin est un médicament de première génération qui a un effet secondaire sous forme de somnolence. De nombreux parents le considèrent obsolète et inefficace, mais c'est lui qui est le plus puissant pour supprimer les allergies, et son inconvénient est la présence d'effets indésirables.

Diarrhée après vaccination

Le tractus gastro-intestinal de l'enfant est très sensible et instable, de sorte que le vaccin peut provoquer des troubles digestifs. Cela est dû à deux raisons :
1. Le vaccin contient des microbes qui peuvent affecter la muqueuse intestinale. Si l'enfant avait des problèmes digestifs avant l'injection (par exemple, ballonnements, coliques ou constipation), les intestins sont affaiblis et le vaccin peut provoquer une diarrhée.
2. Les parents ont trop nourri l'enfant, contre son gré, ou avec des aliments qui ont provoqué une indigestion.

Si la diarrhée peut être arrêtée en prenant Baktisubtil et ses analogues, ne vous inquiétez pas. Si la couleur des matières fécales est devenue verte, ou si un mélange de sang est apparu, ou si la diarrhée ne peut pas être arrêtée en un jour, vous devriez consulter un médecin.

Toux chez un enfant après la vaccination

Les enfants de moins de 7 ans toussent en moyenne 20 à 30 fois par jour, et ce n'est pas une pathologie. Un enfant a besoin de tousser pour éliminer la poussière et les autres particules qui pénètrent dans les voies respiratoires (bronches, trachée) pendant la respiration. La vaccination peut activer légèrement ce processus en augmentant réflexe de toux. Surveillez le bébé: si la toux s'intensifie, d'autres signes de rhume apparaissent - alors seulement commencez le traitement.

Nez qui coule après la vaccination

La vaccination provoque l'activation de l'immunité, par conséquent, si l'enfant avait un foyer d'infection dans les voies nasales, une production rapide et accrue de mucus est possible, qui commencera à sortir sous la forme d'un nez qui coule. Ne paniquez pas - il est préférable de faciliter la libération de mucus des voies nasales à l'aide d'inhalations. N'utilisez pas de gouttes nasales pendant la journée - utilisez-les uniquement la nuit pour donner à votre enfant une bonne nuit de sommeil.

Vomir

Les vomissements après la vaccination ne peuvent être qu'une fois par jour. Si un enfant développe des vomissements quelques jours après la vaccination, il est nécessaire de consulter un médecin, car dans ce cas, cela peut être le signe d'une maladie complètement différente, non liée à la vaccination.

Est-il possible de baigner un enfant après la vaccination ?

L'enfant peut être baigné, à condition qu'il se sente bien et qu'il n'ait pas de température. Vous ne pouvez pas baigner l'enfant uniquement après le test de Mantoux, jusqu'au moment où ses résultats sont fixés. Toute autre vaccination n'est pas une contre-indication. Si le bébé a une réaction au site d'injection, n'ayez pas peur de l'acheter. L'eau, au contraire, apaisera la peau irritée, aidera à réduire les rougeurs et les gonflements dans la zone d'injection.

N'oubliez pas que lorsque vous décidez de vous laver, vous devez vous concentrer sur l'état de l'enfant. bonne santé et l'absence de réaction à la vaccination sous forme de température signifie que la baignade ne sera pas dangereuse.

Comment se baigner ?

Contrairement à la croyance populaire, le site d'injection peut être mouillé - c'est-à-dire que l'enfant peut être baigné en toute sécurité. Il est impossible de mouiller uniquement le test de Mantoux tant que les résultats ne sont pas fixés. Une fois le vaccin administré, ramenez le bébé à la maison et surveillez son état. Le même jour, il n'est pas souhaitable de le baigner, car le système immunitaire travaille dur dans le corps. Même s'il n'y a pas de température et que le bébé se sent bien, évitez le fardeau supplémentaire du lavage. Se baigner le jour de la vaccination peut légèrement affaiblir le système immunitaire, comme s'il le distrayait, ce qui provoquerait une réponse accrue au vaccin.

Partant de le prochain jour après la vaccination, si l'enfant se sent bien et n'a pas de température, il peut être baigné selon le régime habituel. Si la température augmente après la procédure, reportez le bain jusqu'à ce qu'il se normalise. Dès que la température baisse, vous pouvez baigner l'enfant.

Cependant, la présence de fièvre ou de malaise n'est pas une contre-indication au lavage, au brossage des dents et à la toilette de l'enfant. Celles-ci Mesures d'hygiène Doit être effectué. Et si le bébé transpire, essuyez-le avec une serviette humide et changez de vêtements pour les sécher. La sueur peut irriter le site d'injection, il est donc préférable de laver ou d'essuyer la zone de peau tout en la gardant propre.

Une grosseur ou une grosseur chez un enfant après la vaccination

Tout durcissement au site d'injection ne nécessite pas de traitement immédiat. Le plus souvent, de tels joints, voire des bosses, se développent lorsque injections sous-cutanées. Si le sceau ne dérange pas le bébé, ne faites rien. Si cela démange, démange ou rend l'enfant nerveux de toute autre manière, lui donne de l'anxiété - lubrifiez le site d'injection avec de la crème et appliquez un pansement. Vous pouvez lubrifier le joint après la vaccination avec la pommade Troxevasin ou ses analogues. De plus, les méthodes de physiothérapie (par exemple, l'échauffement) aideront à accélérer la résorption du sceau. Changez le pansement après 5 à 6 heures et lavez à chaque fois la peau sur le joint. L'eau elle-même aidera à soulager les démangeaisons et inconfort au lieu de compactage. Rappelez-vous que le compactage n'est pas une pathologie - c'est une réaction normale du corps à la vaccination.

Si le sceau ne se résout pas dans un délai d'un mois et que des ecchymoses sont perceptibles, il est nécessaire de consulter un chirurgien, car un hématome peut s'être formé au site d'injection, ce qui nécessitera un traitement. Si le phoque commence à saigner ou à s'infecter, vous devez immédiatement consulter un médecin.

En général, si le phoque est simplement palpable, mais qu'il n'y a pas de plaies ou d'ecchymoses à la surface de la peau, que la peau ne diffère pas des zones voisines, il n'y a pas lieu de s'inquiéter. Un tel sceau peut prendre beaucoup de temps à se résoudre si le vaccin a pénétré dans une zone du corps où il y a peu de vaisseaux sanguins.

L'enfant est boiteux

Cette condition est associée à des injections qui sont faites dans le muscle de la cuisse. La masse musculaire de l'enfant étant assez petite, le médicament est absorbé relativement lentement, ce qui provoque des douleurs lors de la marche, de la marche sur le pied et, par conséquent, de la boiterie. Pour éliminer cette condition, masser et bien activité physique. Si l'enfant ne se tient pas bien sur sa jambe et ne veut pas marcher, mettez-le sur le lit et faites des exercices pour les jambes dans cette position. Il est également utile de réchauffer le site d'injection et de prendre procédures de l'eau. S'il n'est pas possible de déplacer les jambes eau chaude, remplacez-les par des frictions vigoureuses avec une serviette imbibée d'eau tiède. Normalement, la boiterie disparaît dans un délai maximum de 7 jours.

L'enfant est tombé malade après la vaccination

Malheureusement, chaque vaccin a un spectre d'applicabilité. En d'autres termes, le médicament ne peut être administré à un enfant que si un certain nombre de conditions sont remplies, qui sont déterminées individuellement pour chaque vaccin. C'est le principal danger des vaccinations. Cependant, selon l'expérience des médecins de tous les pays et les données de l'Organisation mondiale de la santé, les vaccinations n'entraînent des complications, y compris chez les enfants, que si les règles et techniques de vaccination sont violées. Illustrons ceci bons exemples concernant les vaccinations de base :
1. Après avoir été vacciné contre la variole, l'enfant est tombé malade d'une encéphalite. Cette situation est survenue parce qu'il a été vacciné malgré une pression intracrânienne élevée pendant la période néonatale. L'instruction à ce sujet donne des instructions claires - vacciner au plus tôt un an après la normalisation de la pression intracrânienne. Mais le vaccin a été introduit en six mois - c'est-à-dire l'enfant est tombé malade en raison de la violation des règles de vaccination.
2. Allergie sévère et suffocation après vaccination contre la diphtérie. L'enfant a été vacciné dans le contexte de la diathèse, de plus, les parents directs (mère et grand-mère) sont allergiques. À cet égard, l'instruction ordonne - de se faire vacciner six mois après la disparition des signes de diathèse sur la peau. En conséquence, dans cette situation, une vaccination intempestive a entraîné une augmentation de l'inflammation allergique.
3. Il a contracté la poliomyélite après avoir reçu le vaccin contre la poliomyélite. L'enfant a reçu le vaccin quelques jours après avoir eu un trouble gastro-intestinal grave. Cela ne peut pas être fait, car la poliomyélite fait référence aux entérovirus qui pénètrent dans le corps par les intestins. Les intestins des enfants non réparés étaient faibles et ne pouvaient pas faire face aux faibles particules du virus de la polio, ce qui provoquait des infections et des maladies. Le vaccin contre la poliomyélite ne doit pas être utilisé avant 1,5 mois après la maladie gastro-intestinale.

Les rhumes après la vaccination ne doivent pas être corrélés à la vaccination. Le fait est que le vaccin active une partie spécifique cellules immunitaires, et de nombreux rhumes chez les enfants sont associés à la défaillance de cellules complètement différentes. Bien sûr, tout dans le corps est interconnecté, mais l'enfant a la capacité de produire des cellules mémoire même dans l'utérus, mais la protection contre de nombreux microbes qui causent le rhume n'est formée qu'à l'âge de 5 à 7 ans. Souvent, les parents eux-mêmes provoquent le rhume d'un enfant après la vaccination, lorsqu'ils essaient inconsciemment de s'habiller plus chaudement, de le nourrir plus fort, etc. En conséquence, un rhume devient une conclusion logique au fait que l'enfant est mal habillé pour les conditions dans la rue ou à la maison. La suralimentation affaiblit considérablement le système immunitaire en principe, vous ne devriez donc jamais le faire.

Pour prévenir maladies fréquentes chez un enfant après avoir commencé la maternelle, essayez de faire tous les vaccins à l'avance, quelques mois avant d'aller à la maternelle. Cela permettra au corps de l'enfant de les transférer en toute sécurité.

Rubéole chez les enfants après la vaccination

La rubéole est une infection virale contre laquelle l'immunité ne se forme que pendant quelques années. Aujourd'hui, des cas ont été signalés lorsque des enfants sont tombés malades de la rubéole après la vaccination, et même des bébés qui avaient déjà eu cette infection. Cette situation est liée au fait que de longues années ont été vaccinés contre la rubéole, le virus a commencé à circuler dans la population animale domestique et a peu évolué. Ainsi, plusieurs sous-types de virus de la rubéole sont apparus que le corps humain n'a jamais rencontrés auparavant. Ainsi, un enfant vacciné contre un type de virus peut être infecté par un autre.

L'enfant est-il contagieux après la vaccination ?

Pour les personnes en bonne santé, un enfant après la vaccination n'est absolument pas contagieux. Le danger ne peut persister que pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli, par exemple :

• femmes enceintes;
• patients atteints de néoplasmes;
• les personnes qui ont eu une maladie grave et qui sont en période de réadaptation ;
• patients après une intervention chirurgicale majeure ;
• malades du VIH/SIDA.

Que donner à un enfant après la vaccination - comment l'aider?

Lorsque le DTP est administré, avant d'aller au lit, l'enfant doit prendre médicament antipyrétiqueà base de paracétamol, même si température normale corps. Après ce vaccin, il faut surveiller la température corporelle pendant 5 à 7 jours, et, si nécessaire, donner un antipyrétique.

Si la température a dépassé 38,5 o C, donnez à l'enfant Analgin à une dose de 125 mg (1/4 de comprimé) et des médicaments contenant du paracétamol (par exemple, Panadol, Tylenol, etc.). Sinon, séchez régulièrement votre enfant avec une serviette imbibée d'eau tiède pour réduire la température corporelle. N'utilisez jamais de vodka ou de vinaigre pour essuyer.

Après l'administration des vaccins DTC, DTC, IPV et contre l'hépatite B, assurez-vous de donner à votre enfant antihistaminiques recommandé par le médecin (par exemple, Suprastin, Zirtek, Erius, etc.).

Nourrissez votre enfant avec des aliments familiers, n'essayez pas de lui donner quelque chose de nouveau, car cela peut provoquer une réaction allergique ou une indigestion.

Si le site d'injection devient rouge, épaissi ou enflé, placez une compresse chaude sur le site d'injection ou appliquez pansement humide. Le pansement doit être changé toutes les quelques heures.

Complications possibles de la vaccination

Les complications liées aux vaccins comprennent un certain nombre de conditions pathologiques, qui sont causées précisément par la vaccination, qui a eu un effet important, en combinaison avec les caractéristiques individuelles du corps humain. Les réactions au vaccin sous forme de fièvre, rougeur ou gonflement du site d'injection, malaise et éruption cutanée ne sont pas des complications. Les complications de la vaccination, selon la définition de l'Organisation mondiale de la santé, comprennent « les maladies persistantes et violations graves santé". Les complications sont extrêmement rares - en moyenne un cas pour 100 000 vaccinés.
3. Non-respect des règles de vaccination (défaut actif de clarification des contre-indications).
4. Caractéristiques individuelles ( allergie sévère lors de l'introduction du vaccin pour la deuxième et la troisième fois).
5. Disponibilité processus infectieux contre laquelle le vaccin a été administré.

Ainsi, la vérité bien connue selon laquelle tout a ses indications et contre-indications, qui doivent être strictement observées, est confirmée. Par conséquent, afin d'éviter le développement de complications, il convient de suivre strictement les instructions de vaccination - administrer correctement le médicament, rechercher s'il existe des maladies contre lesquelles l'enfant ne peut pas être vacciné, etc. Obligatoire travail individuel avec parents et enfants.

Avant utilisation, vous devriez consulter un spécialiste.

Nez qui coule après la vaccination

DTP est l'abréviation de : sérum absorbé (réalisé sur la base d'une culture purifiée et affaiblie) coqueluche-diphtérie-tétanos.

Le DTC et la poliomyélite sont dangereux pour les jeunes enfants dont l'immunité n'est pas encore suffisamment développée, et pour cette raison le risque d'infection est très élevé. Par exemple, pour une infection par la poliomyélite, entraînant une paralysie des membres, un contact familial avec un porteur du virus est suffisant.

Non moins dangereuses sont les autres maladies qui peuvent causer:

• changements irréversibles dans le tissu cérébral;
• encéphalopathie;
• convulsions;
• décès d'un enfant.

Cela est particulièrement vrai à notre époque, où des conditions environnementales défavorables, un rayonnement de fond élevé et la pollution atmosphérique provoquent des mutations virales qui rendent difficile le diagnostic de la maladie et augmentent le risque d'erreurs médicales.

Dès lors, la réponse à la première question est sans équivoque : la vaccination DTC contre la poliomyélite, ainsi que l'hépatite, doit être faite, et des précautions doivent être prises à l'avance pour que le bébé puisse le supporter plus facilement. C'est possible avec certaines connaissances.

Une réaction cutanée à la vaccination DTP, qui se traduit par une rougeur et un gonflement, des démangeaisons modérées, l'apparition d'une légère induration, est considérée comme une conséquence courante du médicament.

De plus, il est possible :

• fièvre jusqu'à 38-39 ° C;
• anxiété;
• léthargie;
• perte d'appétit temporaire;
• diarrhée et vomissements.

Les réactions décrites ne sont pas dangereuses. Lorsqu'on leur demande combien de temps la température peut durer après la vaccination, les experts répondent: environ 5 jours et l'état de l'enfant sera normalisé.

La réaction dépend aussi de la qualité des vaccins et des caractéristiques de l'enfant. Il peut être absent ou se manifester par une indigestion, passant après environ 2-3 jours.

De plus, il peut y avoir :

• gonflement au site d'injection;
• température après vaccination chez un enfant, mais pas supérieure à 38,5 ° C;
• pleurs.

La température, atteignant parfois 39°C, est considérée comme une manifestation normale du DPT et de la poliomyélite. La raison en est le processus intensif de production d'anticorps dans le sang du bébé vacciné, ce qui l'empêchera de tomber malade à l'avenir. Après environ deux jours, la fièvre disparaîtra.

Dans le même temps, l'absence de température, en réaction au DTC, ne signifie nullement que le vaccin "n'a pas fonctionné", comme le croient parfois les parents. C'est juste que le corps de l'enfant s'est avéré si fort qu'il a réussi à donner au virus une rebuffade décisive, mais avec le développement de l'immunité, tout en parfait ordre! Pour lever tout doute, au bout de six mois environ, il faut faire une prise de sang : elle montrera la présence d'anticorps.

Malheureusement, la fièvre d'un enfant est parfois le résultat d'un vaccin mal purifié. Vous devez vous soucier de la température si elle atteint des valeurs de 39,5 à 40 ° C et qu'elle ne peut pas être renversée pendant une longue période (plus de 3 jours) ou lorsque, en plus de la fièvre, il existe d'autres signes de mauvais état : éruption cutanée sur le corps, gonflement du visage, évanouissement, vomissements incessants, diarrhée.

La règle principale des vaccinations est que seuls bébé en bonne santé. Ensuite, le risque de complications est faible, ainsi que l'apparition d'effets secondaires indésirables.

La vaccination reportée de plus dates tardives, si:

1. Le bébé a une maladie infectieuse aiguë. Vous devez respecter un intervalle d'une semaine entre la date rétablissement complet et la vaccination.
2. L'enfant a une certaine maladie chronique et le stade d'exacerbation a commencé. L'introduction du vaccin est retardée d'un mois, à partir du jour où tous les symptômes ont disparu.
3. L'un des membres de la famille est infecté par une sorte de virus et il est possible que l'enfant soit également infecté.

Il y a aussi ce qu'on appelle contre-indications absolues sans limite de temps.

Les vaccinations sont interdites :

1. Si le corps de l'enfant a montré une forte réaction négative à la vaccination précédente.
2. Avec des troubles neurologiques.
3. Si vous êtes allergique à un composant ou des composants du vaccin.
4. Avec forme congénitale sévère d'immunodéficience.
5. Si le bébé a été atteint de maladies pour lesquelles le vaccin est administré. Il est préférable d'utiliser un vaccin qui ne contient pas de composant "supplémentaire".

Le vaccin DTC est considéré comme l'un des vaccins les plus réactogènes. Mais cela est dû au fait que la dose d'antigènes qu'il contient est très élevée.

L'antigène de la coqueluche a les conséquences les plus graves. Le problème est que les antigènes de ce type dirigent immédiatement leur impact sur les cellules du cerveau ou via le système immunitaire de l'organisme.

Cela se produit dans une plus large mesure au cours de l'évolution de la maladie, mais pendant le vaccin, de tels processus peuvent également affecter le corps du patient, bien que dans une bien moindre mesure.

Avant de recevoir votre premier vaccin DTP, vous devez passer un test sanguin et urinaire. Après cela, il est obligatoire d'obtenir l'autorisation d'être vacciné auprès d'un neurologue.

Avant la vaccination, assurez-vous de consulter un médecin si l'enfant a des allergies. Pour éviter qu'il ne s'aggrave, vous pouvez prendre plusieurs comprimés antihistaminiques avant la vaccination. Il est préférable de les commencer quelques jours avant la vaccination et de les boire une semaine après le jour de la vaccination.

Il est très important de pré-acheter des comprimés à effet antipyrétique. De plus, les médicaments qui améliorent la motilité gastrique et affectent positivement la microflore du tractus gastro-intestinal seront utiles dans la trousse de premiers soins. Il est préférable d'acheter analgin à l'avance. Les produits laitiers, comme le kéfir, peuvent également aider.

Le jour de la vaccination DPT est mieux refuser de goûter de nouveaux produits.

Le jour où l'enfant a été vacciné contre le DTC, il est impératif de prendre un médicament qui abaisse la température, car une fièvre peut apparaître. Il est préférable d'utiliser des médicaments contenant du paracétamol. Même si la température de l'enfant n'augmente pas et qu'elle reste au même niveau, il est toujours préférable de donner le médicament immédiatement.

Toute la semaine après la vaccination DTP, vous devez surveiller la santé du bébé. Il est très important de vérifier la température corporelle tous les jours pendant 5 à 7 jours.

Si les complications commencent, il est nécessaire d'utiliser des médicaments antipyrétiques. Si la température dépasse 38 degrés, vous devez donner au bébé des médicaments contenant du paracétamol.

Mais l'utilisation de solutions d'alcool et de vinaigre est strictement interdite.

Après l'utilisation du vaccin DTC, l'enfant doit recevoir des médicaments aux propriétés antihistaminiques. Le vaccin peut provoquer des réactions allergiques et ces médicaments les élimineront. Mais avant d'utiliser de tels médicaments, il est préférable de consulter un médecin. Zirtek, Suprastin et Erius ont fait leurs preuves.

Lorsqu'une personne est vaccinée contre une maladie, des particules ou des microbes entiers lui sont introduits - les agents responsables de cette maladie.

dans un état affaibli. Un agent pathogène microbien faible provoque une infection qui se produit très facilement.

À la suite de l'inflammation, des anticorps spécifiques sont produits, capables de détruire ce microbe particulier. Le corps commence alors à produire des cellules mémoires qui vont circuler dans le sang pendant un certain temps dont la durée dépend du type d'infection.

Les cellules mémoire contre certaines infections durent toute une vie, d'autres seulement quelques années. En conséquence, lorsqu'un agent microbien causal pénètre dans l'organisme greffé, les cellules mémoire le reconnaissent immédiatement et le détruisent - en conséquence, la personne ne tombe pas malade.

Étant donné que l'introduction du vaccin provoque une légère inflammation, le développement de diverses réactions du corps est naturel. Considérez les différentes réactions aux vaccinations, leur durée, leur gravité, ainsi que dans quels cas elles deviennent des signes de trouble, ce qui nécessite une assistance médicale qualifiée.

Les enfants de moins de 7 ans toussent en moyenne 20 à 30 fois par jour, et ce n'est pas une pathologie.

nécessaire pour que l'enfant élimine la poussière et les autres particules qui pénètrent dans les voies respiratoires (bronches, trachée) lors de la respiration. La vaccination peut activer légèrement ce processus en améliorant le réflexe de la toux. Surveillez le bébé: si la toux s'intensifie, d'autres signes de rhume apparaissent - alors seulement commencez le traitement.

La vaccination active le système immunitaire, donc si l'enfant avait un foyer d'infection dans les voies nasales, une production rapide et accrue de mucus est possible, qui commencera à sortir sous la forme

Les complications des vaccinations comprennent un certain nombre de conditions pathologiques causées précisément par la vaccination, qui ont eu un effet important, en combinaison avec les caractéristiques individuelles du corps humain. Les réactions au vaccin sous forme de fièvre, rougeur ou gonflement du site d'injection, malaise et éruption cutanée ne sont pas des complications.

Les complications de la vaccination, selon la définition de l'Organisation mondiale de la santé, comprennent « des problèmes de santé persistants et graves ». Les complications se développent extrêmement rarement - en moyenne, un cas pour 100 000 vaccinés.

Stockage des vaccins dans des conditions inappropriées (congélation, chauffage, etc.).

Mauvaise administration du médicament injection intramusculaire vaccins, qui doivent être sous-cutanés uniquement).

Non-respect des règles de vaccination (défaut actif de clarifier les contre-indications).

Caractéristiques individuelles (allergie sévère avec l'introduction du vaccin pour la deuxième et la troisième fois).

La présence d'un processus infectieux dans le contexte duquel le vaccin a été introduit.

Ainsi, la vérité bien connue selon laquelle tout a ses indications et contre-indications, qui doivent être strictement observées, est confirmée. Par conséquent, afin d'éviter le développement de complications, il convient de suivre strictement les instructions de vaccination - administrer correctement le médicament, rechercher s'il existe des maladies contre lesquelles l'enfant ne peut pas être vacciné, etc. Un travail individuel avec les parents et les enfants est nécessaire.

Dans la plupart des cas, la réaction au DTC chez l'enfant est mineure et peut se traduire par une rougeur ou un durcissement du site d'injection, l'apparition d'une température basse, parfois sous forme de toux ou d'indigestion. Cette réponse du corps est considérée comme normale, car elle indique que le système immunitaire a réagi au vaccin et produit des anticorps contre celui-ci.

La situation où la réponse au vaccin est présente est meilleure que lorsque le corps ne réagit pas à l'infection même avec le moindre inconfort.

Avant la vaccination, vous devez suivre certaines règles:

1. Donner le sang, l'urine et les matières fécales de l'enfant pour analyse clinique pour identifier, éventuellement, des processus cachés dans le corps.
2. Pour la procédure, il est important que l'enfant soit en bonne santé - cela garantira une réponse adéquate à la vaccination DTC du système immunitaire. Si l'enfant a des maladies chroniques, le vaccin est administré à un moment où il n'y a pas d'aggravation de celui-ci.
3. Immédiatement avant l'injection, le médecin doit examiner l'enfant: écouter le cœur, les poumons, mesurer la température. Si le médecin a des doutes sur la santé des miettes, la vaccination ne doit pas être effectuée.
4. Si le bébé a des réactions allergiques, vous devez boire des antihistaminiques dans quelques jours.
5. Une heure avant et une heure après l'intervention mieux qu'un enfant ne pas nourrir.
6. Ne sautez pas la revaccination si elle est prévue. Avant l'intervention, lisez attentivement les documents du vaccin qui va être administré à votre bébé.

basse température

Une réaction telle que la température de la vaccination DTC est la réponse la plus courante et la plus naturelle du système immunitaire au médicament administré. Pourquoi la température monte-t-elle ? Lorsque les corps immunitaires commencent à combattre les agents étrangers, la température augmente naturellement.

Avec une activité immunitaire élevée, la température peut dépasser 38 degrés et cet indicateur sera normal. Ce n'est que lorsque l'hyperthermie atteint 38,5 qu'un antipyrétique doit être pris.

Les principaux signes: l'enfant devient agité, méchant, peut ne pas bien dormir.

Joint

Si le site de vaccination DPT devient rouge, une telle réponse à la vaccination est tout à fait normale. Le fait est que l'œdème tissulaire commence au site de ponction, souvent le site d'injection de l'agent peut être compacté et mesurer jusqu'à 8 cm.

En une semaine, le symptôme devrait disparaître. Si le site d'injection fait mal, cellules nerveuses informer le cerveau de la présence d'un œdème, parfois d'une inflammation.

Si l'œdème persiste plus d'une semaine ou devient grandes tailles, soucis et blessures - vous devez consulter un médecin.

la toux

La réaction à la vaccination DTC chez les enfants n'implique pas l'apparition d'une toux. Un tel symptôme suggère qu'une infection est entrée dans le corps soit dans quelques jours, soit après la vaccination. Si une toux apparaît, accompagnée de fièvre et d'éternuements, ce sont des signes de développement du SRAS ou d'une autre infection. Vous devez immédiatement contacter le pédiatre et l'informer que le bébé a été vacciné. Le système immunitaire de l'enfant est affaibli, il est donc extrêmement important soins de santé et suivi médical.

Le vaccin doit être facilement toléré avec une immunité normale. Cependant, il existe également des réactions non standard à l'injection.

Les symptômes anormaux du vaccin comprennent des vomissements, de la diarrhée et des éruptions cutanées. Ces symptômes apparaissent lorsqu'une réaction allergique aux composants du remède se produit.

L'éruption disparaît d'elle-même, la diarrhée et les vomissements sont traités de manière symptomatique. Les démangeaisons sont anesthésiées localement avec des compresses, des lotions.

Cependant, si l'état s'aggrave, il est possible choc anaphylactique. Si l'état du bébé ne s'améliore pas, appelez le médecin.

Le vaccin contre la poliomyélite peut provoquer des diarrhées. Le vaccin est constitué d'une certaine quantité de bactéries vivantes. Bien qu'il existe un analogue synthétique avec des micro-organismes non viables, l'efficacité d'un tel greffage est faible. Par conséquent, une version vivante du médicament est utilisée.

La réponse la plus adéquate à toute vaccination, y compris le DTC, est absence complète toute réaction. Ceci est possible sous deux conditions :

• Trouver une personne dans des conditions de serre tout à fait favorables.
• Le vaccin de la plus haute qualité avec un minimum d'impuretés.

La première est impossible en raison de l'agressivité du milieu extérieur : contact permanent avec des micro-organismes pathogènes et opportunistes, virus, champignons, variations d'humidité, de température, d'intensité du rayonnement solaire, etc. La seconde aussi, pour les raisons déjà évoquées.

Parce que les risques de fièvre et autres événements indésirables il y a. Mais vous ne devriez pas avoir peur d'eux. Les vaccinations entraînent rarement la mort ou une invalidité grave, malgré de nombreux cas très médiatisés. Il faut comprendre que seuls des instants isolés arrivent sur les écrans et dans les périodiques, et tout le monde est vacciné, il y en a des millions. La proportion de "malchanceux" est de 0,2 à 0,5% selon des données non précisées.

Quels signes concomitants accompagnent la température corporelle après l'administration du médicament? C'est:

• Capricieux. Manifesté lors de l'administration initiale du vaccin. L'enfant pleure constamment, ne dort pas.
• Rougeur de la peau. À la suite du développement d'une réaction allergique, de l'urticaire (éruption cutanée) peut survenir. Ceci est un signe d'avertissement, vous devez immédiatement consulter un médecin.
• Diarrhée, indigestion, régurgitation fréquente avec une fontaine.
• Rougeur au site d'injection.
• Gonflement du membre.

La température après DTP monte à 37-37,5 degrés Celsius. Il est rarement plus élevé, mais ces cas nécessitent une intervention médicale.

Les patients plus âgés peuvent formuler des plaintes plus précisément :

• Maux de tête, vertiges, nausées, faiblesse, somnolence dues à une intoxication du corps.
• Sensation de chaud ou de froid.
• Douleurs abdominales, grondements.
• Violation du processus de digestion des aliments.

De telles manifestations n'atteignent pas un haut degré d'intensité. Après quelques jours, tout est revenu à la normale. Une assistance médicale est-elle nécessaire ? Dans la plupart des cas, non.

Mais si, après la vaccination DTP, la température dépasse 38 degrés, en particulier chez un petit enfant, une ambulance doit être appelée.

La revaccination, c'est-à-dire l'administration répétée du médicament, est effectuée trois fois après la vaccination principale: à 1,5, 5-6, 14-15 ans. Les procédures généralement répétées sont transférées facilement. Température après Revaccination DTC a deux exceptions :

1. Vaccin ou médicament de mauvaise qualité d'un autre fabricant.
2. Réactions allergiques qui se sont déjà formées auparavant.

Dans le premier cas, il y a une réaction individuelle du corps à un nouveau remède. Si quelque chose d'autre a déjà été administré, dites comment le corps réagira au médicament avec un autre composition chimique, compliqué.

Dans le second cas, une réaction paradoxale du corps aux médicaments se manifeste: après les premières vaccinations, une intolérance se forme, le corps réagit en conséquence.

De plus, la température n'est pas le seul symptôme. Le processus s'accompagne d'écoulement nasal, de larmoiement, démangeaisons de la peau, démangeaisons dans le nez, les yeux, congestion nasale, urticaire, éruption papuleuse comme avec la varicelle et d'autres phénomènes.

Par conséquent, chaque vaccination ultérieure, même si elle a déjà été effectuée auparavant, nécessite une consultation avec un immunologue-allergologue.

Afin d'éviter des réponses pathologiques du corps, un enfant ne doit en aucun cas être vacciné dans de tels cas:

• Réaction allergique de nature polyvalente (à de nombreux médicaments).
• Processus infectieux et inflammatoire aigu dans le corps.
• Dentition.
• Pathologies endocriniennes dans l'histoire de la maladie, la phase d'exacerbation ou de décompensation.

Les effets secondaires sont relativement rares, même lors de l'utilisation de médicaments russes. Parmi les conséquences possibles :

• Maux de tête de longue durée. C'est une conséquence de l'intoxication du corps.
• Réaction allergique, la formation d'une réponse immunitaire prononcée au vaccin. Il se manifeste généralement après la première ou la deuxième injection du médicament. Peut se révéler lors d'une revaccination. Nécessite un changement de médicament pour une administration et une utilisation ultérieures antihistaminiques première génération.
• infection au site d'injection.

Dans les cas avancés, une invalidité grave ou même la mort survient. En règle générale, c'est sur la conscience des médecins qui vaccinent sans diagnostic préalable et sans déterminer la qualité de la santé de l'enfant. Par conséquent, avant la procédure, les parents eux-mêmes doivent insister pour évaluer l'état de leur enfant.

Comment aider un bébé

Les adultes doivent s'approvisionner en antipyrétiques pour abaisser la température de l'enfant.

Les médecins conseillent de faire ce qui suit :

1. Si le bébé tolère facilement la température et qu'elle ne dépasse pas 37,5 ° C, ne faites rien. Si l'enfant est inquiet, donnez-lui un antipyrétique doux, comme le paracytamol ou le panadol.
2. Pour des lectures supérieures à 38 °C, utilisez du Nurofen ou de l'ibuprofène.
3. Si la température approche les 39 ° C, le nimésulide vous aidera. En plus de cela, il est nécessaire de donner des médicaments qui protégeront le corps du bébé de la déshydratation: Regidron, Glucosolan. Il est conseillé d'utiliser des suppositoires rectaux.

En plus de prendre des médicaments pour abaisser la température, le bébé doit bénéficier des conditions les plus confortables, c'est-à-dire maintenir une température de 21 ° C dans sa chambre et une humidité optimale et donner plus de liquide.

Certaines mesures préventives vous aideront également, en particulier, vous devez faire ce qui suit :

1. Dans les 2-3 jours précédant la vaccination et la même quantité après celle-ci, donnez au bébé des antihistaminiques.
2. Si, après des vaccins précédemment administrés, le bébé a eu des convulsions et une forte fièvre, il est conseillé de lui donner un analgésique-antipyrétique avant l'injection.
3. 5 jours après la vaccination, surveiller régulièrement la température de l'enfant.

Attention! Tous les médicaments peuvent être administrés à un enfant après consultation d'un pédiatre!

- vaccination contre

Rubéole et

La quatrième vaccination est contre

B, s'il est effectué selon le schéma 0 - 1 - 2 - 12 (le premier vaccin à la maternité, le deuxième - à 1 mois, le troisième - à 2 mois, le quatrième - à 12 mois).

- Réintroduction du vaccin DTC (contre

) et les vaccinations de rappel contre la poliomyélite et l'Haemophilus influenzae.

le troisième vaccin contre la poliomyélite.

- deuxième vaccination contre la rougeole, la rubéole et les oreillons.

- revaccination contre la diphtérie et le tétanos (DT).

- revaccination contre

- la troisième vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose.

Les enfants qui n'ont jamais été vaccinés contre l'hépatite B peuvent commencer la vaccination à tout moment après avoir atteint l'âge de 1 an. Une vaccination annuelle contre la grippe est également disponible sur demande. De l'âge de 1 an à 18 ans, une vaccination contre la rubéole doit être effectuée, ce qui peut nuire à la capacité de concevoir chez les filles.

De plus, la vaccination est un peu stressante pour la plupart des enfants, qui sont mal à l'aise avec les injections. Par conséquent, le comportement de l'enfant après la procédure peut changer. Les comportements les plus courants chez les enfants sont :

• l'enfant est méchant;
• pleurs ou cris prolongés;
• anxiété;
• manque de sommeil;
• refus de nourriture.

C'est une réaction tout à fait naturelle en réponse au malaise et au stress de l'injection. De plus, si l'enfant ressent un léger inconfort

Il ne comprend pas ce qui se passe, d'où cela vient - il est donc capricieux.

L'enfant crie ou pleure. Ce phénomène est assez courant, surtout immédiatement après l'injection.

Si l'enfant pleure ou crie longtemps, donnez-lui un médicament anti-inflammatoire et analgésique (par exemple, Nurofen). Prenez-le dans vos bras, secouez-le, parlez-lui doucement, calmez-le de toutes les manières possibles - cela portera ses fruits.

Les pleurs et les pleurs peuvent également être dus à une augmentation Pression intracrânienne qui est la conséquence d'un traumatisme à la naissance.

Souvent, un enfant développe des coliques après la vaccination et l'alimentation, ou il est tourmenté par le gaziki. Donnez au bébé Espumizan ou effectuez d'autres manipulations qui aident à faire face à ces phénomènes. Des cris ou des pleurs prolongés pendant plus de trois heures d'affilée indiquent que vous devez consulter un médecin.

L'enfant peut être baigné, à condition qu'il se sente bien et qu'il n'ait pas de température. Vous ne pouvez pas baigner l'enfant seulement après

Jusqu'au moment de fixer ses résultats. Toute autre vaccination n'est pas une contre-indication. Si le bébé a une réaction au site d'injection, n'ayez pas peur de l'acheter. L'eau, au contraire, va apaiser la peau irritée, aider à réduire les rougeurs et

dans la zone d'injection.

N'oubliez pas que lorsque vous décidez de vous laver, vous devez vous concentrer sur l'état de l'enfant. Se sentir bien et ne pas avoir de réaction de température au vaccin signifie que le bain ne sera pas dangereux.

Comment se baigner ?

Contrairement à la croyance populaire, le site d'injection peut être mouillé - c'est-à-dire que l'enfant peut être baigné en toute sécurité. Il est impossible de mouiller uniquement le test de Mantoux tant que les résultats ne sont pas fixés.

Une fois le vaccin administré, ramenez le bébé à la maison et surveillez son état. Le même jour, il n'est pas souhaitable de le baigner, car le système immunitaire travaille dur dans le corps.

Même s'il n'y a pas de température et que le bébé se sent bien, évitez le fardeau supplémentaire du lavage. Se baigner le jour de la vaccination peut légèrement affaiblir le système immunitaire, comme s'il le distrayait, ce qui provoquerait une réponse accrue au vaccin.

À partir du lendemain de la vaccination, si l'enfant se sent bien et n'a pas de fièvre, il peut être baigné selon le régime habituel. Si la température augmente après la procédure, reportez le bain jusqu'à ce qu'il se normalise. Dès que la température baisse, vous pouvez baigner l'enfant.

Cependant, la présence de fièvre ou de malaise n'est pas une contre-indication au lavage, au brossage des dents et à la toilette de l'enfant. Ces mesures d'hygiène doivent être respectées. Et si le bébé transpire, essuyez-le avec une serviette humide et changez de vêtements pour des vêtements secs. La sueur peut irriter le site d'injection, il est donc préférable de laver ou d'essuyer la zone de peau tout en la gardant propre.

Cette condition est associée à des injections qui sont faites dans le muscle de la cuisse. La masse musculaire de l'enfant étant assez petite, le médicament est absorbé relativement lentement, ce qui provoque des douleurs lors de la marche, de la marche sur le pied et, par conséquent, de la boiterie. Pour résoudre cette condition, vous devez

et une bonne activité physique. Si l'enfant ne se tient pas bien sur sa jambe et ne veut pas marcher, mettez-le sur le lit et faites des exercices pour les jambes dans cette position. Il est également utile de réchauffer le site d'injection et de faire des traitements à l'eau. S'il n'est pas possible de bouger les jambes dans l'eau tiède, remplacez-les par des frottements vigoureux avec une serviette imbibée d'eau tiède. Normalement, la boiterie disparaît dans un délai maximum de 7 jours.

Pour les personnes en bonne santé, un enfant après la vaccination n'est absolument pas contagieux. Le danger ne peut persister que pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli, par exemple :

• femmes enceintes;
• patients atteints de néoplasmes;
• les personnes qui ont eu une maladie grave et qui sont en période de réadaptation ;
• patients après une intervention chirurgicale majeure ;
• malades du VIH/SIDA.

Quand est-il introduit

Avant d'aller au lit, l'enfant doit prendre un antipyrétique à base de paracétamol, même si la température corporelle est normale. Après ce vaccin, il faut surveiller la température corporelle pendant 5 à 7 jours, et, si nécessaire, donner un antipyrétique.

Si la température a dépassé 38,5 ° C, donnez à l'enfant Analgin 125 mg (1/4 de comprimé) et des médicaments contenant du paracétamol (par exemple, Panadol, Tylenol, etc.). Sinon, séchez régulièrement votre enfant avec une serviette imbibée d'eau tiède pour réduire la température corporelle. N'utilisez jamais de vodka ou de vinaigre pour essuyer.

Après l'introduction des vaccins DTC, ATP, IPV et hépatite B, assurez-vous de donner à votre enfant les antihistaminiques recommandés par le médecin (par exemple, Suprastin, Zirtek, Erius, etc.).

Nourrissez votre enfant avec des aliments familiers, n'essayez pas de lui donner quelque chose de nouveau, car cela peut provoquer une réaction allergique ou une indigestion.

Si le site d'injection devient rouge, épaissi ou enflé, placez une compresse chaude sur le site ou appliquez un pansement humide. Le pansement doit être changé toutes les quelques heures.

Joint

la toux

Les trois maladies ont une étiologie virale et se transmettent très rapidement des personnes malades aux personnes en bonne santé. Si une personne n'est pas vaccinée, il est très facile d'être infecté. La maladie est difficile à tolérer et peut entraîner de graves complications.

Après la vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, de telles manifestations désagréables sont possibles :

• diarrhée;
• démangeaison de la peau;
• vomissements sévères;
• réaction locale sous forme de joint au site d'injection;
• Chauffer.

Lorsque de tels vaccins sont administrés aux garçons, il peut y avoir un léger gonflement et un gonflement des testicules. Le vaccin est généralement appelé "vaccination MRV" - rougeole, rubéole, oreillons (oreillons).

Nez qui coule après la vaccination

Un excellent médicament est Smecta. Il élimine les toxines du corps et élimine les phénomènes dyspeptiques. Le remède en peu de temps arrête le désordre. Il est recommandé de boire le médicament trois fois par jour pendant trois jours.

Pour éliminer les selles molles, vous pouvez recourir à la prise de prébiotiques.

Avec la diarrhée, le corps perd du liquide. Pour le reconstituer, il est conseillé de boire eau minérale sans gaz, décoctions d'herbes, jus sans sucre, compote (au moins 8 verres par jour).

Regidron est considéré comme un excellent médicament. L'électrolyte pour enfants est également produit par Humana.

Conformément au protocole adopté et au calendrier de développement, la première vaccination se fait à 3 mois. De plus, avec un intervalle de 1,5 mois, deux autres sont effectués. Le premier et le dernier sont combinés avec la vaccination contre l'hépatite. Un vaccin peut contenir à la fois le DTC et l'hépatite.

La revaccination est effectuée :

• à 1,5 ans - DTP;
• après 2 mois - poliomyélite;
• à l'âge de 7 ans - diphtérie et tétanos (ADS-M);
• à 14 ans, la vaccination est répétée et associée à la poliomyélite.

Les adultes devraient régulièrement, une fois tous les 10 ans, se faire vacciner contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite. L'injection intramusculaire de DTP est associée à l'administration orale de poliomyélite (ORP). L'inconvénient de la méthode est qu'en raison du goût amer du médicament, le bébé peut roter et la procédure devra être répétée. De plus, après cela, vous ne devriez pas nourrir le bébé pendant environ une heure.

L'avantage de l'administration orale est que le vaccin contient des cultures vivantes du virus, ce qui confère une immunité durable. De plus, l'ORP agit également comme une protection supplémentaire contre infections virales Tractus gastro-intestinal, créant le terrain le plus favorable pour la vaccination DTC.

Il y a aussi vaccin inactivé(IPV) : ne contient pas de cultures vivantes du virus, destinées à être injectées sous la peau. Il est utilisé lorsqu'il y a des personnes dans la famille du bébé qui ne sont pas immunisées contre le virus de la poliomyélite ou qui sont infectées par le VIH.

Comment se comporter immédiatement après une injection ?

Une fois l'enfant vacciné, habillez soigneusement le bébé. Si vous avez des questions, assurez-vous de les poser à votre médecin ou à votre infirmière et vous obtiendrez une réponse. Mémorisez ou notez toutes les recommandations sur la façon de se comporter à la maison avec votre enfant.

Après la vaccination, restez dans le bâtiment de l'établissement où l'injection a été administrée pendant au moins 20 à 30 minutes. Cela est nécessaire pour savoir si une réaction allergique grave au vaccin se développera. Si une telle réaction commence à se développer, l'enfant recevra immédiatement l'assistance nécessaire sur place, qui consiste en l'administration intraveineuse d'un certain nombre de médicaments.

Préparez à l'avance le jouet ou le traitement préféré de votre enfant et donnez-le-lui après avoir quitté la salle d'injection. Pour certains bébés, le sein aide à se calmer si la mère a du lait.

Nez qui coule après la vaccination

La réaction de température à la vaccination se développe très souvent. Les vaccins les plus pyrogènes (augmentation de la température corporelle) sont le DTC et le BCG, mais toute autre vaccination peut également entraîner une réaction de température.

après la vaccination est due au fait que le système immunitaire est activé et commence à produire des anticorps. De plus, la température elle-même est un facteur antimicrobien, car de nombreux agents pathogènes

incapable de supporter haute température corps d'une personne, dans lequel ils meurent simplement, comme en bouillant dans

L'augmentation de la température peut survenir 3 heures après la vaccination et durer jusqu'à trois jours. Certains enfants présentent des dommages mineurs au système nerveux central, ce qui entraîne le développement de convulsions lorsque la température augmente.

Ce phénomène n'est pas à craindre. Au contraire, la vaccination suivie d'une élévation de la température a permis de révéler les séquelles d'un traumatisme à la naissance, qui nécessitent une correction par un neuropathologiste.

Après la chute de la température, assurez-vous de consulter un neurologue et de suivre un traitement.

Si votre enfant est sujet à des convulsions en réponse à une élévation de température, alors pour lui le seuil de sécurité pour son augmentation est au maximum de 37,5°C. Pour les enfants qui n'ont pas tendance aux convulsions, le seuil de température sécuritaire est de 38,5°C.

Ainsi, lorsque la température augmente après la vaccination, ne la baissez pas si elle est inférieure à un seuil de sécurité. Si la température augmente fortement (au-dessus du seuil de sécurité), donnez à l'enfant un antipyrétique à base de paracétamol, ou insérez un suppositoire dans le rectum.

N'utilisez jamais d'aspirine (acide acétylsalicylique). Pour soulager l'état de l'enfant après la vaccination dans le contexte d'une élévation de la température, vous pouvez l'essuyer légèrement avec un chiffon imbibé d'eau tiède (en aucun cas froide).

Ne nourrissez pas l'enfant abondamment, donnez-lui plus de boissons chaudes. N'essayez pas de l'envelopper - au contraire, habillez-vous légèrement, couvrez-le de couvertures ou de draps amples.

Avant de parler de complications en réaction à la vaccination DTC, note le Dr Komarovsky, il faut se rappeler qu'elles surviennent des dizaines de milliers de fois moins souvent qu'après avoir souffert de la poliomyélite, du tétanos ou de la coqueluche. Le danger pour un bébé non vacciné est extrêmement élevé.

Malheureusement, il n'existe aucun moyen de prévenir ou de réduire de quelque manière que ce soit le risque de conséquences. Pour réduire au moins légèrement le risque de conséquences, vous pouvez utiliser des vaccins plus récents, tels que Infanrix, Tetraxim.

Pourquoi la vaccination DTP est dangereuse

Habituellement, la durée de la réaction de température est de 2-3 jours. La température de la vaccination DTP augmente après 15 à 40 minutes et reste stable tout au long de la journée. Le matin il est plus bas ou absent, le soir il monte.

Combien de jours la température dure-t-elle après la vaccination DTC en présence d'un processus infectieux et inflammatoire concomitant? En moyenne, de 5 à 14 jours sans traitement complexe. Dans le même temps, les manifestations de fièvre après l'administration du médicament sont perdues dans le contexte de caractéristiques communesétat pathologique.

Les principes de traitement sont cependant identiques. Avec une conservation stable des lectures de thermomètre élevées, vous devriez consulter un pédiatre ou un dermatologue.

La réponse à cette question dépend de la température elle-même. Règle générale est la suivante: lorsque les valeurs du thermomètre montent à 38,1 degrés, l'enfant doit baisser l'indicateur.

Mais, s'ils ont été vaccinés avec le DTC et que la température a augmenté, plus les symptômes d'un plan menaçant ont été ajoutés: urticaire, problèmes respiratoires, alors vous devez non seulement arrêter la fièvre, mais aussi appeler une ambulance.

Il est nécessaire d'éliminer la chaleur par vous-même avec prudence.

La température chez un enfant après le DTC est renversée par plusieurs groupes d'antipyrétiques:

• Moyens à base d'ibuprofène (Ibuprofen, Nurofen). Ce sont les médicaments les plus adaptés qui ont un minimum d'effets secondaires et un maximum d'effets bénéfiques.
• Médicaments à base de paracétamol (Paracétamol classique ou Panadol). Mais le médicament doit être utilisé à des doses strictement indiquées, car. il affecte significativement le foie.

D'autres médicaments, comme le métamizole sodique (Analgin, Pentalgin) ou plus encore l'acide acétylsalicylique doit être exclu de la liste. Ils comportent un risque important et ne sont pas destinés aux enfants.

La température après DTP chez les nourrissons n'est renversée que par Panadol sous forme de suspension.

Si la température ne baisse pas après le DPT, vous devez appeler une ambulance.

Démangeaison de la peau

après la vaccination, il ne peut se développer que sur la zone du corps proche du site d'injection, ou sur toute la surface. Certains enfants peuvent développer une éruption cutanée en réaction au vaccin. Il disparaît généralement de lui-même en 2 à 3 jours, sans traitement supplémentaire. Cependant, si l'enfant est sujet à

- il est préférable de consulter un médecin qui déterminera si l'éruption est causée par une crise d'allergie ou un vaccin.

Pourquoi la diarrhée survient-elle après la vaccination DTC ?

Le vaccin contient des microbes qui peuvent affecter la muqueuse intestinale. Si l'enfant avait des problèmes digestifs avant l'injection (par exemple,

Colique ou

Importation analogique

La qualité des vaccins est un autre un facteur important, qui détermine la probabilité d'effets secondaires et complications diverses. Étant donné que le vaccin DTC suscite de nombreuses critiques, les parents choisissent de plus en plus de le remplacer par des homologues importés. Une telle solution n'a qu'un seul inconvénient : vous devrez payer la vaccination.

Vous pouvez utiliser les analogues DTP populaires suivants

1. Le complexe médicamenteux Pentaxim (France), qui comprend déjà toutes les cultures nécessaires et permet de n'effectuer qu'une seule injection, sans administration orale du virus de la poliomyélite. Lors de l'utilisation de ce médicament, le risque de complications est minime. La vaccination avec Pentaxim protège le bébé contre l'infection hémophilique.
2. Infanrix (Belgique), qui ne contient pas, contrairement au médicament russe merthiolate, un antiseptique, dans lequel le mercure est présent en microdoses. Parmi les inconvénients, il y a une immunité plus faible par rapport au DTP.
3. Tétraxim (France). Il agit de la même manière que Pentaxim, mais ne protège pas contre Haemophilus influenzae. Également sans merthiolate et pratiquement sans réactions secondaires.
4. Tritanrix-HB (Belgique). À la suite de la vaccination, le bébé développe une immunité contre la coqueluche, le tétanos, la diphtérie et l'hépatite.

Le succès de la vaccination, la probabilité de complications dépend de trois facteurs principaux :

1. Santé de l'enfant.
2. Qualité des vaccins.
3. Le professionnalisme du personnel médical.

Les conséquences, notamment la fièvre après la vaccination par le DTC et la poliomyélite, sont des maux moindres par rapport aux conséquences des maladies contre lesquelles le vaccin protégera à l'avenir.

- c'est l'introduction dans le corps humain d'un certain médicament qui peut affecter le développement de l'immunité à une maladie spécifique. Présentement un grand nombre de les parents sont extrêmement prudents avec cette méthode de stimulation fonctions de protection organisme.

De plus, la vaccination est un gros stress pour le corps du bébé. Chaque nouveau vaccin peut provoquer l'apparition de complications indésirables. Le système immunitaire de l'enfant subit déjà changements majeurs. Des effets secondaires peuvent apparaître dans les premiers jours suivant la vaccination. L'un d'eux est la diarrhée après.

Que se passe-t-il dans le corps après l'administration d'un vaccin ?

Avec un niveau élevé de réaction du corps de l'enfant à la vaccination DTC, des symptômes tels qu'asthénie, vomissements, nervosité et diarrhée peuvent apparaître. Les selles molles immédiatement après une injection s'expliquent facilement. À ce cas ce symptôme est dû à une hypersensibilité de l'estomac. Il est instable.

L'apparition de la diarrhée peut être due à d'autres raisons:

1. le vaccin contient certains micro-organismes qui ont un effet extrêmement négatif sur la muqueuse intestinale. Si, avant l'introduction d'un médicament particulier, le bébé présentait déjà certains dysfonctionnements du tractus gastro-intestinal, il y a une forte probabilité que le médicament provoque une diarrhée. Cela est dû au fait que l'estomac était déjà affaibli;
2. avant la vaccination, le bébé mangeait serré ou la nourriture provoquait des selles molles.

Si l'état de l'enfant a été réussi à s'arrêter en prenant un certain médicament, alors Traitement spécialça ne nécessite pas. Dans ce cas, nous parlons d'un médicament tel que Baktisubtil. Si nécessaire, vous pouvez utiliser des analogues.

Si la diarrhée était assez forte, et également colorée en couleur verte avec un mélange de sang, alors c'est une cause sérieuse de préoccupation. Dans cette situation, vous ne pouvez plus vous passer d'un spécialiste.

Alors, que se passe-t-il réellement dans le corps après l'administration d'un vaccin ? Comme vous le savez, les vaccins servent à protéger corps humain de différents maladies infectieuses. Le principe d'action de ces médicaments est associé à la fonctionnalité du système immunitaire.

Le médicament Bactisubtil

L'immunité est la résistance du corps à diverses maladies infectieuses. Il est considéré comme le résultat de l'exercice des fonctions de protection d'une personne. Ce dernier peut reconnaître divers micro-organismes nuisibles, virus, ainsi que leurs produits métaboliques.

Par exemple, diverses toxines et poisons. Ainsi, la formation de facteurs de protection - des anticorps qui détruisent les agents pathogènes de la maladie. Le développement de l'immunité par rapport à une infection particulière se produit après une collision avec l'agent pathogène.

Un autre développement de l'immunité se produit après la vaccination, qui se déroule en plusieurs étapes :

1. la première rencontre du corps humain avec une infection;
2. après cela, le système immunitaire reconnaît des agents pathogènes spécifiques. Ce sont des antigènes qui font partie intégrante du vaccin. Après cela, il y a une production accrue de facteurs de protection ;
3. élimination de l'infection. Le système immunitaire travaille dur pour éliminer les micro-organismes qui sont l'agent causal de la maladie ;
4. après une lutte réussie contre l'infection, il y a une conservation dans système immunitaire"mémoire de l'infection transmise". Si à l'avenir l'enfant rencontre cette maladie, une réaction violente et instantanée s'ensuivra. Il visera l'élimination rapide d'une maladie infectieuse.

En règle générale, un tel mécanisme d'obtention de l'immunité est noté, par exemple, dans le cas d'une épidémie de varicelle. Lors de la première rencontre avec la pathologie, les enfants tombent malades. Mais après un seul épisode de rencontre avec une maladie dans leur vie, le corps devient pratiquement immunisé contre l'infection.

Compte tenu du fait que la première rencontre du corps d'un enfant avec une pathologie peut être dangereuse, il a été proposé d'utiliser des vaccins qui ont affaibli ou détruit des microbes et leurs fragments qui ne diffèrent pas par leur capacité à provoquer l'apparition de la maladie. Malgré cela, il existe une stimulation des fonctions protectrices de l'organisme, qui vise à développer l'immunité.

Il convient de noter que l'introduction du vaccin avant le premier contact avec l'infection rend le corps de l'enfant immunisé ou augmente considérablement sa résistance à certains micro-organismes ou à leurs produits métaboliques.

Le DPT peut-il avoir la diarrhée ?

Il convient de noter que le vaccin DTC a un niveau de réactivité assez élevé. Certains médecins pensent que le médicament n'est pas la cause de la diarrhée, des vomissements et.

Cependant, une immunité affaiblie peut provoquer une infection du tractus gastro-intestinal. Exactement microbes nocifs et sont la cause de diarrhée après la procédure de vaccination.

La diarrhée après le vaccin devrait être terminée dans environ deux jours. Si cela ne se produit pas, vous devez vous rendre d'urgence au bureau d'un spécialiste.

Comment traiter la diarrhée après la vaccination DTC chez un enfant ?

Le DTP est un vaccin utilisé pour prévenir l'apparition des pathologies infectieuses suivantes :, et. Il n'y a pas si longtemps, cette maladie était la cause de la mort d'un grand nombre d'enfants. Grâce à l'avènement de ce vaccin, il a été possible de changer la situation pour le mieux. Il convient de noter que la composition du vaccin dépend du fabricant.

Vaccin DTC

Comme vous le savez, ils se produisent chez chaque personne. Les enfants ne font pas exception. Ils sont très difficiles à tolérer les vaccinations, car le corps de l'enfant est confronté à un fardeau supplémentaire. La cause de la diarrhée est l'imperfection du système immunitaire.

Il y a des situations où après deux jours la diarrhée ne s'arrête pas. Cela signale un trouble grave du fonctionnement du tube digestif. Dans une telle situation, vous devez consulter d'urgence un médecin. En particulier cas sévères vous devriez appeler un médecin à domicile.

L'anxiété chez les parents du bébé provoque les symptômes dangereux suivants:

1. des impuretés sanguines sont apparues dans les selles;
2. les selles de l'enfant ont une teinte verte;
3. des symptômes prononcés de déshydratation sévère du corps de l'enfant ont été trouvés;
4. la température chez les enfants a augmenté et est supérieure à 38 degrés Celsius. Il peut persister plusieurs jours.

La diarrhée après l'administration du médicament peut provoquer une détérioration de l'appétit.

Le bébé devient moins actif et ne montre pas non plus d'intérêt pour les jouets. Il devient faible et léthargique. Vous pouvez vous débarrasser des symptômes indésirables de la diarrhée en prenant des adsorbants. Les médecins recommandent de prendre Smecta ou Enterosgel. Ces médicaments aident à éliminer les toxines du corps. Ils normalisent le fonctionnement du système digestif.

Pour la diarrhée après un vaccin, il faut prendre des probiotiques. Ils normalisent la microflore intestinale. Ces médicaments comprennent Bifidumbacterin, Linex.

Linex pour les enfants

Vous pouvez ralentir le mouvement des matières fécales en prenant de l'Imodium ou du Lopéramide. En raison d'une diarrhée intense, le corps de l'enfant perd l'humidité vitale et matériel utile. Pour rétablir rapidement l'équilibre eau-sel, vous devez prendre des médicaments de réhydratation. Ceux-ci incluent Hydrolit et Regidron.

En cas de déshydratation sévère, vous devez vous assurer que l'enfant boit suffisant liquides. Il n'est pas recommandé d'utiliser de l'eau minérale avec du gaz pour cela. Une telle boisson ne fait qu'exacerber les crises de diarrhée, car le dioxyde de carbone a une forte effet irritant sur les parois de l'intestin.

Régime pour les selles molles

Avec la diarrhée, vous devez adhérer à une nutrition fractionnée. Assurez-vous d'exclure complètement les fruits et légumes frais du régime alimentaire des enfants.

C'est parce qu'ils contiennent une grande quantité fibres végétales. Les pommes de terre doivent seulement être bouillies. La viande et le poisson doivent être cuits à la vapeur.

Au moment de la maladie, vous devrez abandonner complètement les aliments frits. Egalement exclus du régime confiserie. Ils contiennent une grande quantité de sucre et divers additifs.

Lors de la pénétration dans tube digestif le sucre déclenche le processus de fermentation. Le lait et ses produits contiennent du lactose, qui n'est presque pas digéré par de nombreuses personnes en raison d'une quantité insuffisante d'enzymes.

Si la diarrhée ne disparaît pas dans les deux jours, vous devez consulter un médecin de toute urgence.

Vidéos connexes

À propos de la diarrhée et autres réactions possibles pour la vaccination dans la vidéo :

La vaccination est une procédure importante qui doit être effectuée afin de développer une immunité dans le corps de l'enfant contre diverses maladies infectieuses dangereuses. Une fois la vaccination effectuée, vous devez observer l'état du bébé. En cas de complications, vous devez immédiatement consulter un spécialiste.

Les vaccinations existent depuis l'époque de Catherine. Grâce à eux, des milliers de victimes ont été sauvées. Bien sûr, il y a toujours un risque de Effets secondaires après la vaccination, mais la tâche de chaque parent est de protéger son enfant contre maladies graves. Seule une approche compétente des vaccinations et de la sensibilisation aidera à éviter des conséquences désastreuses. Ensuite, considérez ce qu'est la vaccination DTP. Komarovsky - célèbre médecin pour enfants, aidera avec ses conseils à préparer l'enfant à la vaccination et aux éventuels effets secondaires.

Déchiffrons DTP

Que signifient ces lettres ?

A - vaccin adsorbé.

K - coqueluche.

D - diphtérie.

C - tétanos.

Le vaccin est constitué de bactéries affaiblies - les agents responsables des maladies ci-dessus, sorbées à base d'hydroxyde d'aluminium et de merthiolate. Il existe aussi des vaccins acellulaires, plus purifiés. Ils contiennent des particules de micro-organismes qui stimulent le corps à produire les anticorps nécessaires.

Notez que le Dr Komarovsky dit: «La vaccination DPT est la plus difficile et peut être difficile à tolérer pour un enfant. L'élément coqueluche qu'il contient complique sa portabilité.

Un vaccin protégera contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos. Ces maladies peuvent conduire à une triste issue, et nous examinerons plus en détail leur dangerosité.

Maladies dangereuses

Le vaccin DTC protégera contre la coqueluche, la diphtérie et le tétanos. Pourquoi ces maladies sont-elles dangereuses ?

La coqueluche est une maladie causée Infection aiguë. Il y a très tousser, ce qui peut provoquer un arrêt respiratoire, des convulsions. Une complication est le développement d'une pneumonie. La maladie est très contagieuse et dangereuse, surtout pour les enfants de moins de 2 ans.

La diphtérie est une maladie infectieuse. Se propage facilement par des gouttelettes en suspension dans l'air. Une intoxication grave se produit et une plaque dense se forme sur les amygdales. Un gonflement du larynx peut survenir, il existe une grande menace de perturbation du cœur, des reins et du système nerveux.

Le tétanos est une maladie aiguë et infectieuse. Le système nerveux est endommagé. Réduit les muscles du visage, des membres, du dos. Il y a des difficultés à avaler, il est difficile d'ouvrir les mâchoires. Violation dangereuse du système respiratoire. Dans la plupart des cas, la mort. L'infection se transmet par des lésions de la peau et des muqueuses.

Quand et à qui faire la PAO

Dès la naissance d'un enfant, un calendrier de vaccination est établi. Si vous respectez toutes les conditions de vaccination, l'efficacité sera élevée, l'enfant dans ce cas est protégé de manière fiable. La vaccination DTP, Komarovsky attire l'attention sur cela, devrait également être effectuée en temps opportun. Étant donné que l'enfant n'est protégé par les anticorps de la mère que dans les 6 premières semaines suivant la naissance.

La vaccination peut être nationale ou importée.

Cependant, tous les vaccins DTC, quel que soit le fabricant, sont administrés en trois étapes. Comme l'immunité s'affaiblit après la première vaccination, il est nécessaire de revacciner. Il existe une règle pour la vaccination DTP :

1. Le vaccin doit être administré en trois étapes.
2. Dans ce cas, l'intervalle entre les vaccinations doit être d'au moins 30 à 45 jours.

S'il est manquant, le graphique ressemble à ceci :

• 1 vaccination - à 3 mois.
• 2 vaccinations - à 4-5 mois.
• 3 vaccinations - à 6 mois.

À l'avenir, l'intervalle devrait être d'au moins 30 jours. selon le plan Vaccination DTP tenue à :

• 18 mois.
• 6-7 ans.
• 14 ans.

Les adultes peuvent être vaccinés une fois tous les 10 ans. Dans ce cas, il faut observer qu'elle ne doit pas être inférieure à un mois et demi.

Très souvent, un vaccin contient des anticorps contre plusieurs maladies. Cela n'alourdit pas du tout le corps de l'enfant, car ils sont facilement tolérés. Ainsi, par exemple, si le DTC et la poliomyélite sont vaccinés, Komarovsky note qu'ils peuvent être effectués simultanément, car ce dernier n'a pratiquement aucun effet secondaire.

Le vaccin contre la poliomyélite est oral, vivant. Après cela, il est recommandé de ne pas contacter les enfants non vaccinés pendant deux semaines.

Combien de temps dure la protection

Une fois la vaccination DTC terminée (Komarovsky l'explique ainsi), le système immunitaire commence à produire des anticorps contre la rougeole, la diphtérie et le tétanos. Ainsi, il a été constaté qu'après la vaccination dans un mois, le taux d'anticorps dans le corps sera de 0,1 UI / ml. La durée de la protection dépend en grande partie des caractéristiques du vaccin. Habituellement, défense immunitaire calculé sur 5 ans. Par conséquent, l'intervalle des vaccinations programmées est de 5 à 6 ans. À un âge plus avancé, il suffit de faire du DPT une fois tous les 10 ans.

Si la vaccination DTC est effectuée, la probabilité de contracter la diphtérie, le tétanos ou la rougeole est très faible. On pense qu'une personne dans ce cas est protégée contre ces virus.

Afin de ne pas nuire au corps, il faut se rappeler qu'il existe un certain nombre de contre-indications.

Qui ne devrait pas faire de PAO

Le DTC fait partie des vaccins difficilement tolérables dans l'enfance. Et si avant cela il n'y avait pas eu de réactions aux vaccins, cela peut provoquer des effets secondaires. Afin de ne pas provoquer de conséquences indésirables de la vaccination DTC, Komarovsky conseille de prêter attention aux raisons pour lesquelles la vaccination doit être annulée.

Les raisons peuvent être temporaires, notamment :

• Rhumes.
• maladies infectieuses.
• Augmentation de la température corporelle.
• Exacerbation des maladies chroniques.

Dans de tels cas, il est nécessaire de guérir l'enfant, et seulement deux semaines après la guérison complète, le DTP peut être fait.

La vaccination DTP ne doit pas être faite s'il y a les maladies suivantes:

• Déviations dans le travail du système nerveux qui progressent.
• Les vaccinations précédentes étaient très difficiles à tolérer.
• L'enfant avait des antécédents de convulsions.
• Les vaccinations précédentes ont causé
• Immunodéficience.
• Sensibilité particulière aux composants du vaccin ou à leur intolérance.

Si votre enfant a une maladie ou si vous craignez que la vaccination DTC n'ait des conséquences indésirables, vous devriez consulter un médecin. Il se peut que vous receviez un vaccin qui ne contient pas d'anatoxines contre la coqueluche, car elles peuvent provoquer des effets indésirables.

La vaccination peut également être retardée si l'enfant :

• Diathèse.
• Peu de poids.
• encéphalopathie.

Dans ces conditions, la vaccination est possible, mais la préparation à la vaccination DTC, souligne Komarovsky, doit consister à stabiliser l'état de santé. Il est préférable d'utiliser un vaccin acellulaire avec un haut degré de purification pour ces enfants.

Conditions possibles après la vaccination

Quelles sont les conséquences possibles après la vaccination DTC ? Avis Komarovsky donne divers. Et tous les effets secondaires peuvent être divisés en légers, modérés et graves.

En règle générale, la réaction au vaccin apparaît après 3 doses. Peut-être parce que c'est à partir de ce moment que la défense immunitaire commence à se constituer. L'enfant doit être observé, en particulier dans les premières heures suivant la vaccination et pendant les trois jours suivants. Si le bébé tombe malade le quatrième jour après la vaccination, cela ne peut pas être la cause de la maladie.

La survenue d'effets indésirables après la vaccination est un phénomène très courant. Une personne sur trois peut en avoir. Réactions légères qui disparaissent en 2-3 jours :

Effets secondaires modérés et graves

Des effets secondaires plus graves ne peuvent être exclus. Ils sont beaucoup moins fréquents :

• La température corporelle peut atteindre 39 à 40 degrés.
• Des convulsions fébriles peuvent survenir.
• Le site d'injection rougira de manière significative, dépassera 8 centimètres et un œdème apparaîtra de plus de 5 centimètres.
• Il y aura de la diarrhée et des vomissements.

Si de telles réactions au vaccin se produisent, il est urgent de montrer l'enfant au médecin.

Dans de très rares cas, des manifestations d'effets indésirables plus graves sont possibles :

Le DTC est une vaccination (Komarovsky le note en particulier), qui provoque de tels effets secondaires dans un cas sur un million.

Une telle réaction peut apparaître dans les 30 premières minutes après l'injection. Par conséquent, le médecin recommande de ne pas partir immédiatement après la vaccination, mais de rester à proximité de l'établissement médical pendant cette période. Ensuite, vous devez montrer à nouveau l'enfant au médecin. Tout cela est fait afin de pouvoir fournir l'assistance nécessaire au bébé.

Que faire après la vaccination

Pour que l'enfant tolère plus facilement le vaccin, il faut non seulement s'y préparer, mais aussi se comporter correctement après celui-ci. A savoir, suivez quelques règles :

• L'enfant ne doit pas se baigner dans le bain et ne pas mouiller le site d'injection.
• Le Dr Komarovsky recommande de marcher, mais ne marchez pas dans les lieux publics.
• Passez ces 3 jours à la maison sans visiteurs, surtout si le bébé a de la température ou est méchant.
• L'air de la pièce doit être humide et frais.
• Vous ne devez pas introduire un nouveau produit dans l'alimentation une semaine avant la vaccination et après. Si le bébé est allaité, la mère ne devrait pas essayer de nouveaux aliments.
• Les parents d'enfants allergiques doivent être particulièrement prudents. Discutez avec votre médecin des antihistaminiques à administrer avant et après la vaccination.

Comment se comporter en cas d'effets indésirables

La manifestation d'effets indésirables légers est toujours possible. Étant donné que le vaccin DTP est considéré comme le plus difficile pour le corps, surtout si l'enfant avait déjà eu des réactions négatives aux vaccinations. Que faire en cas d'effets secondaires après la vaccination DTC :

• Température. Komarovsky recommande de le surveiller constamment. Il ne faut pas attendre 38 ans, il faut donner un antipyrétique dès qu'il commence à monter.
• S'il y a un gonflement ou une rougeur au site d'injection, il est nécessaire de montrer l'enfant au médecin. Peut-être que ce médicament n'est pas entré dans le muscle, mais dans la graisse sous-cutanée, à cause de cela, un gonflement et une induration peuvent apparaître. Dans tous les cas, une consultation médicale est nécessaire pour soulager l'état de l'enfant et exclure complications possibles. S'il ne s'agit que d'une légère rougeur, elle disparaîtra dans les 7 jours et rien ne doit être fait.

Afin d'éviter les effets secondaires, vous devez prendre au sérieux la préparation de l'enfant à la vaccination. Plus à ce sujet plus tard.

Comment préparer votre enfant à la vaccination DTP

Komarovsky donne quelques conseils simples et nécessaires :

Dois-je faire de la PAO ?

Actuellement, vous pouvez observer Rappelez-vous: la maladie menace de problèmes beaucoup plus importants que les conséquences qui surviennent après la vaccination DTC. Avis Komarovsky, selon lui, a entendu différentes choses sur la vaccination, mais il y a toujours plus d'avantages que d'inconvénients. Après tout, ayant été atteint de diphtérie ou de tétanos, il n'y a pas d'immunité contre ces maladies. La médecine ne reste pas immobile et les vaccins deviennent de plus en plus purifiés et plus sûrs. Cela vaut la peine d'y penser. Pas besoin de risquer la santé et la vie de l'enfant. Un vaccin de haute qualité, un médecin attentif peut réduire les risques de développer des effets secondaires. Santé à vous et à vos enfants.